• il y a 7 mois
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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Transcription
00:00Vendredi matin, j'ai pris une photo de mon père. Pour moi, un souvenir de nos moments.
00:03A prendre le petit-déjeuner avec lui, j'éprouve une gratitude infinie.
00:07Unique moment de douceur dans mon monde de brut.
00:09Je le trouvais beau, avec son éternel regard bleu-acier, vif de bâtant,
00:12qui me donne une force inimaginable, mon immortel à moi.
00:14Je lui ai montré la photo, il la trouvait belle.
00:16Si belle que je lui ai demandé si je pouvais la partager avec vous.
00:18Son public, il se préoccupe de lui.
00:20Alors avec son accord, la voici.
00:21Et à vos inquiétudes, il répond, ne vous faites pas de soucis.
00:24C'est très important pour Anoushka, parce que vraiment, le moment du petit-déjeuner,
00:28c'est leur moment depuis longtemps, chaque fois qu'elle est à Douchy avec son père.
00:32Lui, il lit la presse, c'est son rituel du matin.
00:34Et elle, elle est à côté de lui, elle fait les mots croisés, il se parle.
00:37Et là, vraiment, elle attendait de pouvoir publier cette photo,
00:40parce que je trouve que dans son regard, il y a énormément de choses.
00:44Le sentiment qu'il a pour elle, donc voilà.
00:45C'est un moment de partage.
00:46Beaucoup de gens ont dit, pourquoi montrer une photo d'Alain Delon,
00:49entre guillemets, dans cet état ?
00:51Moi, non. Je trouve qu'il est encore magnifique.
00:52Et c'est très puissant, cette photo. Elle est très signifiante.
00:55Incroyable, cette photo d'Alain Delon.
00:57De toute façon, quoi qu'elle fasse, à Anouchka, on lui trouve toujours des...
00:59D'accord. Des poux dans la tête.
01:00Des poux dans la tête, c'est insupportable.
01:01Donc voilà, je trouve que le message, il est très beau.
01:03Il est à la fois pudique et très joli.
01:05Moi, je trouve ça très émouvant.
01:06Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? T'es pas content ?
01:08Après, il y a deux parties qui s'affrontent quand même.
01:09Et pour les coupes de piscine, ce n'est pas son avis non plus.
01:12Et elle a quand même beaucoup participé à la vie de la famille, donc je ne sais pas.
01:14Alors, quand j'écoute ma mère aussi, voilà.
01:17Merci. Oui, moi, je suis plus...
01:18T'es pas content, Raymond ?
01:19Vous savez quel est mon côté ?
01:21Puisqu'en plus, Anouchka est une amie de Jean Rachid, mon ami.
01:24Donc les amis de mes amis sont mes amis.
01:26Donc voilà, je suis avec Anouchka.
01:28Et voilà, à fond avec Anouchka.
01:29Maintenant, je ne les connais pas.
01:31Je vous dis, je m'en fous.
01:33Moi, je n'ai pas de côté, mais je suis un peu triste du beau bordel
01:35qu'ils ont foutu, ces enfants, quand même.
01:37Que ce soit d'un côté ou de l'autre, ça a foutu un beau bordel.
01:39Parce qu'Alain Delon, c'est un monument.
01:41Les flics sont venus chez lui.
01:42Ils ont saisi des armes qui lui étaient net à cœur.
01:44Là, on dit qu'il est sous curatel.
01:46On dit qu'il va en Suisse.
01:49Alain Delon, c'est quelqu'un, quand même.
01:51Quand tu vois, en comparaison avec la famille Belmondo,
01:54comment ça se passe d'un côté ou d'un autre,
01:55même si c'est différent.
01:56Moi, Alain Delon, c'est un monstre sacré.
01:58Et moi, en tant qu'enfant, si mon père m'avait donné tout ça,
02:01tout ce qu'Alain Delon a donné ou n'a pas donné à ses enfants,
02:03je n'aurais pas fait ça.
