Thierry Ardisson tacle les réseaux sociaux !

  • l’année dernière
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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Transcript
00:00 On a été souvent en guerre avec Thierry, mais comme je disais hier pour Yannick Noah, moi, au moins Thierry Ardisson, on en a besoin.
00:06 Je suis désolé les mecs. Il dit des trucs que personne ne dit, au moins il ouvre sa gueule.
00:09 Il y a que des mecs, quand ils font des interviews, c'est inintéressant au possible.
00:12 Yannick Noah, j'ai aimé son interview, mine de rien, il a dit des trucs.
00:15 Et là, Thierry Ardisson, qu'on aime ou qu'on n'aime pas, c'est vrai que quand même, il y va.
00:19 C'est des personnalités qu'on aime bien. Je suis désolé. On a tellement de personnalités qui ne servent à rien.
00:24 Il est là quand il n'est plus à la télé, comme je t'ai dit. Il y a les serviettes de Twitter.
00:30 Il servait de Twitter.
00:32 Arrête de dire des bêtises.
00:34 Tu ne peux pas dire...
00:36 Twitter, ça n'existait pas quand il était sur C8.
00:40 Tu ne peux pas dire que Thierry Ardisson a toujours ouvert sa gueule.
00:44 Après, ce que Raymond reproche, c'est qu'il s'en sert pour le bien.
00:47 Il parle d'un truc qu'il ne connaît pas.
00:49 Je suis désolé, mais Thierry, il dit tout et son contraire.
00:52 Parce que dans le même interview, il dit, pour justifier les mauvaises audiences,
00:57 c'était quoi ? L'autre du temps, pardon.
00:59 Il a dit que les gens ont adoré sur Twitter.
01:01 Donc là, il s'est servi de Twitter pour que ça aille dans son sens.
01:04 Et deux secondes après, dans le même...
01:06 C'est chiant, tu ne dis pas tout et son contraire.
01:08 Mais tu veux que je te dise ?
01:09 Moi, ce que j'aime, c'est les mecs qui disent tout et leur contraire.
01:11 Qui sont enroulis dans les interviews.
01:13 Twitter, c'est de la merde quand ça l'arrange. Et c'est génial quand ça l'arrange.
01:16 Après, Twitter, ce n'est ni tout bon ni tout mauvais.
01:18 Ce que je dis à chaque fois, il y a des avis très intéressants sur Twitter.
01:22 Il y a des gens qui donnent de très bons conseils sur Twitter.
01:24 Qui disent des trucs vraiment...
01:26 Et des vannes. Il y a des vannes incroyables sur Twitter.
01:28 Franchement, il y a des mecs très drôles sur les réseaux sociaux.
01:30 Et puis, il y a des mecs qui sont là que pour insulter.
01:32 Après, c'est à toi de faire le tri.
01:33 Tu bloques. Tu bloques.
01:34 Tu ne peux pas dire que Twitter, c'est tout bon ou tout mauvais.
01:36 Twitter, c'est fait.
01:37 Il dit que tout est bien, tout est bon, tout est mauvais.
01:39 Quand ça l'arrange, c'est bon. Quand ça ne l'arrange pas, c'est mauvais.
01:41 C'est sur les réseaux, toi Josiane ?
01:43 Oui, ma fille m'a fait une page Facebook avec une faute d'orthographe à mon prénom.
01:47 [Rires]
01:49 Josiane avec deux "L". J'ai gardé.
01:51 Donc, c'est bien la page Josiane Balasco.
01:53 Et puis, j'ai aussi un compte Instagram.
01:56 Je publie quelques photos de chats.
01:59 [Rires]
02:01 Je croyais que c'était de "Charme". J'ai eu très peur.
02:03 [Rires]
02:05 Je parle de mon actualité, des trucs comme ça.
02:07 Vous avez vu qu'il vous a rendu hommage, votre cher Addison ?
02:10 On n'est pas potes.
02:12 Mais c'est vrai qu'il a dit quoi ?
02:14 Une bête de télé, comme Pascal Pot.
02:16 Pas de taf !
02:18 Quand il avait du taf, il s'embrouillait avec tout le monde.
02:21 Aujourd'hui, qu'il n'a pas de taf, tout le monde est en bête de télé.
02:24 Je te t'aime d'accord avec Raymond.
02:26 Arrête de dire des conneries sur Addison.
