Le journal : crise agricole, les apiculteurs reprennent le flambeau de la mobilisation !

  • il y a 7 mois
Retrouvez William Leymergie entouré d’experts, du lundi au vendredi en direct dès 12h30, pour une émission dédiée aux problématiques de notre quotidien.

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00:00 [Musique]
00:05 Bonjour Caroline.
00:06 Bonjour William.
00:07 Les principes au titre de ce journal.
00:09 L'hommage national aux 42 victimes françaises des attaques terroristes du Hamas en Israël le 7 octobre dernier.
00:15 C'était il y a un instant à l'hôtel des Invalides sous la présidence d'Emmanuel Macron.
00:19 On ira sur place dans un instant.
00:21 On parlera aussi de la colère des apiculteurs.
00:24 Ils ne sont pas contents des mesures annoncées par Gabriel Attal pour apaiser les agriculteurs
00:28 et notamment la mise sur pause des restrictions de pesticides.
00:32 Et puis on verra qu'aux États-Unis, le tout nouveau casque de réalité virtuelle d'Apple rend fou ses utilisateurs.
00:37 Beaucoup dénoncent un prix prohibitif et des mises en situation dangereuses.
00:42 Alors aujourd'hui, hommage national aux victimes françaises des attaques terroristes du Hamas en Israël le 7 octobre dernier.
00:49 42 Français sont morts dans ces massacres perpétrés par le Hamas.
00:53 Le 7 octobre, cérémonie républicaine organisée ce matin à l'hôtel des Invalides
00:57 sous la présidence d'Emmanuel Macron en présence de tout le gouvernement,
01:01 de très nombreuses personnalités politiques et bien sûr des familles de victimes.
01:04 C'est le sujet à la une du quotidien régional que nous avons choisi de vous montrer aujourd'hui.
01:08 Le Parisien, quotidien national pour une fois, titre tout simplement l'hommage de la France.
01:14 On va voir les moments forts de cette cérémonie.
01:19 [Musique]
01:41 La cour des Invalides est trop étroite.
01:45 Quatre mois, jour pour jour, après.
01:52 Car nous sommes 68 millions de Français endeuillés par les attaques terroristes du 7 octobre dernier.
02:01 68 millions, moins 40 de vies fauchées.
02:09 68 millions dont 6 vies blessées.
02:16 68 millions dont 4 vies à jamais meurtries par leur captivité.
02:24 68 millions dont 3 vies sont encore prisonnières
02:32 pour la libération desquelles nous luttons chaque jour.
02:39 Leurs chaises vides sont là.
02:41 [Musique]
02:52 Et vous avez vu les portraits des 42 victimes qui ont été amenées dans cette cour des Invalides.
02:57 On part sur place retrouver Florian Tardif.
03:00 Bonjour Florian, vous avez assisté à cette cérémonie assez courte, mais particulièrement émouvante.
03:05 Oui, comme un signe, preuve peut-être que le temps semblait être suspendu durant cette cérémonie.
03:13 La pluie s'est arrêtée au tout début de cette dernière, au moment où justement, vous y faisiez référence à l'instant,
03:19 ces membres de la garde républicaine ont pénétré dans cette cour des Invalides qui se trouve juste derrière moi.
03:26 42 membres de la garde républicaine portant donc chacun l'un des visages de ces franco-israéliens
03:35 tués le 7 octobre dernier dans cette attaque terroriste.
03:40 Hommage appuyé, vous en avez parlé également à l'instant, du président de la République à ces 42 victimes,
03:47 mais également à ces 6 blessés de ce 7 octobre et aux otages, 4 qui ont été libérés,
03:55 3 qui sont toujours potentiellement aux mains du Hamas.
03:59 Grande émotion ici, silence dans cette cour des Invalides au moment où il y a eu ces membres de la garde républicaine
04:08 qui sont arrivés avec ces visages. Beaucoup d'émotion forcément de l'ensemble de ces familles,
04:15 ces 55 familles de victimes, de blessés et d'otages qui sont reçus actuellement par le président de la République.
