• il y a 10 mois
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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Transcription
00:00 Tout de suite, au dos du jour, on va parler du vaccin encore.
00:02 Souvenez-vous, hier, on est revenu sur un article qui mentionne des sanctions contre ceux qui critiquent les vaccins.
00:06 Alors, figurez-vous que pendant la nuit, l'Assemblée nationale a retoqué l'article, puis finalement adopté.
00:12 Retoqué, puis adopté.
00:14 Regardez, c'est un petit peu l'histoire de votre vie sexuelle, Jean-Michel Maire.
00:18 Décision qui a provoqué un gros clash entre Olivier Véran et Marine Le Pen.
00:22 Pour réagir, on a Florian Philippot qui va... Vous allez voir, il a glow up, il a fait...
00:26 Il a mis quoi ? Je ne sais pas, à mon avis, il travaille avec le laboratoire Schwarzkopf.
00:30 Regardez d'abord la prise de parole d'Olivier Véran, on écoutera ensuite celle de Marine Le Pen.
00:34 Alors, Marine Le Pen, elle y est allée.
00:40 Regardez bien la fin de l'intervention quand elle prend le micro comme ça, sans déconner.
00:44 En retard.
00:45 Franchement, c'était un commas, là, tu vois.
00:48 Pardon, mais s'il y a bien une personne qui ne devait pas prendre la parole aujourd'hui, c'est M. Véran,
00:53 qui a dit tout et l'inverse de tout pendant la crise de Covid.
00:57 Il a osé parler de M. Raoult.
01:00 Alors, on va parler du professeur Raoult, parce que c'est un sujet fondamental.
01:06 Mais dites-moi, il n'y a pas quelques ministres qui ont été soignés par le professeur Raoult ?
01:12 Il n'y a pas un président de la République qui est allé pour rendre hommage au professeur Raoult ?
01:19 Et maintenant, vous le traînez dans la boue.
01:23 Comme quoi, il faut conserver à tout prix la liberté de critique et la liberté d'expression.
01:31 Merci de votre démonstration.
01:33 [Rires]
01:37 Alors, on en avait parlé de ça, Florian Philippot, ancien député européen.
01:42 Qu'est-ce qu'il se passe alors, là ?
01:44 Président des Patriotes, comme mouvement politique.
01:46 Président des Patriotes.
01:47 Merci. Qu'est-ce qui se passe ?
01:49 Véran, qui est gourou, c'est quand même lui qui nous a dit qu'il fallait signer un petit papier pour avoir le droit de sortir de chez nous,
01:56 qu'il fallait mettre un masque pour aller sur la plage,
01:58 qu'il fallait fermer les stands de slip et chaussettes des hypermarchés parce que sinon on était contaminés,
02:03 qu'il fallait boire son café assis parce que sinon on était contaminés,
02:06 avec son totem, la Pfizer, ARN messager.
02:09 Mais c'est qui le gourou ? C'était qui les gourous ? C'était qui les anti-sciences ?
02:13 C'était eux, c'était lui, c'était Véran.
02:15 C'est qui le guiron ?
02:17 Donc il est passé, l'article ?
02:19 Il est passé. Il est passé.
02:21 Je voudrais quand même dire un petit mot sur Marine Le Pen.
02:24 Parce qu'elle a fait un effet, ce qu'elle a dit était vrai.
02:27 Mais le problème c'est que Marine Le Pen, elle a tout validé pendant la crise sanitaire.
02:30 Tout ?
02:31 Elle a validé les passes, les injections.
02:33 C'est pas copain avec elle, hein ?
02:35 Je l'ai quitté quand elle a dit qu'il fallait rester dans l'Union Européenne. J'ai dit on arrête.
02:38 Ah ouais ?
02:39 Parce que j'ai pas envie de mentir aux gens parce qu'elle promet plein de choses et elle dit en même temps,
02:42 "On s'en fait comme Mélanie. On reste dans l'Union Européenne, on reste dans l'OTAN, dans tout ça."
02:45 Donc j'ai dit on arrête.
02:46 On va pas mentir aux gens, on ne peut rien faire si on reste dans l'Union Européenne.
02:49 Vous avez été démis de vos fonctions en 2017.
02:50 Non, je suis parti.
02:51 Non, non, vous avez été démis de vos fonctions et ensuite vous êtes parti.
