Le JT - 06/02/24 - Grève des profs, école Gresse-en-Vercors, 1 Toit pour tous

  • il y a 6 mois
Les enseignants auront peut être un nouveau ministre dans quelques jours ou quelques heures mais le message restera le même: ils ne veulent pas du choc des savoirs et des groupes de niveaux lancés par le titulaire précédent, et étaient aujourd'hui en grève pour le réaffirmer. Pas classe non plus la décision de la direction départementale de l'éducation nationale de fermer une classe à Gresse en Vercors. 2-1 = 1. Un risque de classe unique avec 24 élèves qui ira de la petite section de maternelle au CM2. La commune soutient aussi les parents d'élèves. Et puis combien y a t-il de personnes pas ou mal logés dans la métropole grenobloise ? Que faire pour les aider ? Réquisitionner ? Construire plus, ou attribuer un permis de louer ? La question du logement sans Engels, mais avec la présidente de l'association 1 toit pour tous, Michelle Daran, ce sera à la fin de ce JT...
Transcript
00:00 *Musique*
00:09 Les enseignants auront peut-être un nouveau ministre dans quelques jours ou quelques heures,
00:13 mais le message restera le même, ils ne veulent pas du choc des savoirs et des groupes de niveau lancés par le titulaire précédent.
00:19 Ils étaient aujourd'hui en grève pour le réaffirmer.
00:23 Pas classe non plus la direction départementale de l'éducation nationale
00:26 qui pourrait fermer une classe à Grèce-Envers-Cors 2-1=1.
00:30 Un risque de classe unique avec 24 élèves qui ira de la petite section de maternelle au CM2.
00:36 La commune aussi soutient les parents d'élèves.
00:38 Et puis combien y a-t-il de personnes pas ou mal logées dans la métropole grenobloise
00:42 que faire pour les aider, réquisitionner, construire plus ou attribuer un permis de louer ?
00:46 La question du logement sans Engels mais avec la présidente de l'association.
00:50 Un toit pour tous, Michèle Darron. Ce sera à la fin de ce JT.
00:55 Bonsoir à tous. Bienvenue dans ce JT du mardi 6 février 2024.
01:01 Du lundi au vendredi à partir de 18h. L'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
01:06 Les bons d'un côté, les mauvais de l'autre.
01:10 La décision de Gabriel Attal lorsqu'il était ministre de l'éducation nationale
01:15 de créer dès la rentrée prochaine des groupes de niveau en collège
01:19 ne passe pas auprès de tout le monde, notamment auprès des enseignants qui appelaient à la grève ce mardi.
01:25 Ils ont manifesté devant le rectorat de Grenoble pour dénoncer ce choc des savoirs
01:30 qui risque selon eux de faire plus de mal que de bien.
01:33 On vient au rectorat pour manifester notre mécontentement et notre demande de retrait
01:39 de cette nouvelle réforme choc des savoirs imposée par Gabriel Attal alors qu'il était encore ministre
01:45 et qui est poursuivie par la nouvelle ministre.
01:47 À la rentrée 2024, donc en septembre prochain, en 6e et en 5e,
01:51 les cours de français et de maths ne seront plus en classe entière mais bien en groupe de niveau.
01:56 C'est-à-dire que les faibles seront dans des plus petits groupes.
01:59 Pour l'instant, on nous annonce des groupes de 22, ce qui est énorme,
02:02 et les autres répartis dans d'autres groupes.
02:04 Absolument toutes les recherches en sciences de l'éducation sur ce sujet montrent que c'est délétère.
02:10 Pour les faibles qui se sentent en insécurité totale face à l'école,
02:14 mais pour les meilleurs aussi qui n'apprennent pas à aider les autres,
02:18 qui ne sont que dans une logique de compétition.
02:21 En plus de ça, ça crée un climat scolaire extrêmement difficile
02:24 parce que les élèves qui se sentent mauvais, parce qu'ils sont étiquetés groupe des mauvais,
02:28 même si on ne l'appelle pas comme ça,
02:29 ce que les syndicats demandent et les gens qui sont ici, c'est des classes à plus petits effectifs.