02:28 Je ne dis pas de conneries.
02:30 Addison a toujours dit ça sur moi, même quand il avait du travail.
02:33 Même quand on était en embrouille, il a toujours dit en télé.
02:36 Après, on a le droit de trouver que le mot "chômeur" est quand même...
02:39 [Rires]
02:41 Je n'aime pas le mot "chômeur" parce qu'il parle de moi.
02:44 J'ai passé des années...
02:46 Éventuellement, le pseudonyme, oui, ça c'est intolérant sur Twitter.
02:49 Mais "chômeur", je ne vois pas le rapport.
02:51 Non, voilà, "chômeur", c'est trop fort.
02:53 Désolée, mais il y a des chômeurs qui regardaient son émission et qui l'ont fait bouffer aussi.
02:56 Non, mais ça, tu veux que je te dise ?
02:58 Il a dérapé sur le mot "chômeur".
03:00 Mais au moins, il ouvre sa gueule.
03:02 Et tu as vu, j'en ai mis plein de mots.
03:04 Je vous dis, même quand, au tel du temps, on n'était pas potes,
03:07 je lui envoyais un mot, quand ça s'est loupé, je l'ai mis "fracasse".
03:10 On n'est pas potes du tout.
03:12 Tu mélanges entre toi qu'ouvre ta gueule en direct tous les soirs et qu'on n'a rien à foutre avec les autres.
03:16 Tu mélanges tout.
03:18 Tu ne t'entends pas des mêmes émissions d'avant ?
03:20 Avant C8 ?
03:22 C'est que Arnisson, il a existé avant C8 à la télévision.
03:24 Avant, je regardais "Tout le monde en parle" sur France 2.
03:26 Je regardais "Lunettes noires".
03:28 Il a toujours balancé.
03:30 Je vais te dire la vérité.
03:32 Il y en a trois dans le métier qui envoient.
03:37 C'était son nom de son émission, c'était "ça balance pas mal".
03:40 Bien sûr, tu n'as rien.
03:42 Tu as Thierry, tu as Laurent.
03:44 Laurent, il dit ce qu'il pense.
03:46 Laurent Ruquier, je suis désolé.
03:48 Il aime un mec, il aime, il n'aime pas, il n'aime pas.
03:50 C'est le seul qui fait des sorties où il envoie du lourd.
03:52 Je suis désolé, tu as quand même Laurent Bignolas qui a donné ce que ça donne.
03:54 Tu en as trois, tu n'en as pas quatre.
03:58 Et tu as Jordan Deluxe.
04:00 Je trouve qu'on donne quand même une énorme importance à Twitter.
04:02 Même nous, regarder tous les soirs avec les sondages et tout ça.
04:04 En fait, les rédactions, même sur BFM.
04:06 Je comprends.
04:08 Tous les gens qui votent, je le vois, ils font des commentaires.
04:12 Ce ne sont pas des commentaires haineux.
04:14 Je vois les gens qui votent sur TPMP, etc.
04:16 Ils donnent leur avis.
04:18 Moi, j'adore Twitter parce que c'est un sondage en direct.
04:20 C'est incroyable.
04:22 Tu peux parler avec des gens connus, tu peux participer à une émission.
04:24 Avant, dans les années 80, on faisait une éditoriale et tout le monde fermait sa gueule.
04:26 Aujourd'hui, Twitter, tu peux dire "je ne suis pas content, je suis content".
04:28 Tu peux insulter celui qui insulte.
04:30 Tu le bloques, tu le dégages.
04:32 Vous, vous voulez Twitter que quand il y a des compliments.
04:34 "Ah, il m'aime bien, je vais liker."
04:36 "Ah, il m'a insulté, je ne suis pas content de Twitter."
04:38 Mais les mecs, arrêtez.
04:40 Mais moi, je vis sur Twitter.
04:42 Tu vas prendre une douche, toi.
04:44 Je m'en laverai.
04:46 Je vais vous dire un truc.
04:48 Moi, c'est vrai que sur Twitter, on est tout contents.
04:50 On poste une photo, tu es beau, tu es gentil, tu es drôle.
04:52 Bien sûr, à un moment, tu as bien un mec qui va te fracasser.
04:54 On se fait beaucoup plus fracasser qu'on en a l'habitude.
04:56 Non, non.