04:23 Merci beaucoup Florent Interdif, merci à Olivier Gangloff qui est avec vous.
04:27 Il faut savoir que la cérémonie a été retransmise en direct, place des otages à Tel Aviv en Israël.
04:33 Et ça a permis à ceux qui n'ont pas pu faire le déplacement à Paris d'y participer à distance.
04:38 Sabine fait partie des familles de victimes, elle a perdu son mari et l'un de ses enfants dans les attaques du 7 octobre.
04:44 Elle tenait à assister à cet hommage rendu par la France.
04:48 Des images et des souvenirs, impossibles à oublier pour Sabine, dont la vie a tragiquement basculé le 7 octobre dernier.
04:57 Ce jour-là, les commandos armés du Hamas pénètrent dans son village situé à quelques centaines de mètres de la bande de Gaza
05:04 et commencent à tirer sur les habitants. Le mari de Sabine est pompier, il tente de repousser les assaillants
05:10 qui viennent de rentrer dans sa maison à l'aide d'un pistolet. Lorsqu'une grenade est lancée vers lui,
05:15 il se jette alors sur deux de ses enfants pour les protéger.
05:19 Je vais vers l'entrée de la maison, j'ouvre la porte, je vois mes deux petits enfants qui saignent de tête à pied.
05:27 Mon petit qui est à côté de moi à ma droite, son oeil est moitié dehors, il saigne de partout.
05:35 Il a plein de morceaux de grenades, de fers dans son corps et Corine me regarde dans les yeux et me dit "maman, papa est mort".
05:52 Elle est ensuite évacuée du village avec ses enfants. Un long trajet éprouvant où elle découvre les horreurs commises par les terroristes.
06:01 Toute la route plein de cadavres. Les enfants ferment les yeux mais moi je ne ferme pas les yeux. Je vois l'enfer devant moi.
06:13 Sabine a également perdu son fils pendant l'attaque, assassiné sur une plage à quelques kilomètres de sa maison.
06:19 Je vais chaque vendredi chez moi à la maison pour sentir l'odeur de mon fils, pour sentir sa présence, pour voir qu'il est encore avec moi. J'ai peur de rien.
06:35 Installée provisoirement à Netanya dans le centre du pays, Sabine revendique sa volonté de rester forte face à ce qu'elle a vécu.
06:42 Elle tient à continuer ce devoir de mémoire selon elle indispensable pour tenter de se reconstruire.
06:49 Il reste encore 136 personnes portées disparues, peut-être toujours otages du Hamas dans la bande de Gaza.
06:55 Leurs familles continuent bien sûr la mobilisation. Une conférence de presse a été organisée hier à l'ambassade d'Israël à Paris.
07:01 Audrey Berthaud, Jules Bedot, Thomas Bonnet.
07:04 Des sourires figés sur papier glacé et une vie à l'arrêt pour les familles de ces otages.
07:10 Sur des t-shirts ou en photo, les portraits de ceux toujours retenus par le Hamas sont brandis avec ce message.
07:16 Ne pas les oublier.
07:18 Nathalie est la tante d'Amit, une famille dont la vie a basculé depuis quatre mois et l'enlèvement de la jeune femme par les terroristes du Hamas.
07:26 On pense tous les jours pour elle, ce qu'elle mange, ce qu'elle dort, si elle est bien.
07:37 Ces familles d'otages sont invitées pour la cérémonie d'hommage national aux invalides.
07:42 Une initiative que tous saluent avec reconnaissance et émotion.
07:46 Je veux être pour montrer qu'on est là et je veux être pour dire merci, pour dire merci à la France.
07:55 La cérémonie présidée par Emmanuel Macron rend hommage aux 42 Français décédés le 7 octobre,
08:01 mais aussi aux quatre otages français du Hamas libérés, ainsi qu'aux trois Français toujours disparus et présumés otages, selon les termes de l'Elysée.
08:09 Dans l'attaque au couteau à la gare de Lyon samedi matin, parmi les trois blessés, il ne faut pas oublier qu'il y a un héros.
