• il y a 7 mois
Après la découverte d'ossements du petit Émile au sud du hameau du Haut-Vernet le samedi 30 mars, d'importants moyens de gendarmerie restent mobilisés pour poursuivre les recherches dans la zone.

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Transcription
00:00 C'est très difficile de vous répondre, rien ne filtre sur les suites de l'enquête depuis que ce crâne a été retrouvé.
00:07 Soit il fait un point complet sur l'enquête en rappelant un petit peu la chronologie, la découverte du crâne,
00:13 ces ossements qui sont envoyés à Pontoise, il revient sur le dispositif sur place,
00:18 soit effectivement il y aura peut-être de nouveaux éléments à détailler ce soir,
00:22 peut-être la découverte de nouveaux ossements, de tissus, mais tout ça évidemment c'est de la fiction,
00:26 on va rester sur le concret pour l'instant, les recherches elles se poursuivent.
00:29 Ça peut évoluer d'ici 18h, peut-être que de nouveaux éléments seront retrouvés par les gendarmes
00:34 qui sont d'arrache-pied sur cette enquête, ils sont une centaine sur place avec...
00:38 - Les meilleurs, dit la gendarmerie.
00:39 - Les meilleurs, a dit hier effectivement un porte-parole, un gendarme, un commandant de groupement,
00:44 les meilleurs parce qu'il y a effectivement à la fois les enquêteurs de la section de recherche de Marseille
00:48 qui ont créé une cellule d'enquête qui travaille sur cette affaire depuis la disparition du petit garçon en juillet dernier,
00:54 il y a aussi des experts de l'IRCGN, l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie,
00:58 ils sont six sur place, le dispositif n'a pas varié depuis hier,
01:02 il y a des anthropologues qui sont là pour examiner si des os sont retrouvés,
01:06 s'il s'agit d'os humains ou animaux, pour examiner aussi la zone de découverte de ces ossements,
01:12 étudier s'il y a eu des mouvements de terre, si ça a pu être retourné, si oui par qui, etc.
01:17 Donc tous ces experts travaillent d'arrache-pied,
01:19 et puis il y a ces équipes cynophiles avec ces chiens spécialisés en recherche de restes humains
01:24 qui sont là, qui sillonnent la zone.
01:26 L'été dernier, effectivement, il y avait déjà un gros dispositif,
01:28 mais il y avait 97 hectares qui avaient été fouillés sans résultat,
01:32 parce qu'on cherchait vraiment partout.
01:35 Là, on a une zone très claire.
01:36 Là, les chiens ont un point de départ.
01:37 Les chiens ont un point de départ.
01:39 Est-ce que c'est le point zéro, comme dit la porte-parole de la gendarmerie,
01:41 on ne le sait pas encore, parce que le corps a pu être déplacé,
01:44 soit intentionnellement par un humain, soit par un animal ou par des intempéries.
01:48 Mais effectivement, il y a une zone plus restreinte qui est très minutieusement inspectée,
01:55 avec évidemment une zone qui a été sanctuarisée pour éviter toute pollution humaine.

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