️Paris Saint-Germain - Stade de Reims : la conf de presse après match de Luis Enrique
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00:00 Je n'ai pas aimé le cadeau, évidemment.
00:05 Nous ne sommes pas ici pour donner des cadeaux.
00:07 Je n'aime pas donner de cadeaux, jamais.
00:10 Et le premier but est un grand cadeau.
00:12 Mais à partir de là, je crois que tout est positif.
00:16 J'ai vu l'équipe qui a tourné vers le marqueur,
00:19 qui a pressé bien, qui a été agressif.
00:22 Au reste, j'ai aimé mon équipe.
00:25 Et aujourd'hui, pour moi, c'était un peu symbolique.
00:28 Parce que mettre à 12 points le second aurait été important.
00:33 Parce que notre objectif est de gagner la Ligue, le plus tôt possible.
00:36 Et notre objectif est de lutter dans toutes les compétitions.
00:41 (...)
01:01 C'est vrai, aujourd'hui, j'étais spécialement irascible.
01:05 Mais c'est parce que je veux transmettre à mes joueurs
01:10 que pour être joueur de PSG, il faut jouer tous les matchs à full.
01:14 Il n'y a pas d'avantage en Ligue, ni en Coupe, ni en rien.
01:19 À full.
01:20 Parce que je ne vois pas les officiaux se reposer.
01:22 Ils chantent les 90 minutes.
01:24 "Voyons si on gagne ou perd."
01:26 À full.
01:27 C'est la mentalité que je veux transmettre à mes joueurs.
01:30 Aujourd'hui, tous ceux qui ont participé au terrain
01:32 et tous ceux qui ont sorti ont sorti avec la mentalité adéquate.
01:35 Mais il faut continuer à améliorer.
01:39 (...)
01:43 Bonjour, coach. Javier Mozerante, de Radio France.
01:46 PSG reste en 22 matchs.
01:50 Est-ce important pour vous qu'il y ait 23 ou 24?
01:55 Ou n'est-ce pas important pour vous?
01:57 22? Qu'est-ce que ça veut dire?
01:59 C'est-à-dire que vous avez un objectif de gagner, sans perdre.
02:04 C'est très bien.
02:07 Mais l'objectif, c'est de gagner.
02:10 Je n'en veux pas.
02:11 Si on en empate 21 de 22, c'est un désastre.
02:14 Vous pouvez être victime en empatant les 22.
02:17 Je ne me fixe pas sur ça.
02:19 Je me fixe sur que mon équipe soit compétitive chaque match.
02:22 Et comme nous avons mis un haut standard et un haut objectif,
02:25 je veux que l'équipe soit toujours dans le match.
02:27 Pour tout le monde.
02:28 C'est pourquoi j'ai des chances,
02:30 ou j'essaie de donner à tous ceux qui se la méritent.
02:33 C'est mon objectif.
02:34 Très simple, très basique.
02:38 Mais j'ai préféré empater que perdre, évidemment.
02:44 Bonsoir, coach.
02:45 Alexandre Aflalo, pour le Parisien, comme vous l'avez dit,
02:47 vous essayez de donner de la place et du temps de jeu à tous les joueurs qui le méritent.
02:51 Depuis un mois, on a l'impression que vous faites un turnover un peu plus important,
02:54 que vous n'hésitez pas à changer votre oncle de départ à tous les matchs.
02:58 Peut-être une question, est-ce que déjà ça vous donne satisfaction pour l'instant ?
03:01 Est-ce que vous trouvez des choses dans votre équipe depuis un mois, un mois et demi qui vous satisfont ?
03:07 Et s'il y a des choses encore à améliorer, à changer, quelles sont-elles ?
03:11 Merci beaucoup.
03:12 Non, que changer et m'améliorer, il y a mille choses à améliorer.
03:15 Je suis conscient de ça et mon mentalité est celle d'améliorer.
03:20 Il faut toujours améliorer.
03:21 Moi, que ça me donne satisfaction ou non, ça m'importe.
03:24 Ce que j'aime, c'est voir mon équipe compéter.
03:26 Et si j'ai à quel point j'ai à choisir 11 joueurs qui jouent toute la saison, je les choisirai.
03:30 Mais ma formule est différente.
03:32 Je pense que pour 20 et plus joueurs tous enchaînés, c'est mieux que 11 ou 12 enchaînés.
03:38 C'est ma mentalité.
03:40 Mais si je ne vois pas que je suis suivi ou que je ne vois pas que les joueurs n'ont pas encore pris leur opportunité, ils ne joueront pas.
03:47 C'est très simple.
03:49 Et je répète, aujourd'hui, je suis content de mon attitude.
03:52 Très content, à l'exception du cadeau et de tout le reste.
