Devoir de Mémoire : Coup de force japonais du 9 Mars 1945 en Indochine. Paris/France - 11 Mars 2024

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02:36 Deux anecdotes proposées du 9 mars.
02:40 Je suis née Sabine de Colmes, donc je suis la nièce du colonel de Colmes et donc de Geneviève de Galare.
02:48 Le 9 mars, il y avait à Tons une prépa sincère en fait. Et donc mon oncle, Jean de Haulme, était là. Il avait 22 ans.
03:02 Le 9 mars, et à cause des rumeurs qui couraient comme quoi les japonais préparaient quelque chose, la garnison a été en fait évacuée vers la Chine, comme le disait tout à l'heure le professeur.
03:17 Il restait quatre ans, donc mon oncle est parrain, Jean de Haulme. Donc il a subi l'attaque des japonais, il a été blessé, notamment avec un coup de sabre au crâne qui saignait beaucoup, donc on l'a laissé pour mort.
03:31 Mais heureusement ce n'était pas le cas et il a pu rendre en fait des services infirmiers notamment, en se mettant un brassard et en jouant des coudes, pour que les japonais le laissent aller soigner d'autres qui étaient à son taille tout ou près.
03:46 La deuxième anecdote, c'est mon père, son jeune frère, qui avait 15 ans à l'époque, qui était à son taille chez des amis, où il était pensionnaire.
03:57 Et donc, cette nuit-là, ils ont dû fuir la maison où ils étaient. Ils étaient trois familles dans une maison. Ils sont passés sur les lisières, en colonne, de nuit, pour s'enfuir, avec simplement ce qu'ils avaient sur le corps et à peine de quoi manger.
04:14 Ils se sont réfugiés d'abord chez des sœurs, qui les ont accueillies avec le peu qu'elles avaient, puis ils sont repartis et ils ont dormi comme ça, en cachette, dans la nuit.
04:26 Mais la plupart sont restés vivants finalement. Il y avait donc un résident, trois femmes et sept ou huit enfants. Et ils en sont sortis pour la plupart, en se cachant.
04:40 On est en froid, on est en faim. Et c'était que le début. Parce que ça a été vraiment une grande, grande famille, très, très difficile à vivre, notamment à Haïouï.
04:49 Mon père, après, faisait le tour, en fait, comme il était, on disait, gamin, à vélo. Il faisait le tour et il passait près de la citadelle pour prendre les nouvelles de ceux qui étaient prisonniers.
04:59 Et après, venir le dire à leur famille, qui était cantonnée, comme le disait le professeur, dans des quartiers dont les Français ne pouvaient pas sortir.
05:12 Donc il y a encore des belles choses qui se sont passées. Les deux sont restés vivants. Donc le colonel de Holme, il a 101 ans maintenant.
05:19 Et mon père, malheureusement, nous a quittés. Mais j'ai lu ses mémoires. J'ai relu avant. Tiens, faut être sûr de ne pas vous raconter des bêtises. Et donc je me suis souvenue de ça.
05:29 Après quoi, il est resté, il est entré en résistance, comme je vous l'ai écrit. Je ne sais pas si vous avez reçu le document.
05:38 Et donc à 15 ans, il a eu une attestation de résistance contre les vétérines en faisant du renseignement, de la traduction pour les services de renseignement français. Voilà.
05:51 J'étais à la Lochine au moment du 9 mars. J'ai beaucoup apprécié l'exposé qui a été fait, qui est tout à fait extraordinaire. J'ai lu le livre.
06:02 Et j'étais à Turin. Alors à Turin, ça s'est passé très différemment. Il n'y avait presque pas de troupes françaises.
06:09 Et les Japonais ont attaqué une caserne de l'artillerie où il y avait, à 8 heures du soir, où il y avait une dizaine de tirailleurs.
06:17 Et à l'intérieur, il y avait le colonel qui avait les registres de la résistance. Et il a été abattu par les Japonais à son bureau, en train de faire brûler les registres.
06:27 Il s'appelait le colonel Rambo. C'était un ami de mes parents. Donc je tiens à le dire, colonel d'artillerie.
06:33 Je vous ai rappelé aussi une autre chose. Comme l'a dit très bien M. Zeller, la guerre de la Lochine a commencé en 1945. Pourquoi ?
06:42 Parce que les Japonais, une fois battus, ont eu envie de ficher le feu à l'Asie. Et ils ont donné l'indépendance aux trois empires, à l'Anam, au Cambodge, au Laos, le 11 mars.