02:05Je n'aurais pas mis mon père dans une galère pareille.
02:07Parce que j'ai l'impression, moi, sans choisir de camp,
02:09parce que je n'ai pas de camp, moi, je ne suis pas ni d'un côté ni de l'autre.
02:11J'ai l'impression que dès les flics qui débarquent,
02:13les perquisitions, on les met sous tutelle.
02:14C'est quand même Alain Delon, tu vois.
02:16Après, on a les anciens qu'on mérite aussi.
02:17Oui, mais voilà, c'est ce que je pense moi.
02:19Il y a un contrôle fiscal.
02:21Un contrôle fiscal, tout le bordel,
02:22les armes que peut-être les acteurs lui avaient données à l'époque,
02:25dans ces grandes années, tous les flingues ont été saisies, tout ça.
02:28En plus, c'était vraiment tout ce qu'il ne voulait pas.
02:30Ah oui, vraiment.
02:31Oui, parce que quand on parlait de l'affaire Alidé,
02:34je trouvais ça catastrophique.
02:36Il me disait, alors ça, moi, surtout, ne t'inquiète pas,
02:38j'ai déjà tout réglé.
02:40Effectivement, que tout était à peu près...
02:42Il a tout réglé, mais il avait quand même allumé la mèche
02:43en favorisant Anouchka, il avait allumé la mèche.
02:45Il a le droit.
02:46D'accord, mais enfin, il a allumé une mèche.
02:48Et donc, on a un enfant qu'on mérite.
02:49La mèche qui finit par exploser.
02:51La barrile de poupe qui a fini par exploser.
02:53De quoi vous parlez ?
02:54Quand il a donné la moitié de tous ses biens à Anouchka
02:57au détriment des deux autres.
02:58Non, il a fait 50, 25, 25.
03:01Il a donné la moitié à Anouchka, donc il a allumé une mèche.
03:03Il fait ce qu'il veut, il fait ce qu'il veut.
03:05Oui, c'est normal.
03:06Mais c'était prévu.
03:08Si je ne veux pas que ta famille se déchire...
03:10Il fait ce qu'il veut.
03:12Oui, il fait ce qu'il veut.
03:13Et je vais vous dire, sa famille, elle doit accepter.
03:15C'est comme ça.
03:16Ils prennent 25, 25, c'est déjà énorme.
03:18C'est déjà énorme.
03:19Et l'autre, elle prend 50.
03:20C'est parce qu'elle a travaillé avec lui, apparemment.
03:22Elle travaille encore avec lui.
03:23Elle travaille encore avec lui.
03:24C'est elle qui gère les firmes.
03:25Après, moi, je vais vous dire un truc.
03:27Il fait ce qu'il veut, en fait.
03:28Donc, on n'a pas à juger.
03:29Si c'est lui qui a dit, c'est lui qui décide.
03:34C'est comme ça.
03:35On ferme sa gueule.
03:36Et ça reste toujours notre père.
03:37Et on dit...
03:38Surtout que les 25, c'est énorme.
03:39Les 25, c'est pas des petites sommes, déjà.
03:40T'es le petit-fils d'un, deux, trois mois.
03:41C'est quoi ?
03:42Il y a 300 millions.
03:43Tu t'en fous.
03:44Tu t'en fous.
03:4525 % de 300 millions.
03:46Tu n'arrives pas, t'es content.
03:47C'est pas un problème d'argent.
03:48C'est une blessure de ressenti.
03:49C'est parce que quand tu favorises ta fille, les autres se sentent moins aimés.
03:51Tu protèges ton père.
03:52Tu sais que ça va être médiatisé.
03:53Tu protèges ton papa.
03:54Regarde le bordel.
04:05Voilà, c'est elle qui est à côté de son père.
04:07C'est vrai que lui, il souffre de ça, bien sûr.