08:17 Il s'appelle Christophe, il attendait son train, il est tombé nez à nez, lui aussi avec l'assaillant, et dans les colonnes du Parisien.
08:23 Notre homme du jour raconte comment il a frôlé la mort. Il déplore aussi le manque de soutien politique.
08:29 Il est environ 7h30 samedi matin quand Christophe est face à l'assaillant.
08:35 Armé d'un couteau et d'un marteau, l'individu a déjà fait deux blessés, une femme et un sexagénaire.
08:41 Après avoir crié pour attirer son attention, le jeune retraité de 57 ans décide alors d'agir sans calculer.
08:48 Avec d'autres individus, Christophe tente de le neutraliser, un corps à corps pendant lequel il est blessé aux mains et aux cous.
08:55 Il cherchait à l'enfoncer, mais je ne sentais pas la douleur, je n'entendais plus rien.
09:00 J'ai tiré sur sa main pour qu'il arrête, en fait j'ai saisi la lame du couteau.
09:05 Après l'arrivée des vigiles, des policiers et des secours, Christophe reste déboussolé.
09:10 Quand les pompiers sont arrivés, je leur ai dit "mettez-moi un strap sur le cou parce que j'ai un train à prendre".
09:15 Hospitalisé et opéré à la selle pétrière à Paris, avec une dizaine de points de souture sous la mâchoire.
09:21 Le père de famille, originaire des Yvelines, réalise alors avoir risqué sa vie.
09:26 J'ai failli mourir, l'autre il voulait me tuer. A 3 cm près, ça touchait la carotide, j'étais foutu.
09:33 Quatre jours après les faits, Christophe ne regrette rien, mis à part la réaction des autorités.
09:38 Personne n'a pris de mes nouvelles, je trouve ça dégueulasse.
09:41 Je n'ai pas eu un seul coup de fil, juste pour me demander "vous allez bien monsieur ?"
09:45 Seul un psychologue acceptera finalement de l'écouter, bien peu après un tel traumatisme.
09:51 Emmanuel Macron a fait une visite surprise dans le Doubs, hier.
09:56 Oui, il est parti à la rencontre des agriculteurs, sans caméra, et le chef de l'État s'est arrêté dans un bar tabac
10:02 où il y a quelques photos évidemment qui ont été prises par ceux qui étaient là.
10:05 On le voit notamment accoudé au bar, en train de discuter avec le patron de l'établissement
10:10 qui était particulièrement content de cette visite surprise. Écoutez-le.
10:14 A environ 16h, le président est arrivé dans mon établissement, il a bu un café,
10:23 il a discuté avec les gens qui étaient au bar, les clients, des choses et d'autres.
10:32 C'était exceptionnel, c'était un grand moment, c'est sûr, on était agréablement surpris.
10:41 Surtout pour un petit village comme le nôtre.
10:44 Un petit village de 1200 habitants qui arrive dans notre établissement, ça ne s'arrête pas de sonner.
10:48 On a des messages, on a des...
10:51 Les portables téléphoniques.
10:53 Ça sonne de tous les côtés.
10:54 Et puis les apiculteurs sont en colère, oui, mais pour quelles raisons ?
10:58 Eh bien justement à cause des mesures annoncées par le gouvernement pour essayer de calmer la colère des agriculteurs
11:03 et notamment la mise sur pose des restrictions en pesticides.
11:06 Or les abeilles sont les premières victimes de ces produits phytosanitaires.
11:10 C'est notre gros plan du jour. Le reportage de Michael Chahyou.
11:13 Avec ses 400 ruches, cet apiculteur a connu jusqu'à 30% de mortalité chez ses abeilles, notamment en 2014.
11:22 Les annonces du gouvernement la semaine dernière, la mise sur pose du plan éco-phyto, lui font redouter le pire.
11:29 Depuis quelques années, j'ai trouvé qu'on avait moins de pertes de cheptel.
11:33 Et là, je crains que la tendance s'inverse, vu que les mesures au niveau environnemental seront moins strictes.