02:35 C'est ça la solution et pour ça on a besoin de moyens,
02:37 on a besoin d'engager des professeurs et pour qu'il y ait des nouveaux profs,
02:40 il faut augmenter les salaires. Tout ça fonctionne ensemble.
02:43 La question ne se pose pas encore pour les élèves de l'école de Grèce en Vercors.
02:47 Ce qui les inquiète en revanche, et surtout leurs parents et les responsables de cette petite commune de montagne,
02:53 c'est peut-être pour la rentrée prochaine la disparition d'une classe sur les deux que compte leur école.
02:59 Pour éviter cela, ils se mobilisent.
03:02 A Grèce, le nombre de classes risque d'être dégressif et le niveau de régressé.
03:10 Dans cette école primaire qui compte une classe de maternelle et une élémentaire,
03:14 la menace de la suppression de l'une d'entre elles plane,
03:17 car pour composer deux classes, il faut au minimum 25 élèves.
03:22 Or, il y aurait dans cette école, pour la rentrée 2024, entre 23 et 24 élèves,
03:28 qui constituerait une seule et unique classe de la petite section au CM2.
03:33 Je suis inquiet, je ne suis pas le seul à être inquiet,
03:35 parce qu'on a du mal à imaginer comment les spécificités de chaque groupe de niveau
03:42 vont pouvoir être traitées par un seul personnel enseignant.
03:47 En cas de fermeture d'une classe, l'unique enseignant de l'école porterait aussi la casquette de directeur de l'établissement.
03:54 Au-delà de nos inquiétudes pour nos enfants et notre école,
03:57 on a des inquiétudes aussi pour la qualité du travail et les conditions de travail de l'enseignant,
04:01 parce qu'on est dans un endroit où ce n'est pas simple non plus pour le personnel enseignant de venir travailler,
04:06 on est loin de tout, et les personnes qui font le choix de s'engager pour l'école dans nos milieux de montagne,
04:13 ce sont quand même des personnes qui viennent chercher un cadre de vie, un cadre de travail,
04:17 mais qui ne sont pas prêtes à accepter n'importe quelles conditions pour venir.
04:21 Mais la commune de 377 âmes a encore espoir de maintenir ces deux classes en attirant de nouveaux habitants.
04:28 Nous avons au village des logements sociaux gérés par la SDH,
04:34 et parmi ces logements sociaux, il y en a quatre aujourd'hui qui sont inoccupés,
04:38 dont des appartements de grande taille susceptibles de recevoir des familles.
04:43 Donc il s'agit maintenant de bien négocier cela avec la SDH,
04:48 et de voir qu'ils mettent véritablement à disposition du public et qu'ils le fassent savoir.
04:55 En tout cas, attirer de nouveaux habitants reste la seule solution envisageable pour cette école du Triève,
05:01 les établissements environnants étant trop éloignés pour permettre un regroupement pédagogique.
05:07 Des sujets sur lesquels nous reviendrons dans le JT de mercredi,
05:11 avec Patrice Gros, directeur départemental des services de l'éducation de l'ISER.
05:16 Ça va peut-être mieux, en le disant, voter en novembre.
05:20 C'est au 1er février que la nouvelle grille tarifaire des transports en commun MTAG est entrée en vigueur.
05:26 Pas mal de changements que les présidents du syndicat mixte des transports en commun,
05:30 de la métro et du grésil-vodan ont précisé ce matin lors d'une conférence de presse,
05:35 en forme d'explication de texte.
05:37 Un ticket unique pour les deux collectivités, mais côté prix, des hausses qui ont parfois du mal à passer.
05:43 Les abonnements de la tarification classique n'ont pas évolué au 1er février.
05:47 Il y aura comme chaque année une actualisation sur l'inflation qui sera observée et retenue au moment de la rentrée.
05:53 Mais nous n'avons pas d'évolution sur les abonnements.
05:55 Il y a quelques changements sur la tarification unitaire,
05:58 puisque le ticket classique passe de 1,90 à 2 euros là aussi,
06:02 par rapport à l'actualisation de l'inflation comme sur le reste des services.