04:09Mais quand on dit que c'est lui qui a allumé la mèche, comme explique Jean-Michel, pas du tout.
04:14Là, je trouve que vous dépassez les bornes.
04:16Là, c'est un réservataire.
04:17C'est 25, 25 millions.
04:18Vous dépassez les bornes.
04:19Et les 25 derniers, il en fait ce qu'il veut.
04:20Voilà.
04:21Il dépasse les bornes.
04:22Il a toujours monté tellement d'affection auprès de lui.
04:24Jamais auprès d'Anthony qu'il a toujours décrié...
04:26Mais c'est l'amour d'un père pour sa fille, Jean-Michel.
04:28Il lui a donné 25 %.
04:30Excuse-nous d'avoir du bon sens.
04:32Le bon sens, c'est de demander à un père de ne pas faire le choix entre ses enfants.
04:35Écoute-moi bien.
04:36Alain Delon...
04:38Alain Delon...
04:39C'est le choix de l'amour.
04:40C'est le choix de l'amour.
04:42Et Alain Delon...
04:43Alain Delon, il fait ce qu'il veut.
04:44Il fait ce qu'il veut, Alain Delon.
04:45Bah non.
04:46On aime ses enfants pareil.
04:47Il fait ce qu'il veut.
04:48Vous n'allez pas dire à Alain Delon ce qu'il doit faire.
04:49Non, mais Alain Delon a le droit de faire ce qu'il veut.
04:51Alain Delon, il fait ce qu'il veut.
04:52On n'est pas étonnés après qu'il y ait des réactions d'égo, de jalousie ?
04:57Parce qu'ils n'ont pas d'argent, ils vont dynamiter la famille.
05:01Avant l'argent, il y avait toujours des pics incessants.
05:04Moi, j'ai deux enfants.
05:06Jamais, si j'en préférais un des deux,
05:08jamais je me permettrais de dire à un des deux que je le préfère à l'autre.
05:11Ça ne se fait pas.
05:13Toi, tu vas faire quoi ? 50-50 ?
05:14Bah, j'ai rien.
05:18Je l'adore.
05:19Je l'adore.
05:20Oui, oui, il m'a mis.
05:21C'était décidé depuis longtemps.
05:22Bien sûr.
05:23C'est comme ça.
05:24Alors qu'il est faible maintenant.
05:25Moi, je suis complètement d'accord avec Alain Delon.
05:26Ça a mis le feu aux poudres, l'interview.
05:28La première fois, c'est l'interview d'Anthony Delon.
05:30C'est lui qui a mis le feu aux poudres.
05:31Il le savait depuis longtemps.
05:32Alain Delon, il fait ce qu'il veut.
05:33Il se partage et il lui pourrit les derniers instants de sa vie.
05:36Non, c'est vraiment pas bien.
05:37On ne va pas pleurer pour des gens qui ont même 25% d'une fortune immense.
05:41Exactement.
05:42Mais ils l'arrêtent tous à lui pourrir la vie.
05:43Elle n'est pas discrète non plus.
05:45Elle se défend.
05:51C'est pas facile d'être le petit préféré.
05:52Regardez Gilles Vernez qui est mon chroniqueur préféré.
05:55C'est pas facile pour lui.
05:56Il le sait.
05:57Il ne faut pas, je trouve, rejeter sur Anoushka la responsabilité
06:01des relations difficiles qu'Alain Delon a eues avec Anthony.
06:04Elle n'était pas là à l'époque.
06:05Donc voilà, ils ont eu…
06:06Bah si, vous dites ça.
06:07Vous dites…
06:08J'ai dit qu'Alain Delon allumait la maison.
06:09Non, mais les gars, les gars.
06:10Moi, je vais vous dire un truc.
06:11Je le demande au téléspectateur.
06:13C'est lui qui…
06:14C'est son oseille.
06:15Bien sûr.
06:16Voilà.
06:17Il décide.
06:18Il a décidé.
