C'est le succès surprise de la semaine, et même un record car jamais depuis deux ans, un magazine n'avait fait un tel score sur la TNT. Le doc de Maia Mazaurette diffusé mercredi sur TMC a en effet attiré plus d'un million de téléspectateurs. Il faut dire que le sujet était... original : La spécialiste du sexe de Quotidien avait décidé de s'intéresser au pénis !
Toute une soirée sans vulgarité, sans image choquante mais avec un ton plutôt décalé et souriant. On pouvait y voir des hommes parler en toute décontraction de leur sexe, de la taille, de la première fois et pour certains de leurs complexes.
Une émission au final plutôt pudique, malgré une interdiction au moins de 16 ans dans la dernière partie de soirée.
Et au final, seulement 3 des témoins ont accepté de se mettre nus face caméra, les autres ayant visiblement été plus pudiques.
L’équipe de Maia Mazaurette a interrogé des hommes, de tous horizons et de tous âges, sur l’obsession phallique, mais aussi des médecins qui les allongent, des femmes qui en parlent avec plaisir, des créateurs de mode qui les subliment, des professionnels de l’érection et même… une brigade de gendarmes spécialisée dans la dick-pic.
A l’aide de témoignages et d’archives pop de séries d’aujourd’hui et de films cultes, le documentaire invite à changer notre regard sur le pénis et à réinventer la masculinité, avec humour et impertinence.
La plupart du temps, quand on accepte d’en parler, c’est pour vanter sa taille, sa force ou sa rigidité. Longtemps synonyme de puissance et de pouvoir, le pénis est le symbole ultime de la virilité. Mais dans le secret des chambres à coucher, le pénis, c’est aussi l’organe qui interroge le plus les hommes.
Trop petit, trop gros, trop courbé, trop mou, trop imprévisible : le sexe masculin est au cœur des complexes et des peurs masculines et visiblement ça intéresse également beaucoup les plus jeunes car le doc a réalisé plus de 10% de part de marché sur les moins de 50 ans et même 14% sur 15/34 ans !
Toute une soirée sans vulgarité, sans image choquante mais avec un ton plutôt décalé et souriant. On pouvait y voir des hommes parler en toute décontraction de leur sexe, de la taille, de la première fois et pour certains de leurs complexes.
Une émission au final plutôt pudique, malgré une interdiction au moins de 16 ans dans la dernière partie de soirée.
Et au final, seulement 3 des témoins ont accepté de se mettre nus face caméra, les autres ayant visiblement été plus pudiques.
L’équipe de Maia Mazaurette a interrogé des hommes, de tous horizons et de tous âges, sur l’obsession phallique, mais aussi des médecins qui les allongent, des femmes qui en parlent avec plaisir, des créateurs de mode qui les subliment, des professionnels de l’érection et même… une brigade de gendarmes spécialisée dans la dick-pic.
A l’aide de témoignages et d’archives pop de séries d’aujourd’hui et de films cultes, le documentaire invite à changer notre regard sur le pénis et à réinventer la masculinité, avec humour et impertinence.
La plupart du temps, quand on accepte d’en parler, c’est pour vanter sa taille, sa force ou sa rigidité. Longtemps synonyme de puissance et de pouvoir, le pénis est le symbole ultime de la virilité. Mais dans le secret des chambres à coucher, le pénis, c’est aussi l’organe qui interroge le plus les hommes.
Trop petit, trop gros, trop courbé, trop mou, trop imprévisible : le sexe masculin est au cœur des complexes et des peurs masculines et visiblement ça intéresse également beaucoup les plus jeunes car le doc a réalisé plus de 10% de part de marché sur les moins de 50 ans et même 14% sur 15/34 ans !
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TVTranscription
00:00 On enlève la serviette.
00:02 Ok.
00:04 Aïe.
00:06 Je suis désolée, je te parle en fixant ton pénis.
00:10 Ok.
00:12 Eh ben, c'est pas si mal.
00:22 J'aime beaucoup ton pénis.
