La Promesa Capitulo 342

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La Promesa Capitulo 342
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00:00:00 ...
00:00:06 Tu devrais t'en faire la tête de dégout.
00:00:08 Tu as été complice d'un ennui si grand
00:00:10 comme de faire preuve d'un enfant
00:00:12 et ensuite de faire preuve de son mauvais acte.
00:00:14 C'est infâme,
00:00:15 c'est un traître
00:00:16 et c'est...
00:00:17 c'est misérable.
00:00:18 C'est pour ça que je pensais que vous
00:00:20 ne vous serait pas du tout
00:00:22 interdit de m'aider.
00:00:23 Mais si je te comprends,
00:00:24 Maria Fernandez, c'est ton amie
00:00:25 et tu veux le meilleur pour elle.
00:00:26 Si je te comprends.
00:00:27 Je veux que tu réalises ton rêve.
00:00:28 Oui, mais ton rêve sera
00:00:29 de devenir la première la calle
00:00:31 grâce à tes mérites, je dis.
00:00:33 Ma soeur a sauvé sa vie.
00:00:35 Elle est apparue d'un coup
00:00:36 avec une pistole
00:00:37 et a appris à la fois à Cavendish.
00:00:39 Elle a sauvé sa vie en l'occurrence
00:00:40 de son mot de ne plus
00:00:41 revenir ici.
00:00:43 Que veux-tu dire par "elle t'a menacé" ?
00:00:44 Elle a essayé de me tuer, Manuel.
00:00:46 Son intention était de ne rien dire à personne, bien sûr.
00:00:49 Mais tu nous l'as déjà dit.
00:00:51 Mais Gimena ne le savait pas.
00:00:53 Donc, nous devons être très prudents
00:00:54 pour qu'elle ne nous en sache rien.
00:00:56 Il suffit de faire le suivant mouvement, Manuel.
00:00:58 C'est très dangereux
00:00:59 et elle peut faire n'importe quoi.
00:01:00 Mais ce qui s'est passé, c'est que
00:01:02 il n'a pas échappé un cotillet par ici.
00:01:04 C'est juste une supposition,
00:01:06 mais depuis la dernière émission,
00:01:08 j'ai l'impression que la Sra. Catalina
00:01:10 et M. Pelayo sont plus près.
00:01:12 Notre amour ?
00:01:13 C'était seulement une couverture
00:01:15 qui venait de perles
00:01:16 pour ton entreprise de contrabande d'armes.
00:01:18 Je te dis que c'était réel.
00:01:20 Je t'aime vraiment.
00:01:21 Laisse-moi en paix.
00:01:23 Ce qui nous dérange de M. Baeza
00:01:24 et de moi, Sra. Arcos,
00:01:25 c'est que je n'ai pas encore
00:01:26 raconté rien à la Sra.
00:01:27 La Sra. a assez à en supporter.
00:01:30 Un fils rebelle et une femme...
00:01:32 dément.
00:01:33 Maintenant, je me lève les mains.
00:01:35 Et je ne veux rien savoir.
00:01:37 Ce qui se passe avec ce donner
00:01:39 sera seulement sa responsabilité.
00:01:41 Tu dois me faire tosser de cette façon ?
00:01:44 Et ne pas te prendre la vue
00:01:45 ni toi, ni Mme Margarita.
00:01:47 Il y a des possibilités
00:01:48 de canceller le mariage.
00:01:49 Mais c'est une grande nouvelle.
00:01:51 M. Sergio m'a demandé du temps.
00:01:54 C'est juste ce qu'on n'a pas.
00:01:57 Cette nuit,
00:01:58 les dux du Infante vont venir
00:02:00 pour savoir si tu et Gimena
00:02:01 vont finalement se déplacer à Madrid.
00:02:03 Que suggères-tu ?
00:02:05 Laisse-moi m'en occuper.
00:02:07 La clé est d'être détailliste.
00:02:09 Les détails sont le secret.
00:02:10 Mais je ne sais pas
00:02:11 quel détail je peux lui donner.
00:02:12 Pourquoi ne pas aller à la boutique de Wuhan ?
00:02:16 Je voulais...
00:02:17 demander pour Catalina.
00:02:20 Je suis un peu inquiète de la situation.
00:02:23 Bon, ma fille.
00:02:24 C'est le moment de parler de ça.
00:02:25 Je vais monter le cavaillon
00:02:26 avant que la nuit ne s'arrête.
00:02:28 Ce n'est plus le moment.
00:02:32 Je vais y aller demain.
00:02:34 On doit convaincre cette virtue.
00:02:36 Pour cela, il faut lui dire
00:02:37 toutes les bonnes choses
00:02:38 qu'elle a à faire.
00:02:39 Que la virtue se sente à l'aise.
00:02:41 Que ça rit un peu.
00:02:42 C'est juste aider à sortir
00:02:44 ses peurs et ses agonies.
00:02:46 Le fait de jouer au par-chise
00:02:48 avec des bets, c'est super amusant.
00:02:50 Bien sûr, ce n'est pas tout le travail.
00:02:52 Il faut aussi avoir des moments de relax.
00:02:54 C'est ça.
00:02:56 Je ne vois pas qu'il y ait
00:02:57 beaucoup de travail.
00:02:58 Son talent vous laisse beaucoup de souhaits.
00:03:00 Vous ne voyez que ce que vous voulez voir.
00:03:01 Si vous continuez comme ça,
00:03:02 vous ne me laisserez pas
00:03:03 une autre sortie que de le dire au revoir.
00:03:04 Vous savez ce que je vous dis ?
00:03:05 Il n'y a pas besoin de me dire au revoir.
00:03:07 Je vais m'en aller.
00:03:08 Vous le saviez.
00:03:12 Vous saviez que ce que vous vendiez,
00:03:13 Mr Cavendis, c'était des armes.
00:03:15 C'est pour ça que Pelay insistait
00:03:16 tellement sur le commerce.
00:03:18 Parce que vous étiez au courant.
00:03:20 Maintenant, votre expression
00:03:21 est la que vous parlez.
00:03:22 Vous êtes resté dans la diana.
00:03:24 N'est-ce pas ?
00:03:25 Mais quels délires sont-ils ?
00:03:33 Moi,
00:03:35 en trafiquant des armes,
00:03:36 et rien de moins que avec ce français
00:03:38 et le comte de Agnil ?
00:03:39 Allez, il devait le savoir.
00:03:41 Regarde, Catalina,
00:03:42 je suis dans ce commerce
00:03:43 parce que je le trouvais rentable
00:03:44 et parce que j'étais en croissance.
00:03:45 Si tu avais su ce que tu me dis,
00:03:47 tu n'aurais jamais entré dans quelque chose comme ça.
00:03:48 Bien sûr.
00:03:49 Comment je vais croire à ça, capitaine ?
00:03:50 Mais, voyons, Catalina,
00:03:51 peux-tu penser un peu ?
00:03:53 Tu penses que moi, un militaire,
00:03:56 je vais faire des traités
00:03:57 avec ce type avec ce français ?
00:03:59 Tu parles de contrebande.
00:04:01 Si il y avait de l'argent,
00:04:03 je pense que j'aurais pu le faire
00:04:04 et beaucoup plus.
00:04:05 Regarde, malheureusement,
00:04:06 j'ai assez d'argent
00:04:07 pour ne pas me faire
00:04:08 entendre dans ces désirés.
00:04:10 Et bien, pas si.
00:04:11 Depuis que j'ai perdu les terres
00:04:13 devant ma tante Margarita.
00:04:14 C'est vrai.
00:04:17 J'ai vécu des temps meilleurs.
00:04:20 Mais je me suis toujours dévoué
00:04:21 de mon roi.
00:04:23 Le même roi qui a demandé
00:04:24 la neutralité de ses subjets
00:04:25 dans ce conflit.
00:04:26 Je n'obéirais jamais à sa majesté.
00:04:28 Je crois que pour des milliers de durs,
00:04:31 il aurait aimé.
00:04:32 Ecoute, Catalina,
00:04:33 tu commences à m'offenser.
00:04:34 Il a duré à s'offenser.
00:04:36 Je répète le même truc
00:04:37 depuis le début.
00:04:38 J'étais enceinte
00:04:39 avec un cabanisse et un pelayon
00:04:40 pour trafiquer avec des armes.
00:04:42 Tu ne me connais pas du tout.
00:04:45 Et est-ce que tu peux savoir
00:04:50 pourquoi tu n'as pas appelé la guerre civile ?
00:04:52 Il faut partir immédiatement.
00:04:54 Non, non, non, non, non.
00:04:55 Il ne faut pas informer personne.
00:04:56 Le danger est passé.
00:04:58 Mais comment le danger est passé ?
00:05:00 Le pelayon est toujours entre nous.
00:05:01 C'est mon problème.
00:05:02 D'accord ?
00:05:05 Alors, il n'a rien à voir
00:05:15 avec la vente d'armes ?
00:05:17 Bien sûr que non,
00:05:19 je n'ai rien à voir avec ça, Catalina.
00:05:21 Je comprends que tu sois déçue,
00:05:23 que tu aies mal et que c'est pour ça que tu m'accuses.
00:05:25 Ce qu'il t'a fait,
00:05:28 ce pelayon n'a pas de nom.
00:05:29 Je ne croyais jamais qu'il pouvait faire ça.
00:05:30 Oui, il m'a menti.
00:05:33 Il m'a trompée depuis le début.
00:05:35 Et il a utilisé moi et ma famille.
00:05:37 Ce qu'il t'a fait est impardonnable.
00:05:41 Je ne croyais jamais qu'il pouvait faire un cinéaste si grand.