03:55 Je pense que l'équipe s'est ré-enlevée après le but encaissé et a pu faire de bonnes actions et avoir deux buts.
04:05 C'est un peu dommage qu'au final, nous n'ayons pas pu le remettre comme une victoire.
04:10 Bonjour, je suis ici.
04:13 Edith Giscard de Sabado de Sport.
04:16 Je suis désolé si je m'éloigne de quelque chose.
04:19 Mais ce que je veux savoir, c'est que que pensez-vous de cette manque d'intensité des titulaires de ce match ?
04:28 Je crois que nous n'avons pas manqué d'intensité.
04:34 Ce genre de match, après la Champions League, historiquement, je le sais parfaitement,
04:41 parce que je l'ai vécu dans d'autres clubs, ou même dans la sélection,
04:44 quand tu joues un match mondial et que tu joues un match amicieux,
04:48 ou un match de classification, ça n'a rien à voir.
04:51 Mais pour moi, c'est une excuse facile et chère.
04:55 Si tu veux être joueur de Paris Saint-Germain, tu dois être préparé pour compéter chaque match.
05:01 Et c'est ce que je crois que l'équipe a fait aujourd'hui.
05:04 Pas dans toutes les actions, mais dans la majorité.
05:08 Bonjour, Monsieur le coach. Je suis Richard Nagy, je suis journaliste pour Mediasport Info.
05:18 Est-ce que vous ne pensez pas que vous êtes en train de déstabiliser votre équipe
05:22 avec ces multiples changements, avec ces incertitudes sur la titularisation ou la non-titularisation de Mbappé ?
05:29 Est-ce que vous ne pensez pas que vous êtes en train de déstabiliser votre équipe ?
05:32 Mes décisions ont toujours été les mêmes à l'échelle de la saison.
05:42 En fait, hier, je me disais à Paris TV que je suis le coach qui change le plus de joueurs de la Ligue, chaque match.
05:54 Mais ça ne va pas changer. Je vais continuer. Et quand je vois que les joueurs m'accompagnent, je vais continuer à utiliser cette stratégie.
06:02 La vérité, c'est qu'elle m'a été, je dirais, de sobresalente.
06:05 Bonjour, coach. Charlie Courant pour la chaîne L'Equipe.
06:11 Kylian Mbappé n'a pas encore joué en quart titulaire aujourd'hui.
06:13 Est-ce qu'on doit s'attendre à ne plus jamais le voir jouer 90 minutes en Ligue 1 et seulement en Ligue de Champions ?
06:18 Je ne sais pas.
06:19 Il ne sait pas et il ne répond pas.
06:26 Comment se dit-on en français ?
06:29 Je ne sais pas.
06:31 Je ne sais pas.
06:32 Quoi dire ?
06:33 Voilà.
06:34 Dernière question.
06:38 Merci. Bonsoir, Lucien Noyquet.
06:40 Justement, Kylian disait qu'il n'y avait pas de problème avec le coach, donc pas de problème avec vous sur le fait de rester sur le banc.
06:46 Pour un compétiteur comme ça, on imagine malgré tout que c'est difficile de rester sur le banc.
06:50 Comment vous jugez et comment vous gérez surtout son mental dans ces moments-là ? Merci.
06:55 Sans aucun doute.
06:57 Je pense que tous les joueurs qui sont sortis de la salle de banque ont été particulièrement actifs.
07:02 C'est quelque chose que nous demandons toujours.
07:04 Tu entres dans le camp, tu vois les problèmes que nous avons, tu as la capacité de les résoudre.
07:10 Je crois que je n'ai pas beaucoup à dire sur ce sujet.
07:14 Quand les parties se prononceront, je me prononcerai.
07:16 Mientras que les parties ne se prononceront pas, je continuerai à faire mon profession et mon profession.
07:22 Et mon profession, c'est de prendre des décisions.
07:25 Mais dans le cas de Kylian, je n'ai pas de doute.
07:28 Je peux juste souhaiter le meilleur pour lui.
07:30 Parce que je l'ai toujours dit, que comme joueur, c'est un numéro un et comme personne, c'est le meilleur.
07:34 Mais bon, ça ne s'intéresse pas. Il serait mieux s'il y avait des problèmes.
07:37 Merci.
07:40 Oui, merci.
07:42 Merci.
07:43 Merci.
07:44 Merci.
07:45 Merci.
07:46 Merci.
07:47 Merci.
07:48 Merci.
07:50 Merci.
07:51 Merci.
07:52 Merci.
07:53 Merci.
07:55 Merci.
07:56 Merci.
07:57 Merci.
07:59 Merci.
08:01 Merci.
08:03 Merci.
08:05 Merci.
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