00:24 Je pensais pas dire ça, je suis désolée.
00:28 J'ai peur.
00:30 Ça n'a rien à voir.
00:36 Ça a bien marché.
00:40 Ah oui ?
00:42 Moi, je vous dis.
00:44 Moi, ça me choque pas.
00:46 Moi aussi, je suis d'accord avec Géraldine.
00:48 Ça me choque même pas, Daniel.
00:50 J'aurais pu dire "ça me choque", faire la mauvaise foi.
00:52 Franchement, je trouve que c'est une bonne idée.
00:54 Arrête de jouer les offusqués, c'est malin.
00:56 C'est pas vulgaire.
00:58 On a le droit de pas aimer, mais je trouve que voilà.
01:00 C'est une bonne idée, je trouve.
01:02 Gilles, toi, t'es choqué.
01:04 Très choqué.
01:06 Moi, ça me dérange pas.
01:08 Il y avait marqué "interdit aux moins de 12 ans".
01:10 Moi, je trouve que ça suffit pas.
01:12 C'est à une heure de grande écoute.
01:14 C'est une scène qui est accessible.
01:16 Je suis choqué.
01:18 Je comprends pas même qu'on puisse avoir cette idée.
01:20 Regardez cette image-là.
01:22 Moi, elle me choque.
01:24 Franchement, je trouve que c'est une bonne idée.
01:26 Mais attendez, on l'a jamais vu aussi excitée.
01:28 Elle a vu 3 zizis dessinées.
01:30 Elle est comme ça.
01:32 Elle est comme une folle.
01:34 Elle a vu 3 zizis.
01:36 Qu'est-ce qu'il se passe ?
01:38 J'ai vu plus de sexes hier soir que dans toute ma vie.
01:40 C'est vrai, c'était génial.
01:42 Là, on ne voit pas.
01:44 C'est le début de l'émission, on ne les voit pas, les sexes.
01:46 Et on les voit à la fin, simplement.
01:48 On apprend des bonnes choses.
01:50 C'était vachement intéressant.
01:52 J'ai appris des chiffres, les longueurs.
01:54 Les chiffres ?
01:56 La moyenne, c'est 9 cm au repos et 13 cm en dehors.
02:00 Ça te manquait dans ta vie ?
02:02 Non, non.
02:04 C'est une moyenne.
02:06 J'ai bien vu qu'il faisait baisser la moyenne.
02:08 C'était un peu scientifique.
02:10 On peut quand même relever l'hypocrisie permanente de Gilles.
02:12 Il dit que c'est de l'exhibitionnisme.
02:14 Alors qu'il nous a avoué des tonnes de fois qu'il était naturiste.
02:16 Et qu'il se tramadait à la nature.
02:18 Moi, il n'est pas vulgaire.
02:20 Il y a que les naturistes.
02:22 Là, on est forcés de regarder.
02:24 Pourquoi t'es obligé de regarder ?
02:26 Si tu ne veux pas regarder, tu changes de chaîne.
02:28 C'est comme si je n'avais pas envie de te voir sur une page naturiste.
02:30 Je change de plaque.
02:32 Et comment on sait qu'un programme est déconseillé au moins de 12 ans ?
02:34 Qui le décide ?
02:36 C'est la production ?
02:38 C'est la chaîne.
02:40 Il y a ce qu'on appelle la conformité.
02:42 Par exemple, il y a des gens de la conformité.
02:44 Il y a Thomas que j'adore.
02:46 Il y a Samira, aussi, que j'aime beaucoup.
02:48 Ils sont là et ils disent "attention, ça on ne peut pas, ça on ne peut pas".
02:50 Quand j'ai insulté Louis Boyard, par exemple,
02:52 ils ont dit "ça on ne peut pas".
02:54 C'est trop tard.
02:56 Et puis voilà.
02:58 Et puis moi, je vais vous dire,
03:00 c'est pas dérangeant.
03:02 Voilà, c'est pas dérangeant.