• il y a 7 mois
MOUMBAGNA envoie l'OM en 1/2 finale de l'EUROPA LEAGUE ! MARSEILLE - BENFICA 1-0 4-2 TAB ! Pau Lopez a été décisifs, les minots Raimane Daou et Gael Lafont sont entrés, une qualification magique ! ALLEZ L'OM !

#om #olympiquedemarseille #marseille

0:00 : NE PAS BANALISER
2:54 : Mon analyse à froid
8:45 : Les choix de Gasset
12:06 : 1 minute sur Gael Lafont et Raimane Daou
14:06 : Tops / Flops
16:25 : Prochaine étape Atalanta
18:40 : MERCI

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Category

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Sport
Transcription
00:00 Bonjour, je m'appelle Christophe.
00:01 Aux armes !
00:03 Et moi aussi, je suis supporter de l'Olympique de Marseille.
00:06 Nous sommes les Marseillais !
00:09 C'est pas facile tous les jours, surtout cette saison.
00:12 Et nous allons gagner !
00:15 Et on est qualifiés en demi-finale de l'Europa League.
00:19 Allez l'OM !
00:22 Quel pied, quel pied !
00:25 Allez Marseille !
00:29 Ouais, on y est ! On est en demi-finale !
00:32 On est en demi-finale de l'Europa League.
00:35 Profitons !
00:38 C'est un bonheur exceptionnel,
00:41 extraordinaire.
00:43 Il ne faut pas le banaliser.
00:45 Non, non, non !
00:46 Il ne faut pas banaliser une demi-finale de Coupe d'Europe.
00:50 Il y a un ADN à Marseille.
00:52 Il y a l'ADN de l'Europe.
00:54 On y est.
00:56 Mais ce n'est pas une finalité.
00:58 Il va falloir aller plus loin.
01:01 Il y a beaucoup d'émotion dans cette vidéo,
01:03 parce que je vous dis tout,
01:05 c'est très dur de perdre au tir au but.
01:08 On n'a rien gagné encore.
01:11 On n'a pas gagné de trophée.
01:13 Mais il ne faut pas banaliser.
01:15 Je n'oublie pas, toutes proportions gardées,
01:18 moi dans ma vie perso, j'ai perdu une finale de Coupe du Monde
01:21 en 2006 au tir au but.
01:23 J'en ai perdu une le 18 décembre 2022 au tir au but.
01:27 Je dis "je" parce que peu de gens me connaissent
01:32 et ceux qui m'ont vu au stade hier savent
01:35 que j'ai vécu la séance de tir au but
01:37 avec beaucoup d'intensité, beaucoup d'émotion, dans ma bulle.
01:41 J'étais fermé.
01:43 Parce que c'est trop dur de perdre au tir au but.
01:45 Et hier, on s'est qualifiés.
01:47 On a perdu aussi, rappelez-vous, Annecy.
01:50 On a perdu aussi, rappelez-vous, et rappelons-nous, contre Rennes.
01:55 Là, hier, on l'a gagné.
01:57 On est qualifiés en demi-finale de l'Europa League.
02:02 Deuxième demi-finale en trois saisons.
02:05 Alors certains vont banaliser, quittez la vidéo.
02:08 Ciao, merci d'être venu.
02:11 Lâchez un pouce bleu ou un pouce bas, comme vous voulez.
02:14 Moi, je ne vais pas banaliser.
02:16 Parce qu'en face, il y a le Bayern, les Werkusen,
02:18 il y a la Roma et il y a la Talenta.
02:21 Et les supporters de ces clubs-là ne banalisent pas.
02:25 L'Europe, c'est quelque chose.
02:27 À Marseille, c'est quelque chose.
02:30 Et on va y aller.
02:32 Et on va y aller.
02:33 Et on va y aller.
02:35 Bienvenue sur CMFootball, les amis.
02:37 Je sais que certains d'entre vous, qui me connaissent,
02:40 attendaient quelque chose.
02:41 On va le faire.
02:42 On va le faire.
02:43 On va le faire, mais on va profiter.