06:57 Aujourd'hui, deux jours après le 9 mars, ils auront donné l'indépendance. Et après, il a fallu que Ho Chi Minh, amené à Hanoï par la CIA et par les Américains,
07:10 redemande à la France l'indépendance. Et ça a discuté, on a discuté, etc. Je ne veux pas y revenir. Troisième élément, mais c'est une anecdote.
07:19 Je la tiens d'un capitaine qui s'appelle Lacour, et qui a été ensuite directeur des oriflorais du Cambodge. Et ce capitaine Lacour, quand je lui ai parlé de ma présence en Indochine,
07:31 m'a dit "Moi, j'ai été bloqué le 9 mars avec mon escadron. J'avais des instructions pour monter au nord de Saigon. Je suis tombé dans une embuscade par un régiment de chars japonais."
07:51 Il faut voir que les japonais, au moment du 9 mars, avaient ramené, en plus des 50 000 hommes qui étaient présents en Indochine, une centaine de milliers d'hommes de Chine, de Bermanie, de Thaïlande.
08:01 Il est tombé dans l'embuscade, il a perdu ses canons, il a réussi à s'en sortir. Il a été fait prisonnier par les officiers japonais de ce régiment de cavalerie, qui l'ont traité très bien.
08:13 Mais le capitaine est venu le chercher, il a été torturé, etc. et amené à Saigon. Qu'est-ce qui s'est passé quand l'armée française est arrivée ?
08:20 On lui a dit "Mon vieux, on n'a pas de troupes. Toi, tu es le capitaine de l'armée, disons, fichiste." Et donc, ils l'ont dégradé et ils l'ont fait travailler comme docker pour débarquer les chars de la colonne Leclerc.
08:36 Leclerc a demandé en arrivant les registres et il a vu plus que moi que cet officier avait des états de service tout à fait normaux.
08:45 Il me le fait venir, il m'a dit "Mon vieux, je te rends tes canons, je te rends tes médailles, mais je veux que tu t'engages dans la deuxième léguerre."
08:53 Voilà, mais je n'insiste pas parce que je pourrais en dire beaucoup d'autres choses. J'ai écrit un livre à ce sujet.
09:00 Ceux qui étaient alliés au Dien Bien Phu, qui avaient 20 ans alliés au Dien Bien Phu, cette année ils en auront 90.
09:08 Donc, si vous voulez, c'est une génération qui va disparaître.
09:12 Donc, on a décidé une dernière fois de rendre hommage à nos camarades. De quelle façon ? Les exposer, par exemple, sur la guerre d'Indochine.
09:22 Dire un peu quelle a été cette guerre. Une guerre d'ailleurs que nous n'aurions pas dû faire, si vous voulez.
09:29 Notre civilisation du matin était très proche de ce genre-là. On était fait pour 100 ans.
09:35 Il y en a un qui l'a bien compris, c'est le général Leclerc.
09:38 Les entretiens du général Leclerc avec Auchibine, il y a des gens qui plaisantaient parce qu'il y avait du champagne, etc.
09:44 Il y avait l'autre, tous les deux. La question n'était pas qu'il avait roulé dans la farine, le général Leclerc pas du tout.
09:53 Le général, il est allé dire à Paris, il ne faut pas faire la guerre, il faut se mettre en position de force et négocier avec ces gens-là.
10:04 Personne ne l'écoutait. C'était une guerre fratricide, si vous voulez.
10:10 On avait avec nous, d'un côté ceux qui étaient pour nous et de l'autre côté ceux qui n'étaient pas pour nous.
10:18 Je vous donne un exemple. Un sergent vietnamien recruté chez nous, il faut passer pour les parachutistes quand même avant.
10:26 Les viets arrivent dans le village, son père est chef du village, il demande du ravitaillement.
10:34 Le chef du village dit écoutez, nous c'est un village très pauvre, on a tout juste de quoi.
10:38 Que font les viets ? Ils l'abattent immédiatement. Qu'est-ce qu'il fait le chef de l'ordre ? Il s'engage dans les parachutistes.
10:47 Parce que c'est un pays qu'on a beaucoup bébé, si vous voulez. L'accueil était le suivant.
10:55 L'adjudant de compagnie ou le chef, si vous voulez, d'abord était ici pour apprendre le vietnamien et puis manger avec des baguettes.
11:05 Et puis les pousses, c'est comme les taxis à Paris, il faut les payer. C'est des pauvres gens qui travaillent beaucoup.
11:12 Puis il ajoutait aussi, il y a rien de plus con que la mort. On va te dire que ton copain est là-haut, là-bas, tu n'en fous.
11:24 Tu ne le vois plus, tu ne peux plus t'engueuler avec lui, tu ne peux plus te saouler avec lui, il n'en veut rien.