06:05 Le ticket SMS lui augmente à 2,50 euros volontairement pour le rendre dissuasif,
06:10 afin que les personnes utilisent dorénavant le paiement par carte bancaire,
06:15 ce que nous appelons l'open paiement, c'est-à-dire que vous passez votre carte bleue devant le validateur
06:20 et cela vous décompte un voyage automatiquement.
06:22 Donc c'est beaucoup plus simple, c'est beaucoup plus pratique.
06:24 Et donc cela fera perdre son sens au ticket par SMS qui à terme disparaîtra.
06:29 Nous avons également souhaité maintenir le tarif de la carte dix voyages,
06:32 qui reste à 15,40 euros et qui ne bouge pas,
06:34 puisque c'est un élément aussi d'attractivité et d'utilisation importante pour nos réseaux de transport en commun.
06:39 Une évolution tarifaire qui fait la place à deux choses.
06:42 Grande simplification, avant vous aviez 15 types d'abonnements avec leurs spécificités,
06:51 il fallait rentrer dans la case X, dans la case Y.
06:54 Et aujourd'hui on a accentué la tarification solidaire.
06:58 La dernière tranche qui était éligible à la tarification solidaire, c'était 755 euros de quotient familial.
07:06 Nous sommes aujourd'hui à 900, c'est-à-dire qu'on attient la classe moyenne 1 SMIC, 1,2 SMIC, à peu près 1,3 SMIC.
07:14 La tarification solidaire concernera désormais 130 000 personnes.
07:19 Hors tarification solidaire, ce sont les 18 à 24 ans non étudiants
07:24 qui voient leur abonnement le plus augmenté de 16,70 euros à 66,40 euros par mois.
07:32 Peut-être encore bientôt une nouvelle carte dans votre portefeuille.
07:36 Grenoble s'oriente vers la mise en place d'une sécurité sociale alimentaire.
07:41 Le principe a été voté lundi en conseil municipal sur le modèle de ce qui se fait déjà à Lyon ou Bordeaux.
07:47 Une caisse de cotisation sera alimentée par des subventions publiques, des fonds privés et les grenoblois intéressés
07:53 qui recevraient ensuite une somme forfaitaire à dépenser auprès de professionnels.
07:57 Conventionnés, vente directe, marché de producteurs, voire restauration.
08:01 La Ville va mobiliser 1,4 million d'euros sur ce projet qu'elle espère aboutir pour l'automne.
08:07 Encore un sujet choc dans ce JT après le choc des savoirs.
08:11 Gabriel Attal, Premier ministre, a parlé dans son discours de politique générale devant l'Assemblée nationale
08:16 d'un choc d'offres dans le secteur du logement, la crise du logement ou des logements très sociaux.
08:22 On va en parler avec vous, Michel Darand. Bonsoir.
08:25 Vous êtes la présidente de l'association 1 Toit pour tous. Avant une petite explication, il faut distinguer hébergement et logement.
08:33 Quelles sont les différences ?
08:35 Oui, bien sûr, il faut distinguer hébergement et logement au sens où le logement, c'est effectivement un logement
08:44 dans lequel vous êtes locataire en titre. Vous avez un bail du logement privé, du logement social.
08:51 Alors que dans l'hébergement, c'est un logement dans lequel vous êtes résident, c'est à dire que vous n'êtes pas directement locataire.
08:58 Vous êtes hébergé par une structure, une association publique ou privée.
09:03 Et puis, en dessous de l'hébergement, il y a l'hébergement très dégradé.
09:09 Les gens qui sont, qui ont des nuits d'hôtel, les gens qui sont aussi à la rue.
09:15 Et donc, vous avez là toute une chaîne qui va de la rue jusqu'au logement.
09:21 Et cette chaîne est très embouteillée.
09:24 Et les gens à la rue ont beaucoup de mal à monter dans le train du logement et de l'abri, d'avoir un toit sur la tête.
09:34 Alors, est-ce que l'on sait combien de personnes dorment dans la rue, dans la métropole ?
09:40 Ah, c'est le grand chiffre. Écoutez, c'est très difficile à comptabiliser de façon exacte.
09:46 Et puis, ça évolue de jour en jour.