02:45 On va profiter avant de sortir.
02:48 Ce qu'il faut sortir.
02:50 Grosse introduction, mais immense.
02:52 Oui, cette Olympique de Marseille est immense.
02:54 Et cette Olympique de Marseille a été chercher cette qualification
02:57 en demi-finale de l'Europa League.
03:00 Yes !
03:01 Yes !
03:03 On y est.
03:04 Et on va aller chercher.
03:06 Marseille est une fête héroïque.
03:08 Il ne faut pas banaliser.
03:10 Il faut être heureux.
03:11 Et ce match avait commencé par le bon bout.
03:14 Avec, évidemment, deux joueurs qu'on n'attendait pas.
03:18 Bon, après, on va revenir dessus.
03:21 Mais il y en a un qui a fait six minutes intéressantes.
03:23 Et après, on ne l'a pas vu.
03:25 Mais ce n'est pas grave.
03:26 Unai pour Ndiaye, qui se met dans le bon sens.
03:29 Le ballon lui reste un peu trop collé sur les jambes.
03:32 Mais il a cette première occasion.
03:34 Bien sorti par le gardien du Benfica.
03:37 Ensuite, on a une situation de Joao Silva, je crois, contre nous.
03:42 Mais de Rafa Silva, pardon.
03:45 Et on le voit tout de suite, l'axe central qui monte sur lui et qui l'empêche.
03:49 Benfica n'a pas cadré une frappe en première mi-temps.
03:52 C'est dû au système tactique de Jean-Louis Gasset.
03:54 Et ensuite, on a Pierre-Emericko Bameyang qui va frapper de loin en première mi-temps.
03:58 Mais on a senti cet OM un peu timoré, je trouve, en première mi-temps.
04:02 Mais on le verra tout à l'heure dans l'analyse des choix de Gasset.
04:05 On a senti un OM qui était très bien organisé et qui a étouffé le bloc portugais.
04:11 En deuxième mi-temps, on a encore une fois, on l'avait dit en avant-match,
04:14 il fallait frapper de loin.
04:16 Bon, Geoffrey Condogbia, ce n'était pas celui que j'attendais au niveau de la frappe.
04:20 Mais il a tenté. Il a frappé, ce n'est pas rentré.
04:23 Et puis après, il y a le "show Lopez".
04:25 Ce n'est pas "Pao Lopez", c'est le "show Lopez".
04:27 Pourquoi ? Parce que là, il sort bien sur le latéral gauche du Benfica,
04:32 qui va frapper dans le petit filet.
04:34 On va avoir cette occasion de Léo Balerdi un peu trop...
04:40 Je ne sais pas comment on dit... un peu trop rapide sur le ballon.
04:44 Un peu trop rapide malheureusement.
04:46 Et il ne va pas cadrer sa frappe.
04:50 Et puis on va avoir cette frappe de Geoffrey Condogbia, 67e minute.
04:54 On se dit, ce n'est pas possible. Frappe cadrée.
04:57 Mais une chiche, bonhomme !
05:00 Et non ! Frappe à ras-de-terre, le gardien se détend bien.
05:03 Il doit mieux faire à ce niveau-là.
05:05 Et puis, on a le "show Lopez", cette double parade à la 74e minute.
05:09 Ouf ! Je le disais dans le stade.
05:13 C'était peut-être le tournant du match. Je l'espérais.
05:16 J'espérais, parce qu'il fallait avoir de l'espoir.
05:19 Mais on voyait les minutes passer.
05:21 Et puis, il va y avoir cette 79e minute.
05:24 Jordan Veretout qui passe à Pierre-Emerick Aubameyang,
05:28 qui s'infiltre dans la surface de réparation.
05:30 Il va déposer un caviar pour Faris Moumbania.
05:34 Et Faris Moumbania va avoir la réussite qu'il faut pour aller chercher une qualification,
05:41 pour aller chercher la prolongation.
05:43 Le volcan a explosé.
05:45 Et surtout, on a eu cette réussite.