00:05:44 Non, ni vous, ni personne.
00:05:49 Vous avez été victime de ses mentes.
00:05:51 Et moi aussi.
00:05:54 Je suis entré dans ce business
00:05:56 en pensant que c'était un boulot honorable.
00:05:58 Et j'ai pu détruire mon nom et mon prestige.
00:06:00 Ce n'est pas le seul mal qu'il a fait.
00:06:04 Nous avons réussi à trouver un travail pour beaucoup de femmes.
00:06:07 Et elles étaient contentes de son journal.
00:06:09 Et maintenant, nous allons les laisser sans rien.
00:06:12 Bien.
00:06:14 Ne soyez pas si négative.
00:06:16 Je crois que le boulot de la conserva peut être sauvé.
00:06:18 Non.
00:06:19 Je ne veux pas avoir un boulot avec un embuscadeur comme Pellagio.
00:06:23 Bien, avec ou sans lui, laissez-moi tenter l'affaire.
00:06:26 Nous ne pouvons pas laisser ces femmes sans journal.
00:06:29 Ce serait une désgrace.
00:06:32 Et très mauvaise pour le peuple.
00:06:34 Comme je te l'ai dit, laissez-moi tenter avec Pellagio.
00:06:38 Je ferai tout ce qui est en ma main pour sauver le boulot.
00:06:42 Je te vois à la dîner.
00:06:45 Je te vois à la dîner.
00:06:47 Je te vois à la dîner.
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00:08:27 Bienvenue, chers dux dux.
00:08:34 Sentez-vous, s'il vous plaît.
00:08:36 Et Manuel ? Et son mari ?
00:08:41 Ils ne vont pas se présenter ?
00:08:43 Bon, malheureusement, à Alonso, il a eu un imprévu en Puebla de Tera
00:08:47 et il ne se voit pas très bien quand il reviendra.
00:08:50 Et son fils ?
00:08:53 Il a aussi eu un imprévu.
00:08:55 Je ne sais pas où est Manuel, en ce moment.
00:08:58 Comment peuvent-ils avoir la facheteuse de nous inviter à une réunion si importante
00:09:03 sans qu'un père ni un fils ne soit là ?
00:09:05 Honnêtement, je pense qu'il est mieux que personne ne soit présent.
00:09:10 Mais qu'est-ce qu'il dit ?
00:09:12 Nous devons parler du futur de nos enfants.
00:09:14 Faire en sorte que ça ne devienne pas un scandale.
00:09:17 Comment est-ce qu'il serait mieux qu'ils ne soient pas présents ?
00:09:20 Parce qu'en réalité, nous n'avons pas encore décidé de quoi faire.
00:09:23 Et la vérité, il ne nous reste plus qu'à dire.
00:09:26 En plus, il reconnaît qu'ils n'ont pas décidé de quoi faire.
00:09:29 Ils nous ont demandé du temps pour réfléchir.
00:09:31 Et nous avons donc conçu.
00:09:33 Pourquoi il y a-t-il tant de facheteuse ?
00:09:35 Excusez-moi, je l'aurais appelé "sensateuse" avant.
00:09:38 C'est un schéma.
00:09:40 Il serait mieux de partir.
00:09:42 Et que celui qui revient la prochaine fois pour en parler soit notre avocat.
00:09:45 Non, non, non, s'il vous plaît, attendez.
00:09:46 Laissez-moi m'expliquer.
00:09:49 Voyons voir.
00:09:51 Nous sommes devant une décision très importante, comme vous le savez.
00:09:54 Oui, et c'est pour ça que je ne comprends pas.
00:09:56 Comment ils le prennent si léger ?
00:09:58 Et ni père ni fils n'accèdent à la réunion.
00:10:01 Parce que j'ai besoin d'encore plus de temps pour convaincre Manuel de faire le meilleur pour son mariage.
00:10:06 Il s'agit de sauver le sacrament qui les unit.
00:10:09 Et je vous assure que je fais tout ce qui est dans mes mains.
00:10:12 Tout.
00:10:14 Et combien de temps pensez-vous que cela lui permettra de le convaincre ?
00:10:17 Il doit le convaincre à un moment.
00:10:19 Je fais tout mon possible, mais comme je vous l'ai dit, c'est un pas à pas.
00:10:24 Notre fille ne pourra pas tenir plus longtemps dans cette situation.
00:10:27 Elle va finir déchirée.
00:10:29 En plus, si c'est ainsi, très bientôt, tout le monde au Madrid saura ce qui se passe dans la promesse.
00:10:34 Je vous assure que je fais tout ce qui est dans mes mains.
00:10:37 Je lutte jour après jour pour que Manuel soit raisonnable.
00:10:40 Raison.
00:10:42 Il me semble que ce jeune homme n'a pas beaucoup de raison, malheureusement.
00:10:45 Tout est aimable et il a des avions dans sa vie.
00:10:48 Je crois que je suis en train de lui faire récapituler.
00:10:54 Et qu'il se rende compte de l'importance de sauver son mariage.
00:10:57 Et il croit qu'il va pouvoir lui tordre la main.
00:11:00 Parce que, la vérité, on l'a vu de plus en plus tordue et impertinente.
00:11:05 Je vous assure que cette fois, ce sera différent.
00:11:08 Donc, pour cette raison, chers dux, je vous demande un peu plus de temps.
00:11:13 Réussir maintenant serait arrêter tout.
00:11:17 Si c'est une question de jours...
00:11:21 Oui, je suis très proche de l'obtention.
00:11:24 Nous attendrons. Mais seulement deux jours.
00:11:29 Bien sûr, vous verrez comment nous le ferons.
00:11:31 Nous prierons pour ça.
00:11:33 Nous y allons, chéri.
00:11:36 Comment ? Vous ne voulez pas se reposer pour dîner ?
00:11:39 Non, nous avons déjà dit aux marquises de Cespedes que nous allions les accompagner.
00:11:44 Nous allons donner un bisou à Gimena et nous y allons.
00:11:47 Bien, comme vous voulez.
00:11:50 J'espère seulement que dans votre prochaine visite, vous resterez un peu plus.
00:11:54 Vous savez que c'est votre maison.
00:11:57 [Musique]
00:12:18 Maria, attends.
00:12:20 Oui, Doña Pia ?
00:12:22 Je voulais te parler de la conversation que nous avons eue hier soir.
00:12:26 Quelle conversation ?
00:12:28 Tu parles tellement, tu ne sais plus ce que tu dis.
00:12:31 Maria, ne te fous pas la folle.
00:12:33 Quand tu m'as demandé de me dire entre Mr. Baeza et Salvador...
00:12:36 Je ne l'avais pas en tête comme une conversation,
00:12:39 mais comme une grosse dispute que vous m'avez causée.
00:12:41 Non, Maria, je suis allée avec Clara.
00:12:44 C'est vrai que je n'ai pas été très compréhensif.
00:12:47 Non, c'est une voyage dure.
00:12:50 Maria, je suis désolée.
00:12:53 Je suis désolée de t'avoir demandé de me dire entre Salvador et Mr. Baeza.
00:12:56 C'est vrai que c'était un peu compromisant.
00:12:58 Un peu non, c'est beaucoup.
00:13:00 Mais c'est vrai que j'ai été un peu déprimée et je veux te demander de m'excuser.
00:13:04 Ne t'en fais pas, Doña Pia.
00:13:06 On ne se fait pas de la gueule de temps en temps et tu dis des choses que tu ne veux pas dire.
00:13:10 Mais je n'aime pas que ça se passe.
00:13:12 J'imagine que tu ne veux pas que je sois là-bas.
00:13:14 Non, tu m'as pris un peu par surprise, la vérité.
00:13:17 En plus, il y a des fois où je suis très brute en me demandant.
00:13:21 Non, Maria, ce n'est pas de ta faute.
00:13:24 Je sais.
00:13:26 Alors, tu dis que je ne peux rien faire pour mon salvateur ?
00:13:30 Maria, je n'aime pas abuser de la confiance que j'ai avec Mr. Baeza.
00:13:37 Mais c'est bien, je parlerai avec lui de ce sujet.
00:13:42 Quelle joie, Doña Pia !
00:13:44 Je sauterais de joie, mais je me serais fait tomber.
00:13:46 Ne sauter pas, je ne sais pas si ça va servir pour beaucoup.
00:13:48 Mais bon, essayez, que ça ne reste pas.
00:13:50 Essayez, essayez, Doña Pia, avec beaucoup de force.
00:13:52 Je vous maintenirai informée.
00:13:54 Et attendez que la soupe s'assouplisse.
00:13:56 Tiki, où vas-tu ? T'es si rapide que tu vas me tirer la soupe.
00:14:05 Désolé, désolé, je suis désolé.
00:14:07 Il se passe quelque chose de bien avec toi.
00:14:09 Alors, attends-moi ici.
00:14:11 Je vais monter et je reviens tout de suite.
00:14:13 Comment ?
00:14:14 Attends-toi là-bas.
00:14:16 Ok.
00:14:17 Martina,
00:14:35 pouvons-nous parler un moment ?
00:14:37 Je ne sais pas pourquoi tu me demandes si nous savons que même si je ne veux pas,
00:14:42 nous allons parler de la même façon.
00:14:45 Avant, tu n'as pas hésité à nous interrompre à mon conde,
00:14:48 et maintenant, tu me dis la même chose.
00:14:50 Le conde.
00:14:51 Il a déjà duré à sortir dans la conversation,
00:14:53 vu que c'est son seul souci, récemment.
00:14:56 Martina, tu ne peux pas continuer à t'habiller ainsi.
00:14:58 Simplement parce que ta réaction à nous est dégueulasse.