09:49 Mais disons que récemment, Réseau Éducation Sans Frontières a fait le comptage de 400 personnes à la rue.
09:59 Donc, ce sont des personnes qui n'ont pas de solution de logement, provisoire ou encore moins définitive.
10:11 Et vous avez aussi, par exemple, 900, pardon, 900, 9 écoles qui sont occupées par des familles qui n'ont aucune autre solution de logement.
10:24 C'est vrai que des collectifs citoyens se mobilisent.
10:29 Mais il faut une réponse qui soit beaucoup plus institutionnelle que la seule solidarité citoyenne.
10:37 C'est l'État qui doit s'occuper de cet hébergement d'urgence. La préfecture qui ouvre des places, il y en a combien ?
10:43 Oui. Alors, le paradoxe, si je puis dire, c'est qu'il y a de plus en plus de places qui sont ouvertes.
10:49 Il y a à peu près 1 700 places qui sont ouvertes en Isère.
10:54 Et on a... C'est vrai que l'État a augmenté la capacité de logement, d'hébergement.
11:01 Mais la demande croît plus vite que l'offre.
11:05 Et le problème, c'est que l'offre de logement social, parce qu'après l'hébergement, en général, il y a le logement social.
11:13 Enfin, quand tout se passe bien. Mais malheureusement, c'est un petit peu enrayé.
11:19 L'offre de logement social, elle aussi, diminue beaucoup.
11:23 Alors, il y avait eu un comptage lors de la nuit de la solidarité. C'était en 2019.
11:28 Mais depuis, on n'a pas vraiment de chiffres récents.
11:31 On sait simplement que, par un certain nombre d'événements, les chiffres ont beaucoup augmenté.
11:38 Voilà. Les chiffres ont beaucoup augmenté.
11:40 Les comptages, eh bien, si vous voulez, il faudrait pouvoir répéter cette opération qui avait été lancée par la métropole et les communes.
11:54 Mais nous étions à la manœuvre, à un toit pour tous.
11:57 Nous avions organisé cette nuit de la solidarité.
12:00 Plusieurs villes en France avaient fait la même chose.
12:03 Malheureusement, le Covid est passé par là.
12:07 Ça a un petit peu cassé cette dynamique.
12:09 Mais sans doute, ça serait une bonne idée de pouvoir recommencer.
12:12 Parce que, peut-être pas tous les ans, mais à date régulière, comptez les plus défavorisés qui sont à la rue.
12:19 Alors, vous l'avez dit, l'hébergement est saturé, le logement aussi.
12:23 Pourtant, il y a des logements vacants dans la métropole. Est-ce qu'on peut établir un chiffre ?
12:28 Oui, il y a des logements vacants. On en a parlé récemment, encore, dans la métropole, certes.
12:34 Les logements vacants, c'est un réservoir.
12:39 C'est un réservoir. On ne va pas rentrer sur le débat très technique de qu'est-ce qui est vacant.
12:45 Parce qu'un logement qui est réputé vacant au niveau des impôts, après, lorsqu'on va voir de plus près, voilà.
12:53 Et ensuite, il faut que ce logement puisse être remis dans le circuit du logement social, c'est-à-dire, en général, réhabilité.
13:01 Et c'est ce que nous faisons, Toi pour tous. Nous récupérons des logements vacants, des logements qu'on veut bien nous confier.
13:11 Que des propriétaires privés peuvent vous appeler et vous dire...
13:15 Exactement. Nous avons deux filières pour produire du logement très social en direction des personnes les plus défavorisées.
13:22 Nous avons une coopérative qui achète des logements, qui les réhabilite dans toute la métropole, dans le Voironnais et un peu dans le Grésivaudan aussi.
13:33 Donc, nous faisons... Une fois qu'on a réhabilité ces logements avec des subventions, bien sûr, nous les remettons dans le circuit du logement très social.
13:43 Et puis, nous avons une autre filière qui est celle des propriétaires solidaires.
13:49 Ce sont des gens comme vous et moi, si nous étions propriétaires et que nous n'ayons pas besoin d'un logement, nous pouvons le confier à notre agence,
13:57 qui est une agence à vocation sociale, agence immobilière à vocation sociale.