05:48 Quand j'ai préparé cette vidéo, je me suis dit,
05:51 il y a quelque chose dans cette Europe qui nous maintient.
05:55 Rappelez-vous le but de Geoffrey Kondogbia.
05:57 Regardez l'angle.
05:58 Regardez la densité des joueurs de l'OM dans la surface de réparation,
06:01 dans la surface de but du Shakhtar.
06:03 Du Shakhtar, c'était passé partout.
06:05 Et bien là, c'est pareil.
06:07 C'est passé dans un trou de souris.
06:09 Comme quoi, parfois, la réussite est avec nous.
06:12 Il faut savoir en profiter et ne pas la banaliser également.
06:16 Faris Moumbania qui ouvre le score.
06:18 Et l'OM qui va donc aller chercher une prolongation.
06:21 Où on est passé proche de la correctionnelle.
06:25 Avec Di Maria, dont on va reparler.
06:28 Spoil.
06:29 Non, je ne spoil pas.
06:31 On va en reparler, Di Maria.
06:33 Et je vous le dis avec un grand grand sourire.
06:35 Comme ma veste, ouais aussi.
06:36 Cette veste-là, c'est la veste porte-bonheur.
06:38 Allez, c'est dit.
06:40 Paulo Lopez, Sho Lopez, qui va encore sortir cette frappe cadrée.
06:44 Et puis, on va rapidement arriver à la séance de tir au but.
06:48 Parce qu'il n'y a pas eu de situation dans les prolongations.
06:51 Di Maria qui frappe le poteau.
06:53 Alors, si rarement, même dans ma vie,
06:56 je ne me réjouis jamais du malheur des autres.
06:59 Si on ne peut pas se réjouir de cette tête-là, à ce moment-là.
07:03 Quand est-ce qu'on peut le faire ?
07:05 Di Maria, quand même, c'est un peu le bourreau de l'OM.
07:09 Avec le Paris Saint-Germain.
07:11 C'est un peu le bourreau de l'équipe de France.
07:13 Avec la sélection argentine.
07:15 Poteau sortant.
07:18 Merci, André Di Maria.
07:21 Ciao.
07:22 Et puis, on va voir Paulo Lopez qui va sortir ce pénalty.
07:26 Je partage une confidence.
07:28 J'avais le pressentiment sur ce pénalty que Paulo Lopez allait l'arrêter.
07:34 Je ne sais pas pourquoi. Je ne peux pas vous expliquer.
07:37 Mais quand Antonio Silva va tirer ce pénalty dans ma tête,
07:43 je me dis qu'il va la sortir.
07:46 Il va la sortir.
07:48 Je n'ai pas explosé.
07:50 Aucun des pénalties.
07:51 Ni pour les buts, ni pour les arrêts, ni pour le poteau.
07:53 J'ai attendu la dernière seconde.
07:55 Parce que j'étais content quand même quand j'ai vu Paulo Lopez faire ce geste.
07:59 Mais je ne sais pas si vous l'avez vu du stade.
08:02 Je me suis dit qu'il est super détendu quand même, Luis Enrique.
08:06 Je ne vais pas retourner ma veste. Je l'ai critiqué et je le critiquerai encore.
08:10 Mais super détendu. Joga bonito.
08:12 Il prend le ballon. Il commence à faire des épaules et tout ça.
08:14 Regardez ce regard.
08:17 Le mec, il est déterminé.
08:19 Il va tirer un pénalty qui va qualifier l'OM pour les demi-finales.
08:24 Et il va la placer parfaitement.
08:27 Et là, le stade va exploser. J'ai explosé.
08:30 J'ai pété un câble. J'ai vrillé. J'ai crié.
08:35 Comme tout un stade. J'ai retenu toutes mes émotions jusqu'à ce moment-là.
08:39 Et là, j'ai lâché.
08:42 Alors, on va... Parce qu'on est dans l'analyse quand même.
08:46 Je me lâche, mais j'ai envie de vous proposer du contenu de qualité.
08:49 Et d'ailleurs, je voudrais vous remercier avant de passer à la suite.
