Patrick REY "Une carrière professionnelle dans le rétro des plus grands"

  • il y a 8 mois
Retrouvez l'interview de Patrick REY "Un parcours professionnelle dans le rétro des plus grands."
Avec la participation de M. Raymond FREY, Eric DELETANG, M. Jean-Jacques GONZALES. Le Golf du provençal a Biot.
Son parcours footballistique, des anecdotes de Patrick REY ancien joueur du LOSC LILLE dans les années 1980. Et depuis peu l'ambassadeur du museeascannesfootball.fr (Google site.)
Merci à toutes et a tous pour la réalisation de cette vidéo filmer et réalisé par Christophe DEMARET le musée de l'As Cannes Football.fr

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Sport
Transcription
00:00 Bonjour et bienvenue sur Musée Ice Can TV.
00:13 Bonjour à toutes et à tous, nous sommes au coeur de Sofia Antipolis à Biote, découvrir
00:18 le golf du Provençal, ses fairways, son école de golf et son restaurant.
00:23 Aujourd'hui elle nous ouvre ses portes et son salon VIP pour cette interview.
00:27 Le Musée Ice Can Football TV reçoit Patrick Ray, une carrière professionnelle dans le
00:32 rétro des plus grands.
00:33 Bonjour Patrick, peux-tu te présenter et nous raconter ton parcours footballistique ?
00:37 Christophe, bonjour, je m'appelle Patrick Ray, j'ai bientôt 65 ans, le 15 mars, et
00:45 j'ai débuté le football en Bourgogne au FC Chalon-sur-Sonne.
00:49 Après je me suis dirigé vers l'Institut National du Football à Vichy où j'ai passé
00:53 le concours, où je suis resté 3 ans.
00:55 Après j'avais la possibilité d'aller dans plusieurs clubs et donc je suis parti à
01:00 Lille où j'ai signé mon premier contrat professionnel.
01:04 J'ai été prêté une année à la Païenne Montpellier, je suis revenu à Lille, j'ai
01:09 signé 2 ans au Scoua d'Angers, je suis parti après à Grenoble et j'ai terminé ma carrière
01:14 professionnelle à Guignon en seconde division.
01:16 Tu finis ta carrière dans le bassin cannois au FC Antibes puis à Biote, mais juste avant
01:21 à l'USMN avec un parcours en 32e de finale de la Coupe de France face à l'AS Saint-Etienne.
01:28 Complètement, quand j'ai arrêté ma carrière de footballeur pro, mes parents habitaient
01:32 Nice donc j'avais pas mal de clubs amateurs qui me demandaient, notamment Antibes, donc
01:36 j'ai joué Antibes, après j'ai joué aussi à Vence avec M.
01:41 Boïs, j'ai joué surtout à Montpellier où c'est vrai on a fait un 32e de finale
01:46 de Coupe de France, on était en PHA et contre l'ASSE Saint-Etienne.
01:51 C'est ton dernier gros match de ta carrière avec Mandelieu ?
01:54 En matière d'émotion, oui, parce que c'était un 32e, parce qu'il y avait une organisation,
02:00 parce que les garçons avec qui je jouais n'avaient jamais connu ça.
02:04 J'étais remplaçant en demi-finale de Coupe de France avec Lille à Nantes, à Marseille-Sopin,
02:10 donc une demi-finale par rapport à une 32e, j'en ai fait quelques-uns.
02:13 Mais pour les camarades qui jouaient avec moi, c'était extraordinaire parce qu'ils
02:18 avaient l'opportunité de jouer devant 7000 spectateurs, on était passé à téléfoot,
02:23 il y avait tout un engouement qui était exceptionnel puisqu'on avait éliminé que des clubs qui
02:28 avaient 4, 5 divisions de plus que nous.
02:30 Donc en matière d'émotion c'était sympa, c'était sympa.
02:35 6-0, jeu, 7 et match car Isco Festival rate une très bonne occasion de réduire la marque.
02:45 6-0, fin de la fantastique aventure de Montdevieux, morale de l'histoire tirée par Patrick Spence.
02:51 Je crois qu'au niveau où on est, il faut s'attendre quand même à ce que l'aventure
02:56 elle se termine parce que je crois qu'aujourd'hui on est passé quand même du rêve à la réalité.