02:53 On va pas refaire l'histoire, mais vous vérifierez les articles de presse.
02:56 Pas du tout, j'ai des convictions. Je suis parti. J'ai créé les Patriotes.
02:59 Et...
03:00 T'es le fils de Marine Le Pen, toi, quoi !
03:02 Il y a un autre problème.
03:04 C'est Marmoude Le Pen, lui.
03:05 Vous savez, l'article 4, il est repassé.
03:09 L'article 4 qui est quand même incroyable, parce que même le Conseil d'État a dit que c'était contre la liberté d'expression.
03:14 C'est dire.
03:15 C'est fou.
03:16 Qui avait été rejeté par le Sénat, rejeté une première fois. Ils l'ont fait repasser à la Macroniste.
03:19 C'est-à-dire que quand ça passe pas, les Macronistes, ils font re-voter, re-voter, re-voter jusqu'à ce que ça passe.
03:23 Ils avaient le droit, quand même.
03:24 Ils ont le droit.
03:25 Voilà. Donc c'est pas à la Macroniste, c'est la loi, en fait.
03:27 Oui, et je vais même, je vais vous dire, c'est quand même pas terrible. On est d'accord ? C'est quand même pas terrible.
03:32 C'est la loi.
03:33 Mais il y a une responsabilité.
03:34 C'est pas terrible.
03:35 Là, je vais vous donner raison, il y a une responsabilité de l'opposition.
03:37 Qui n'est pas présente.
03:38 Ils n'étaient pas présents.
03:39 La deuxième fois, il manquait 24 députés LFI, 25 députés RN.
03:43 Et il aurait fallu 23 voix pour que ça passe pas.
03:45 Et puis le socialiste.
03:46 Donc je suis désolé. C'est bien, ensuite, Marine Le Pen faire la leçon.
03:49 Mais il fallait mobiliser ses députés, c'était beaucoup plus efficace.
03:51 Comme ça, ça ne serait pas passé.
03:52 Alors juste, je voudrais parler des contrôleurs SNCF. J'ai un pote, qui est un très bon pote à moi, qui est contrôleur SNCF.
04:00 Il n'est pas content. Il dit Daniel, comment ça nous fait rechercher ?
04:03 Il est très sympa en plus.
04:05 Tu ne le feras jamais autant chier que chez les Français.
04:08 Non, parce que je savais oublier que j'avais un très bon pote, donc je suis d'accord.
04:10 Je m'en fous en plus. Non, je le dis. Bravo Gilles.
04:13 Merci Cyril. Vive la grève des contrôleurs.
04:15 Bravo Laurent, mon pote.
04:16 Bravo Laurent. Bravo, je suis avec toi Laurent.
04:18 Oui, les vieilles réac' là, on les laisse tomber.
04:21 Bravo Laurent.
04:22 Demande au fond.
04:24 Alors, Florian Filipossé.
04:26 Non, Géraldine.
04:28 Dites-moi.
04:29 C'est Géraldine quand même que je veux là-dessus.
04:30 Oui.
04:31 Cet article, est-ce qu'il vous fait peur ?
04:32 Ah non, mais pas du tout.
04:33 À chaque fois que vous arrivez ici, tout en gesticulation, en agitation, c'est catastrophique, c'est très grave, on est en dictature sanitaire, on ne peut rien dire.
04:41 Pour moi, il n'y a aucun problème. On pourra toujours continuer à critiquer les vaccins, à dire ce qu'on en pense.
04:46 Tout va bien en fait. Il y a les lanceurs d'alerte qui sont protégés.
04:49 Le Conseil d'État a rêvé, le Sénat a rêvé.
04:51 Je pense que c'est infiniment politique, je pense que c'est contre Macron d'ailleurs.
04:54 Mais vous l'avez lu l'article 4 ?
04:55 Oui, j'ai lu l'article 4.
04:56 Vraiment ?
04:57 Je l'ai même sous mes yeux, si vous voulez, je peux même le lire.
04:59 Il est uniquement.
05:00 Et moi aussi je l'ai lu.
05:01 Je pense qu'il n'y a aucun problème.
05:02 Allez-y, lisez-le.
05:03 Alors attendez, j'arrive.
05:04 Je l'ai moi sinon.
