Sahtek Maana EP 02 - صحتك معانا (1)
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00:00 *musique*
00:08 *musique*
00:14 *musique*
00:39 *musique*
01:01 *musique*
01:17 *musique*
01:26 Bonjour et bienvenue dans notre programme "Sahtek M'Aana".
01:32 C'est la première fois de l'année, et j'espère que vous allez bien et en bonne santé.
01:37 Cette émission est d'un grand type, entre la santé des adultes, des petites et de la santé mentale.
01:45 Cette émission est pour vous montrer comment vous faites pour protéger vos animaux, et pour les protéger.
01:55 Nous commençons par la partie santé.
01:58 *musique*
02:03 *parle en arabe*
02:32 Aujourd'hui, nous avons avec nous la Docteure Shahnaz Gwider Bouziri,
02:37 Docteure en sciences de la santé mentale.
02:40 Bonjour.
02:41 Bonjour Shahnaz.
02:42 Bonjour.
02:43 Comment allez-vous ?
02:44 Bien.
02:45 Vous êtes bien en forme.
02:46 Merci.
02:47 Merci encore pour l'invitation.
02:48 Donc, Shahnaz, aujourd'hui, c'est un sujet très important.
02:52 C'est vrai.
02:53 Très important, oui.
02:55 Nous en avons parlé aussi à la collège, mais surtout en janvier.
02:59 C'est pourquoi nous avons décidé de vous parler de ce sujet.
03:02 Comme vous l'avez dit, vous parlez des facteurs de risque, comme les guerres, les problèmes économiques,
03:11 et surtout, en janvier, nous avons beaucoup de cas de déprimé.
03:17 C'est pourquoi nous avons décidé de vous parler de ce sujet.
03:19 Comme vous l'avez dit, nous pouvons considérer que vous êtes une maladie de très grande durée.
03:24 Il peut se produire des cas de plus de danger.
03:26 Exactement.
03:27 D'accord.
03:28 Mais, selon les annonces du président de la division des maladies mentales au Brésil,
03:32 les éclats et les maladies de stress sont les plus étroites en Tunisie.
03:37 Pourquoi ?
03:38 C'est vrai.
03:39 Alors, pourquoi ?
03:40 Parce que nous ne pouvons pas, nous avons des raisons de la blessure,
03:42 parce qu'il y a plusieurs facteurs de risque.
03:44 Mais c'est vrai, nous vivons dans une période difficile, nous, dans notre pays.
03:49 Nous pouvons dire des difficultés financières.
03:53 Nous voyons, nous ressentons des problèmes économiques dans notre pays.
03:56 Les prix augmentent.
03:58 Voilà, les prix augmentent.
03:59 Ce sont des facteurs de risque, nous pouvons dire.
04:01 Ce ne sont pas des raisons.
04:02 En plus, la guerre de Palestine, dont nous avons suivi, et qui a beaucoup...
04:05 Beaucoup de marchés ont été affectés par le président.
04:08 Exactement, beaucoup de marchés.
04:09 Ils nous ont fatigués, les vidéos, les jeunes.
04:11 C'est vrai.
04:12 Donc, ils nous fatiguent.
04:13 Les personnes qui sont sensibles, ils voient mieux la vérité.
04:16 Ne les regardez pas.
04:17 Et il faut que la température de la semaine qui arrive,
04:21 soit plus élevé, pour qu'elle soit plus élevée.
04:24 C'est pourquoi, nous avons besoin de l'eau.
04:26 L'eau nous aide à réparer notre humour.
04:29 D'accord.
04:30 Docteure, nous avions parlé des risques de dépression.
04:33 Alors, nous ne pouvons pas parler de dépression,
04:37 sauf si l'homme a été malade il y a quelques années.
04:40 Nous allons le dire.
04:41 Pour que l'on sache ce qu'est une période de dépression.
04:45 Voilà, de dépression.
04:46 Nous ne pouvons pas dire, un jour ou deux, que nous avons une dépression.
04:49 C'est vrai.
04:50 Alors, nous allons vous donner neuf, comme on dit,
04:52 risques de dépression.
04:53 Il y en a un, il y a cinq.
04:55 Cinq ou plus.
04:56 Cinq ou plus, ou même moins.
04:58 Ils sont allés, on dit, faire une dépression.
05:00 D'accord.
05:01 Alors, le premier risque, le premier symptôme,
05:05 c'est qu'il se sentie triste.
05:07 Le jour suivant.
05:08 D'accord.
05:09 Il se sent triste par rapport à ce qui s'est passé.
05:12 La deuxième chose, c'est qu'il ne veut plus faire des choses
05:14 qui l'intéressent.
05:15 Par exemple, il s'intéresse à aller boire un café avec ses amis.