00:15:01 Bon, alors parle.
00:15:02 Si on commence avant, on finit avant.
00:15:04 Mais je sais ce que tu vas me dire.
00:15:05 Ah, oui ? Qu'est-ce que c'est ?
00:15:07 Tu vas me dire le même que toujours,
00:15:09 que le conde et toi, vous êtes juste des amis,
00:15:11 que vous vous amusez ensemble, que je ne dois pas m'inquiéter,
00:15:13 que si Patatin, que la même chacha...
00:15:15 Bon, alors, respect.
00:15:16 Non, je vous garde du temps.
00:15:17 C'est ce que je me disais, n'est-ce pas ?
00:15:19 Et bien, tu sais ce que tu pourrais garder aussi ?
00:15:21 Ta manière de nous surveiller à chaque pas que nous prenons.
00:15:24 Tu sais pourquoi je te surveille ?
00:15:25 Parce que je m'inquiète de votre réputation,
00:15:27 quelque chose que vous ne faites pas.
00:15:28 Et bien, tu vas parler de réputation ?
00:15:30 Je dois te rappeler pourquoi nous sommes ici, à la Promesse.
00:15:33 Par le scandale que tu as monté,
00:15:34 au jour où Don Antonio de Carvajal a fait des fonds
00:15:36 à une fête de la capitale.
00:15:39 Oui, et qui sont les rancuniers, maintenant ?
00:15:41 Non, Martin, c'est que ton comportement ne se soutient pas.
00:15:43 Et celui de lui non plus.
00:15:44 Quand le conde de Ayala est venu ici,
00:15:45 tout le monde, même vous,
00:15:47 pensait qu'il était un insupportable et un impertinent.
00:15:49 Et maintenant, regardez.
00:15:50 Oui, c'est la première impression qu'il m'a donnée, je ne vais pas le dénoncer.
00:15:53 Oui, et c'est celle que nous avons tous encore dans cette maison,
00:15:55 sauf vous.
00:15:56 Je crois que les gens doivent traiter pour la connaître,
00:15:58 pas la juger de bonne à mauvaise, comme je le dis, je le reconnais.
00:16:01 C'est pour ça qu'il le traite si intensément,
00:16:03 parce qu'il ne fait qu'un autre truc tout le jour,
00:16:05 plus que le traiter.
00:16:06 Tu finis ma patience.
00:16:07 C'est la seule qui est venue ici pour parler avec moi.
00:16:09 Si elle n'aime pas mon conversation, elle peut partir.
00:16:11 Je suis venue parce que je suis ta mère et que je n'aime pas que tu te comportes comme ça.
00:16:13 Mais comment ?
00:16:14 Je suis très bien.
00:16:15 Quand je suis laissée tranquille, je suis bien.
00:16:17 Non, tu es en colère avec le monde, tu es amargée.
00:16:19 Tu n'es pas heureuse, tu ne vis pas la vie.
00:16:22 Oui, c'est pour ça que vous appréciez moi, non ?
00:16:25 Maintenant, je comprends.
00:16:27 Tu penses vraiment que ton père aimerait que tu te comportes comme ça ?
00:16:31 Non.
00:16:32 Parce que ton père aimerait que tu sois heureuse et que tu t'amuses.
00:16:35 Mon père aimerait que nous honrions sa mémoire,
00:16:37 et non que nous nous comportions comme si il n'avait pas mort il y a seulement quelques mois.
00:16:41 Je suppose que tu préfères me voir tombée et pleurnant dans les coins, non ?
00:16:46 Non, pas ça.
00:16:47 Je préfère qu'il se conduise avec dignité,
00:16:49 pas comme une vieille heureuse de l'opéra.
00:16:51 Mais je vois que je lui demande un impossible.
00:17:04 Je lui ai dit que j'étais très fatigué et je suis parti de son bureau.
00:17:07 - Et tu lui as fait un coup de poing ? - Oui, j'ai fait.
00:17:10 Oh mon Dieu, Salvador, avec le peu que le monsieur Baeza aime les coups de poing !
00:17:13 - Comment tu peux faire ça ? - Parce que j'étais fatigué, je te l'ai dit.
00:17:16 Il me regardait tous les jours.
00:17:18 Mais c'est lui le maître, c'est son travail de regarder.
00:17:20 C'est comme si c'était l'Esprit-Saint-Marie, je n'y pouvais plus.
00:17:23 Et qu'a-t-il dit ?
00:17:25 Après le coup de poing, rien, parce que je ne l'ai pas rencontré.
00:17:28 Avant, il m'a menacé de me faire partir.
00:17:30 Que tu sois sans travail, que je le vois.
00:17:32 - Que tu te lèves de la promesse. - Ne t'en fais pas.
00:17:35 Si je dois partir de la promesse, je vais.
00:17:37 - Je te l'ai dit, pas de problème. - Mais qu'est-ce que tu dis, tête de fous ?
00:17:40 - Arrête-toi un peu et va là-bas. - Où ?
00:17:44 Où va-t-il ?
00:17:45 Parler avec le monsieur Baeza et demander pardon pour ton comportement et ce que tu lui as dit.
00:17:49 Quoi ? Pas parler ? Non, c'est mon dignité qui est en jeu, je ne vais pas.
00:17:52 Mais on verra, Salvador, que les pauvres ne peuvent pas nous permettre de nous donner de la dignité quand on le veut.
00:17:56 Tu, ce soir, quand tu te lèves, tu as toute la dignité que tu as besoin. Mais pas maintenant.
00:18:00 Mais comment je vais faire des serviettes après tout ce que je lui ai dit ?
00:18:03 Salvador, si tu ne le fais pas pour toi, fais-le pour moi, je te le demande.
00:18:06 - Mais fais-le. - D'accord, je vais, mais demain.
00:18:10 Maintenant, tout est trop récent.
00:18:12 [Musique]
00:18:36 Le chocolat est prêt.
00:18:38 Et les pico-tostes aussi. Donc à la table avant que les autres ne viennent.
00:18:42 Que bien, on va commencer aujourd'hui.
00:18:48 Le chocolat avec les pico-tostes.
00:18:50 C'est mon déjeuner préféré.
00:18:53 Tu sais qui aimait aussi le chocolat avec les pico-tostes ? Le père Camilo.
00:18:57 - Qu'il y avait des atracons avec lui. - Qui était-ce ?
00:19:00 Un fresco, quel pavé, le Camilito.
00:19:02 En réalité, on a découvert que ce n'était pas son vrai nom.
00:19:05 Mais qui était-ce ?
00:19:07 Un homme qui est venu ici et qui s'est passé un temps en tant que chrétien.
00:19:11 - Et il a fait de l'argent ? - Qu'il nous a fait de l'argent.
00:19:14 Il avait un chrétien comme moi, comme une monge.
00:19:17 Il est venu ici un jour, de passage.
00:19:19 Et puis, il a été trouvé malheureux sur le chemin.
00:19:22 Il a dit qu'il avait été attrapé par des robbeurs.
00:19:24 En tout cas, on lui a donné le couloir.
00:19:26 Le couloir et la nourriture. Et pas trop, hein ? Parce que tu vois comment il mange.
00:19:30 - Je l'ai eu depuis le début.
00:19:32 Mais il y avait ici quelqu'un qui s'est fait attraper par le farceur.
00:19:36 - Qui ? - A voir si tu le sais.
00:19:39 - La même Petra. Elle a eu un coup de poule avec le chrétien.
00:19:45 - Elle était bien ?
00:19:47 - Pas beau, pas mignonne.
00:19:49 Mais on voit que à Petra, les hommes avec des sotanes l'aiment.
00:19:52 A chaque fois, il les donne.
00:19:55 - C'est vrai qu'il avait un bon couloir, le chrétien.
00:19:58 - Et un bon boisson, hein ? Il se lavait bien le cou.
00:20:01 - Il boivait le vin comme de l'eau.
00:20:04 - Il était un gourmand. Bébé et gossard. Il en avait tout.
00:20:07 Il n'y avait pas de façon de qu'il s'en allait du palais.
00:20:10 - Il était ici à corps de roi. Et en plus, il ne donnait pas de coup de poule.
00:20:13 - Tu te souviens de l'histoire du vin de cuisiner ? Tu ne vois pas comment il le traçait ?
00:20:17 - Et personne ne s'est échappé et ne l'a dit aux hommes ?
00:20:20 - Quand quelqu'un en a dit quelque chose, Petra était très encaprichée et le défendait à capes et à espades.
00:20:25 En tout cas, on a laissé le sujet.
00:20:27 - Et pourquoi il s'est endormi ? Si il était là aussi.
00:20:30 - Parce que ta mère et moi, on était tous très inquiets avec lui.
00:20:34 - Beaucoup.
00:20:36 - Alors un jour, on s'est mis en tant que détective, comme dans les romans.
00:20:41 - Et on est entrés dans son chambre. - Et qu'est-ce que vous avez découvert ?
00:20:44 - On a découvert un tas de cartes. Et en les lire comme ça, on a vu que ce n'était pas un cur.
00:20:50 - C'était un espion qui avait venu à la promesse pour obtenir de l'information.
00:20:54 - Un espion ? - Oui.
00:20:55 - Ce que vous entendez, ma fille.
00:20:57 - Quand on a su qu'il n'était pas un cur, il a dû prendre le porte-femme.
00:21:00 - Et ça, c'est le faire bien, Madame Simona.
00:21:02 - Parce que la garde l'a emmené, et c'est comme ça qu'il est arrivé.
00:21:04 - Que me dis-tu ? - Ce que vous entendez, ma fille.
00:21:06 - Le faux cur a emprisonné un arme à M. Marquès.