08:53 Je ne sais pas combien de personnes sont venues me voir hier.
08:57 Et je vous remercie. C'est fantastique.
08:59 J'ai une chance exceptionnelle de vous avoir en tant que spectateur.
09:04 Et de partager ces émotions avec vous.
09:09 Hier, on a pu discuter avec certains d'entre vous.
09:12 Merci pour votre force. Merci pour votre soutien.
09:15 Je vous avoue, ce n'est pas facile comme métier, parce que c'est mon métier, à réaliser.
09:21 Je vous en reparlerai en fin de vidéo, parce que je ne veux pas digresser.
09:25 Mais on en reparlera en fin de vidéo.
09:27 Bref, alors, les choix de Gasset.
09:30 Bon, il n'avait pas trop le choix.
09:32 Jean-Louis Gasset side, pour ceux qui ont vu Twitter et qui ont vu CBS.
09:37 C'est énorme. Jean-Louis Gasset qui fait la une aux États-Unis. C'est énorme.
09:41 Il avait mis Unai. C'était la tactique et la compo qu'on avait envisagé.
09:46 Surtout, c'est les changements qu'il a opérés.
09:51 Chancel Mbemba qui n'était pas remis totalement.
09:53 Murillo qui rentre. Louis Sennrike pour Unai.
09:55 Alors, je vous avoue, celui-là, ce changement-là, je ne l'ai pas compris.
09:58 Mais je pense qu'il était préparé, parce qu'il arrive à l'heure de jeu.
10:01 Comme Soglo qui sort pour Mumbanya.
10:03 C'était, à mon avis, préparé dans l'histoire de la rencontre.
10:07 Mais les sifflets sur Unai, autant il y en a certains, je peux les comprendre,
10:12 quand il a fait des mauvaises performances.
10:14 Mais hier, il ne s'était pas mérité les sifflets sur Unai.
10:18 La sortie de Soglo, je ne sais pas s'il était blessé, mais il sort un peu tôt,
10:21 parce qu'il fait un bon match.
10:23 Correa et Ndiaye, même combat.
10:26 Les deux ont été vraiment mauvais, mais la différence, c'est que Correa marque le pénalti.
10:31 Ndiaye n'était plus là. On va reparler des minots juste après.
10:34 En tout cas, ce qui est intéressant dans la tactique de l'Olympique de Marseille,
10:37 c'est qu'on est sur un faux 4-3-3, puisqu'il y avait une vraie relance à 3.
10:43 C'est important de le signaler, parce qu'on voit Soglo dans la position moyenne sur le côté gauche,
10:47 qui était vraiment placé très haut.
10:49 On voit Kondogbia qui venait rechercher le ballon,
10:52 et Unai Harit qui combinait à 3 pour ceux qui ont suivi la canne,
10:57 pour ceux qui suivent le Maroc.
10:59 Ça ressemblait un peu, sur ce côté-là, à ce qu'a fait Walid Rehkaghi.
11:04 À la différence que le Maroc, quand Unai joue, il a Hakimi derrière lui et il a Tziyech devant.
11:10 Je ne vais pas faire injure à Harit et Ndiaye, mais c'est un petit cran au-dessus.
11:16 J'ai trouvé qu'Unai était vraiment bon dans sa première mi-temps.
11:20 Le système d'étouffement, là il a étouffé.
11:24 On a vu un bloc très haut, des lignes de passe coupées, un vrai pressing.
11:28 C'est peut-être pour ça que dans l'émotion de la première mi-temps, j'ai tweeté
11:33 "Les joueurs savent que c'est un match décisif".
11:36 Ils l'ont préparé et c'est là qu'on voit la différence entre des joueurs professionnels
11:40 et que c'est facile de parler quand on est derrière un micro et une caméra.
11:44 Je me suis trompé parce que quand tu regardes l'analyse d'après-match,
11:49 le bloc était vraiment bien haut, bien resserré pour faire tomber et étouffer,
11:54 comme l'a dit Roger Schmidt, l'entraîneur du Benfica.