11:44 Ce lundi, Benjamin Guilbeault rejoint à la manifestation des apiculteurs du Grand Ouest à Nantes.
11:49 Rendez-vous pris devant une enseigne de la grande distribution.
11:52 On a plein de collègues qui ont du mal à écouler leur stock.
11:55 Et on voit que dans les rayons, il y a beaucoup de miel d'import.
11:59 Du miel bio de Bulgarie et Brésil, mais ça aurait pu être pire.
12:02 Le directeur du supermarché le reconnaît. Il a été prévenu de la visite et a fait le ménage sur les étals.
12:08 Pour vous tromper, cher client, votre directeur change le rayon.
12:12 Quand il y a les médias et quand il y a les apiculteurs qui viennent, on met du miel français.
12:15 On a vu du miel espagnol, du châtaignier. Ouais, ouais, non, cher, très cher.
12:21 Mais certainement pas acheté de prix là au producteur. Ça veut dire que la marge passe entre les deux.
12:26 En France, 45 000 tonnes de miel sont consommées chaque année.
12:30 Mais la part de la production française recule, moins de 20 000 tonnes selon le dernier comptage.
12:35 On en sait un peu plus aujourd'hui sur ce qui s'est passé dans le Boeing dont une porte s'est envolée après le décollage.
12:42 Et bien tout simplement, il manquait des boulons sur ce Boeing 737 Max.
12:46 Quatre boulons qui étaient censés bloquer la porte de l'appareil.
12:50 Heureusement, pour rappel, personne n'a été blessé lors de cet incident survenu sur un vol de la compagnie Alaska Airlines
12:56 entre Portland dans l'Oregon et Ontario en Californie. C'était le 5 janvier dernier.
13:01 Le roi Charles III a fait une première apparition publique depuis l'annonce de son concert.
13:06 C'était hier soir à Londres, 24 heures seulement après cette annonce choc.
13:09 Il a salué la foule depuis une voiture qu'il conduisait avec son épouse Camilla de sa résidence à Buckingham Palace.
13:16 Camille Guédon.
13:18 Au lendemain de l'annonce de son concert, le roi Charles III s'est montré souriant aux côtés de sa femme Camilla.
13:24 Seulement 17 mois après le début de son règne, cette nouvelle a provoqué une onde de choc.
13:29 Je pense que c'est très triste. Nous connaissons tous quelqu'un qui a un cancer.
13:33 Je suis sûr que le roi sera réconforté par la visite de son fils.
13:38 Nous souhaitons tout le meilleur au roi et à sa famille.
13:43 Je pense que c'est vraiment dévastateur parce qu'il vient d'être couronné il y a moins d'un an.
13:49 Mais je pense que c'est merveilleux qu'il partage cela avec le pays et avec le monde.
13:54 Alors que les chaînes de télévision du monde entier se sont installées devant le palais de Buckingham,
14:00 les médias britanniques ont de leur côté consacré toute leur une de journaux sur l'état de santé du roi.
14:05 En moins de 24 heures, le prince Harry, le fils cadet de Charles III,
14:10 est arrivé des Etats-Unis pour se rendre au chevet de son père.
14:13 Vous savez, il doit revenir voir son père, n'est-ce pas ? C'est la bonne chose à faire.
14:17 Toute rupture familiale est triste. Alors peut-être que c'est une bonne chose que Harry revienne.
14:22 Si la famille royale est réunie autour du monarque, Richie Sunak, le premier ministre britannique, se veut rassurant.
14:28 Dans une interview accordée à la BBC, il a déclaré que le cancer du roi avait été détecté à un stade précoce.
14:34 Quel est le chiffre du jour maintenant ?
14:37 3 250 euros, c'est le prix jugé assez prohibitif par certains de l'Apple Visio Pro.
14:43 Vous savez, c'est le tout nouveau casque de réalité virtuelle lancé par Apple
14:46 qui a séduit déjà plusieurs dizaines de milliers d'Américains et certains l'utilisent un peu partout, même au volant.
14:51 Les résultats sont assez mitigés. Et bien, beaucoup se sont retrouvés dans des situations dangereuses.
