Les hôtels s’inquiètent du manque de clients pendant les JO !

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 Tout le monde avait dit "ouais ça va être l'engouement, l'engouement, l'engouement", il n'y a aucun engouement.

00:03 Je vous laisse regarder Fabienne Ardoin.

00:06 C'est une propriétaire d'hôtel qui s'inquiète pour son hôtel.

00:08 Bon, on ne va pas la regarder puisque je vous le dis moi.

00:10 Gilles, ce n'est pas du tout ce que tu croyais parce que toi aussi tu nous avais annoncé la folie.

00:14 - Bon, c'est merveille.

00:15 - Une fois de plus, Gilles Verdet, tu es à côté de la plaque.

00:17 - Je suis déçu.

00:18 - Oui, mais ce n'est pas la première fois.

00:19 - Alors la bonne nouvelle, c'est que les prix baissent.

00:21 - Oui, mais...

00:22 - Et c'est vrai qu'il y a beaucoup d'hôtels qui n'ont pas fait le plein.

00:29 - Le problème qu'il y a, je le dis aux téléspectateurs, on a cru qu'on allait gagner des milliers et des milliards d'euros avec les JO.

00:33 Ce qui va se passer, c'est tout le contraire parce que je vous explique ce qui est en train de se passer.

00:36 C'est que tous les touristes ne viennent pas justement parce qu'il y a des JO.

00:39 Donc ils ne veulent pas venir.

00:40 Donc en fait, tous les touristes habituels qui venaient et qui consommaient en France et qui consommaient énormément en France ne viennent pas.

00:47 Donc on va se retrouver, je vous le dis, avec moins...

00:50 On va faire moins que d'habitude.

00:51 Donc ça va être catastrophique.

00:53 Je vous le dis.

00:53 - Il y a les bons touristes.

00:54 - Non, mais c'est catastrophique.

00:55 Donc Gilles Bernaise, une fois de plus tes prédictions là.

00:57 Le Nostradamus des conneries, une fois de plus tu t'es planté.

01:01 - Est-ce que je peux apporter une petite précision par rapport à ce que vous venez de dire ?

01:04 - Oui.

01:05 - À Londres, en 2012, il y a eu moins de touristes.

01:08 Et comme le panier moyen était supérieur de 41% au prix normal, du coup, les hôteliers ont quand même fait du bénéfice.

01:15 - Ah, mais il est beau le LFist.

01:16 - Il est beau le LFist.

01:17 - Je réjouis des...

01:18 - Il est beau le LFist.

01:19 Il est beau.

01:19 - Mais ils sont en train de baisser les prix.

01:21 - À Londres, le chiffre d'affaires des hôteliers a augmenté de 2,7%.

01:27 - Marge Simpson.

01:28 - A augmenté de 2,7%.

01:30 - Non, mais pour l'instant, je trouve que c'est la catastrophe.

01:32 Donc arrête de dire encore des conneries.

01:33 On verra bien.

01:34 On fera le bilan.

01:35 Tu sais, on va payer l'orchestre à la fin de la Bar Mitzvah.

01:37 Donc on verra après.

01:38 - Mais d'autant plus que là où vous avez raison, c'est que les touristes veulent venir.

01:40 - Bien sûr.

01:41 - Peut-être pas pour les JO, pourquoi pas.

01:42 Mais de toute façon, ils sont complètement dégoûtés parce que pour aller dans un restaurant,

01:46 il faudra avoir les QR codes pour passer d'une zone à une autre.

01:49 Pour des trucs de sécurité.

01:50 - C'est les Lantanais.

01:51 - Voilà.

01:52 - Le seul qui va être ici, ça va être Gilles Bernet.

01:54 - Oui, bien sûr.

01:55 - Ce qui est catastrophique, c'est qu'il y a des annulations en cascade, justement,

01:57 parce qu'ils s'aperçoivent que les transports, ça va être incroyable.

02:00 - Bien sûr.

02:01 - Annulation en cascade, elle a raison.