11:57 Ces joueurs ont été étouffés et l'OM n'a pas laissé de place à son adversaire.
12:05 Alors je voudrais faire une petite minute sur ces deux jeunes joueurs.
12:09 Elle est magnifique cette photo, je ne sais pas qui l'a prise, il faudrait la créditer.
12:13 Elle est exceptionnelle cette photo parce qu'on est tous supporters de l'OM,
12:18 attirés par les jeunes, attirés par les minots.
12:21 Rayman Daou et Gaël Laffont ont joué leur première minute professionnelle
12:26 dans un quart de finale de Coupe d'Europe au Stade Vélodrome.
12:29 Bravo !
12:31 Bravo parce que je vous dis mon émotion quand je les ai vus.
12:37 Évidemment, elle est plus tirée vers Rayman Daou qui a eu plus de minutes,
12:41 qui a eu du caractère, un vrai caractère.
12:45 D'ailleurs, c'est lui qui chante dans le vestiaire aussi.
12:47 Vrai caractère ce bonhomme, vrai caractère.
12:51 Gaël Laffont a touché moins de ballons donc je ne peux pas me faire un avis.
12:54 Mais déjà, de rentrer et de profiter de ça, les mecs allaient tirer un pénalty quand même.
12:59 Ils étaient en capacité d'aller tirer un tir au but.
13:02 Je ne sais pas si on se rend compte.
13:04 Bravo, bravo à ces jeunes.
13:06 Regardez, 20 ballons, 20 minutes jouées pardon, 14 ballons pour Rayman Daou,
13:11 5 petits ballons pour Gaël Laffont.
13:12 On ne peut pas les juger mais on peut juger le caractère d'un joueur.
13:16 Moi, je n'ai pas trouvé Rayman Daou timoré.
13:21 En tout cas, je l'ai senti vraiment prêt à rentrer sur le terrain et à en découdre.
13:25 Et on l'a vu plusieurs fois, bonhomme.
13:28 Alors, il faudra confirmer.
13:29 Il ne faut pas sortir mes propos du contexte.
13:31 Mais il faut les féliciter.
13:32 En tout cas, c'est domino.
13:33 Et ça montre aussi, quand on regarde le verre à moitié plein,
13:36 enfin regarder le verre à moitié vide, on ne va pas revenir dessus.
13:39 Mais quand tu vois le nombre de blessés, quand tu vois la préparation estivale,
13:42 tu te dis quand même qu'on a loupé quelque chose.
13:44 On ne va pas revenir, c'est fait.
13:45 On l'a déjà dit plusieurs fois.
13:46 Bravo, je vais faire le biais positif.
13:50 Beaucoup aiment bien le biais négatif.
13:51 Moi, j'aime bien le biais positif parce que sourire et être heureux,
13:55 ça rend les gens en bonne santé.
13:57 Et j'ai choisi ce côté-là.
13:59 Gaël Lafon et Rayman Daou.
14:01 Bravo, les jeunes.
14:02 Oui, les top flops.
14:07 Top, évidemment, Paulo Pes.
14:09 Qu'est-ce que je suis heureux pour lui.
14:11 Quatre fois, il est parti du bon côté.
14:14 Quatre fois, il est parti du bon côté.
14:16 Alors, c'est peut-être la chance.
14:18 Moi, je pense que ça se travaille.
14:20 Il l'a dit, il l'a reconnu.
14:21 Ce n'est pas son point fort, les pénaltys.
14:23 Mais à force de travailler, on réussit.
14:25 Et moi, je crois en la progression.
14:27 Je crois à cette équipe.
14:30 Je crois en ses joueurs.
14:32 Et bravo, Paulo Pes.
14:34 C'est vraiment, pour moi, l'homme du match.
14:35 Il a eu neuf dans l'équipe.
14:36 Ce n'est pas anodin.
14:38 Petit clin d'œil.
14:39 Je ne vais pas vous refaire ma tirade sur Léo Balerdi.
14:45 Mais on va le pleurer, lui, quand il va partir.
14:47 Quel bonhomme.