05:18 Les choses qui l'intéressent, qu'il aime et qui lui font plaisir,
05:20 il n'aime plus faire.
05:22 D'accord.
05:23 La troisième chose, c'est qu'il n'est plus en train de dormir.
05:25 Insomnie, il n'est plus en train de dormir.
05:27 Ou alors, par contre, il dort.
05:28 Ou alors, par contre, il dort.
05:29 Par contre, il dort, il se lève, il ne fait rien.
05:33 Il a un manque de goût, il perd son appétit, il pèse,
05:37 il ne mange plus rien.
05:39 Ou alors, une autre chose qu'on ne sait pas,
05:40 c'est que par contre, l'homme tourne et il mange toujours.
05:43 Il mange toujours, voilà, exactement, il mange toujours.
05:45 Il ne ressent plus son esprit, il n'a plus confiance en lui-même.
05:49 C'est-à-dire qu'il ne se sent plus à l'aise,
05:51 il ne dit pas qu'il n'est pas capable de faire quelque chose,
05:52 qu'il n'a pas de valeur.
05:54 Ses idées, il se sent, il se sent moins à l'aise dans ses idées,
05:59 même dans ses mouvements, il se sent moins à l'aise.
06:03 Il n'aime plus faire d'efforts.
06:05 Il n'aime plus faire d'efforts et il ne peut plus.
06:07 Même son souvenir, ses capacités de concentration ne sont plus là.
06:10 Par exemple, il y a des heures où l'homme est en dépression,
06:13 il n'arrive pas à lire quelque chose de simple,
06:16 il n'arrive pas à le lire, il n'arrive pas à se rappeler des choses,
06:19 et il ne se rappelle pas ce qui lui est arrivé.
06:21 Et la dernière chose qui me dérange, ce sont les idées de suicide.
06:25 C'est la plus importante chose.
06:27 Voilà, la plus importante chose.
06:29 Et là, je veux appeler tous les gens
06:32 qui savent que l'homme vit dans cette période de dépression,
06:35 et qui ont reçu un message de dire
06:37 "je me suis fait mal, je suis fatiguée, je veux me tuer".
06:41 Parce que là, il faut aller de l'avant, de l'arrière.
06:44 - C'est une pointe de danger. - Exactement.
06:47 - Docteure, comment peut-on traiter des personnes qui vivent avec nous,
06:53 par exemple, ou qui ont des maladies comme celle-ci?
06:57 - Alors, il faut qu'ils aient un psychologue et un psychiatre.
07:03 Et il vaut mieux que les deux.
07:05 Un psychiatre, un médecin, pour donner des médicaments,
07:08 pour qu'ils puissent se faire des médicaments.
07:10 Et un psychologue, un psychologue psychologique,
07:12 pour qu'ils puissent se faire des médicaments.
07:14 Il y a beaucoup de médicaments qui permettent de les améliorer,
07:17 parce que les deux sont complémentaires.
07:19 Les deux ne suffisent pas, et les médicaments ne suffisent pas.
07:23 - Ça veut dire qu'il faut faire les deux des médicaments.
07:26 - Voilà. - Un sans les deux,
07:28 et l'autre qui parle de la mort.
07:30 - Voilà, exactement.
07:31 Je peux vous expliquer.
07:32 Les deux, ils vont essayer de les diviser en groupes,
07:35 qui sont comme les victimes, par exemple,
07:37 qui sont en train d'essayer de se suicider.
07:39 Et la médecine psychologique, c'est de faire des recherches
07:41 dans les profondeurs des problèmes,
07:43 pour voir quel est le cause qui a fait que l'homme est en dépression.
07:47 - Le cause, c'est la médecine.
07:49 - Bien sûr, la médecine.
07:51 - Le problème qu'il a.
07:53 - Le problème qu'il a.
07:54 - Docteure, est-ce que vraiment,
07:55 le dépendance peut-il vraiment se transformer en suicide ?
07:59 - Oui.
08:00 Des études ont prouvé que presque 3,8...
08:03 Bon, c'est une étude précédente,
08:04 mais j'espère qu'il y a une seconde,
08:05 si c'est le cas.
08:06 3,8% des personnes qui ont la dépression
08:09 ont commis un suicide,
08:10 des essais,
08:11 et certains ont dit qu'ils ne pouvaient pas mourir.
08:15 Et certains ont dit qu'ils ne pouvaient pas boire de la drogue,
08:17 ou autrement.
08:18 Certains ont eu des maladies,
08:20 c'est-à-dire qu'ils ne mourraient pas,
08:21 mais ils ont...
08:22 - Ils ont été déséquilibrés.
08:23 - Exactement.