05:05 Le Conseil d'État qui a tout laissé passer, qui a considéré que rien n'était un liberticide, là disent que c'est un liberticide.
05:10 Je peux vous assurer que ça l'est.
05:11 Moi je pense qu'il n'y a aucun problème.
05:12 Je prends un exemple très simple, très concret.
05:14 Moi à un moment, début 2021, j'ai vu des pays comme le Danemark et tout interdire AstraZeneca, le vaccin.
05:19 Bien sûr.
05:20 Et je disais, moi je ne vous conseille pas de le faire.
05:22 Il y a des pays.
05:23 À ce moment-là, Véran disait, il faut le faire, il faut le faire.
05:25 On a les articles de presse, 22 avril 2021, France Info, il dit, il est formidable, il faut le faire.
05:30 Il est très efficace.
05:31 Finalement, la France a fini par l'enlever pour les plus jeunes et ensuite l'enlever totalement et l'interdire en 2023.
05:37 Donc moi, je serais tombé sous le coup de la nouvelle loi en 2021 parce que j'aurais dit aux gens de ne pas suivre un traitement
05:42 qui était recommandé en l'état des connaissances médicales selon l'article 4.
05:46 J'aurais fait un an de taule et 15 000 euros d'amende.
05:49 Quant à Mme Frachon qui a dénoncé le médiator, elle aurait fini en taule.
05:52 Elle a mis 15 ans.
05:53 Elle aurait fini en taule.
05:55 Et on aurait encore le médiator aujourd'hui.
05:57 Moi, je repense à cette femme qui est venue nous voir en début de semaine, Marie-Charlotte, dont la vie a été détruite par le vaccin.
06:02 Elle a écrit un livre là-dessus, donc de fait, qui a critiqué le vaccin quelque part.
06:05 C'est elle qu'on veut censurer à travers sa tartine.
06:08 Bien sûr que si.
06:09 Il y a une autre question qu'on devrait se poser.
06:10 Quel est l'intérêt des gens qui critiquent le vaccin ?
06:13 Est-ce qu'ils auraient un intérêt à le faire ?
06:14 À part peut-être relater d'une réalité, parce que c'est la vie qu'elle vit, ils n'ont aucun intérêt à le faire.
06:18 Quel est l'intérêt de ceux qui défendent le vaccin, de ceux qui ne veulent pas qu'on critique le vaccin ?
06:22 Des milliards d'euros.
06:23 Voilà, du pognon, du pognon de la corruption.
06:27 Véran est corrompu ? Il s'est enrichi ?
06:31 On pourrait faire une petite enquête.
06:33 En tout cas, il serait bien.
06:34 Mais dites-le ce soir à...
06:35 Mais j'en sais rien.
06:36 Vous croyez qu'ils ne sont pas corrompus ?
06:37 J'en sais rien, je n'ai pas de preuves, je ne vais pas faire de diffamation.
06:40 En disant qu'on va faire une petite enquête, il y a un truc à foutre.
06:42 J'en sais rien.
06:43 Vous savez, il y a un contrôle qui s'appelle le Parlement.
06:45 Il a une mission constitutionnelle de contrôle.
06:47 Ce serait bien qu'il lance une grande commission d'enquête parlementaire, pas que sur Véran, sur comment ça s'est passé.
06:51 Pourquoi Madame von der Leyen, à la tête de la commission, elle a géré par des SMS un contrat de 35 milliards et qu'elle ne veut pas les donner ces SMS ?
06:58 Moi, j'ai porté plainte au pénal contre elle et j'attends de voir un petit peu ce qui va se passer.
07:02 Comment ça se fait que le gouvernement a raconté des bêtises en permanence, a menti ?
07:07 C'est pas cette histoire de SMS que nous, on est pas au courant de ça.
07:09 Eh bien, la commission européenne, la presse, sa présidente, Ursula von der Leyen, la sémillante Ursula,
07:13 nous a négocié un contrat de 35 milliards d'euros avec Pfizer et tout, par SMS.
07:19 Ce qui est contraire à toutes les règles, puisque c'est 35 milliards.
07:21 C'est le plus gros contrat qu'une boîte privée de l'Union Européenne, celui qui a fini chez nous en injection.
07:26 Et elle ne veut pas donner ces SMS.
07:28 C'est New York Times qui a sorti l'affaire, pas la presse française, c'est New York Times.