00:21:08 - Et il a presque emprisonné le pauvre Lope.
00:21:11 - C'est pour ça que quand ils l'ont emprisonné, nous avons tous été très heureux.
00:21:14 - Enfin, tous, moins Petra.
00:21:16 - Parce que la femme avait une tête plus élevée que celle qu'elle avait.
00:21:20 - Et le coup de poing que l'a donné le cur.
00:21:23 - Alors, pour que vous puissiez voir les choses qui se passent ici,
00:21:25 - et l'entretenue que nous sommes.
00:21:27 - Allez, chacun son travail.
00:21:29 - Je vais prendre un.
00:21:31 - Ici, on ne s'ennuie pas.
00:21:33 - Et nous sommes super entretenues.
00:21:35 - Une fille m'a dit qu'elle voulait me voir.
00:21:48 - Oui, s'assoie, s'il te plaît.
00:21:51 - Je voudrais qu'on parle tranquillement.
00:21:53 - Vous le direz.
00:21:55 - Je ne sais pas si vous savez que mes parents sont arrivés hier soir à la promesse.
00:21:59 - Je n'étais pas au courant.
00:22:01 - Bien oui, ils sont venus en attente d'une réponse des Marquès sur le futur de mon mariage.
00:22:06 - Mais il n'y en a pas eu.
00:22:08 - Et ça ?
00:22:10 - Don Alonso a dû aller à Puebla de Tera, urgentement,
00:22:13 - et moi, maintenant, je dois rester dans ce maléfique palais jusqu'à ce qu'il revienne.
00:22:17 - D'accord. Et il m'a seulement appelé pour me dire...
00:22:20 - Non.
00:22:22 - Je voulais qu'on parle de...
00:22:27 - mon enfance.
00:22:29 - Tu vas dire la vérité, d'une seule fois ?
00:22:32 - Je lui ai déjà dit que c'était mon intention, mais je ne peux pas.
00:22:36 - Pourquoi, Gimena ?
00:22:38 - Il ne sera qu'un moment et tu verras que je m'en rassure quand je parlerai.
00:22:42 - Je ne peux pas.
00:22:44 - Il ne sera qu'un moment et tu verras que je m'en rassure quand je parlerai.
00:22:48 - Parce que je ne trouve pas la façon de le faire sans causer plus de douleur dans cette maison.
00:22:52 - Gimena, c'est plus simple que tu penses.
00:22:54 - Il faut seulement se poser devant Manuel et ses parents et dire la vérité.
00:22:58 - Et je le ferai. Mais pas encore.
00:23:00 - Et j'espère que vous ne vous en faites pas.
00:23:03 - Non. Non, non, bien sûr que non.
00:23:07 - Je crois que vous devez décider comment et quand le faire.
00:23:11 - Mais si je le fais, je ne me laisserai plus de remède.
00:23:16 - Pardonnez-moi, c'est une menace ?
00:23:19 - Non, je ne dis que que vous devez parler.
00:23:22 - Je vous dis que ce n'est pas facile de dire quelque chose comme ça à votre mari ou à vos parents.
00:23:26 - Ils vont comprendre, vous verrez.
00:23:28 - Je le doute.
00:23:30 - Cet enfant est oublié.
00:23:32 - Et le rappeler maintenant ne donnerait que la tristesse à tous.
00:23:36 - Ce n'est pas oublié, Gimena. Il faut donc en parler d'une seule fois.
00:23:39 - Bien, et si vous arrêtez de me pressionner ?
00:23:42 - Et je vous offre une aide économique.
00:23:45 - Une très généreuse.
00:23:47 - Madame Gimena, je vous apporte un café.
00:23:58 - Servez-le, s'il vous plaît.
00:24:00 - J'ai pris la liberté de demander une cuillère.
00:24:07 - Merci.
00:24:09 - Hannah, tu peux partir.
00:24:20 - Si nous avons besoin de quelque chose d'autre, nous t'appellerons.
00:24:31 - C'est bon, madame.
00:24:33 - Avec n'importe quoi, vous pouvez m'appeler.
00:24:36 - Merci.
00:24:38 - Et bien ?
00:25:00 - Que me dit-il ?
00:25:03 - Une bière, comme ça ?
00:25:05 - Je pense que c'est trop tôt pour commencer à boire, capitaine.
00:25:11 - Ou trop tard pour ne pas avoir commencé encore.
00:25:14 - Nous devons parler de son promesse.
00:25:17 - Elle va loin.
00:25:19 - Est-ce qu'il s'est passé quelque chose avec Catalina ?
00:25:23 - Hier, nous avons eu des discussions.
00:25:25 - Je pense qu'elle a des sujets sur moi.
00:25:28 - Elle m'a demandé.
00:25:31 - Elle m'a demandé si j'avais quelque chose à voir avec le commerce des armes.
00:25:34 - Et pourquoi elle est-elle venue ?
00:25:37 - Elle a fait quelque chose qui lui a fait suspirer ?
00:25:39 - Je crois pas.
00:25:40 - J'ai fait tout mon possible pour s'occuper de ce sujet.
00:25:43 - Alors pourquoi elle s'est passée ?
00:25:45 - Je suppose que, étant un soldat,
00:25:47 - elle a pensé que j'avais un accès facile à la vente d'armes,
00:25:50 - et que c'est pour ça que vous l'avez entamée,
00:25:52 - pour qu'elle entre dans le commerce des conserves.
00:25:54 - Et vous avez négocié tout, n'est-ce pas ?
00:25:56 - Bien sûr que je l'ai négocié.
00:25:58 - Je lui ai dit qu'elle ne savait rien de tout ça,
00:26:01 - et qu'elle n'aurait pas permis que ça se passe comme ça.
00:26:05 - Et elle a cru ?
00:26:06 - J'ai essayé de faire le plus convaincant possible.
00:26:09 - Espérons qu'elle l'ait cru,
00:26:12 - parce que, comme elle a découvert que je lui ai menti aussi
00:26:14 - quand je l'ai pressée pour que vous entrez dans notre société...
00:26:16 - Si ça se passait, je crois que son mariage se terminerait par aller à Piquet,
00:26:21 - si ce n'est qu'elle n'est pas partie.
00:26:23 - Et quand elle a parlé avec elle, elle l'a vu très doulée ?
00:26:27 - Non, pas doulée.
00:26:29 - Décaillée, triste, sans force. Je crois que je ne l'avais jamais vue comme ça.
00:26:33 - Quand a-t-elle découvert les armes ?
00:26:36 - Pensez que si elle ne l'avait pas fait, vous seriez maintenant en train de créer des malvaux.
00:26:41 - Oui, c'est vrai.
00:26:43 - Elle m'a sauvé la vie et je n'ai rien fait d'autre que de l'envoyer en enfui.
00:26:46 - Non, vous avez fait autre chose.
00:26:48 - Vous avez mélangé les affaires avec l'amour.
00:26:51 - C'est une combination qui ne sort pas bien.
00:26:53 - Je n'ai jamais pensé à mélanger rien.
00:26:56 - J'ai toujours été clair que mon priorité était le commerce.
00:26:59 - Et vous avez commis la banalité d'en faire l'amour.
00:27:02 - Oui, c'est vrai. Et maintenant je ne sais pas ce que je vais faire pour la récupérer.
00:27:07 - Je le vois compliqué.
00:27:10 - Elle l'a enrahée, au moins, elle ne l'a pas enrahée avec d'autres.
00:27:13 - Ça ferait les choses totalement impossibles.
00:27:16 - Je ne crois pas que les choses pourraient être pire que ce qu'elles sont maintenant.
00:27:19 - En tout cas, bonne chance.
00:27:22 - En ce qui concerne l'argent...
00:27:25 - Je l'ai déjà donné.
00:27:26 - Quand va-t-il me donner ma part de l'entrée ?
00:27:28 - Vous verrez que Cavendish n'a pas payé.
00:27:31 - Attendez un instant.
00:27:33 - Vous avez laissé que l'anglais porte ses armes sans lâcher une pincée ?
00:27:38 - Vous comprenez que le moment où il a payé, c'était le dernier truc qui m'a préoccupé.
00:27:42 - Je sais que vous êtes dans une situation de pression.
00:27:45 - Mais c'est la même chose pour moi.
00:27:48 - Ou pensez que je ne laisse pas de vie à des gens plus dangereux que l'anglais.
00:27:52 - Nous trouverons une solution.
00:27:53 - Non, non, non, non, vous trouverez la solution.
00:27:57 - Vous, seul.
00:27:59 - J'espère que vous avez des argents.
00:28:02 - J'ai le plaisir de voir ma fille sourire quand elle écoute nos vieilles histoires.
00:28:21 - Oui, elle a bien apprécié la danse du curé.
00:28:24 - Il n'y a rien de meilleur que la bonne sourire et des pieds torpides pour commencer le jour.
00:28:29 - Je pense que si nous la maintenons contente, au final, elle va se faire des froids.
00:28:33 - C'est ce que nous sommes, Simona, pour qu'elle soit à la main de sa mère.
00:28:36 - Dieu vous en prie.
00:28:37 - Mais il faut faire quelque chose pour qu'elle se sente dans la promesse comme si c'était sa propre maison.
00:28:42 - Il faut qu'on en pense quelque chose, Simona. Nous avons beaucoup d'inventivité.
00:28:45 - Oui, il faut faire quelque chose.
00:28:46 - Parce que je me casse les pieds quand je la vois si triste.
00:28:50 - Il me semble que cette fille est aussi très bien dans la danse, la Sœur Catalina.
00:28:54 - C'est ce que nous disaient les dames.