08:24 C'est pourquoi, c'est une chose qu'on peut dire.
08:27 - Docteure, comment pouvons-nous faire des meilleurs moyens ?
08:30 Comment pouvons-nous éviter la dépression ?
08:33 C'est quelque chose de difficile,
08:36 parce que tu ne peux pas la faire tourner.
08:38 C'est-à-dire que tu ne peux pas...
08:39 - C'est vrai.
08:40 Il y a des choses,
08:41 il y a des choses que nous pouvons faire,
08:43 des activités qui nous aident dans notre humour.
08:47 Ce qui est connu, c'est le sport.
08:49 Nous pouvons faire des marches.
08:50 Des marches de 30 minutes.
08:51 Les marches,
08:52 elles effacent les hormones,
08:53 les hormones
08:54 qui font que notre humour se développe.
08:56 Donc,
08:57 tout le monde qui fait 30 minutes tous les jours,
08:59 c'est bon.
09:00 La nourriture sanitaire,
09:02 si je peux dire,
09:03 la nourriture sanitaire,
09:04 il y a beaucoup de bénéfices.
09:06 Vous avez déjà fait beaucoup de choses,
09:08 j'ai vu que vous étiez sur la nourriture sanitaire.
09:10 Comment faire ?
09:11 L'équilibre dans l'humour.
09:12 L'équilibre dans l'humour.
09:13 La troisième chose,
09:14 c'est le sommeil.
09:15 Le sommeil,
09:16 il ne faut pas dormir 8 ou 7 heures.
09:19 Il faut que tu te réveilles,
09:21 par exemple,
09:22 tu te lèves 8 heures par jour,
09:23 chaque jour tu te lèves 8 heures,
09:24 c'est la même chose,
09:25 c'est un système de sommeil.
09:26 L'équilibre dans le sommeil,
09:27 ce sont des choses qui peuvent...
09:28 Dans le sommeil et dans les moments de manger.
09:30 Dans les moments de manger et dans le sommeil.
09:32 Et si quelqu'un est en dépression,
09:34 il ne doit pas rester seul.
09:35 Il doit toujours être accompagné.
09:37 Ne laissez pas vos amis qui souffrent de dépression,
09:41 ne laissez pas les gens en prison,
09:42 il peut dire que je suis seul,
09:44 mais ne le faites pas,
09:45 ne laissez pas les gens être accompagnés.
09:47 Et il faut que l'entourage docteur
09:49 prenne les choses sérieusement.
09:51 Il ne faut pas dire non,
09:53 et qu'il se lève et qu'il mange les choses.
09:55 C'est exactement ça.
09:57 Merci beaucoup.
09:58 Et qu'ils se lèvent.
09:59 Voilà, merci beaucoup pour vos remarques,
10:01 parce que nous, en Tunisie,
10:03 la santé mentale n'est pas toujours la bonne chose.
10:05 C'est une erreur.
10:06 C'est une erreur.
10:07 C'est une erreur et on ne peut pas la faire
10:09 pour aller voir un psychiatre ou un psychologue.
10:11 Alors qu'il y a beaucoup de gens qui sont en train de mourir.
10:14 Donc, on va voir,
10:15 on va voir la mentalité changer en Tunisie.
10:18 Espérons que les émissions,
10:19 comme aujourd'hui,
10:20 changent et que les gens changent leur mentalité
10:23 et qu'on prend en sérieux ces problèmes mentaux.
10:26 Et qu'on puisse les aider à mourir.
10:29 Merci beaucoup.
10:31 Merci beaucoup, Docteure.
10:32 Je suis toujours heureuse de vous avoir.
10:33 Je suis toujours heureuse de vous avoir.
10:34 Nous avons eu une docteure en sciences de la santé mentale,
10:36 Docteure Shahnaz Bouziri Gouider.
10:39 Vous avez dit ça, n'avez-vous pas ?
10:40 Oui.
10:41 Dans la salle de santé d'aujourd'hui,
10:50 nous allons parler de la suite de la propriété de la vie,
10:53 la propriété de la vie et la vie normale.
10:56 Pourquoi est-ce que vous nous présentez aujourd'hui
10:58 comme d'habitude, la Docteure Nafisa Efnira ?
11:00 Bonjour, Nafisa.
11:01 Bonjour, Arwa.
11:02 Bonjour.
11:03 Aujourd'hui, notre sujet est la propriété de la vie normale.
11:08 C'est ça.
11:09 Nous savons l'importance de la nourriture pour le bébé
11:14 et l'importance de la nourriture pour le bébé.
11:19 D'accord.
11:20 Pour avoir un bon développement,
11:23 il faut suivre les besoins des enfants
11:25 pour qu'ils puissent avancer.
11:28 Comment allons-nous parler de ça ?