04:58 Et je le redis, moi, sur Twitter et sur Instagram,
05:00 il y a des talents de ouf.
05:02 Je vous jure que c'est vrai.
05:04 Il y a des mecs qui sortent des vannes.
05:06 Il y a des vannes de ouf.
05:08 Je me dis, putain, les mecs sont trop forts.
05:10 Il y a des montages qui sont faits, des vidéos.
05:12 Il y a énormément de talent sur les réseaux sociaux.
05:14 Après, bien sûr, tout n'est pas bon.
05:16 C'est comme dans tout.
05:18 Tout n'est pas bon comme dans le cochon.
05:20 Je suis désolé.
05:22 Il y a Kelly Vendoveli qui voulait faire une analyse.
05:24 Allez-y. Vous qui regardez tout, qu'est-ce qui se passe ?
05:26 Alors, moi qui regarde tout,
05:28 quand vous comparez Instagram, Twitter, Facebook, etc.,
05:32 on est quand même sur Twitter quelque chose
05:34 qui réunit une énorme proportion de gros cons
05:40 qui n'ont que ça à faire de leur vie.
05:42 C'est votre analyse.
05:44 De commenter des choses qui sont malheureuses,
05:46 qui déversent leur haine,
05:48 qui sont des idiots, vraiment des idiots.
05:50 Il n'y a pas que ça.
05:52 C'est la majorité.
05:54 Moi qui suis énormément sur Instagram,
05:56 TikTok, Facebook, qui connais tous les autres réseaux,
05:58 celui-ci, c'est un gros ramassis de cons.
06:00 Sachez-le quand même.
06:02 Je vais défendre Twitter, moi.
06:04 Si vous connaissez Twitter personnellement,
06:06 c'est différent.
06:08 Il y a des cons comme partout.
06:10 Mais sur Twitter, il y a des vannes incroyables.
06:12 Il y a des mecs qui critiquent, etc.
06:14 Mais il y a aussi des analyses parfois qui sont intéressantes.
06:16 Il y a des choses intéressantes sur Twitter aussi.
06:18 Twitter, c'est surtout un réseau social.
06:20 C'est un déferlement de haine.
06:22 C'est un réseau social pour donner plus son avis.
06:24 Forcément, il y a des mecs qui vont te défoncer.
06:26 Sur Insta, ce n'est pas pareil.
06:28 Ni TikTok, alors. TikTok, ça n'a rien à voir.
06:30 Sur Insta, on juge le physique, on juge les postures.
06:32 Mais Insta, ce n'est pas pareil. Insta, c'est plus doux.
06:34 Il y a un peu plus de bienveillance.
06:36 Oui, mais sur Twitter, ce n'est pas pareil.
06:38 C'est de l'opinion.
06:40 Tu es là comme un débile et tu balances des mots
06:42 comme ça sans réfléchir.
06:44 Il n'y a pas que des débiles sur Twitter.
06:46 Toutes les émissions de télé ont des hashtags.
06:48 Toutes les émissions de télé ne fonctionneraient pas avec les hashtags.
06:50 Je veux dire, le problème qu'on a, ce n'est pas Twitter.
06:52 Je suis désolé.
06:54 Twitter, je vous le jure.
06:56 Je vois des trucs incroyables sur Twitter.
06:58 Il y a des gens très bien qui sont sur Twitter
07:00 et des mecs qui sont inconnus qui font des trucs de ouf sur Twitter
07:02 et qui sont très drôles.
07:04 Le problème, c'est parfois, pour moi,
07:06 les guignols,
07:08 c'est parfois, il y a des mecs,
07:10 des journalistes qui prennent,
07:12 par exemple, 4 tweets de mecs,
07:14 de gugus qui disent du mal d'une émission
07:16 et qui s'en servent pour en faire un article.
07:18 Pour moi, les gugus, c'est plus ces journalistes-là
07:20 que les mecs sur Twitter.
07:22 C'est quand ils font beaucoup de mal,
07:24 d'ailleurs, au métier de journaliste,
07:26 les amis de Valérie Benayim.
07:28 Voilà, donc je vous lis.
07:30 Ce sont vos amis.
07:32 Il y a des amis également de Gilles Berbère.
07:34 - Ah non, ce n'est pas mes amis.
07:36 - Merci. Toi, lève-toi tout court et parle.
07:38 (rires)
07:39 [Musique]

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