03:00 Patrick, es-tu prêt pour cette interview ?
03:02 Complètement, avec plaisir même.
03:04 Bien que ce club ne te laisse pas indifférent, comment se fait-il que tu n'as jamais signé
03:09 à l'Ice Can ?
03:10 Alors j'ai eu plusieurs opportunités quand j'étais vraiment jeune et notamment à
03:14 Charent-sur-Sonne puisque Arsène Wenger avait contacté mes parents et du coup mon père,
03:20 police nationale, j'étais beaucoup trop jeune pour venir à l'Ice Can sachant que
03:26 j'habitais à Charent-sur-Sonne.
03:27 C'est un regret ?
03:29 Quand on est jeune et qu'on a ce rêve de se dire j'ai envie d'être footballeur
03:36 professionnel, c'était l'opportunité peut-être de partir mais je pense que de façon raisonnable
03:42 c'était un peu tôt et comme j'avais quand même du talent je savais qu'il y avait
03:46 des clubs qui s'intéressaient à moi.
03:48 Quel est ton meilleur souvenir de ta carrière ?
03:51 Alors c'est facile, c'est le match au Parc des Princes avec Lille, avec le LOSC.
03:57 Ça faisait 30 ans que Lille n'avait pas gagné au parc et là on a gagné 5-4 et
04:01 je marque deux buts et je fais deux passes décisives et je suis élu homme du match.
04:05 Et celui face à l'Ice Can ?
04:07 Alors c'est un bon souvenir aussi parce que quand j'ai signé à Grenoble on jouait
04:13 la montée, c'était avec Marc Braillon, le grand patron des Rebaud, travail temporaire,
04:19 et Can jouait aussi la montée.
04:20 Donc match à guichet fermé à Grenoble, c'était le premier match de championnat
04:26 et malheureusement on n'a pas gagné, on a fait le match nul.
04:30 Patrick, à cette époque l'Ice Can c'était costaud, est-ce qu'il y avait une grosse
04:35 différence de niveau ?
04:36 Il n'y avait pas une grosse différence parce que début de championnat je pense même
04:40 qu'on peut gagner au match aller puisque je fais un pénalty et j'allais pour tirer
04:45 mais malgré tout dans mon équipe il y avait Karolik Sapo qui était internationale angloise,
04:50 Denech Neoda, il y avait quand même des pointures et je n'ai pas tiré le pénalty
04:54 et on a fait 0-0.
04:55 Mais sur l'ensemble de la rencontre on méritait de gagner.
04:57 Quel est le meilleur joueur contre qui tu as joué ?
05:01 Michel Platini.
05:03 Et le meilleur joueur canois ?
05:06 Zidane.
05:07 Quel est le meilleur gardien, celui qui t'a posé le plus de soucis devant le but ?
05:15 C'est paradoxal parce qu'il y a eu quand même pas mal de gardiens contre qui j'ai
05:21 joué mais autant Baratelli, j'ai fait le match de ma carrière, j'ai rentré guillemet,
05:28 mais autant Baratelli était internationale et très difficile à franchir.
05:34 Et le gardien canois ?
05:38 Comme je le connais un peu et que je suis un peu ami avec lui, je dirais pour moi Sébastien
05:45 Frey.
05:46 Mais il y a eu d'excellents gardiens notamment David Amitrano, Dussoyer, il y a eu de très
05:50 bons gardiens à l'ISCAM.
05:52 J'ai oublié aussi notre ami qui est entraîneur des gardiens, François Lemasson.
05:59 Quel est le meilleur entraîneur que tu as rencontré dans ta carrière ?
06:03 Sans aucune hésitation José Arribas.
06:05 Et celui de l'ISCAM ?
06:08 Pour moi je pense qu'il y en a eu pas mal, lui ça fait un excellent parcours, mais
06:14 bon moi j'aimais bien Arsène Denguerre, d'où le parcours qu'il a eu après.
06:18 Quel est le meilleur président que tu as connu ?
06:22 Alors c'est vrai que je suis attaché un peu à Lille parce que c'est le club où j'ai
06:27 joué le plus longtemps.
06:28 J'ai été attaché au co-président qui était Monsieur Roger Deschcotte et Monsieur
06:34 Amiaux.