11:30 Nous allons parler des tétines et des fibres de Philippe Avent.
11:34 Comment va-t-on suivre les enfants selon leur âge ?
11:40 D'accord.
11:41 Dans le cas de Philippe Avent,
11:43 les fibres sont composées de deux éléments,
11:46 les tétines et les fibres, le flacon.
11:49 Pour les tétines, nous avons,
11:51 comme pour Philippe Avent,
11:53 0 mois, 1 mois, 3 mois, 6 mois, 6 mois de plus.
11:58 Il y a deux formes de 6 mois de plus.
12:00 Il y a 6 mois de plus pour le lait
12:03 et 6 mois de plus pour la nourriture.
12:05 D'accord.
12:06 Pour les tétines, nous avons 0 mois.
12:12 C'est le temps de la naissance.
12:14 C'est le temps de la naissance.
12:16 La particularité de la tétine est que le flux,
12:21 la quantité de la nourriture,
12:25 est très similaire à celle de la mère.
12:29 C'est pour ça que le bébé ne confond pas.
12:31 D'accord.
12:32 Il ne se déplace pas et ne refuse pas la mère.
12:36 Ce n'est pas son but.
12:38 D'accord.
12:39 Bien sûr, nous devons toujours penser,
12:42 comme nous l'avons dit avant,
12:44 au système anticholique avec les biberons Philippe Avent.
12:51 Pour les tétines anticholiques,
12:54 pour qu'ils ne soient pas en contact avec le lait,
12:57 pour qu'ils ne se déplacent pas dans le tube digestif,
12:59 nous devons éviter que le bébé se déplace du problème du gaz.
13:01 D'accord.
13:02 Car le gaz est une chose normale.
13:04 Nous devons faire des choses pour l'aider,
13:06 pour qu'il ne se déplace pas du problème du gaz.
13:10 D'accord.
13:11 Sinon, pour les tétines,
13:13 il faut commencer par 125 ml,
13:16 puis 330 ml.
13:19 Et, bien sûr,
13:21 plus le bébé grandit, plus il y a besoin de lui.
13:24 Donc, il doit grandir avec les biberons.
13:27 D'accord.
13:28 Donc, nous devons toujours penser,
13:30 comme nous l'avons dit dans la première partie,
13:33 au système anticholique des biberons Philippe Avent.
13:37 Donc, les tétines ont un valve anticholique,
13:40 qui permet de garder l'air dans le bébé,
13:43 pour qu'il ne s'éloigne pas du tube digestif.
13:46 Et, pour que le bébé ne se déplace pas du gaz.
13:49 D'accord.
13:50 Et, est-ce que tu as pensé aux points de vente
13:52 des produits Philippe Avent ?
13:54 Les produits Philippe Avent sont disponibles
13:57 dans les pharmacies et les parapharmacies.
13:59 D'accord.
14:00 Et, pour ceux qui veulent plus d'informations,
14:03 il faut voir la page Facebook et Instagram
14:05 Philippe Avent Tunisie.
14:07 Merci, merci Nefisa.
14:08 Et, bien sûr, merci Philippe Avent.
14:11 Dans le sujet du jour,
14:18 nous allons parler des raisons des maladies
14:20 qui, en général, sont des bactéries ou des virus.
14:24 Nous allons essayer de comprendre le différence entre eux,
14:26 leurs risques,
14:27 et la manière de les éviter,
14:30 avec l'expertise des maladies de l'enfer,
14:33 la docteure Emmanie Bellage.
14:35 Bonjour, docteure.
14:36 Bonjour, Asselineau.
14:37 Bonjour.
14:38 Je tiens à vous remercier pour votre accueil.
14:41 C'est un honneur de vous recevoir.
14:43 Nous devons d'abord comprendre
14:45 le différence entre le virus et les bactéries.
14:48 C'est un grand différence.
14:50 Beaucoup de gens ne connaissent pas
14:52 ce que sont les virus et les bactéries.
14:55 Alors, nous allons commencer par parler des façons d'adopter
14:58 les bactéries pour les virus.
15:00 Il y a plusieurs façons d'adopter les bactéries.
15:03 Parfois, les bactéries sont aériennes,
15:05 c'est-à-dire qu'elles ne sont pas environ
15:07 les mêmes que les virus.
15:10 Parfois, les bactéries sont des maladies solides,
15:13 ou bien les virus qu'on connaît depuis des années,
15:16 comme le coronavirus ou la grippe.
15:20 Les bactéries sont parfois sanguines,
15:24 c'est-à-dire qu'elles peuvent être
15:26 utilisées pour faire des mouches
15:29 et pour faire des cheveux.
15:33 Parfois, les bactéries peuvent être différentes.