11:31 Autre remarque, après, parce qu'il y a des Saint-Cyriens, on a dépensé presque une promotion de Saint-Cyrien d'argent.
11:43 Je peux vous dire en toute honnêteté que nos officiers nous ont toujours montré l'exemple. C'était des types bien.
11:52 On avait une complicité avec eux, s'il vous plaît. On les écoutait, ils nous disaient quelque chose, ils savaient qu'ils pouvaient nous donner confiance.
12:03 Vous voulez un exemple ? En pleine nuit, il y a une personne qui est accrochée, durement. Il y a trois blessés, et il n'y a personne qui est blessé dans les jambes.
12:13 Il y a un chef de groupe avec une bonne cour, il dit "Allez, partez là-bas tout de suite, le voir".
12:22 Sur le terrain, avec un sergent, il a été mis en tête, il connaît la région, ils discutent.
12:30 Un grand découvert, ils sont arrivés face à face, les viettes et les autres, bien chez nous.
12:38 Ce moment-là, les viettes sont un peu plus rapides que chez nous. Enfin, il n'y avait que trois blessés.
12:44 Le temps de discuter avec le sous-lieutenant qui était là, et puis lui dire "Bon, le temps, partez, vous bougez beaucoup, rentrez à la compagnie".
12:54 C'est ça les relations qu'on avait. On rentrait d'opération, on avait vécu ensemble, tout le temps, coucher, boire, tout ça.
13:02 On renversait la place à Hanoi, les officiers étaient attablés, nous ici.
13:09 Le sergent, il s'approchait, il savait, les officiers lui disaient "Asseyez-vous".
13:15 Et il s'asseyait, puis il met un coup avec l'officier. Au bout d'un moment, le sergent n'avait pas besoin de lui dire.
13:21 Il se levait, il savait, et tout est grand. Voilà.
13:25 Et voilà ce qu'a été, si vous voulez, l'armée d'Indochine. Des propos aussi qui arrivaient.
13:32 Ceux qui rentraient, on leur disait "Vous n'êtes pas restés longtemps en France quand même".
13:37 Vous savez ce qu'ils répondaient ? "La France, il n'y a rien à en tirer, mon Dieu".
13:41 Vous savez, ce truc qui vous marque, vous pouvez entendre ça.
13:46 Surtout qu'à l'époque, on ne le ment pas, mais il y avait un parti politique dominant,
13:53 qui dominait, qui se conduit d'une façon honteuse.
13:58 Faisant sortir ses huiles quand le bateau arrivait à Marseille, avec les corps de nos camarades,
14:05 pour cracher dessus, par exemple.
14:08 Des pièces sabotées dans nos camions, des petits mots dans la narration,
14:17 crèves, salauds, des histoires comme ça, si vous voulez.
14:21 Et puis alors il y a eu, ça c'était à Saïgon, le sabotage des parachutes.
14:27 Elle avait été bien instruite, les Vietnamiennes qui faisaient ça,
14:30 parce qu'elles mettaient une piqûre d'acide dans le parachute, mais dans le parachute de secours.
14:36 Le type était sûr de ne pas en sortir.
14:40 Alors, c'est une guerre, si vous voulez, qui nous a beaucoup marqués.
14:47 Alors, je prêche pour mes camarades.
14:53 Il y a une lettre à Destinataire Infinie, j'en ai plus quelques exemplaires, je vous montrerai.
14:59 Pour la guerre d'Indochine, elle durait de 45 à 54 ans, quand même.
15:04 Elle a fait plus de 35 000 morts.
15:06 Et 48 disparus pour les trois quarts dans les camps vietnamiens.
15:12 Et les camps vietnamiens, vous savez qu'il y a des gens à Paris qui étaient dans les Vietnamiennes.
15:18 Certains condamnés à mort parce qu'ils étaient dans la LVF,
15:23 pendant plus d'un an, étaient là, et ont trouvé le moyen de...
15:29 parce que la mortalité dans les camps intérieurs.
15:32 Alors, la génération qui a participé à cette guerre entend parler une dernière fois de leurs camarades disparus.
15:41 Alors, il y a une fiche matérielle, tout ça.
15:43 Et puis, simplement vous dire que l'exposé a déjà été fait à la médiathèque de Réil,
15:47 à la maison chez nous, en général, à la demande du maire, à la caserne qui mère,
15:54 au profil des usagers, au cercle des anciens combattants de Khor Va Vang, au mémorial de camp,
16:00 à la demande de ceux du Vietnam intérieur, et à la médiathèque de Puteaux.
16:03 Derrière, pour pas que vous vous ennuyez plus longtemps, il y a un matériel pédagogique.