06:35 Et celui de l'ISCAM ?
06:38 Il y a eu Monsieur Richard Comte, je crois qu'il a fait pas mal pour le club.
06:45 C'était la période aussi je crois avec Arsène Denguerre.
06:48 Quel est ton meilleur ami dans le monde du football ?
06:51 Ah mon meilleur ami alors c'est Stéphane Planque.
06:55 Quand je suis arrivé à Lille, j'ai fait la connaissance de ses parents parce qu'ils
07:00 habitaient l'Amberssar et parce qu'il est resté mon ami bien qu'on ait déménagé,
07:06 on est resté toujours en contact.
07:07 Et c'est aussi le superviseur de Zidane, il fait partie de son staff.
07:11 Et ton meilleur ami à l'ISCAM ?
07:16 J'en ai eu mais après qu'ils sont partis parce qu'il reste pas mais je suis ami avec
07:21 Sébastien Fré.
07:22 Quel est le plus beau maillot que tu aies porté ?
07:26 Je suis très attaché à Lille, donc maillot peau douce.
07:30 Oui j'ai joué 6 ans à Lille et je suis très attaché à cette région du nord et
07:39 notamment à cette ville de Lille.
07:42 Et le maillot que tu aurais aimé te porter ?
07:45 Quand j'étais gamin, celui de la JAX, le 14, Johan, mon idole, Johan Cruyff.
07:54 Quel est ton plus beau but en championnat ?
07:59 Alors c'est un match en seconde division avec le SCO d'Angers à Amiens où je me
08:07 rappelle on gagne 2-1, je fais le doublé mais je marque surtout un but fantastique
08:13 parce que c'est un corner et je suis à l'extrémité des 18 mètres et je reprends la balle de
08:20 volée et elle va se figer dans la lucarne.
08:22 Ce but on pourrait le comparer au top but de Guy Minguel qu'il a mis avec l'ISCAM
08:27 contre Bordeaux si je ne me trompe pas.
08:28 Guy est un ami en plus.
08:30 Et contre l'ISCAM ?
08:37 Contre l'ISCAM je n'ai pas eu l'opportunité de marquer parce que quand j'étais en
08:48 première division ils étaient en seconde division et quand j'étais en seconde division
08:51 ils montaient en première division.
08:53 Le souvenir que j'ai c'est ce pénalty que je fais à la dernière minute où je veux
08:58 le tirer mais il y avait M.
09:01 XAPO et il a pris le ballon et malgré tout on a fait 0-0 puisqu'il n'a pas marqué.
09:06 Dans le creux de l'oreillette, on me dit qu'à l'époque si tu aurais gardé le
09:11 ballon du match pour chaque triplé tu aurais une belle collection.
09:15 De mémoire tu peux me dire le nombre ?
09:17 Je crois que je n'en ai pas fait énormément parce que malgré tout c'est des triplés
09:23 on n'en fait pas tous les jours mais j'ai dû en faire 6-7 à peu près.
09:29 Patrick, je modifie ma question, tu ne fais pas le triplé mais bien le doublé contre
09:35 le PSG ?
09:36 Contre le PSG je marque surtout deux buts et je fais surtout deux passes décisives.
09:40 Sur les cinq buts je suis sur les quatre buts.
09:43 Il manquait Batnay, Pilarger et Rocheteau alors ceux-ci expliquent peut-être cela.
09:49 Mais deux minutes plus tard, Ricor dégage son camp, Bureau amorti, transmet à Rennes
09:53 qui lui va tromper Baratelli.
09:55 1-1, on joue depuis 2 minutes 30.
09:59 Les Lillois sont contents.
10:01 Sept minutes plus tard, sur ce coup franc tiré par Suzy, les Parisiens vont égaliser.
10:06 Fernandez manque sa reprise mais Couriol lui vient placer, ne manque pas l'occasion
10:10 d'égaliser, 2-2, ce sera le score à la huit ans.
10:13 Côté Parisiens on respire mais on sent déjà un petit peu de la fatigue.
10:17 Le match contre la Juve a laissé des traces.
10:19 On se retrouve en deuxième période et là aussi les choses ne vont pas traîner.