15:37 Les maladies, on peut les appeler
15:40 virus ou bactéries.
15:43 Le virus, on peut l'utiliser comme
15:47 le virus de la déficience immunitaire,
15:51 ou bien la déficience humaine,
15:54 qui est une déficience immunitaire.
15:58 Les maladies, on peut les appeler des hépatites.
16:04 Parfois, les bactéries peuvent être
16:08 utilisées pour faire des petits blessés.
16:12 Parfois, les maladies peuvent être des bactéries.
16:17 Parfois, on peut les appeler des maladies
16:21 qui peuvent être causées par le virus.
16:25 On ne peut pas dire que les bactéries
16:29 sont plus dangereuses que les virus.
16:33 - Toutes les bactéries sont dangereuses.
16:37 - Oui, toutes les bactéries sont dangereuses.
16:41 Le coronavirus, on a vu le trafic de la grippe,
16:45 c'est une infection grave.
16:49 On doit faire des efforts pour la protéger.
16:53 - Docteure, comment on traite les bactéries
16:57 et comment on traite le virus ?
17:01 - C'est une grande question.
17:05 Pour une infection virale,
17:09 il faut faire un traitement symptomatique.
17:13 On peut faire des soupes, des vitamins C,
17:17 pour les infections virales.
17:21 On peut aussi faire des antiviraux.
17:25 On ne peut pas parler du virus du SIDA ou du VIH.
17:29 C'est un traitement antiviral.
17:33 C'est un traitement qui peut être fait
17:37 dès le matin, ou le soir.
17:41 On doit faire des soupes dès le matin.
17:45 Pour les infections bactériennes,
17:49 c'est le médecin qui prescrit les antibiotiques
17:53 convenables à l'infection.
17:57 - Toutes les infections ont un traitement ?
18:01 - Oui, bien sûr.
18:05 Les médecins savent ce qu'il faut faire.
18:09 - C'est un traitement qui est précis ?
18:13 - Oui, bien sûr.
18:17 - On doit donc prendre des antibiotiques
18:21 et aller à la pharmacie pour le traitement.
18:25 - Oui, surtout pour les antibiotiques.
18:29 On ne doit pas aller à la pharmacie
18:33 et dire qu'on a une maladie.
18:37 Toutes les infections bactériennes nécessitent
18:41 une antibiotique convenable.
18:45 - Il faut que ça soit correct.
18:49 - Oui, et on doit suivre le médecin.
18:53 C'est le médecin qui prescrit.
18:57 Pour les infections bactériennes,
19:01 on peut prescrire un traitement
19:05 pour les infections antipérillées,
19:09 paracétamol ou autre.
19:13 On doit prendre des antibiotiques
19:17 pour les infections.
19:21 On doit être prudent.
19:25 - On doit prendre soin
19:29 des bactéries et des virus.
19:33 - Oui, c'est la meilleure sécurité.
19:37 On doit se protéger de la vie,
19:41 de la maladie,
19:45 de l'infection.
19:49 On doit se protéger de l'enfer.
19:53 On doit se protéger de la maladie.
19:57 On doit se protéger de la maladie.
20:01 - Les sources d'eau ne sont pas disponibles.
20:05 On a besoin d'une solution hydroalcoolique.
20:09 - On a parlé de la taquinerie.
20:13 - Oui, c'est ça.
20:17 On doit se protéger
20:21 de la maladie par voie aérée.
20:25 Les virus et les bactéries sont présents dans l'air.
20:29 - Les maladies sexuelles sont un sujet important.
20:33 On doit se protéger de ces maladies.
20:37 On doit se protéger de ces maladies.
20:41 - Merci.
20:45 On vous a apporté une vidéo sur les maladies sexuelles.
20:49 Rejoignez-nous.
20:53 - Merci.
20:57 - On va continuer avec la manière de protéger notre corps.
21:01 On a un laboratoire qui nous aide.
21:05 On a aussi un groupe de pharmacies.
21:09 On a aussi un groupe de pharmacies.
21:13 On a aussi un groupe de pharmacies.
21:17 On a aussi un groupe de pharmacies.
21:21 On a aussi un groupe de pharmacies.
21:25 - C'est vraiment génial.
21:29 - Merci beaucoup.
21:33 - On a la froide, les maladies se sont propagées.
21:37 Il faut se protéger.
21:41 - Voilà.
21:45 - On ne peut pas dire à quelqu'un de se protéger.
21:49 - C'est vrai.
21:53 - On doit se protéger de la maladie.
21:57 - Oui.
22:01 - On doit se protéger de la maladie.
22:05 - Oui.
22:09 - On doit se protéger de la maladie.
22:13 - Oui.
22:17 - On doit se protéger de la maladie.