14:01 La différence avec une agence normale, si je puis dire, c'est que les ménages qui sont dans les logements confiés sont des ménages suivis,
14:10 des familles suivies par nos travailleurs sociaux et que les loyers sont garantis.
14:15 La ville de Grenoble a validé lundi, au Conseil municipal, la mise en place d'un permis de louer pour lutter contre l'habitat indigne.
14:23 Et ça concernerait un peu plus de 1 800 appartements dans le parc privé. Qu'est-ce que vous en pensez ?
14:28 Oui, je crois que la majorité... Enfin, ça a été une proposition qui a été accueillie favorablement par de nombreux groupes politiques, on va dire.
14:41 Mais le permis de louer, ça fait partie de la panoplie des outils qui sont à disposition pour inciter les propriétaires à remettre en état leurs logements.
14:58 Et à partir du moment où on les aide, à partir du moment où il y a des subventions publiques,
15:03 eh bien ils s'engagent dans un parcours qui va déboucher sur le fait que leur logement sera loué à des personnes les plus défavorisées.
15:10 Le Premier ministre a fait quelques annonces il y a quelques jours. Elle ne semble pas forcément satisfaire les associations, notamment sur les modifications de la loi SRU ?
15:21 Oui. Alors, lors de la journée de la fondation Abbé Pierre, son directeur général, Christophe Robert, a rappelé que la dernière apparition publique de l'abbé Pierre,
15:35 c'était peu de temps avant sa disparition, lorsqu'il est intervenu à l'Assemblée nationale en 2006, je crois, pour interpeller les députés sur le fait qu'il ne fallait pas toucher à la loi SRU.
15:47 C'est-à-dire qu'il ne fallait pas que... On considère que la loi SRU, c'est de dire dans les communes, il faut 25%... Dans les grosses communes, bien sûr.
15:57 Il y a plus de 5 000 habitants, je crois ? 20 000. Il faut 25... Un quart des logements qui sont construits doivent être des logements sociaux.
16:06 Et la tentation est de sortir du cadre strict des logements sociaux et de dire, pourvu qu'on construise, donc on va prendre des logements qui ne sont pas très sociaux et on va les rentrer dans le quota de 25%.
16:19 Mais en créant une catégorie de personnes transitoires. Voilà, c'est l'idée qu'il faut loger les classes moyennes aussi, mais c'est oublier que le logement social peut loger...
16:28 Les 80% des Français ont droit au logement social. Donc les plus défavorisés seront forcément pénalisés parce que les communes auront tendance à construire du logement intermédiaire, comme on dit,
16:43 vu que ça rentrera dans le quota SRU et de ce fait, proportionnellement, ça fera baisser le logement...
16:51 Le nombre de logements sociaux.
16:52 Voilà, pour les plus défavorisés.
16:54 Merci.
16:55 Pour ceux qui n'ont vraiment pas d'argent.
16:56 Merci beaucoup, Michèle Darron. Je rappelle que vous êtes la présidente d'Un Toit pour Tous.
17:00 Quelques idées de sorties dans l'agenda du cinéma avec une séance spéciale mercredi soir au Méliès, à Grenoble, qui pourrait vous intéresser, Michèle Darron.
17:08 Ici, Brazas, c'est Chroniques d'un terrain vague, un documentaire d'Antoine Boulet, qui sera d'ailleurs présent lors de la projection à Bordeaux.
17:14 Il a suivi au long cours l'urbanisation d'une friche industrielle, 53 hectares à bâtir pour un vaste projet immobilier dans l'air du temps.
17:23 Chroniques d'un terrain vague en transformation, le film Scrut l'annonce d'un nouvel art de vivre dans la réalité brute du terrain.
17:30 Retour de l'actu dans une heure et en replay sur Télégrenoble.net. On se quitte en musique avec le duo Four, en concert à l'Odyssée d'Ebain, mercredi soir.
17:39 Fanny Azzurro et Adelaide Ferrière revisitent les grands classiques du répertoire à deux pianos avec un autre clavier, celui du marimba.
17:47 Excellente soirée à tous.
17:49 [Musique]

Recommandée