07:32 Et puis ils ont porté plainte.
07:33 Et puis moi, j'ai porté plainte.
07:34 Nous, on est le seul parti politique français à avoir porté plainte.
07:37 Je ne sais pas ce qu'attendent les autres.
07:38 Et voilà.
07:40 Et Véran, j'en sais rien, mais il a raconté plein de mensonges, Monsieur Véran.
07:43 – Comme tout le monde, comme le professeur Raoult aussi.
07:45 – Non.
07:46 – On va en parler dans un instant.
07:49 – Monsieur Raoult, il a soigné des gens, c'est toute l'agence.
07:51 – Et dans un instant, Jacques, retraité, quitte son petit village de Londres
07:54 à cause de l'installation d'un camp de migrants sous ses fenêtres.
07:57 Il va s'exprimer dans TPMP.
07:59 À tout de suite.
08:01 [Applaudissements]
08:16 – Merci d'être avec nous, les Lotto 45. On est en direct.
08:19 [Musique]
08:34 Merci d'être avec nous.
08:36 On se calme un peu, là.
08:38 Quelle narcasse, au moins.
08:41 Merci d'être là. Merci, merci, merci.
08:44 Ça va, Florian Philippot ?
08:45 – Super.
08:46 [Rires]
08:47 – Très en forme.
08:49 – Philippot !
08:51 [Rires]
08:53 Merci d'être là.
08:54 Alors, on parlait de cet article…
08:57 C'est quoi, c'est l'article 4 ?
08:59 – 4.
09:00 – Fort, tout fort. Est-ce que vous voulez le lire ?
09:02 – Il est un peu long, hein.
09:03 Mais je vais lire le passage principal, si vous voulez.
09:05 – Le passage principal.
09:06 – Je l'ai là, sous les yeux, vous n'en pétez pas.
09:08 [Rires]
09:11 Alors, "Épunis d'un an d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende,
09:16 la provocation, au moyen de pression ou de manœuvre réitérée
09:19 de toute personne atteinte d'une pathologie abandonnée
09:21 ou à s'abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique
09:24 lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique
09:27 pour la santé de la personne visée,
09:28 alors qu'il est en l'état des connaissances médicales
09:30 manifestement susceptibles d'entraîner pour elle,
09:32 compte tenu de la pathologie dont elle est atteinte,
09:34 des conséquences particulièrement graves pour sa santé physique ou psychique."
09:37 Ce qui est embêtant dans cette loi, c'est que ça mélange des vrais sujets.
09:42 Tout le monde est contre les dérives sectaires.
09:44 Et il y a effectivement des gens qui mettent en danger des gens.
09:47 Et ça, il faut le combattre.
09:50 Mais mélanger ça, un espèce de combat contre la liberté d'expression
09:54 par un espèce d'amendement de Pfizer anti-Raoult, c'est hyper vicieux.
09:58 Voilà, je le dis.
09:59 Et c'est d'autant plus…
10:00 Alors, moi, celle qui m'a vraiment agacé, c'est Sabrina Agresti Roubache.
10:03 – Ah oui, alors justement.
10:04 – La secrétaire d'État.
10:05 – Exactement.
10:06 – Qui a porté le texte…
10:07 – Elle a publié un tweet aujourd'hui,
10:08 parce que vous revenez sur une interview de la secrétaire d'État,
10:10 elle dit "je soutiens les méthodes du professeur Raoult".
10:12 – En 2020.
10:13 – Elle s'est faite soigner.
10:14 – Et aujourd'hui, elle porte…
10:15 – Non mais elle dit…
10:16 Ecoutez, elle dit, en 2020, elle s'est faite soigner à l'IHU de Marseille
10:19 par le professeur Raoult du Covid.
10:21 Elle dit "c'est très efficace", elle fait des télés à l'époque.
10:23 Et elle dit, c'est une grande amie de Brigitte, paraît-il,
10:26 "je racontais à Brigitte que ça avait été formidable,
10:28 on a été formidablement pris en charge par les services de Didier Raoult à l'IHU,
10:32 j'ai été guéri, etc."
10:33 Et là, aujourd'hui, elle laisse son collègue, ex-collègue Véran,
10:38 traiter Raoult de "gourou".