14:49 Quel joueur.
14:52 Quel match.
14:53 Il a fait des erreurs.
14:55 Et qui n'en fait pas ?
14:56 Il est imparfait.
14:57 Il est marseillais.
14:58 Et heureusement qu'il est imparfait.
15:00 Il représente la ville.
15:03 Il représente le club.
15:05 Je pense qu'il peut être capitaine.
15:06 Vous me direz votre commentaire.
15:07 Vous me direz ce que vous en pensez.
15:08 Mais Balerdi, bonhomme.
15:10 Allez tirer ce pénalty après ce qu'il a vécu.
15:12 Après Annecy, l'année dernière.
15:14 Regardez ce regard.
15:16 Bonhomme.
15:18 Bravo.
15:19 Quel kiff.
15:22 Et Jordan Veretout.
15:24 Parce que, du stade, j'étais un peu déconnecté à un moment.
15:28 J'étais dans mes pensées.
15:29 J'étais out.
15:30 Mais il ne sort pas.
15:32 Il ne sort pas parce qu'on joue à 10 derrière.
15:36 Il a tenu.
15:37 Il a couru.
15:38 Il a été cherché.
15:40 Et c'est ça mouiller le maillot.
15:42 Et donc, oui.
15:43 Grand bonhomme Jordan Veretout.
15:45 Qui est à l'origine du but de Fares Mumbania.
15:47 Quelle performance.
15:49 Quelle perf.
15:51 Je vais rapidement passer sur le flop pour moi de cette rencontre.
15:54 C'est Elie Manendiai évidemment.
15:56 Mais je suis obligé de le dire parce que sinon vous allez me dire encore en commentaire.
15:58 "Ouais non mais tu tailles pas assez Elie Manendiai."
16:00 Je n'ai pas envie de le tailler.
16:02 C'est juste qu'il n'a pas été bon hier.
16:03 Maintenant quand tu regardes la performance et le pressing qu'il a réalisé en premier temps.
16:06 Il a participé à l'équipe.
16:08 Je ne veux pas non plus le descendre.
16:11 Ça n'a pas été le meilleur marseillais.
16:13 Ça a peut-être été le moins bon.
16:15 Mais il a participé à la qualification.
16:17 Et il reviendra posément à l'issue de la saison sur ses performances.
16:20 En tout cas l'OM est en demi-finale.
16:24 Va rencontrer la Talanta Bergam.
16:27 Je vous l'ai mis dans le menu.
16:30 La Talanta Bergam, est-ce qu'on peut en parler ?
16:32 Je ne vais pas vous faire ces hipsters du football qui vous disent.
16:37 "Ouais la Talanta je les ai vu, je les regarde toutes les semaines."
16:40 Moi je ne suis pas en capacité aujourd'hui de vous le dire.
16:42 Parce que je n'ai pas vu le match de la Talanta.
16:44 En revanche, je vais travailler et je vais vous proposer un contenu.
16:48 Justement dans les prochains jours sur la Talanta Bergam.
16:51 Mais je voulais aussi vous dire quelque chose.
16:54 C'est que tout le monde voyait Liverpool en demi.
16:59 Eh ben non, ça sera la Talanta.
17:01 Et on s'était dit aussi.
17:05 Pourquoi faire aller en demi ?
17:07 Parce qu'on va se faire taper à Anfield.
17:10 Dans le même sens, dans la même veine.
17:12 Ne disons rien pour la suite, ne présageons rien.
17:16 Regardez justement le tableau comment je vous l'ai proposé.
17:19 Ça montre l'humilité qu'on doit avoir.
17:21 Parce que la Talanta, le tableau que je vous ai proposé, il ne montre pas la finale.
17:26 Parce qu'il y a cette double confrontation à aller chercher.
17:30 Peu importe, moi je vous dis tout de suite.
17:35 Si on est en finale, peu importe l'adversaire.
17:37 Si on est en finale, il va falloir aller taper la Talanta.
17:41 Il va falloir aller les chercher.