02:03 - Et pour la cérémonie d'ouverture, il y a des hôtels, ils sont encore à 40% vides.

02:09 - Je te le dis aussi parce qu'il y a une explosion des locations Airbnb.

02:12 Tous les Parisiens se battent pour louer leur appartement.

02:14 - Mais ça ne marche pas du tout.

02:15 - Même ça, ça ne marche pas.

02:16 - On croyait que ça allait exploser.

02:17 Je t'explique, c'est une énorme arnaque aussi.

02:19 - Ils sont très élevés, mais ils ne trouvent pas.

02:21 - Je te le dis, je connais.

02:22 Je vais te dire, ça, c'est encore n'importe quoi.

02:24 - D'accord.

02:25 - Excuse-moi de t'emmerder.

02:26 - Est-ce que je peux demander quelque chose à Gilles,

02:27 vu que c'est le spécialiste des JO ?

02:28 - Quelque chose à Gilles ?

02:29 - Oui.

02:30 - Si tu peux lui demander de fermer sa gueule.

02:31 - Non, non, non.

02:32 - Vas-y.

02:33 - Non, la cérémonie, ça va avoir lieu toujours sur la scène.

02:35 - Là, ça commence à être revu en question.

02:37 - Ils ne veulent plus, là.

02:38 - Ils commencent à enteriner le fait qu'il y a un plan B.

02:41 - Ah, voilà.

02:42 - Ce qui est très mauvais.

02:43 Et il y a deux choses qui sont évidemment préjudiciables.

02:45 Évidemment, la sécurité.

02:47 - Bien sûr.

02:48 - Il faut aussi que plein de gens ne viennent pas.

02:49 - Je comprends.

02:50 - Et ça paraît plus anecdotique,

02:51 mais là, la scène continue à monter.

02:53 La répétition a été annulée.

02:54 - Bien sûr.

02:55 - Il y a quatre bassins de rétention en dehors de Paris

02:57 qui sont pleins à 80 et 90 %.

02:59 S'il pleut encore, on n'est pas sûr qu'il puisse y avoir

03:02 des répétitions avec les 150 bateaux.

03:04 Donc, on ne fera pas une cérémonie sans répétition.

03:05 C'est trop risqué.

03:06 - Ça va être un bordel, ça fait.

03:07 Et même l'État de Paris, on a quatre mois d'ésio.

03:09 Paris est dégueulasse.

03:10 Il y a des travaux partout.

03:11 Ils n'ont rien fini.

03:12 - Avec les Champs-Élysées, il n'y a rien.

03:13 - C'est pareil.

03:14 - C'est chaud.

03:15 - C'est catastrophique.

03:16 - C'est du jamais vu.

03:17 Je n'ai jamais vu ça.

03:18 Je suis...

03:19 Je n'ai jamais vu ça.

03:20 C'est incroyable.

03:21 Ils ont réduit les Champs-Élysées en deux.

03:23 Trocadéro aussi.

03:24 Sur les quais, tu as des travaux de partout.

03:26 Tous les 10 m, tu as des travaux.

03:27 C'est une catastrophe.

03:28 C'est la copine de Gilles Verde.

03:29 C'est ta copine.

03:30 - Toutes les villes, c'est pas ma copine.

03:31 - C'est ta copine.

03:32 - C'est pas ma copine.

03:33 - C'est ta copine.

03:34 - C'est pas ma copine.

03:35 - C'est ta copine.

03:36 - C'est pas ma copine.

03:37 - C'est pas ma copine.

03:38 - C'est pas ma copine.

03:39 - Je peux faire ça jusqu'à la fin de l'émission.

03:40 - C'est pas ma copine.

03:41 - C'est ta copine.

03:42 - C'est pas ma copine.

03:43 - C'est ta copine.

03:44 - Non, mais c'est pas ma copine.

03:45 - C'est ta copine.

03:46 - La lourdeur.

03:47 - C'est pas ma copine.

03:48 - C'est pas ma copine.

03:49 - C'est ta copine.

03:50 - C'est pas ma copine.

03:51 - C'est ta copine.

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