Le procureur a requis mercredi la relaxe de Jonathann Daval, condamné en 2020 pour le meurtre de son épouse Alexia, devant le tribunal correctionnel de Besançon où il est jugé pour dénonciation calomnieuse contre son ex-belle-famille.
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00:00 Je ne suis pas soulagé par la demande de relax, c'est-à-dire qu'on a, avec Metz Patafora, monté le dossier exclusivement en droit.
00:06 Vous avez compris qu'il y a un débat moral, le droit de mentir. C'est un débat dans lequel on ne veut pas rentrer.
00:11 On est resté uniquement dans la jurisprudence de la Cour de cassation. On est revenu sur les critères, et notamment la spontanéité,
00:17 qui est un critère de droit, en estimant que ce critère n'était pas constitué, qu'à partir de ce moment-là, Jonathan Daval devait être relaxé en droit.
00:24 Ce qui n'enlève rien au caractère odieux de ce qu'a fait Jonathan dans son mensonge, qu'il reconnaît.
00:30 Et ça n'empêche pas non plus que Jonathan Daval a demandé pardon pour les mensonges, et ce n'est pas la première fois, c'est déjà la troisième fois qu'il a demandé pardon.
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