00:28:56 - Oui. Rappelez-vous que Hannah nous a raconté.
00:28:59 - Et elle a vu les deux discuter, la Sœur Catalina et le Don Pelayo.
00:29:02 - Oui. On voit que la pauvre est très très très très triste.
00:29:05 - Ou malade, hein. Parce qu'elle va à la maison de la nouvelle dame.
00:29:08 - Elle a demandé qu'on la servisse pour le déjeuner dans sa chambre.
00:29:10 - Il y a quelque chose qui se passe.
00:29:12 - Parce qu'elle est de la première à être à la table.
00:29:14 - Je vous présente une tarte d'almendres récemment faite.
00:29:18 - Avec une recette très ancienne.
00:29:20 - Plus ancienne que la Simona ?
00:29:21 - Plus ancienne. C'est une recette gallienne de la Deux-Midières.
00:29:24 - Quand l'almendres était peu, on pouvait la manger.
00:29:28 - En fait, on l'appelait "torte réelle".
00:29:30 - Mais maintenant, on peut la servir aux pauvres, non ?
00:29:33 - Non. C'est pour les hommes. Je ferai une pour nous.
00:29:36 - Lopé, pourquoi es-tu venu ?
00:29:37 - Pour nous mettre bien sur les lèvres et ensuite nous enlever.
00:29:39 - Pour leur montrer la tarte et leur demander quelque chose.
00:29:43 - Ta question ?
00:29:45 - Mais il faudrait qu'on lui donne un morceau.
00:29:47 - Si tu veux qu'on t'en répond.
00:29:48 - Non, Madame Candela. Il faut que l'on le trouve à la table.
00:29:50 - Ce n'est pas un "menester", Lopé.
00:29:52 - Avant de la servir, tu la couperais en morceaux.
00:29:54 - Et tu en ferais deux pour nous.
00:29:56 - On va l'aimer.
00:29:58 - On ne l'a pas déjà fait.
00:30:00 - Bon, ne me dérangez pas.
00:30:03 - Le problème, c'est que...
00:30:05 - Je veux lui donner quelque chose, mais je ne sais pas ce que.
00:30:07 - Et tu ne te passe pas à la tête quelque chose qu'elle aime ?
00:30:10 - Je cherche quelque chose de spécial et qui lui dure toute sa vie.
00:30:14 - Une jolie chose, spéciale ?
00:30:16 - Si elle ne la perd pas, elle la tiendra pour toujours ?
00:30:18 - Si je l'avais pensé, Madame Candela.
00:30:20 - J'ai cherché dans le Lujan, mais je n'ai pas trouvé de chose de décente.
00:30:23 - Et ce que j'aimais, je ne pourrais pas le payer, ni un million d'années.
00:30:26 - Pourquoi tu ne te rapproches pas du bazar ?
00:30:29 - Si j'étais là, Madame Semana.
00:30:32 - Si ça n'a pas de perdue.
00:30:33 - Le garçon, il ne sait pas faire des trucs.
00:30:36 - De quel truc tu parles ?
00:30:38 - Dans le bazar, il y a de tout à la vue.
00:30:42 - Mais il y a aussi des choses qui ne peuvent pas être vues.
00:30:44 - Quelles choses ?
00:30:46 - Je vais te dire.
00:30:48 - Regarde, Don Agapito, qui est le propriétaire,
00:30:53 - a au fond du bazar un coffre qu'il ne montre à personne.
00:30:58 - Un coffre génétique de jolies.
00:31:01 - Et pourquoi il ne les montre pas ?
00:31:04 - Parce que beaucoup de jolies sont arrivées là-bas par la foule.
00:31:07 - Et l'homme, il veut que tout le monde le sache,
00:31:09 - qu'il s'occupe aussi de la jolie,
00:31:11 - de la foule qui est dans le bazar.
00:31:13 - Bien sûr, ce bazar le porte avec plus de discrétion.
00:31:16 - Mais si tu dis que tu vas de notre côté,
00:31:20 - et qu'il veut voir le coffre,
00:31:22 - il ne te le montrera pas.
00:31:24 - Je suis sûr qu'il t'attend très bien.
00:31:25 - Nous sommes des bons clients.
00:31:27 - Merci pour le conseil. Si je pouvais, j'y allais maintenant.
00:31:30 - Et pourquoi tu ne vas pas ?
00:31:31 - Parce que j'ai déjà fait un boulot hier.
00:31:33 - Et aujourd'hui, ce n'est pas mon jour.
00:31:34 - Bon, le dessert est déjà fait.
00:31:37 - Et ce qu'il reste à faire, c'est de se faire un petit déjeuner.
00:31:40 - Alors, vas-y !
00:31:41 - Nous nous sommes déjà préparés.
00:31:43 - La tarte est pour les hommes.
00:31:45 - Bien, ne la préparez pas autant.
00:31:48 - Vous savez à quoi je parle.
00:31:49 - Deux morceaux, Lope.
00:31:51 - Madame Simona.
00:31:52 - C'est une blague, garçon ?
00:31:55 - Nous sommes deux professionnels.
00:31:58 - Nous ne nous faisons pas la bouchée.
00:32:00 - D'accord.
00:32:01 - Je vais. Merci.
00:32:04 - Merci.
00:32:05 - Attention avec la tarte.
00:32:10 - Nous sommes des professionnels.
00:32:20 - Non ? Simona ?
00:32:22 - Tant que, avant de servir les choses, nous les goûterons.
00:32:28 - Pour voir s'elles sont bonnes.
00:32:33 - Tu as un petit couteau, Candela ?
00:32:35 - Tu peux en prendre un de chaque côté.
00:32:37 - Un, deux, trois.
00:32:38 - Un petit peu de cacao.
00:32:40 - Manuel.
00:32:47 - Je n'ai pas le temps pour des blagues.
00:32:51 - Je sais, mais ce ne seront que quelques secondes.
00:32:53 - Prends-moi quelque chose qui t'intéresse.
00:32:55 - Commence alors.
00:32:58 - Gimena voulait parler avec moi et m'a dit qu'elle n'avait pas pensé raconter la vérité sur l'embarassement.
00:33:03 - Elle a son logique.
00:33:04 - Elle ne veut pas qu'on le sache, c'est pourquoi elle a essayé de te faire ennuyer.
00:33:07 - Si elle veut qu'elle s'arrête avec moi, alors personne ne le saura.
00:33:10 - C'est pour ça que tu es venu ?
00:33:13 - Pour me dire ce que nous tous nous espions ?
00:33:16 - Non, non, non. La chose est qu'elle change de stratégie.
00:33:18 - Et qu'est-ce qu'elle veut faire maintenant ?
00:33:20 - Comme elle n'a pas pu me tuer, elle me subverse.
00:33:23 - Elle m'a offert beaucoup d'argent pour mon silence.
00:33:25 - Quoi qu'il en soit, pour que sa farce ne soit pas publiée.
00:33:30 - Bien sûr que je ne l'ai pas accepté. Et je lui ai dit qu'il devait confesser la vérité.
00:33:34 - Alors tu as été trompé.
00:33:38 - Comment ?
00:33:43 - Tu dois accepter ce donner, Abel.
00:33:45 - Mais Manuel, je veux que ses actions aient des conséquences. Pourquoi il faudrait l'accepter ?
00:33:49 - Parce que nous ne voulons pas que Gimena s'en souvienne et qu'elle ne sache pas que tu as pu nous raconter la vérité.
00:33:53 - Et si tu acceptes ce don, elle pensera que tu es de son côté.
00:33:56 - Je ne sais pas ce que vous attendez pour ce mascarade, Manuel. Je ne comprends pas.
00:33:59 - Il n'y a pas grand chose à comprendre. Nous le ferons.
00:34:03 - Mais nous cherchons le moment opportun pour gérer cette révélation. Et c'est tout.
00:34:08 - D'accord. Je ferai ce que tu me dis.
00:34:12 - Fais-le.
00:34:13 - Mais ne penses pas, Abel, que ceci compense tout le mal que tu as fait.
00:34:20 - Que ceci compense tout le mal que tu as fait.
00:34:21 - En avant.
00:34:40 - Bonjour, Don Romulo.
00:34:42 - Vous me demandez de me répéter que vous n'avez pas envie de faire ceci ou cela ?
00:34:46 - Non. Je ne suis pas venu vous demander de me détenir pour les formes que j'ai utilisées hier.
00:34:50 - Oui, pour les formes.
00:34:52 - Je ne devais pas vous parler de cette façon.
00:34:54 - Alors vous venez me demander de me détenir pour les formes.
00:34:57 Alors vous devez me dire ce que vous avez dit.
00:35:00 - Je pense que je suis raisonnable en ce qui concerne les repas, même si vous n'êtes pas d'accord.
00:35:04 - Non. Nous devons tous avoir des repas.
00:35:08 Mais nous devons aussi être alertes en cas d'imprévu.
00:35:13 - Je suis votre supérieur. Je devrais prendre en compte mes opinions.
00:35:17 - Je le sais, monsieur. Et je les prends en compte.
00:35:20 Je sais que vous êtes le chef.
00:35:22 En tout cas, je ne devais pas vous parler de cette façon.
00:35:25 Et je ne devais pas partir comme je suis parti.
00:35:27 - En faisant un coup de poing.
00:35:28 - C'est ça.
00:35:30 - D'accord. Je reçois vos excuses.
00:35:33 Ils disent que rectifier est des sages.
00:35:36 Et dans ce cas, vous l'avez fait, en partie.
00:35:39 En ce qui concerne les formes...
00:35:41 - Je vous le dis, je me suis très déçu.
00:35:43 - Nous avons tous le droit de perdre nos formes.