10:23 51ème minute, Primorac va donner à Rennes, puis à Ricor, Saint-Piter dans la défense,
10:30 il fixe Baratelli et reboule, 3-2 du pied gauche.
10:34 L'Ekaslan gagne, quatre minutes plus tard, Rennes d'un tir à rater va tromper une nouvelle
10:43 fois Dominique Baratelli, vous allez le voir dans quelques instants.
10:47 Et voilà, un joli tir à rater, 4-2, on joue depuis 55 minutes, c'est la débordable
10:52 pour les Parisiens.
10:53 Mais ce n'est pas fini, là ils attaquent dans toutes les directions, on croit qu'ils
10:56 vont égaliser, ils dominent mais regardez, Fernandez manque ce tir, enfin il ne l'a pas
11:02 tout à fait manqué, c'est à dire que c'est Mottet qui a repoussé.
11:04 On assiste à un festival de Suzy mais sur cette contre-attaque, Peyan récupère, il
11:10 passe à Rennes, il fonce sur la gauche, il élimine Daleb, centre, et Bureau surgit
11:18 et re-reboule 5-3.
11:20 La cause est entendue, les Parisiens n'y croient plus tellement mais pourtant ils ne baissent
11:26 pas les bras, vous allez le voir, ils attaquent, il reste quelques petites secondes à jouer.
11:30 Englund qui a très bien joué hier soir, va récupérer le ballon, on joue des toutes
11:38 dernières secondes, sur ce centre, et boum, boum, 5-4, on en restera là, mais 9 buts
11:44 en 90 minutes ce n'est pas mal.
11:46 Mais si je peux ajouter quelque chose.
11:48 Quel est le triplé le plus important à tes yeux ?
11:51 Alors pour moi c'est pareil, je n'ai pas d'hésitation, parce que comme j'étais en
11:55 conflit au Scone Angers et que j'avais signé deux ans, et je me plaisais à Angers, j'avais
11:59 fait une belle saison et j'avais la cote avec le public, et en plus c'était le dernier
12:04 match, c'était contre l'Oresta, contre François Lemasson, et je claque 3 buts, et
12:09 c'était un peu comme une revanche pour moi, parce que j'étais en conflit avec l'entraîneur
12:14 qui n'aimait pas ma personnalité, et c'est vrai que j'avais un gros salaire, parce qu'à
12:19 Angers on a changé deux fois d'entraîneur, deux fois de président, donc ce n'était
12:24 pas évident, et celui-ci je le garde vraiment en mémoire parce que j'étais en conflit
12:30 avec l'entraîneur, et en gros c'était le dernier match, je lui disais "tu vois je vais
12:34 m'en aller, mais je vais laisser une empreinte dans ce club".
12:37 Absolument rien, parce que chaque jour davantage je me dis que j'ai été un privilégié,
12:49 parce qu'issu d'un petit club, j'étais issu d'un milieu modeste aussi, mon papa était
12:54 policier national, mais j'ai vécu dans l'abondance, parce que tout ce qu'un enfant rêve d'avoir
13:01 je l'ai eu, j'ai eu de l'amour et de l'autorité, et surtout j'ai eu le privilège de ma passion
13:09 en faire mon métier, et si aujourd'hui on demande à un gamin, on lui dit "qu'est-ce
13:14 que tu voudrais faire plus tard", et bien ils veulent tous être footballeurs professionnels,
13:17 puisque le football a pris une telle dimension, ça s'est tellement démocratisé, que oui
13:25 c'est le sport le plus populaire, c'est le sport où il y a le plus de licenciés,
13:31 donc non, je referai tout pareil, parce que chaque jour davantage pour moi je pensais
13:37 que c'était Noël, et que j'avais le privilège de ma passion en faire mon métier, et gagner
13:44 très bien ma vie avec ça.
13:46 Nous allons passer aux questions des personnes qui te connaissent très bien, voici une question
13:50 de Raymond, le père de Sébastien Fré, raconte nous ce match sous fausse licence à 17 ans.