22:21 - Oui.
22:25 - On doit se protéger de la maladie.
22:29 - Oui.
22:33 - On doit se protéger de la maladie.
22:37 - Oui.
22:41 - On doit se protéger de la maladie.
22:45 - Oui.
22:49 - On doit se protéger de la maladie.
22:53 - Oui.
22:57 - On doit se protéger de la maladie.
23:01 - Oui.
23:05 - On doit se protéger de la maladie.
23:09 - Oui.
23:13 - On doit se protéger de la maladie.
23:17 - Oui.
23:21 - On doit se protéger de la maladie.
23:25 - Oui.
23:29 - On doit se protéger de la maladie.
23:33 - Oui.
23:37 - On doit se protéger de la maladie.
23:41 - Oui.
23:45 - On doit se protéger de la maladie.
23:49 - Oui.
23:53 - On doit se protéger de la maladie.
23:57 - Oui.
24:01 - On doit se protéger de la maladie.
24:05 - Oui.
24:09 - On doit se protéger de la maladie.
24:13 - Oui.
24:17 - On doit se protéger de la maladie.
24:21 - Oui.
24:25 - On doit se protéger de la maladie.
24:29 - Oui.
24:33 - On doit se protéger de la maladie.
24:37 - Oui.
24:41 - On doit se protéger de la maladie.
24:45 - Oui.
24:49 - On doit se protéger de la maladie.
24:53 - Oui.
24:57 - On doit se protéger de la maladie.
25:01 - Oui.
25:05 - On doit se protéger de la maladie.
25:09 - Oui.
25:13 - On doit se protéger de la maladie.
25:17 - Oui.
25:21 - On doit se protéger de la maladie.
25:25 - Oui.
25:29 - On doit se protéger de la maladie.
25:33 - Oui.
25:37 - On doit se protéger de la maladie.
25:41 - Oui.
25:45 - On doit se protéger de la maladie.
25:49 - Oui.
25:53 - On doit se protéger de la maladie.
25:57 - Oui.
26:01 - On doit se protéger de la maladie.
26:05 - Oui.
26:09 - On doit se protéger de la maladie.
26:13 - Oui.
26:17 - On peut vous poser des questions sur les réseaux sociaux.
26:21 - Oui.
26:25 - Merci.
26:29 - Merci.
26:33 - Merci.
26:37 - Bonjour.
26:41 - Bonjour.
26:45 - Bonjour.
26:49 qui est la première fenêtre dans la résistance, comme l'appelle la ministre de la défense.
26:54 C'est pourquoi nous avons aujourd'hui avec nous le docteur Yacine Sahli, spécialiste en médecins en général et en médecine rapide.
27:02 Bonjour.
27:04 Docteur, pour commencer, la première question est la définition de l'armée de protection humaine.
27:11 L'armée de protection humaine est l'équivalent de la nation, et l'armée de protection humaine est l'armée qui défend.
27:18 La ministère de la défense.
27:20 La ministère de la défense, comme nous l'avons dit la première fois, son premier objectif est de connaître, en français, le soit et le non soit.
27:28 C'est-à-dire que toutes les cellules qui sont liées à ce corps, toutes les cellules qui sont sorties de ce corps,
27:34 et la plupart des cellules sont des virus, des bactéries, et elles ont une autre qualité excellente,
27:41 c'est-à-dire qu'elles connaissent les cellules dans le corps humain qui sont sorties de la contrôle,
27:47 qui se déversent et qui s'expriment avec des maladies graves, comme la cancérosité, etc.
27:53 Ce sont des cellules qui sont sorties de la contrôle, et le système immunitaire n'a pas pu arrêter le processus à la première étape.
28:02 D'accord, c'est-à-dire qu'il détecte les bactéries et les virus qui entrent, et aussi les choses qui sont dans le corps.
28:08 C'est ce qui sort de la contrôle. C'est le début de toutes les maladies graves.
28:14 D'accord. Docteur, si il y a une confusion dans le système immunitaire, où peut-on en arriver ?
28:21 La confusion, comment dire ? Par exemple, les hépatites auto-immunes.
28:26 Prenons un exemple simple.
28:28 Qu'est-ce que ça signifie ? C'est-à-dire que les infections de la capillaire immunitaire
28:33 font que le corps s'attaque à lui-même et à sa capillaire.
28:37 A ses mains.
28:38 A ses mains, et ils atteignent même la phase de la capillaire sans intervention médicale,
28:45 qui est la phase de la capillaire qui s'arrête jusqu'à la mort, en paranthèse.
28:50 Pourquoi est-ce que ce système immunitaire est un outil pour le corps humain ?