00:35:45 Mais vous, dans votre position, devez apprendre à vous contenir.
00:35:48 Vous ne allez pas vous faire faire une fureur chaque fois qu'un serviteur fait quelque chose de mal.
00:35:52 - Non. Je me contiendrai.
00:35:54 - J'espère.
00:35:55 Tous ceux qui sont au-dessus d'autres,
00:35:58 devons garder la templance et la bonne saisire.
00:36:01 - Je le prendrai en compte. Et je ne l'oublierai pas.
00:36:03 Je n'ai plus rien à dire.
00:36:06 Donc, si vous n'en avez pas envie, je m'en vais.
00:36:09 - Monsieur Romea, cette fois, je ne vais pas vous faire un coup de poing.
00:36:13 - Monsieur Baeza,
00:36:21 est-ce qu'il s'est passé quelque chose avec le monsieur Romea ? Il parlait très sérieusement.
00:36:25 - Rien de grave. Nous avons eu des discussions.
00:36:28 - Encore ?
00:36:30 - Non, mais cette fois, tout a été plus léger.
00:36:32 Il est venu se déculper de son comportement hier.
00:36:37 - Je ne veux pas me mettre où je ne suis pas appelée.
00:36:40 - Et chaque fois que je l'entends dire, il se met où il ne l'est pas appelée.
00:36:45 - C'est possible, mais pour savoir si je me mets ou non,
00:36:48 où je ne suis pas appelée, vous devez m'écouter d'abord.
00:36:50 - Monsieur Romea et vous êtes à la Grèce,
00:36:55 et le meilleur pour tous serait qu'ils nous suivent.
00:36:58 - Tous ?
00:36:59 Pardonnez-moi, mais ce sujet ne nous atteint que le monsieur Romea et moi.
00:37:02 - Je crois que vous avez fait un erreur, monsieur Baeza.
00:37:05 - Il y a des rumeurs au service que l'opportunité que vous a donnée le monsieur Romea est une farce,
00:37:09 et que vous avez un candidat parfait, hors de promesse, pour être un premier lacayo.
00:37:14 - Et qui est-ce qui diffuse ces rumeurs, si je peux savoir ?
00:37:17 Monsieur Romea ?
00:37:20 - Est-ce vrai ou non ?
00:37:23 - Et pourquoi je ferais quelque chose comme ça ?
00:37:25 - Je le dis parce que ce serait très mauvais de ne pas donner une opportunité à quelqu'un de chez lui,
00:37:29 avant de donner à quelqu'un qui est idéal pour vous.
00:37:33 - Non, regardez, le problème ici est que le monsieur Romea vous donne une opportunité,
00:37:37 une très bonne opportunité, et vous avez à l'appui, vous l'utilisez ou pas.
00:37:42 - Je ne voulais que me biaiser, monsieur Baeza.
00:37:45 - Je vous remercie, madame Adarle, mais dans ce cas, laissez-moi faire de ma façon.
00:38:02 - Hanna, Hanna, s'il te plaît, je te demande juste quelques minutes.
00:38:05 - Je n'en ai pas.
00:38:06 - J'ai besoin de ton pardon comme l'air que je respire.
00:38:08 - Et tu sais ce que j'ai besoin ?
00:38:10 Un ami à qui je peux confier, mais dans cette vie, on n'a pas tout ce que nous voulons.
00:38:13 - Hanna, je ne voulais pas mentir.
00:38:15 - Bien que tu ne le souhaites pas, car j'ai dû le faire.
00:38:18 - C'était la circonstance, Hanna.
00:38:21 Parfois, la vie nous fait passer des chemins que l'on ne veut pas.
00:38:24 - Quelle politique tu te mets maintenant, avec une sarte de mentires que tu as maintenues pendant des semaines.
00:38:28 - Je n'en ai plus.
00:38:30 - Tu n'en as plus.
00:38:32 Tu sais ce qui se passe, Abel ?
00:38:34 Tu n'en as plus.
00:38:36 Tu as choisi les mentires et tu sauras pourquoi.
00:38:38 - Je ne voulais pas le faire, mais ça m'est sorti de mes mains.
00:38:41 Et ça a grandi comme une balle de neige.
00:38:42 - Et tu voulais que ça se passe ?
00:38:44 Tu as menti sur une vie qui allait arriver au monde et tout ce que ça allait faire, c'était de grandir.
00:38:48 - Et ça ne me fait rien de confier la vérité, même si je savais que je m'en serais perdu.
00:38:53 - Et maintenant, tu veux que nous te saluons pour faire quelque chose que tu devrais avoir fait depuis le début ?
00:38:56 - Non, Hanna, je ne veux pas que vous me saluez.
00:38:58 Je ne le mérite pas. Je veux seulement que vous me pardonniez.
00:39:01 - Que je vous pardonne ? - Oui.
00:39:03 - Et pourquoi ? Parce que le mal est déjà fait et il ne peut pas être remis à la haine.
00:39:07 - Ça me ferait beaucoup de bien savoir que tu me pardonnes.
00:39:10 - C'est ce que tu veux, mon pardon ? - Oui.
00:39:13 - D'accord, je te pardonne.
00:39:15 - Non, pas comme ça, Hanna. Un pardon de coeur.
00:39:19 - C'est de coeur, Abel.
00:39:21 Mais ce que je ne peux pas faire, c'est oublier ce que tu as fait.
00:39:24 C'est dénoncer ton profession, c'est rompre le jugement hypocrite et en plus, tu as entrainé tous tes amis.
00:39:30 - Donc tu me pardonnes, mais tu n'oublies pas.
00:39:33 - Ce n'est pas impossible.
00:39:35 - Quel genre de pardon est-ce, Hanna ?
00:39:38 - Le seul que je peux t'offrir.
00:39:41 Je suis désolée, Abel, mais à partir de maintenant, je ne peux plus m'en confier.
00:39:46 - Je ne peux plus m'en confier.
00:39:48 - Je ne peux plus m'en confier.
00:39:50 - Je ne peux plus m'en confier.
00:39:52 - Je ne peux plus m'en confier.
00:39:54 - Je ne peux plus m'en confier.
00:39:56 - Je ne peux plus m'en confier.
00:39:58 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:00 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:02 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:04 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:06 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:08 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:10 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:12 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:14 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:16 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:18 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:20 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:22 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:24 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:26 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:28 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:30 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:32 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:34 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:36 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:38 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:40 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:42 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:44 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:46 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:48 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:50 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:52 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:54 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:56 - Je ne peux plus m'en confier.
00:40:58 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:00 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:02 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:04 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:06 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:08 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:10 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:12 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:14 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:16 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:18 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:20 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:22 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:24 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:26 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:28 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:30 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:32 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:34 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:36 - Je ne peux plus m'en confier.
00:41:38 - Pourquoi vous faites tout ça ?
00:41:40 - Faire quoi, fille ?
00:41:47 - Je ne me suis pas trompée.
00:41:50 Je me rends compte qu'aujourd'hui,
00:41:53 vous êtes très prudentes de moi.
00:41:56 Vous essayez toujours de m'entretenir.
00:41:58 - C'est vrai, fille.
00:42:04 Nous voulons que tu sois à l'aise ici.
00:42:06 - Oui, mais nous voulons que tu saches que c'est ta maison.
00:42:10 - Oui, parce que nous savons que tu n'es pas bien,
00:42:13 dans la promesse.
00:42:15 Et que tu te prends pour la tête de partir.
00:42:17 - Mais ça n'a rien à voir avec vous,
00:42:19 ni avec les gens de cette maison.
00:42:21 C'est pour ces ennuis que je suis entrée.
00:42:24 - Je sais, je sais.
00:42:26 Mais je pense que je peux me retenir sans toi.
00:42:29 - Viens, Simone, ne te mets pas comme ça.
00:42:32 - Oui, maman, ne te mets pas comme ça.
00:42:34 - Je veux partir, mais je ne peux pas continuer
00:42:36 avec ce "sans vivre".
00:42:38 - C'est pour ça que nous faisons tout ce qui est en notre main,
00:42:40 pour que tu sois à l'aise ici et que tu ne te rendes pas en anguisse.
00:42:43 - Je t'aime ici, dans la promesse, fille.
00:42:46 Tu ne t'imagines pas la joie que ça me donne
00:42:48 quand tu te vois par la matinée,
00:42:50 que si j'ai envie de te faire un embras,
00:42:52 ou un cent, ou un mille bisous...
00:42:55 - Maman, je suis aussi très heureuse, à la soeur.
00:42:58 - Je sens que, avant que tu viennes,
00:43:03 ma vie était grise et je n'avais pas beaucoup d'allégries.
00:43:07 - Maintenant, tu vas en avoir beaucoup plus.
00:43:10 Parce que, peu importe ce qui se passe,
00:43:12 toi et moi, maman, nous ne nous en perdrons jamais.
00:43:15 - Et c'est le Mahjong,
00:43:30 un jeu qui n'est pas très connu en Europe,
00:43:32 mais qui est très populaire en Chine.
00:43:34 - Et tu l'as découvert, là-bas ?
00:43:36 - Oui, en voyage à la province de Sichuan.
00:43:38 C'est un jeu très ancien.
00:43:40 Confucius lui-même l'a créé.
00:43:42 - Ah, Confucius ?
00:43:44 Mon père répétait souvent une phrase de cet homme.
00:43:47 "Pardonnez-le tout, celui qui ne pardonne rien à lui-même."
00:43:50 - Très bien, oui.
00:43:53 - Et c'est très compliqué, le jeu ?
00:43:56 - Bien, dominer, ça coûte,
00:43:58 mais apprendre le juste pour s'amuser, pas si dur.
