• il y a 8 mois
Un policier accusé de violences familiales a été relaxé par le parquet général de Metz pour "droit à la correction". Trois recours auprès de la Cour de cassation ont été déposés par les deux avocats de la femme et des enfants du policier, mais également par le parquet général. Des professionnels du droit évoquent une décision "jurisprudentielle et sans fondement légal".

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Transcription
00:00 -La limite, en réalité, ça a été très décrié.
00:04 On a appelé ça un peu la loi antifessée, etc.
00:07 La réalité, c'est que toutes les études ont montré
00:10 que les violences physiques, les violences psychologiques
00:14 sur les enfants ont des effets délétères,
00:17 des effets graves sur leur santé physique, psychologique,
00:21 et que finalement, toute forme de violence
00:23 dans l'éducation est à bannir.
00:25 C'est vraiment une avancée très importante qu'on a faite.
00:29 Cette décision marque un retour en arrière
00:32 par l'utilisation d'une notion désuète.
00:34 Le droit de correction.

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