28:57 Il y a des maladies de la capillaire qui sont liées à des mécanismes de prévention,
29:03 comme la maladie de Guillain-Barré, qui est le cause de l'atténuation de la capillaire dans le corps humain.
29:10 Quand on regarde les choses, et en Tunisie, en général,
29:14 on a le puce, la maladie de Thaala-Balhamra, qui est le puce érythémateux systémique.
29:23 C'est un peu plus commun, entre parenthèses.
29:27 La capillaire devient rouge, ne s'en sort pas,
29:30 a toujours des onyx de papillons,
29:33 une sensation de santé, et il peut vivre des années sans avoir de santé.
29:38 Il a des sensations, et ça s'arrête là.
29:41 Il prend des médicaments, et c'est toujours récurrent.
29:44 Alors que la maladie de la capillaire et de la capillaire ont un effet sur l'arche du cœur.
29:52 C'est une maladie sous-jacente, on ne la ressent pas.
29:57 Mais elle a beaucoup d'impact sur le corps.
30:00 On en parle souvent sur le capillaire, et c'est une bonne occasion de le parler.
30:04 Parce que le futur de la médecine, dans les 50 prochaines années,
30:07 est la léminothérapie, la léminologie, c'est ça.
30:12 Qu'est-ce que les premiers indices, pour la prévention de la capillaire ?
30:18 Le premier indice, c'est la contextion.
30:23 Les Tunisiens ont la maladie de la diabète.
30:28 La maladie de la diabète, on sent que les petits soignants ne font pas de mal.
30:32 Ils sont malades, comme nous, à la fois avec la bronchite et la grippe.
30:37 Ils font mal en quatre semaines, en semaine.
30:40 Il y a des attentes virales, des bactéries,
30:43 des lignes vertes et bleues, qui sont liées à la pneumonie.
30:47 C'est une des deux.
30:50 Il y a aussi une autre gamme de maladies,
30:53 comme les maladies d'adhésion à l'organisme du sang.
30:56 Parce que l'organisme du sang ne se cache pas.
30:59 Toutes les maladies d'adhésion à l'organisme du sang,
31:02 elles sont très liées.
31:07 Le premier indice, c'est la contextion.
31:12 Les maladies de la diabète sont très difficiles à contrôler.
31:17 Elles sont longues, elles sont longues, elles sont récurrentes.
31:20 C'est toujours la maladie, la grippe.
31:23 C'est toujours la maladie, la grippe.
31:26 Les maladies de la diabète sont toujours récurrentes.
31:29 Les maladies de la diabète sont toujours récurrentes.
31:32 Un petit examen, un petit examen simple,
31:35 pour ne pas vous inquiéter.
31:38 L'NFS, l'énumération en formule sanguine,
31:41 on peut détecter une immunodéficience.
31:44 Avec l'NFS, on ne peut pas...
31:47 Il faut qu'on utilise l'NFS pour utiliser d'autres choses,
31:50 comme l'électrophoresse des protéines, les panxions des organes,
31:53 les veines, le foie,
31:56 les panxions, même les ganglions,
31:59 les organes lymphatiques, qui nous défend,
32:02 comme les thécanes qui nous défendent.
32:05 À l'époque, la chose la plus simple et la plus facile,
32:08 c'est l'NFS.
32:11 Il y avait aussi des moyens de l'analyser.
32:14 C'est vrai, les cellules bleues,
32:17 quand on était petit, les globules blancs,
32:20 on voyait les cellules bleues descendre sous les 4 000,
32:23 quand on avait besoin d'une réduction de l'intimité,
32:26 on avait besoin de l'NFS.
32:29 On en avait trouvé un de 300, un de 200, et c'est tout.
32:32 Même si on a dit que dans la plupart des cas, ça revient.
32:35 Mais il y a des gens qui, en deux ou trois mois,
32:38 ont reçu leur NFS.
32:41 On les a retrouvés de la même valeur,
32:44 et ils ont disparu.
32:47 Il y a d'autres maladies, comme le sida,
32:50 qui sont sous le contrôle.
32:53 Et d'autres maladies, comme les maladies du cerveau.
32:56 Des maladies de la tête.
32:59 Docteur, tu conseilles aux gens qui nous regardent
33:02 de faire le NFS.
33:05 Ils le font une fois par an.
33:08 Ils le font une fois par an,
33:11 et ils disent que c'est simple, et qu'il est simple.
33:14 Et qu'il nous montre tout.
33:17 Il nous montre tout.
33:20 Pour les gens normaux,
33:23 comment les gens vont-ils garder leur NFS ?
33:26 C'est la question qui se pose.
33:29 La première chose, c'est de dormir.
33:32 Il faut dormir.
33:35 Il faut dormir.
33:38 Il faut dormir.