17:43 Parce que ça peut être dans l'inconscient collectif une équipe à notre portée.
17:48 On analysera les forces, les faiblesses.
17:51 Et je vous donne rendez-vous dans les prochains jours pour regarder cette vidéo.
17:56 Je vais conclure, mais pour ceux qui sont encore là, ce message s'adresse à vous.
18:02 J'ai beaucoup de chance de vivre de mon métier, de vivre de ma passion.
18:07 C'est grâce à vous.
18:11 Rendez-vous cet après-midi 16h30 sur Le Vestiaire.
18:13 C'est mon autre chaîne.
18:14 On est parti avec Thomas vivre 3 jours de nuit à Londres pour faire un vlog
18:20 pour un de nos partenaires qui s'appelle Weekend Foot.
18:22 Vous le verrez, il est affiché dans la vidéo qu'on a réalisée.
18:27 Je vous partage ça parce que ça me fera plaisir que vous alliez voir ce vlog,
18:32 que vous vous abonnez à la chaîne Le Vestiaire.
18:35 Je vous partage ça également parce que je vais passer une semaine,
18:39 je pars en vacances 15 jours.
18:41 Les vrais mots, c'est ça. Je pars en vacances 15 jours.
18:43 J'ai beaucoup de chance.
18:45 Je pars en famille, mes premières vacances en famille avec mes enfants
18:49 depuis que ma petite fille est née.
18:51 Première vacance que je vais faire à 4 et on va profiter.
18:55 On va profiter, ça veut dire que je vais couper.
18:58 Je vais couper parce que c'est important de couper pour le mental.
19:01 J'ai fait le calcul ce matin. On est le 19 avril, c'est le 109e jour de l'année.
19:08 C'est la 135e vidéo que je réalise.
19:12 Ce n'est pas sain, clairement.
19:15 Ce n'est pas sain, mais quand on a une passion, on la partage.
19:17 Je vais couper. Je n'ai pas peur de l'algo.
19:20 Beaucoup de créateurs disent que l'algorithme et tout ça, j'en fais partie.
19:25 Ce n'est pas grave. L'algorithme, il va vivre.
19:30 Nous, on va se retrouver.
19:32 Je vous partagerai du contenu quand je serai en vacances
19:36 parce que j'aurais envie de le faire, mais je ne vais pas le faire en défensif vis-à-vis de l'algorithme.
19:42 Si je peux, je tournerai. Si je ne peux pas, je ne tournerai pas.
19:46 En revanche, les matchs de l'OM, je vais les suivre.
19:48 Je ne serai pas au Vélodrome pour la demi-finale.
19:51 Mais j'ai besoin de vacances et j'ai beaucoup de chance de partir en vacances.
19:58 C'est grâce à votre soutien aussi, grâce à vous, parce que je sais que je peux compter sur vous.
20:03 Merci beaucoup. C'était ce que je voulais dire dans la vidéo tout à l'heure.
20:08 J'ai complètement digressé, mais ça fait partie des bons moments.
20:13 Hier, on a discuté. Je pense qu'une bonne dizaine de personnes sont venues pour discuter.
20:21 N'hésitez pas quand on est au Vélodrome. On discute, on parle.
20:25 Franchement, c'est un vrai kiff. J'ai énormément de chance.
20:28 Je suis très heureux à titre personnel. Maintenant, à titre pro, les gars,
20:33 si vous êtes salarié de l'OM, si vous êtes supporter de l'OM dans les virages,
20:41 si vous êtes joueur de l'OM ou si vous êtes au centre de formation de l'OM,
20:45 ou même dans le staff, il faut tout donner. Il reste trois matchs.
20:52 Trois matchs et on va aller chercher un trophée.
20:56 On sait ce que c'est d'être en demi. On sait ce que c'est d'être en finale.
21:00 Et on doit devenir la première équipe à remporter l'Europa League, la première équipe française.
21:08 Allez l'OM. Bonnes vacances à vous si vous partez. Et je me souhaite bonnes vacances aussi.
21:14 Allez, merci. Ciao.
21:17 Merci.

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