14:57 Corentin Brio.
15:00 Finir un dossier urgent assis dans le métro.
15:04 Ou alors au volant de sa voiture intelligente.
15:09 Uniquement grâce à ses mains et ce casque posé sur les yeux.
15:13 Des images qui ne sont pas tirées d'un film de science-fiction, mais des réseaux sociaux.
15:18 Suite à la sortie de l'Apple Vision Pro, un casque de réalité virtuelle considéré comme une révolution
15:24 pour les premiers chanceux qui ont pu le tester.
15:28 Je peux voir les dinosaures, mais je ne peux pas vous voir. C'est merveilleux.
15:32 Je regardais une vidéo, il s'agissait d'une scène d'anniversaire.
15:36 Et j'avais l'impression d'être dans la pièce avec eux.
15:39 On a l'impression de ne pas pouvoir sentir l'air, mais on a envie de le sentir parce que c'est tellement réel.
15:44 Ce casque permet d'intégrer son écran d'ordinateur à son environnement
15:49 ou encore de pouvoir regarder un film ou de jouer sur un écran virtuel.
15:54 Pour certains, cet objet marque peut-être la prochaine étape d'une révolution culturelle.
15:59 Ce qu'il tente de mettre en place, c'est un univers dans lequel tout est "simless".
16:03 C'est-à-dire qu'on enlève les écrans, les claviers, les souris.
16:07 Il faut savoir que quand on utilise le casque Apple Vision Pro,
16:11 vous pouvez lancer une action via un clignement de l'œil, le son de votre voix ou un geste de la main.
16:16 Donc vous voyez qu'on est vraiment en train de se tourner vers un univers
16:19 où on n'aurait plus réellement besoin d'objets externes.
16:22 Malgré les vidéos montrant son utilisation dans différentes situations,
16:25 Apple précise que son usage n'est pas fait pour le monde extérieur.
16:29 Je pense qu'il s'agit aussi de questions de sécurité.
16:32 Parce que imaginez, vous vous baladez comme ça dans la rue,
16:34 vous n'êtes pas réellement connecté avec votre univers, un accident est très vite arrivé.
16:38 Mais ce que j'avais pu lire justement sur cette question-là,
16:41 c'est qu'en réalité l'ensemble de ces vidéos étaient aussi des influenceurs
16:44 qui voulaient faire du marketing derrière.
16:46 Donc c'était pour faire du buzz et que la réalité, effectivement,
16:48 l'outil n'a pas vocation d'être utilisé en ce sens,
16:51 mais qu'il n'est pas réellement utilisé.
16:52 Donc peut-être qu'aujourd'hui, ce que nous en France, on est en train de voir,
16:54 et on a l'impression que les gens l'utilisent comme ça, n'est pas une réalité.
16:57 Il faut voir comment nous, on va l'utiliser quand il va arriver sur le marché français.
17:00 Pour l'instant, l'Apple Vision Pro est disponible seulement aux États-Unis.
17:03 Les rumeurs annoncent qu'il pourrait être commercialisé en fin d'année en France.
17:07 Le nouvel appareil d'Apple reste tout de même un produit de luxe.
17:11 Son prix de lancement est de 3 250 euros.
17:14 On en parlait ici même hier, le président du comité organisateur des Jeux olympiques
17:20 est visé par une enquête et il a répondu.
17:23 Oui, alors qu'il est en effet la cible du parquet national financier.
17:26 Au sujet de sa rémunération, Tony Estanguet se défend. Écoutez-le.
17:30 Je ne décide pas de ma rémunération ni de son cadre.
17:35 Depuis le début de la création du comité d'organisation,
17:39 il y a un comité des rémunérations avec des experts indépendants,
17:43 un conseil d'administration qui se sont positionnés.
17:47 Il y a aussi les services de l'État et un contrôle général économique et financier de Bercy
17:51 qui ont encadré mon niveau de rémunération, le statut de ma rémunération.
17:56 Je pense que c'est vers eux qu'il faut se retourner.
18:00 Merci.
18:01 [Musique]

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