33:41 Il faut avoir une cloche biologique,
33:44 une heure biologique,
33:47 et une cloche biologique.
33:50 Pour la récupération, il faut dormir.
33:53 Le stress, quand le cerveau dit qu'il ne peut plus dormir,
33:56 il a des hormones de stress, comme le cortisol,
33:59 qui s'éloigne dans la flèche,
34:02 et il va encore plus loin.
34:05 C'est quelque chose de connu.
34:08 Les gens qui ont du sucre,
34:11 il faut essayer de le garder au maximum,
34:14 et ne pas le faire de manière inutile.
34:17 C'est une relation directe avec la NFS.
34:20 C'est la NFS qui est liée à notre vie.
34:23 Si la NFS est bonne,
34:26 elle nous protège,
34:29 et non seulement des maladies bactériennes et virus,
34:32 mais elle contribue à la protection de nous
34:35 des maladies mauvaises.
34:38 Comme on l'a dit,
34:41 la NFS protège les cellules qui sont en dérrière.
34:44 - Merci.
34:47 - Vous avez un docteur ?
34:50 - Oui, le nourrissement,
34:53 les protéines...
34:56 - Les gènes de vie, comme le sommeil,
34:59 le stress, le déchirage,
35:02 le déchirage, le déchirage,
35:05 et le sport.
35:08 Tout ce que vous avez appris,
35:11 il va vous aider à déchirer la NFS.
35:14 J'ai donné une autre vidéo,
35:17 et je vous en parlerai la prochaine fois.
35:20 - Merci beaucoup.
35:23 Nous avons eu avec nous le Dr Yassine Nassahli,
35:26 spécialiste en médecine de la santé et en médecine rapide.
35:35 - La première question est de Goldina Plus.
35:38 "Est-ce que le nourrissement est un bon choix ?
35:41 Et est-ce que le nourrissement
35:44 est un bon choix pour la santé ?"
35:47 - C'est ce que j'ai remarqué.
35:50 Tout le monde vit avec beaucoup de pression.
35:53 Dans mon cabinet, avec les patients,
35:56 nous parlons et nous connaissons.
35:59 Nous demandons des questions et nous savons que tout le monde vit avec de la pression.
36:02 Je suis fatiguée car je ne peux pas me défendre.
36:05 Je ne peux pas me défendre.
36:08 Pourquoi ?
36:11 Quand je reviens, je ne peux pas me défendre.
36:14 Je ne peux pas me défendre.
36:17 Je ne peux pas me défendre.
36:20 Je ne peux pas me défendre.
36:23 Je ne peux pas me défendre.
36:26 Je ne peux pas me défendre.
36:29 Je ne peux pas me défendre.
36:32 Je ne peux pas me défendre.
36:35 Je ne peux pas me défendre.
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42:26 Je ne peux pas me défendre.
42:29 Je ne peux pas me défendre.
42:32 Je ne peux pas me défendre.
42:36 Quelles sont les choses qui sont toxiques pour les chatouilles ?
42:42 Il y a deux catégories.
42:45 Les choses toxiques,
42:48 comme la chocolate,
42:51 l'avocat,
42:54 l'huile d'olive,
42:57 et le thym.
43:00 Les choses toxiques pour les chatouilles,
43:03 comme le lait.
43:06 C'est ce que je veux dire.
43:09 Les chats ne peuvent pas boire du lait.
43:12 Le lait est un espèce d'animal.
43:15 Il n'est pas utile pour les chatouilles.
43:18 Ils peuvent se faire un diagrès,
43:21 ou faire un dévomissement.
43:24 Ils peuvent se faire un dévomissement.
43:27 Ils peuvent se faire un dévomissement.
43:30 Ils peuvent se faire un dévomissement.
43:33 Ils peuvent se faire un dévomissement.
43:36 Les chats ne peuvent pas boire du lait.
43:39 Ce sont des choses qui doivent être évitées.
43:42 Je veux que la santé de mes chats soit la base.
43:45 Merci beaucoup.
43:48 Merci beaucoup, Docteure Soussane.
43:51 On se retrouve bientôt.
43:54 Merci.
43:55 [Musique]
44:00 On est avec Madame Sonia Bourawi
44:03 pour parler des produits
44:06 que nous trouvons dans Zooplanète.
44:09 Elles sont spécialisées dans la nourriture des chatouilles.
44:12 Je suis la chef d'équipe de spécialistes
44:15 pour qu'elles aient le bon prix
44:18 pour notre économie.
44:21 Bonjour Sonia.
44:24 Nous avons des produits qui sont très équilibrés.
44:27 C'est ce que nous trouvons dans Zooplanète.
44:30 C'est ce que nous trouvons dans Zooplanète.
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