10:40 – Je ne suis pas Olivier Véran, je suis un collègue.
10:41 – Non, il n'est pas sympa.
10:42 – Vous le connaissez un peu ou pas ?
10:43 – Ah ouais, non mais…
10:44 – Sympa.
10:45 – Moi, je ne le trouve pas très sympa, non.
10:46 – Ah, c'est vrai ?
10:47 – Ouais.
10:48 Je lui ai demandé des débats plusieurs fois.
10:49 J'aimerais bien qu'il soit tête de liste Renaissance aux Européennes,
10:52 ça nous permettrait d'avoir un débat.
10:53 – Vous voulez qu'on essaie de faire un débat avec Olivier Véran ?
10:56 Vous voulez qu'on essaie de faire un débat avec lui ?
10:57 – Mais vous verrez, ça lui a déjà été demandé, il avait dit non à l'époque.
11:00 – Vous demandez, on va voir.
11:01 – Mais oui, essayez, vraiment.
11:02 Moi, j'en rêve.
11:03 On a plein de choses à lui dire.
11:04 – D'ici, vous êtes le…
11:05 – Mais on l'aura parce qu'il sera tête de liste aux Européennes comme moi.
11:06 Donc on aura plein de choses à se dire.
11:07 – Tête de liste, là.
11:08 – Je l'espère en tout cas.
11:09 Mais franchement, elle est gonflée.
11:10 Et ça, ça m'agace, c'est un peu comme tous ceux qui crachent sur le professeur Raoult
11:11 alors qu'ils se sont fait aller soigner chez lui discrètement,
11:12 ou qu'ils ont été emmenés, maman ou un copain, etc.
11:13 Se faire soigner.
11:14 Franchement, ce n'est pas correct.
11:15 – Alors, Gilles, où ?
11:16 – Moi, je rejoins M. Philippot sur la condamnation a posteriori du professeur Raoult
11:33 qui est devenu un pestiféré après avoir été un héros.
11:36 – Emmanuel Macron, c'est pas des bêtises.
11:37 – C'est un manque de mesure.
11:38 On ne peut pas faire de quelqu'un le héros qui va nous sauver.
11:40 Et après, plus personne ne veut le fréquenter, etc.
11:43 Ça ne va pas.
11:44 Et là, je vous rejoins, je ne vous rejoins pas souvent,
11:46 mais là, pour une fois, vous avez raison.
11:48 Voilà, bravo, parce que c'est rare.
11:49 – J'ai raison et pour une fois, vous êtes d'accord.
11:52 – Emmanuel Macron lui-même s'était déplacé en grande pompe
11:55 pour aller voir le professeur Raoult.
11:57 – Écoutez, c'est quand même le numéro un mondial dans son domaine.
12:01 – Il s'est trompé aussi, le professeur Raoult.
12:03 Peut-être qu'on a cru qu'il avait raison.
12:04 – Mais ce qui est malsain dans cet article,
12:07 c'est qu'en fait, il faut laisser parler les gens et on est dans une pensée unique.
12:10 – Il n'a pas semblé qu'il ait fait des erreurs, le professeur Raoult.
12:12 – Mais il est allé en grande pompe, Emmanuel Macron.
12:15 – En Mickey.
12:16 – En revanche, j'étais très heureux pour Marie-Charlotte
12:20 et toutes les victimes qu'elle représente.
12:21 Je pense à Marc Doyer, à Romain, aussi son fils,
12:23 pour leur maman et épouse, Morissette, qui est décédée de Creussel-Jacob
12:28 suite à une injection.
12:29 Je pensais à eux très fort, je les connais très bien.
12:31 J'étais content que vous le donniez à la parole à une heure de grande écoute
12:33 sur une si grande émission.
12:34 – Vous avez vu, ça, ça…
12:35 – Avec tant de respect et d'écoute.
12:37 – Elle est super, je l'adore.
12:39 – Oui, moi, je l'avais déjà vue en manif.
12:41 – J'ai vu sa maman aussi, qui est un amour, comme femme,
12:43 qui était là et qui la soutient à fond dans son combat
12:46 et dans ce qu'elle vit, parce qu'aujourd'hui,
12:47 on peut dire que ce n'est pas facile pour Marie-Charlotte.
12:49 – C'est horrible.
12:50 – Et sa maman, heureusement qu'elle est là aussi.