06:19C'est moi.
06:20C'est ma préférée.
06:21Il l'a toujours dit.
06:22Je lui donne 50.
06:23Les autres, il ne laisse pas tromper.
06:24Je leur donne 25 et 25.
06:25Voilà.
06:26C'est tout.
06:27C'est comme ça.
06:28Après, écoute.
06:29Tu prends acte de la décision.
06:30Tu dis, bah voilà.
06:31C'est tout.
06:32Ma sœur, elle a 50%.
06:33Tu respectes ton père.
06:34Exactement.
06:35Tu respectes ton père.
06:36Et tu respectes ta décision.
06:37On est d'accord ?
06:38Moi, je suis d'accord.
06:39Tu respectes ton père.
06:40Tu ne fais pas de vagues.
06:41Et tu ne le fous pas dans la merde comme ça.
06:42Tu ne le jettes pas en pâture comme ça devant la France entière.
06:44Au départ, tout le monde était d'accord avec cette décision-là.
06:48Ça a commencé à dérailler.
06:49Tu as raison.
06:50Exactement.
06:51On était tous d'accord.
06:52Merci, Bernard.
06:53Le résultat.
06:54Merci, Bernard.
06:55Merci, Bernard.
06:56J'ai l'impression qu'elle a 16 ans.
06:57Et puis d'autres histoires après.
06:58Mais enfin, elle a toujours été vice-présidente de ses marques.
07:01C'est ça.
07:02En Suisse.
07:03Donc, il n'y a pas de surprise.
07:04Il n'y a aucune surprise.
07:05Exactement.
07:06Il n'y a aucune surprise.
07:07Il n'y a aucune surprise.
07:08C'est désolant.
07:09La décision est tellement merveilleuse que les enfants ne se parlent plus que c'est la guerre.
07:11C'est parce qu'ils n'ont pas accepté la décision de leur père.
07:13Et bien, je peux les comprendre.
07:14Si le père a dit 50, 25, 25, c'est comme ça.
07:17Mais c'est vrai que je peux comprendre la douleur des garçons.
07:19Mais il n'y a pas de douleur.
07:20Ils auraient dit, tu n'as rien.
07:21Ils auraient dit, je ne te donne rien.
07:22On ne parle pas d'argent.
07:23On parle de...
07:24Mais arrêtez.
07:25On parle de symboles.
07:26On ne parle pas d'argent.
07:27Ils l'ont toujours su.
07:28Arrêtez un peu.
07:29C'est vrai qu'ils l'ont toujours su.
07:30Oui, alors.
07:31Elle a toujours été la préférée.
07:32Ils l'ont toujours su.
07:33Elle a toujours été la préférée.
07:35Elle a toujours été la préférée.
07:36Elle a toujours été la chouchoute.
07:37C'est vrai.
07:38Mais c'est dur quand même pour les garçons de se sentir à côté.
07:41C'est dur pour elle aussi.
07:42C'est dur pour elle aussi.
07:43Sans doute, oui.
07:44Parce que c'est dur à vivre.
07:45Regardez lui.
07:46C'est votre chouchou.
07:47C'est dur à vivre.
07:48Regardez-le.
07:49Il a l'air de la terre battue.
07:50Regardez-le.
07:51Regardez-le.
07:52Il a mis sa tête dans un pot de terracotta.
07:53Non, mais je vous le dis.
07:54Voilà.
07:55Non, mais en tout cas.
07:56C'est vrai que d'être la chouchoute,
07:58le chien perdu sans collier.
08:00Et t'as 25%.
08:01Qu'est-ce que tu racontes ?
08:0225% de 300 millions.
08:04C'est ce que tu me dis.
08:05C'est dur d'être les enfants d'Alain Delon.
08:07Mais arrêtez.
08:08Ils n'ont pas en parlé.
08:10Il y a plein de gens qui ont des blessures.
08:11Mais bien sûr.