00:44:01 - Tu veux qu'on joue un peu ?
00:44:03 Je t'enseigne les règles.
00:44:05 - Je ne sais pas.
00:44:06 - Il faut 4 joueurs, mais je peux trouver quelqu'un.
00:44:09 - Non, ne t'en fais pas.
00:44:11 - Je t'assure, c'est très amusant.
00:44:13 - Je ne le dis pas pour ça.
00:44:15 Je n'ai pas l'âme pour les jeux.
00:44:17 - Quoi ? Il s'est passé quelque chose ?
00:44:20 - Comme toujours.
00:44:22 Ma fille se comporte comme une maléducée
00:44:24 et je commence à m'en faire faire.
00:44:26 - Tu vas faire quelque chose avec elle ?
00:44:30 - Quoi ?
00:44:31 - Je l'ai répété cent fois.
00:44:33 Vous êtes juste un paire d'amis qui s'amuse ensemble.
00:44:37 C'est tout.
00:44:38 - Et pourquoi ?
00:44:40 - Je sais.
00:44:42 - Parce que...
00:44:45 C'est ce que nous sommes,
00:44:48 monsieur le gouverneur.
00:44:50 Un paire d'amis.
00:44:59 - Oui, bien sûr.
00:45:01 Si entre nous, il y a seulement une amitié saine.
00:45:05 - Oui, bien sûr.
00:45:08 C'est ce qui est à l'œil de tous.
00:45:11 - Et vous devez être patient avec votre fille.
00:45:14 Martina est très jeune et est très affectée par la mort de son père.
00:45:18 - Et moi aussi.
00:45:20 C'est pour ça que je dois me garder enclenchée.
00:45:23 - Non, non.
00:45:24 Bien sûr que non. La vie continue.
00:45:26 Martina finira par ouvrir ses yeux.
00:45:29 - Je ne sais pas.
00:45:31 C'est compliqué.
00:45:33 Ça m'a fait beaucoup de mal parce qu'elle est très timide.
00:45:36 - Margarita,
00:45:37 votre patience doit être plus forte que la timidité de votre fille.
00:45:41 - Oui, ça devrait le faire.
00:45:43 Mais la patience de toute femme a un limite.
00:45:46 Vous le savez.
00:45:48 - Oui.
00:45:52 Bien sûr.
00:45:54 Je vais me changer pour le dîner.
00:45:57 Si vous le permettez.
00:46:05 - Je veux encore me demander pardon.
00:46:08 Je lui ai déjà dit que je ne veux pas l'entendre.
00:46:10 - Pourquoi pas ? Tout le monde a le droit à ce qu'on l'écoute.
00:46:13 - Je l'ai déjà écouté et j'ai entendu beaucoup de mentires.
00:46:16 Je ne veux pas encore.
00:46:17 - Il a déjà eu assez de mentires.
00:46:19 Il veut des vérités.
00:46:20 Il ne devait pas s'en prêter.
00:46:22 Il pourrait se prendre le secret à la tombe.
00:46:24 - Il va avec ses vérités. Je ne m'intéresse pas à ça.
00:46:27 - Je ne veux pas.
00:46:29 - Je ne veux pas.
00:46:31 - Je ne veux pas.
00:46:33 - Que se passe t-il ?
00:46:35 - Je me sens mal.
00:46:38 - Que tu te sens mal ?
00:46:40 - Oui. Il y va dans le palais de Muttriston.
00:46:44 Il regarde le sol. Il s'en prête les pieds.
00:46:47 - Il se fait mal. Il a cherché à lui-même avec ses moques.
00:46:50 Ce qu'il a fait n'a pas de nom, Maria.
00:46:52 - Tu parles comme si il était le seul à le faire.
00:46:54 Comme si la dame n'avait pas à faire.
00:46:57 - Non, bien sûr que Gimena a à faire, Maria.
00:46:59 - Je crois qu'elle a tout à faire.
00:47:01 - Bien sûr qu'elle a tout à faire.
00:47:03 Et l'autre, elle s'est obligée de lui suivre le jeu.
00:47:06 - Pourquoi elle s'est obligée, Maria ?
00:47:08 Elle lui a aidé à faire le malheur de l'embarassement.
00:47:11 - J'ai peut-être mangé sa tête.
00:47:13 - Je te dis que les deux ont la même faute.
00:47:15 Même Abel.
00:47:16 On sait que Gimena ne gère pas bien, mais lui, oui.
00:47:19 - Tu as raison.
00:47:23 - Je me rappelle de la quantité de frigos que j'ai dû donner à Gimena.
00:47:28 - C'est quoi ? - C'est un gros délire, l'embarassement.
00:47:31 - Comment pour le trouver ?
00:47:34 - Je me rappelle de lui avoir vu un peu de la barrière.
00:47:38 - Que vas-tu dire, Maria ?
00:47:40 - Je te dis que je l'ai vu.
00:47:42 - C'était à sa gestion.
00:47:44 - Sa quoi ?
00:47:45 - Sa gestion.
00:47:46 Elle était sûre de l'embarassement,
00:47:48 comme tous les autres qui ont vu des choses où elles ne le savaient pas.
00:47:51 - C'est comme si c'était une brouhaha.
00:47:53 - Je te dis que c'est plus normal que ça.
00:47:57 - Bonjour, les filles.
00:47:59 Prenez des gâchettes, elles sont très bonnes.
00:48:02 En plus, dans tous les travaux, on se repose.
00:48:07 - Merci, Simona.
00:48:08 - Elles sont vraiment très bonnes, Simona.
00:48:11 Tu as fait de la crème de limon ?
00:48:13 - Oui, et un peu de sucre.
00:48:15 - Elles sont délicieuses. Merci.
00:48:17 - Elles ne le méritent pas.
00:48:18 Vous pouvez me faire un favor ?
00:48:20 Vous pouvez dire à la Ségurita Catalina que le biscuit est prêt ?
00:48:23 - Bien sûr, si vous voulez, je vous en mettrai une portion.
00:48:25 - Non, je préfère qu'elle s'en aille à la cuisine.
00:48:27 Je vois comment elle se passe.
00:48:29 - Ne vous en faites pas, je vais aller la chercher.
00:48:31 - Merci beaucoup, Anna.
00:48:32 - Et nous ne pouvons toujours pas nous rappeler les gens ?
00:48:45 - Oui, nous ne pouvons pas continuer comme ça plus longtemps.
00:48:47 - Non, évidemment.
00:48:48 Monsieur Baeza,
00:48:53 si les chambres étaient votre,
00:48:55 que feriez-vous ?
00:48:57 - Vous allez vous faire fantaiser avec les chambres,
00:49:00 comme le ferait Maria Fernandez.
00:49:01 - Il n'y a rien de mauvais à imaginer et rêver un peu, non ?
00:49:04 - Eh bien, je crois que le premier que j'aurais voulu faire
00:49:09 c'est d'acheter une maison à côté du mar
00:49:11 et une barque pour aller pêcher.
00:49:13 - Anna ?
00:49:14 - Oui.
00:49:15 - Je ne savais pas que tu aimais pêcher.
00:49:16 - Moi ?
00:49:17 Je fais ça depuis...
00:49:19 quand j'étais enfant.
00:49:20 Chez mon grand-père.
00:49:21 On sortait à la nuit, chaque matin.
00:49:25 Comment je manquais ces temps-ci.
00:49:28 Et vous ?
00:49:29 Que feriez-vous, Madame Darre ?
00:49:31 - Je ferais sans doute aller chercher mon fils.
00:49:33 C'est le premier.
00:49:34 Et ensuite, je pense que je vais vivre à Madrid
00:49:37 et que je monterais un business.
00:49:39 Regardez, une mercerie, par exemple.
00:49:41 Et avec ce que je pourrais avoir,
00:49:42 je payerais les études à Diego.
00:49:44 - Parce que si vous arrêtiez de travailler à la Promessa,
00:49:46 vous arrêtiez de percevoir la malnutrition
00:49:48 que la marquise vous donne pour son fils.
00:49:50 - C'est ce qui a été signé dans ce contrat.
00:49:52 Et je le signais parce qu'il n'y avait plus de choix.
00:49:54 - Alors, vous arrêteriez vraiment la maison
00:49:59 et payer ce débit ?
00:50:01 Ou vous resteriez ici,
00:50:02 continuer à travailler et en s'en sauver encore plus ?
00:50:04 - Monsieur Loezza,
00:50:05 j'ai accepté ce contrat pour une seule raison.
00:50:07 Même si je pouvais, je n'accepterais pas
00:50:08 une seule autre marquise.
00:50:10 - Bien sûr.
00:50:12 Il ne faut jamais sous-estimer cette femme.
00:50:14 Jamais.
00:50:15 Peu importe ce qu'elle a signé dans ce contrat,
00:50:18 elle est capable de trouver la façon
00:50:20 de dynamiter ce contrat à n'importe quel moment.
00:50:22 - En compromettant ainsi le futur de mon fils, Floresta.
00:50:25 - Mais on ne peut pas directer plus.
00:50:27 Il faut parler aux gens du débit
00:50:29 avant que l'information ne arrive de l'autre côté.
00:50:32 - Vous savez ce que je vous dis ?
00:50:35 C'est une peine.
00:50:36 Pourquoi ne pas avoir en main
00:50:39 des marquises comme celle-ci ?
00:50:41 Vous ne le pensez pas ?
00:50:42 - Non.
00:50:44 - Et c'est pour ça que je n'avais pas l'intention
00:50:46 de rentrer dans la cuisine, Simone.
00:50:48 Même pas pour sortir de ma chambre.