12:51 – Elle a une dignité extraordinaire.
12:52 – Exactement.
12:53 Je vous dis, parce que franchement, ce qui est arrivé à Marie-Charlotte,
12:55 moi, je vois le comportement de Marie-Charlotte quand elle est venue ici.
12:58 C'est incroyable, parce qu'on ne va pas se mentir,
13:00 il nous arrive la même chose.
13:01 Franchement, on n'a pas le même comportement que Marie-Charlotte.
13:03 Elle est incroyable, Marie-Charlotte.
13:04 Et quand elle nous a dit qu'il lui restait peut-être 5 ans à vivre,
13:06 je peux vous dire, tout le monde a retenu ça.
13:08 Et on ne peut pas la laisser comme ça, à l'abandon, Marie-Charlotte.
13:11 Je suis désolé.
13:12 – Et il y a beaucoup de victimes.
13:14 Beaucoup, beaucoup, beaucoup.
13:15 Il faut faire les manifs de victimes, il faut aller voir.
13:17 Il y a des collectifs comme Verity France qui travaillent là-dessus,
13:20 il y a beaucoup de gens.
13:21 Et ils sont maltraités par les autorités.
13:22 – Quand on vous dit qu'il y a beaucoup de victimes.
13:23 – Et les médias.
13:24 – Vous dites quoi ?
13:25 – Parce qu'elle a, la dernière fois, le témoignage de Marie-Charlotte…
13:28 – Elle a parlé avec sa maman d'ailleurs, avec Valérie.
13:30 – C'est vrai qu'elle a parlé, je le dis, Géraldine, elle a longuement parlé.
13:33 Parce que Valérie, c'est normal, à la limite,
13:35 parce qu'elle parle avec tout le monde, elle a très peu d'amis.
13:37 Mais vous, Géraldine, je voudrais dire,
13:40 Géraldine a longuement parlé avec Marie-Charlotte.
13:41 – Oui, j'ai écouté évidemment ce parcours du combattant, son désarroi.
13:46 – Et ça ne vous a pas fait réfléchir un peu quand même ?
13:48 – En fait, moi, j'ai toujours considéré qu'à partir du moment
13:51 où 100% des gens étaient vaccinés,
13:52 il y aurait évidemment des effets secondaires comme dans tous les vaccins.
13:54 Quand on est vacciné contre la grippe, quand on prend du Doliprane,
13:57 tous les traitements, ils risquent d'avoir des effets secondaires.
13:59 – Ça n'a rien à voir.
14:00 – Non mais vous dites que ça n'a rien à voir, mais ce n'est pas pareil.
14:02 – Non, c'est pas pareil.
14:03 – Regardez ce qu'elle a, c'est pas…
14:04 – Non, c'est pas pareil, je suis désolée, c'est pas pareil.
14:05 – Et puis, les Creussel-Jacob, les cancers, les AVC…
14:07 – Non mais déjà, ça n'a pas encore été prouvé.
14:10 Et invitons aussi des gens qui ont eu des Covid longs,
14:12 qui sont très très jeunes aussi, comme Marie-Charlotte.
14:14 – On en a déjà, on a eu Moondir notamment.
14:15 – Qui ont eu des vies qui ont été des enfers absolus
14:17 et qui ont encore des séquelles à vie aussi, à cause de ça.
14:19 – Oui, mais je trouve que… – Mais je suis d'accord.
14:21 – Je l'adore Moondir, mais Moondir qui sera avec nous la semaine prochaine.
14:24 Je trouve que je suis plus inquiet pour le cas de Marie-Charlotte
14:27 que pour le cas de Moondir, excusez-moi.
14:29 – Oui, Moondir, il est revenu, enfin il n'y a pas de séquelles.
14:31 – Oui, oui, Marie-Charlotte, vous avez vu l'état dans lequel elle est.
14:33 – Ah ben oui, non mais c'est dramatique.
14:35 – C'est dramatique et moi, ça m'a vraiment mis à un coup…
14:38 – Mais contrairement à Monsieur Philippot, je pense que nous, on ne nous cache rien.
14:41 C'est-à-dire qu'en fait, tout va nous être dit en fait.
14:44 – Alors c'est marrant que vous croyez encore ça.
14:46 – Mais oui.