13:56 Alors ça, oui ça c'est vraiment anecdotique, parce que mon père, police nationale à
14:05 Champs-sur-Sonne, ils avaient une équipe en corporatif, une équipe de policiers du
14:10 commissariat de Champs-sur-Sonne, et forcément déjà à 15-16 ans, j'avais déjà quand
14:17 même le plus que les autres gamins n'avaient pas, et un jour mon père me fait aller, il
14:21 nous manque un joueur, tu vas venir avec nous, et donc ce jour là j'ai fait un match avec
14:25 l'équipe de police de Champs-sur-Sonne, sous une fausse licence.
14:30 Une anecdote merveilleuse.
14:33 Ah bah oui, avec la police.
14:36 Une question d'Eric de l'Etan, sache que tu le fais énormément rire à chaque fois
14:42 que tu parles ch'ti, et il se demande pourquoi tu n'as jamais fait de stand-up, si tu peux
14:47 lui répondre en vrai Lillois.
14:49 Alors, Mathieu Bilot, d'abord je t'avoue que je t'aimais beaucoup Mathieu Bilot, mais
14:57 quand j'ai arrêté le football, j'avais fait un peu du théâtre, pour rigoler, un
15:03 tisote, mais après j'ai dit il faut faire un métier sérieux, alors j'ai fait d'Alfinas,
15:10 j'ai fait d'Alfinas, j'ai rigolé au chat.
15:14 Dans ton entourage, qui est bon vivant ? Chambreur, celui qui te ressemble le plus.
15:20 Si il y avait un titre à remettre, à qui tu le décernerais ? Tu peux également te
15:25 remettre le titre.
15:27 Alors, pour les gens qui me côtoient, c'est vrai qu'ils savent que je suis un bon vivant
15:33 parce qu'avant tout, comme disait mon père, on n'est que de passage, autant que le passage
15:37 soit bon, mais un petit peu dans mon style Roger Ricor, Roger est chambreur, c'est un
15:44 bon vivant aussi, mais je pense que j'ai la médaille d'or.
15:50 Je confirme.
15:52 Alors cette interview se termine, je suis très honoré que tu aies accepté d'être
15:57 l'ambassadeur du musée de l'ice-skat-football.fr.
15:59 Patrick Ray, le plus canon à l'Élydoire, je voulais te remercier, nous sommes deux
16:04 passionnés, je te laisse le mot de la fin, merci Patrick.
16:08 Écoute Christophe, si je suis là, c'est bien sûr un petit peu grâce à toi et je
16:13 ne me suis jamais forcé dans ma vie, donc notre rencontre, ça a été une belle rencontre,
16:17 vous j'honore de ma présence parce que quand je m'engage je suis quelqu'un d'entier,
16:22 je fais ou je ne fais pas et c'est vraiment avec plaisir que je le fais et j'ai même
16:27 repris l'opportunité d'aller voir un match de la SCAN et en ta compagnie en plus.
16:33 Donc je te remercie et bien sûr je suis un amateur de beaux jeux et surtout de l'histoire
16:40 de la SCAN.
16:41 Patrick, j'ai pris beaucoup de plaisir à faire cette interview avec toi, je me suis
16:46 régalé, du coup il y a d'autres parrains dans le musée, qui on pourrait inviter pour
16:51 réaliser la deuxième, je te laisse la responsabilité de choisir.
16:55 Moi je pense que tu as déjà quand même Sébastien Fré qui a un autre palmarès
17:02 que le mien et je pense que oui, je pense que ça peut être un peu plus élaboré parce
17:07 qu'il a joué dans le championnat italien, il a eu une cape en équipe de France, il
17:13 a un palmarès autre que le mien et surtout il a joué à la SCAN.
17:17 Alors Séb, si tu nous écoutes, l'invitation est lancée, je sais que tu as un calendrier
17:23 très chargé mais si tu as un petit moment à me consacrer, c'est avec plaisir qu'on
17:27 fera cette vidéo numéro 2.
17:29 Je pense qu'il le fera avec plaisir parce qu'avant tout, quand on a joué dans un club
17:34 on garde toujours dans son cœur, quels que soient les clubs où on a évolué, on a toujours
17:39 une petite place pour un club et je pense qu'il a une petite place pour la SCAN.
17:43 Merci Patrick, à bientôt.
17:45 Merci Christophe, à bientôt.
17:47 C'est pas le moment de faire la vidéo, ça c'est pas le moment de faire la vidéo.
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18:04 Oh wow.
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18:46 TV.

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