00:50:51 - Mais qu'est-ce que l'on a fait à le conde d'Agnès
00:50:55 pour que vous soyez ainsi ?
00:50:57 - Il m'a décevue, Simone.
00:51:01 Je ne m'attendais pas à ça de lui.
00:51:04 - Mais à qui, mademoiselle ?
00:51:07 - A mon fils.
00:51:09 - Mais pourquoi ?
00:51:11 - Mais pourquoi, mademoiselle ?
00:51:13 - Non...
00:51:16 Je ne peux pas vous le dire.
00:51:19 - C'est si grave ?
00:51:22 - La question, c'est que ce n'est pas la personne
00:51:26 que je croyais que c'était.
00:51:28 J'ai été enceinte pendant des mois.
00:51:32 - Quelle peine, mademoiselle,
00:51:39 de ne pas avoir compris
00:51:41 à quel point vous étiez émue par ce garçon.
00:51:43 Mais je vais vous dire quelque chose.
00:51:47 Même si vous êtes très déçue,
00:51:50 ne prenez pas une décision en colère,
00:51:52 car vous allez vous en remercier.
00:51:54 Attendez, attendez un peu.
00:51:55 - Non.
00:51:56 J'attendrais des années et rien de ce que je pense changerait.
00:52:00 De petite, je me suis rendue compte
00:52:03 que je ne me laissais pas faire des choses pour les enfants.
00:52:06 - C'est vrai.
00:52:08 C'est un génie que vous avez passé quand vous le voulez.
00:52:10 - Oui, ma mère l'a vu depuis le début.
00:52:12 Et ne croyez pas que je me suis rendue compte.
00:52:14 Tout le contraire.
00:52:16 Elle m'a dit de ne pas permettre
00:52:18 que aucun homme me dise ce qu'il pouvait ou ne pouvait pas faire.
00:52:22 Je l'ai tout gagné en me battant.
00:52:27 En me faisant en sorte de ne pas être frappée.
00:52:36 Jusqu'à ce que je connaissais le comte d'Aignel.
00:52:38 Et je me suis fait amoureuse comme une folle.
00:52:40 Comment j'ai été si stupide.
00:52:49 J'ai été rendue compte d'un falsaire.
00:53:00 Et maintenant, je sens que je ne sais pas qui c'est.
00:53:05 Je ne sais pas si il m'aime.
00:53:07 Ou si je suis allée être frappée tout ce temps.
00:53:10 Je t'aime, Béla.
00:53:14 Je t'aime avec toute ma âme.
00:53:19 Béla, je suis Gome de la Serne.
00:53:34 Gome d'Aignel.
00:53:36 Veux-tu me marier ?
00:53:40 Réveille-toi, Catalina.
00:53:46 Si je veux.
00:53:55 C'est ce que je veux le plus dans le monde.
00:53:58 Je veux te voir.
00:54:00 Madame Catalina.
00:54:16 Excusez-moi.
00:54:18 Les marquises et leur prometteur cherchent vous dans tout le palais.
00:54:22 Ils disent qu'ils vont voir le Paroc.
00:54:27 Je l'avais oublié.
00:54:29 Ils veulent parler avec lui pour ajuster les détails de la fête.
00:54:33 Ils attendent la porte.
00:54:36 Allons-y. Ils arrivent tard.
00:54:39 Je suis désolée.
00:55:07 Madame Gimena, je t'ai dit que j'allais chercher une autre marquise.
00:55:10 Je voulais que tu la cherchais.
00:55:13 C'est ce qu'ils m'ont dit.
00:55:15 Je peux me demander pourquoi ?
00:55:17 Je suis contente de te voir.
00:55:19 Ne me malinterprètes pas. J'aime aussi la compagnie de Hanna et Thérésa.
00:55:23 Mais tu es aussi une très bonne marquise.
00:55:26 Tu vas me faire des couleurs.
00:55:29 Si ça ne vous suffit pas, je m'en vais.
00:55:33 Attends.
00:55:36 Ton mari s'appelle Salvador, n'est-ce pas ?
00:55:38 Oui.
00:55:40 Il assiste souvent à mon mari.
00:55:42 J'ai assisté à Mauro, mais il est parti.
00:55:45 Ça a été un peu étrange.
00:55:47 Je suppose qu'ils parlent.
00:55:49 Qui n'en parle pas ?
00:55:51 Bien sûr. Tout le monde parle.
00:55:54 Nous parlons maintenant.
00:55:56 Ce n'est pas étrange que quelqu'un partage avec son enfant
00:56:02 si il a bien ou mal passé le jour, s'il est en colère.
00:56:05 Bien sûr.
00:56:07 Nous sommes ici pour écouter.
00:56:09 Si vous voulez parler, bien sûr.
00:56:12 Ce n'est pas que nous écoutons en cachant.
00:56:14 Parfois, c'est inévitable.
00:56:16 Inévitable ?
00:56:19 Vous avez les yeux et les oreilles.
00:56:22 Vous ne voyez que les yeux et vous écoutez que les oreilles.
00:56:26 Oui, je ne sais pas.
00:56:29 Je ne sais pas.
00:56:30 Maria, pensez-vous qu'il peut y avoir quelqu'un
00:56:36 qui sait plus de un homme
00:56:38 que celui qui l'aide à se dresser ?
00:56:40 Celui qui l'accompagne dans son alcove ?
00:56:42 Je ne crois pas.
00:56:44 Je comprends que oui, que nous ne...
00:56:46 Bien sûr.
00:56:52 Personne ne vous donne l'importance.
00:56:54 Tout le monde parle comme si vous n'étiez pas devant.
00:56:58 Et surtout, comme si vous n'étiez pas une menace.
00:57:00 Vous savez que Manuel aime une autre femme ?
00:57:07 Je ne dis pas ça, Mariana.
00:57:10 A cette époque, tout le palais le sait.
00:57:12 Ah, oui ?
00:57:14 Oui.
00:57:16 Et Maria,
00:57:19 si quelqu'un peut savoir quelque chose
00:57:21 sur l'identité de cette jeune fille,
00:57:23 c'est Salvador.
00:57:27 Je ne crois pas.
00:57:28 Madame.
00:57:30 Je vois.
00:57:32 Mais si il sait quelque chose,
00:57:34 il l'a sûrement partagé avec sa copine.
00:57:37 Vous comprenez où je viens ?
00:57:41 Maria.
00:57:44 Je ne sais pas, Madame.
00:57:46 Je crois que vous le savez.
00:57:48 Et vous ne sortirez pas d'ici
00:57:50 jusqu'à ce que je vous raconte tout.
00:57:52 Salvador.
00:57:54 [Rires]
00:57:55 [Rires]
00:57:56 [Rires]
00:57:57 [Musique]
00:57:59 [Musique]
00:58:01 [Musique]
00:58:03 Vous savez quoi, Simone ?
00:58:04 Quand il va devoir boire un café,
00:58:06 on va lui donner un poulgant.
00:58:08 Et il va rester une semaine sans sortir de l'excusé.
00:58:10 Madame, ça ne peut pas être fait.
00:58:12 C'est mal.
00:58:14 Ou qu'ils l'aient pensé,
00:58:16 avant de faire mal à notre Catalina.
00:58:18 Si vous le trouvez bien,
00:58:20 je vais parler avec le Père Fermin.
00:58:22 Vous devez le faire très bien
00:58:24 avant que le Père ne se sente offensé
00:58:26 par la tête de Catalina
00:58:28 et que l'officier se ré-déploie à la fête.
00:58:31 Un peu mieux, oui.
00:58:32 Et qu'est-ce que vous avez besoin pour être bien ?
00:58:34 Ça a quelque chose à voir avec mon frère.
00:58:36 Je vois que tu t'es préoccupée
00:58:38 du fait que la fête soit de Catalina.
00:58:40 Ce qui m'inquiète vraiment,
00:58:42 c'est le bon nom de cette famille.
00:58:44 Ça me ressemble.
00:58:46 Comme on s'inquiète un peu,
00:58:48 on va bientôt parler de la malédiction
00:58:50 des mariages des Lujan,
00:58:52 qui tous finissent en erreur.
00:58:54 Par des raisons que je ne connais pas,
00:58:56 ils savent où elle est et ne me le veulent pas dire.
00:58:58 Comme je n'aime pas qu'ils me mentent,
00:59:00 ils savent où est Lope.
00:59:01 Monsieur Baeza, je vous assure que ça ne se reproduira pas.
00:59:03 Non, non, je ne sais pas si vous le croyez.
00:59:05 J'aimerais bien, mais après,
00:59:07 comment vous vous comportez ?
00:59:09 - Nous ? - Oui, vous.
00:59:11 Tout d'abord, M. Romea,
00:59:13 qui a perdu sa forme.
00:59:15 Et maintenant, vous,
00:59:17 qui vous déplace de votre poste de travail.
00:59:19 Je suis très désolée, madame,
00:59:21 mais je ne peux pas faire ce que vous demandez.
00:59:23 Pourquoi pas ?
00:59:25 Si M. Manuel s'en souvient,
00:59:27 il se moquerait de moi.
00:59:29 Si vous me retenez sans vivre,
00:59:30 dites-moi ce qui se passe, malgré le mal que ce soit.
00:59:32 Vous savez ce que c'est.
00:59:34 Vous y allez ?
00:59:36 Mon offre économique continue.
00:59:38 Je lui ai dit que je serais plus généreuse que d'habitude.
00:59:45 En l'occasion de votre promesse.
00:59:47 Bien sûr.
00:59:49 Que décidez-vous ?
00:59:51 Je ne sais pas.
00:59:53 Sous-titrage Société Radio-Canada
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