Fausse couche : "Je ne pense pas qu’il faille en avoir honte"

  • il y a 7 mois
Depuis le 1er janvier, les arrêts de travail prescrits pour cause de fausse couche sont rémunérés dès le premier jour. Une « avancée sociale » pour certaines. D’autres craignent que l’employeur puisse deviner la raison de l’arrêt et pénaliser par conséquent la femme qui a un désir de grossesse. Pour Dominique Vérien, la présidente de la délégation aux droits des femmes du Sénat, il faut que la parole se libère.
Pour suivre toute l'actualité politique et parlementaire, abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/user/publicsenat?sub_confirmation=1

Notre site internet : http://www.publicsenat.fr

Abonnez-vous à notre newsletter : https://urlz.fr/iinC 

Suivez-nous sur les réseaux sociaux
Facebook : https://www.facebook.com/publicsenat
Twitter : https://twitter.com/publicsenat
Instagram : https://instagram.com/publicsenat
LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/2996809/
Transcript
00:00 Est-ce que c'est grave ? Je ne suis pas sûre.
00:03 Je comprends que ce soit un drame de vivre une fausse couche,
00:06 mais je ne crois pas qu'il y ait besoin d'en avoir honte.
00:09 Et je pense qu'au contraire, plus la parole se libère,
00:12 pour dire que ça touche malheureusement les femmes,
00:15 et de façon à mon avis de plus en plus fréquente,
00:20 et plus on sera conscient de cette chose-là,
00:24 donc plus les femmes parleront,
00:25 et moins on aura envie de le cacher.
00:28 Donc je ne trouve pas que ce soit très grave non plus
00:31 qu'on sache le sujet pour lequel on a bénéficié
00:35 de ne pas avoir ce genre de carence.
00:38 [Musique]

Recommandée