16:09 On ne peut pas parler et passer les photos en même temps.
16:13 Il faut qu'il y ait quelqu'un qui soit occupé.
16:15 Ça joue des tours parfois.
16:18 Je crois que vous sauriez, mon général, avoir pratiqué.
16:21 J'ai planché devant un général, qui est du peu crenouille, un peu au service historique des armées.
16:28 Ça n'a pas tellement bien marché, mon truc.
16:30 Pour une bonne raison, c'est que celui qui passait, il était centralien.
16:36 Je ne dirais pas qu'il a eu trois fabricés, celui-là.
16:39 Ça a marché, ça a fait.
16:41 Mais il n'en a pas tenu compte.
16:42 La seule remarque qu'il m'a fait, il m'a dit, "mon colonel, vous ne parlez pas assez de vous."
16:49 Je lui ai dit, "mon général, c'est Paul-Colonel Guinard qui raconte ses campagnes."
16:52 Il m'a dit, "mais si, justement, c'est ça qui nous intéresse."
16:55 À la limite, ce que vous venez de nous dire, on peut le trouver dans les bouquins.
16:59 Alors, derrière, il y a un ordinateur, un projecteur, un écran, un tableau, un micro, bien sûr, de taf.
17:06 Questions habituelles posées par un conférencier, nature du public, savoir, l'unité, est-ce qu'il y a une autorité ?
17:14 Par exemple, à Réveil-Malmaison, il y avait le grand chancelier qui était venu.
17:21 Il faut l'annoncer quand même, une personnalité, connaît.
17:25 Alors, renseignement sur le conférencier, le parachuté deux fois avec le 8e BPC,
17:34 notamment allant sur une opération, si vous voulez, risquée, mais formidable.
17:42 Pourquoi ? Parce qu'il y avait la frontière chinoise et l'axe de largage.
17:49 Les parachutes, je confirmais qu'ils étaient là. Tout de suite, un coup d'œil, à droite, à gauche, rien, aucune réaction.
17:58 Alors, toute la première nuit, fouillé, confusion en vigne, avec le GCM, le groupe de commandants X d'aéroport D.
18:08 Ils étaient habillés de noir, des voltigeurs de chez nous, ils amènent au bout de leur vitraillette, là, ils les descendent.
18:14 Alors, qu'est-ce qui se passe ? Ils prétendent qu'ils sont GCM, ils ne parlaient pas le français.
18:23 Assis par terre, en train d'ouvrir l'opération, je vois un hétro, je lui dis, il y a quelqu'un qui commande le GCM.
18:29 Il me répond, oui, le capitaine Intel. Je lui dis, mon capitaine, il y a confusion, il y a des hyposomes.
18:36 Alors, il m'a dit, mais dans l'avion, vous allez sur un vaissage, vous disant, vous soulevez la manche droite et vous trouverez un voisin.
18:45 Je lui dis, non, non, non, non, non, non, non, non, non. Voilà, donc, blessé grièvement à l'opération Rocher, par mine, il y avait des mines partout.
18:56 On est resté presque 4 semaines dehors, nous vivant cette opération. Il y avait des mines partout.
19:04 Mine, à souvenir de ces traversants-mineurs. On leur dit de rien toucher, surtout quand le village est vide.
19:15 S'il est vide, c'est que les villes étaient viettes, bien sûr. Il y avait un bar à chaudis, il y avait une kebab de riz, il était encore couillement.
19:23 Alors, il dit, je vais prendre un peu de riz. Elle a explosé, aveugle, le bar à chaudis.
19:30 Et puis, il y avait attention. Oui, et puis, blessé, donc, et puis, blessé tant pas. Donc, on a juré.
19:39 Bon, merci d'avoir écouté.
19:41 (Applaudissements)
19:44 (...)
19:59 (...)
20:14 (...)
20:39 (...)
20:50 (La Marseillaise)
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21:33 (...)
21:48 (...)
22:08 (...)
22:28 (...)
22:40 Gerbe déposée par la famille du général Henri Giraud.
22:44 (...)
22:59 Gerbe déposée par la Fédération Nationale des Anciens Doutre-Mers et Anciens Combattants des Troupes de Marine.
23:06 (...)
23:26 (...)
23:39 Les Anciens des Troupes de Marine.
23:41 (...)
24:07 Gerbe déposée par l'association Citadelle et Maquis d'Indochine 39-45.
24:14 Déposée par son président.
24:16 (...)
24:36 (...)
24:50 Gerbe déposée par madame la secrétaire d'État auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens Combattants et de la Mémoire.
24:59 (...)
25:24 (...)
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