14:47 – Non mais vous avez vu l'état de la liberté d'expression dans notre pays ?
14:50 – Mais regardez, vous êtes là ce soir sur…
14:51 – Non mais écoutez, vous n'aviez pas un débat hier sur une décision du Conseil d'État contre…
14:55 – Nous, on est de village gaulois, je vous le rappelle.
14:57 – Attendez, attendez, d'abord, ici on en parle, je vous assure qu'il y a beaucoup de chaînes,
15:02 on ne peut pas en parler.
15:03 Je voudrais quand même signaler que ce soir, le gouvernement a viré plein de chaînes Telegram
15:07 qui n'étaient pas assez pro-Zelensky, dégagé.
15:09 – À France.
15:11 – Mettez un VPN, vous dites que vous êtes en Suisse, ça passera, c'est incroyable.
15:14 Hier, Conseil d'État qui s'attaque à CNews en disant "il faut maintenant ficher le… "
15:19 – Rien à voir, le Conseil d'État, les reporters sont frontières, c'est pas…
15:22 – On s'en rend compte, on va se dire qu'il a saisi le Conseil d'État
15:24 et qu'il a décidé quelque chose via l'Art.com, bref.
15:26 – Les reporters sont frontières, c'est de la vidéologie, c'est pas de la politique.
15:29 – Le gouvernement, il n'est pas du tout…
15:30 – Ce n'est pas le gouvernement, vous avez raison, mais c'est quand même le Conseil d'État via RSF
15:34 qui ne joue plus son rôle.
15:35 – Le RSF aujourd'hui, ça devient un instrument de censure.
15:37 Et on vous dit "il faut ficher les opinions politiques des journalistes, des animateurs",
15:40 mais c'est délirant.
15:41 – Je suis d'accord.
15:42 – Et donc ne me dites pas qu'on est dans un pays de liberté, on ne l'est plus, du tout.
15:45 – On est vraiment dans un pays où on n'est pas en liberté.
15:47 – Non, on n'est pas dans un pays de liberté.
15:49 – On va vers une pensée unique.
15:50 – Ce débat sur les effets secondaires, nous ne l'avons pas.
15:53 – Madame.
15:54 – Il y a deux exemples là, cet article 4, il y a deux jours, je suis désolée,
15:59 on va vers une pensée unique.
16:01 – Il est une optimiste.
16:02 – On ne peut plus poser, si on pose une question, si on émet un doute, on est complotiste.
16:05 Maintenant ça y est, c'est le nouveau truc.
16:07 Je suis désolée, moi je trouve simple de poser des questions et d'émettre des doutes.
16:11 – Et vous avez l'Europe qui a fait le règlement européen DSA là,
16:14 qui veut censurer les réseaux sociaux.
16:16 Un truc unique au monde, alors ils s'en prennent sans arrêt à Elon Musk sur Twitter,
16:20 alors qu'il a rétabli la liberté, je suis désolé, heureusement qu'il est là Elon Musk.
16:23 Il a rétabli, ils veulent couper, ils veulent fermer, mais c'est incroyable.
16:26 – Il a rétabli l'antiracisme, le racisme, le rajeunement, il a aussi rétabli tout ça.
16:31 – Non, moi au départ j'étais plutôt pour l'article,
16:34 parce que je voyais que le côté commercial empêchait les gens de faire de l'argent
16:39 sur le malheur des autres, en leur proposant des recettes miracle
16:42 qui étaient des poudres de perlimpinpin.
16:45 Et puis plus j'écoute les intervenants qui sont contre,
16:47 plus je commence à être convaincu que c'est vrai que c'est encore un coup de canif
16:51 dans la liberté d'expression en France.
16:53 – Mais si monsieur… – Je ne parle pas de… 2 minutes.
16:58 On va vers une pensée unique et je vous dis, il y a des éléments,
17:00 tous les jours et toutes les semaines, qui nous prouvent qu'on est là-dedans,
17:04 on ne va pas se raconter l'histoire.
17:06 Vous le voyez bien, vous voyez bien ce qui se passe sur les autres chaînes.
17:10 Il faut quand même ouvrir un petit peu les yeux à un moment, oui.
17:12 – Et avant le Covid, les charlatans n'ont jamais dérangé personne, en tout cas en haut lieu.