08:12Moi aussi j'ai une blessure.
08:13J'ai mal au dos.
08:14C'est dur d'être les enfants d'Alain Delon
08:15parce que tu vas avoir 25% de 300 millions.
08:17Moi aussi j'ai une blessure.
08:18J'ai mal au dos.
08:19Écoute ce qu'on dit Raymond.
08:20On ne sait pas ce qu'on dit.
08:21Mais vous.
08:22Les psys de comptoir.
08:23Les psychologues de comptoir.
08:24Benaline, Kelly, Vendoveli.
08:26Et qui encore ?
08:27Et Jean-Michel.
08:28Non mais les trois.
08:29Les trois qui vont nous donner des leçons.
08:31Mais c'est dur de se sentir pas aimé.
08:34Ils se sentent pas aimés.
08:35Mais ils ont été aimés.
08:36Comment tu sais qu'ils ont été aimés ?
08:37Arrêtez n'importe quoi.
08:38Ils prennent 25% de 300.
08:39L'argent, ce n'est pas un sparabord.
08:41Mais c'est de ça qu'ils parlent.
08:43Qu'est-ce que tu parles ?
08:44Qu'est-ce que tu as dit ?
08:45Non, je ne crois pas que c'est le problème.
08:46Ce n'est pas l'argent.
08:47C'est quoi ?
08:48Ils le savaient depuis le début
08:49qu'il y allait y avoir 25%.
08:50Je pense que c'est autre chose.
08:51Je pense que c'est le fait d'avoir essayé
08:53de ramener le père d'un côté ou de l'autre.
08:55Je ne sais pas.
08:56Moi, je suis très gêné parce que
08:57j'ai une grande affection pour Delon.
08:58Tout ça me dérange.
08:59Mais moi, je n'ai rien contre les deux frères.
09:00Je les connais pas.
09:01Moi, je connais un peu Antoine.
09:02Je ne crois pas du tout que ce soit le problème des 25%.
09:06Ce n'est pas ça le nerf de la guerre.
09:08Ce n'est pas du tout ça.
09:09C'est bien plus compliqué que ça.
09:10C'est quoi alors ?
09:11Je ne suis pas dans les petits papiers.
09:12Si vous n'avez pas d'infos, dites-moi.
09:14Je ne suis pas là pour parler.
09:16Je suis là pour être invité.
09:17Ne commencez pas à me faire chier.
09:18Non mais Gilles.
09:19Non mais chéri.
09:20Gilles, ce n'est pas du tout ça.
09:21C'est pas du tout ça.
09:22C'est pas l'argent.
09:23C'est dingue.
09:24Mais qui vous a invité ?
09:25C'est lui qui m'a invité.
09:26C'est le patron qui m'a invité.
09:27Vous n'avez rien à dire ?
09:28Non mais je vous dis que ce n'est pas le problème de la guerre.
09:29Au moins, quand vous étiez chroniqueur,
09:30vous fermiez votre gueule pendant l'émission.
09:31Mais là, vous parlez.
09:32Ah oui.
09:33C'est vraiment.
09:34J'ai failli applaudir.
09:35Je ne cautionne pas.
09:37Je vous le redis.
09:38Ce n'est pas le problème d'argent.
09:39C'est quoi le problème alors ?
09:40C'est quoi alors ?
09:41C'est beaucoup plus complexe que ça.
09:42Oui, mais ça fait trois fois que vous dites que c'est complexe.
09:43Je réponds.
09:44Donc, tu m'écoutes et tu ne l'as pas fait.
09:45Alors, qu'est-ce qu'il dit ?
09:46Donc, c'est beaucoup plus difficile que ça.
09:47C'est beaucoup plus complexe que ça.
09:48Oui, d'accord.
09:49Ça fait des années.
09:50Arrête, j'ai mal aux doigts.
09:51Ça fait des années qu'on tenie.
09:52Ils savent très bien qu'il y aura plus pour la petite.
