• l’année dernière

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Notre parti a commémoré le 11 avril 2011, comme date de la victoire de la démocratie dans notre pays.
00:11 On parlait de la culture à la salle de bain François.
00:15 Une semaine après, nous nous retrouvons aujourd'hui à notre siège, ici à l'Aleppe Peak,
00:24 avec vous, mesdames et messieurs, l'ambassade nationale et nationale,
00:30 dans le cadre du rencontre des chances et du partage.
00:36 Je voudrais vous exprimer ma profonde reconnaissance pour avoir revenu à notre hôpital, à ce place, à ce rencontre.
00:46 Parce que c'est ici, ce pas devant nous, au plateau, j'unis avec la démocratie,
00:51 jue avec toutes les règles. Je dis bien jue avec toutes les règles.
00:56 Il faut le dire, il faut le promettre. Ça jue avec tout.
01:01 C'est en contradiction avec toutes les exigences démocratiques, à toutes les règles démocratiques.
01:06 En ce sens que, voilà une commune qui a 7000 habitants. 7000 habitants.
01:16 Prenez vos papiers, surtout pas les journalistes, parce que vous êtes habitués à ça, vous, les journalistes.
01:22 Ceux qui ne sont pas journalistes. Une commune qui a 7000 habitants, 7000 habitants.
01:27 Qui a 14 milliards de budgets. Qui a une frontière agamée d'un côté, agamée, des choses agamées d'un côté,
01:37 13 villes en l'autre, et puis, on peut continuer aussi un peu, et puis la lagune.
01:45 Qui peut pas s'éteindre. Vraiment, il y a tout déjà, il y a tout.
01:51 7000 habitants, et puis 14 milliards de budgets. Et pendant les élections municipales,
02:01 82 000 électeurs. Est-ce que vous trouvez ça normal ?
02:06 Pourquoi est-ce qu'on peut pas se dire les choses dans nos pays ?
02:10 De façon sérieuse. Sans polémique. Moi j'ai lu le papier de ce monsieur,
02:16 j'ai dit voilà au moins un esprit éclairé, voilà au moins quelqu'un qui ose dire les choses comme elles sont.
02:23 C'est pas normal qu'on aille prendre des mercenaires dans d'autres villes, dans d'autres communes,
02:27 pour venir élire le maire d'une commune qui, après son élection, à la limite, n'a absolument rien.
02:35 J'ai dit absolument rien de devoir aux 7000 qui sont dans sa commune.
02:41 Ça veut dire lui, il n'a absolument rien à faire avec les 7000.
02:44 Puis les 7000, on va voter. 82 000 prix à Lyon-Pougon, à Tokumé, à Yame, à Kouassi, un peu partout.
02:53 On prend partout, et puis on vient, quand ils ont fini les mercenaires, c'est un pied à la démocratie.
02:59 Le PDCU devait dénoncer cette situation et applaudir, il y a un livre, un autre livre en dessous.
03:08 Le PDCU voit la main obscure d'un parti politique qui veut lui enlever le plateau.
03:16 On veut lui enlever le plateau, c'est toujours voir.
03:19 Il y a une fois quoi au plateau, on veut lui en enlever.
03:23 Il faut qu'on soit sérieux, le pays ne peut pas être divisé de cette façon.
03:29 On a une démocratie qui ne peut pas se mener de cette manière.
03:31 Dans un pays comme la Côte d'Ivoire 2024, il faut qu'on approche des problèmes de façon sereine et chère.
03:36 Et puis, par les échanges, arriver à des réponses satisfaisantes.

Recommandations