17:16 Moi ce que je n'aime pas c'est l'hypocrise dans cet article, ce n'est pas vrai.
17:19 – Il a fait l'objet nec, il s'est toujours battu contre les sectes.
17:21 – Il sera d'ailleurs en avril qu'il mange avec les deux gars de Chirag.
17:24 – Ce que je n'aime pas dans cet article, c'est l'hypocrisie de…
17:26 ils ne citent pas le vaccin en fait, ils disent, voilà, c'est compliqué
17:30 de dénigrer tel ou tel traitement, mais ce n'est pas vrai,
17:32 si on dénigre un autre traitement, tout le monde s'en fout,
17:34 dès que ça touche le vaccin du Covid, et même le timing,
17:36 on voit bien que c'est après l'épidémie que ce truc là sort,
17:38 donc évidemment que c'est uniquement contre les critiques du vaccin qu'on peut…
17:42 – Je veux avoir l'avis d'être…
17:43 – Mais vous savez qu'il y a un recul de la vaccination aussi chez les enfants,
17:45 beaucoup, beaucoup, beaucoup, donc il n'y a pas que le Covid,
17:47 la rubeole, la rougeole, il y a des maladies qui reviennent,
17:50 les maladies infantiles.
17:51 – Quelqu'un qui critique le vaccin contre la rubeole,
17:53 il n'aura jamais de problème pour aller changer.
17:55 – Jérôme, on a vu un mec qui disait, "ouais, le vaccin contre la rubeole".
17:57 – Aujourd'hui, les pédiatres se voient les pierres parfois pour vacciner les enfants.
18:00 – Mais attendez, vous savez qu'ils ont fait, avec leur bêtise et leur mensonge,
18:04 ils ont fait s'effondrer la confiance en général dans la médecine,
18:07 c'est ça qui peut avoir des effets dramatiques à côté,
18:09 c'est qu'ils ont fait s'effondrer la confiance dans la médecine,
18:11 mais c'est à cause d'eux.
18:12 En racontant tellement de mensonges, en manipulant les gens
18:15 et en ne reconnaissant pas la vérité maintenant sur les blessés,
18:18 comme Marie-Charlotte, ils ont cette responsabilité.
18:20 – Alors si vous êtes honnête intellectuellement,
18:22 le statut de lanceur d'alerte a été créé et protégé quand en fait ?
18:25 – Je t'ai dit.
18:26 – Précemment, en 2022, par le gouvernement.
18:28 Et bien ça veut dire que les lanceurs d'alerte pourront continuer,
18:30 ils sont protégés de la loi, c'est-à-dire que l'article 4 les exclut de la loi.
18:34 – Mais non, non, d'abord non, c'est pas vrai.
18:36 – Daniel a été lanceur d'alerte.
18:38 – Les lanceurs d'alerte, je connais très bien,
18:40 j'ai été le premier homme politique à demander à ce que la France
18:42 accorde l'asile politique à Julian Assange.
18:44 Et d'ailleurs on va faire une manif pour lui,
18:45 parce qu'il y a beaucoup d'actualité devant l'ambassade d'Australie samedi 24.
18:48 Mais je connais très bien ce sujet, il y a beaucoup de médecins en lanceur d'alerte.
18:51 J'aurais quand même dire que sur l'article 4,
18:53 c'est moi qui ai été lanceur d'alerte avec quelques autres.
18:55 Parce que j'ai fait tout début décembre une première vidéo
18:57 pour expliquer cet article 4, quand personne n'en parlait,
18:59 n'avait pas encore voté, n'avait pas voté contre.
19:01 Heureusement qu'on a informé, moi j'ai YouTube pour le faire, quelques réseaux.
19:04 Mais franchement, vous avez raison, les médias en dehors de ça,
19:06 ne veulent pas donner la parole à ce qu'ils pensent au moment dans notre pays.
19:09 – On le voit bien.
19:10 – Que ce soit sur ça, sur l'Europe, sur plein de sujets,
19:12 ou sur l'Ukraine, on n'a plus le droit de parler.
19:14 – Vous êtes invité ici.
19:15 – Et ben oui, et je pense qu'il faut absolument remercier,
19:18 et il faut rétablir absolument la liberté d'expression dans notre pays.
19:21 – C'est ça, on fait la télé-soir et la screen à côté.
19:23 [Musique]

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