09:53Donc, c'est pas ce niveau-là.
09:54Donc, c'est pas le problème.
09:56Je n'en sais rien.
09:57Ne me fais pas chier.
09:58Ah, d'accord.
09:59Bah, ferme ta gueule si tu n'en sais rien.
10:00C'est ça.
10:01Ah, oui.
10:02Ah, oui.
10:03Désolé.
10:04Mais, excuse-moi.
10:05Qu'est-ce qu'il y a ?
10:06C'est quoi ?
10:07Qu'est-ce qu'il a dit ?
10:08Je ne sais pas.
10:09Quel est le problème ?
10:10C'est complexe.
10:11C'est quoi ?
10:12C'est complexe.
10:13C'est quoi ?
10:14Non, mais, regarde.
10:15C'est ça.
10:16C'est ça.
10:17C'est ça.
10:18C'est ça.
10:19C'est ça.
10:20C'est ça.
10:21C'est ça.
10:22C'est ça.
10:23C'est ça.
10:24C'est...
10:25C'est quoi ?
10:26C'est complexe.
10:27Non, mais, ne me regarde pas comme ça avec tes petits yeux.
10:28Qu'est-ce que tu as à dire ?
10:29Tu as cultivé le sens de la réplique depuis 6 mois.
10:33Bravo.
10:34Je n'ai pas besoin d'avoir de réplique.
10:37Non, non.
10:38Mais, c'est complexe.
10:39C'est complexe.
10:40Voilà, c'est bon.
10:41L'analyse.
10:42C'est complexe.
10:43Mais, c'est quoi ?
10:44C'est complexe.
10:45Mais qu'est-ce que tu as comme info, toi, du con ?
10:46C'est complexe.
10:47Non, mais, tu as raison.
10:48Mais, tu as quoi comme info en plus ?
10:49Il a quoi comme info ?
10:51C'est quoi le problème ?
10:53Crachet de la Valda.
10:55Le problème qui s'est posé...
10:57Arrêtez les trois gros pignols là,
10:59fermez votre gueule.
11:05Tu te permets d'insulter les invités
11:07alors que toi t'es là avec la caquette à l'air, t'as rien à dire.
11:11Qu'est-ce que t'as comme info ?
11:13En fait, la complexité, comme vous disiez,
11:15c'est au moment où Anoushka
11:17a voulu ramener en Suisse son père pour se faire soigner.
11:19Tout le monde le sait.
11:21C'est dans tous les journaux ça.
11:23Mais c'est ça le problème, Jean-Michel Maire.
11:25On te demande des infos, c'est pas le problème.
11:27On t'a dit que c'était Contexte le problème.
11:29Ferme ta gueule, vu l'émission que tu fais.
11:33Donc à un moment,
11:35Anoushka a voulu ramener son père en Suisse
11:37dans la clinique où il est soigné par son équipe.
11:39Et Anthony a dit non.
11:41C'est le problème.
11:43Le problème, c'est qu'aujourd'hui,
11:45Alain Delon n'est plus soigné.
11:47Et qu'Anthony continue
11:49à lui faire ingurgiter des jus de fruits,
11:51un système de naturopathie.
11:53Qu'est-ce que t'en es sûr de ça ?
11:55Alors là, c'est la perversité.
11:57Est-ce que je peux m'exprimer une seconde ?
11:59Avec mon cœur.
12:01Parce que lui, il me dit, t'as des infos.
12:03Et quand j'en ai, il me dit, t'es sûr de ça.
12:05Oui, je suis sûr de mes infos.
12:07T'as compris ?
12:09Non.
12:11Tu remets en question mes infos.
12:13S'il vous plaît.
12:15Tu remets en question mes infos.
12:17Vas-y, donne les tiennes.
12:19Tu l'as dit que c'était complexe.
12:21C'est une info, ça.
12:23Arrêtez !
12:25Ils vont me tuer.

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