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00:00 [Musique]
00:15 Bonsoir à tous et merci de suivre le temps d'information sur RTI2.
00:19 Au sommaire de l'actualité, le cancer du sein est une maladie caractérisée par la croissance incontrôlée de cellules mammaires anormales
00:28 qui forment alors des tumeurs et s'alimente en souffre depuis plusieurs années.
00:33 Et puis elle et sa famille appellent à l'aide.
00:37 La population de Fakobli, surtout celle de la sous-préfecture et de la ville,
00:48 n'oublieront pas d'aussitôt la tornade du mardi 23 avril dernier.
00:53 Le vent et la pluie ont causé d'énormes dégâts matériels au centre de santé, au marché, à tous les établissements scolaires et même au domicile du préfet de département.
01:04 La population appelle donc à l'aide dans ce reportage de Théodore Zouzou.
01:08 Gros arbres déracinés dans la cour, amas de tôles à même le sol, bâtiments décoiffés.
01:16 Bref, c'est un centre de santé urbain de Fakobli défiguré après une tornade le mardi 23 avril dernier, peu après 17h, que nous découvrons.
01:26 Plusieurs documents et matériels médicaux n'existent plus que de nom.
01:30 Il y avait le vent, la pluie, bon, ça courait partout.
01:33 On a entendu un grand bruit, zoum, boum.
01:37 Là, elle est tombée sur la suite de couche.
01:39 La jeune fille qui avait accouché, Dieu merci, elle n'a rien eu.
01:41 Elle a pris son bébé et puis elle a commencé à courir.
01:45 Donc, elle est rentrée par le hall, là, l'autre côté.
01:47 Tout ici était inondé.
01:49 Dieu merci, il n'y a pas eu de blessés.
01:51 On a perdu tout notre matelas, bon, plein de choses.
01:54 Vous-même, vous avez vu, vous voyez tout ce qu'il y a là.
01:57 Le bureau, les régistres, tout était inondé.
02:00 Les toitures de plusieurs habitations ont été emportées.
02:03 Le marché de la ville, essentiellement constitué d'apatames, n'a pas été épargné.
02:09 Le vent s'est quitté partout.
02:11 Ça a gâté beaucoup de choses.
02:13 La maison, là-même, ça a pris la maison d'abord.
02:16 Toutes mes choses sont gâtées.
02:17 Quand c'est venu, la maison est tombée sur moi.
02:20 Donc, c'est mon enfant qui m'a tiré pour quitter.
02:22 Donc, quand j'ai sorti, c'est le frère qui a tapé mon pied.
02:25 J'ai ma place en bas, tout, la maison, tout est tombé.
02:29 Tout est gâté même.
02:31 En tout cas, c'est Dieu qui a fait que je puisse quitter dedans.
02:34 Aujourd'hui, là, tout mon corps me fait mal.
02:37 Le soutien aux tours tribus est payé par les écoles de la localité de Fakoubli et de sa sous-préfecture.
02:43 Les vents et la pluie ont décoiffé plusieurs bâtiments des établissements scolaires de la ville et plusieurs villages.
02:49 Nous avions eu plusieurs écoles qui ont eu les classes décoiffées.
02:54 Epro, qui a eu six classes, ils ont eu cinq classes décoiffées.
02:59 Le groupe scolaire Fakoubli, appelé communément École AK,
03:03 Fakoubli 1, la classe de CM2 et la bibliothèque ont eu leurs toits emportés.
03:10 Fakoubli 2, le bureau de la directrice et la classe de CM2 aussi ont eu leurs toits emportés.
03:19 L'école municipale, où le CP1 et le CM1 ont eu leurs toits emportés.
03:25 La Thidoukouléa, appelée communément TK, où le CM2 aussi a eu son toit emporté.
03:32 Le village de Douombli, là-bas, les classes sont restées intactes, mais c'est les logements maîtres.
03:39 Les trois logements ont eu leurs toits emportés. On a opté pour les classes adultes vacacieurs.
03:45 Vu l'ampleur des dégâts et à l'approche des examens à grand tirage, l'autorité administrative lance un appel.
03:53 Nous lançons un appel à l'État, aux bonnes volontés, à se manifester, à se mobiliser, à agir dans l'immédiat,
04:04 surtout au niveau de l'école et de la santé.
04:07 La population de Fakoubli, elle, espère une réaction rapide des pouvoirs publics.
04:15 Retour à Abidjan, sous la jeune chambre internationale JCI. Abidjan Souleï a fait le bilan de ses activités
04:22 des cinq derniers mois de l'année 2024. Lors de cette rencontre, les membres les plus actifs ont été récompensés
04:29 pour leur engagement à rehausser l'image de la JCI en présence d'Assi Tandira et Enza Traoré.
04:36 Les membres de la jeune chambre internationale JCI Abidjan Souleï sont en conclave.
04:41 Ils sont tous là pour repasser en revue les actions menées depuis janvier à la fin avril 2024.
04:47 L'objectif est de faire le bilan de cette période et mieux aborder la deuxième partie de l'année.
04:53 Aujourd'hui, nous sommes à mi-parcours de notre mandature depuis le 5 janvier 2024.
05:01 Et nous sommes là pour un fin bilan, bilan moral et financier, et entrevoir les différentes perspectives
05:08 pour la seconde moitié du mandat.
05:12 Les membres les plus actifs au cours de ces quatre premiers mois de l'année sont récompensés pour leurs actions
05:18 en faveur du développement et de la promotion des valeurs communautaires et sociales de la JCI Abidjan Souleï.
05:24 J'ai reçu le prix du meilleur monde potentiel. Je suis déjà fière d'appartenir à cette organisation.
05:31 Je suis en même temps heureuse et reconnaissante pour le travail reconnu.
05:39 J'ai eu le prix du meilleur membre engagé et le prix de l'innovation.
05:44 J'estime que c'est ce qu'on a pu faire qui a mérité ces différents prix.
05:49 C'est l'occasion de dire merci au président et à tous son CDL, parce que ce sont eux, le comité, qui décident de donner ces différents prix.
05:57 Plusieurs cadres du pays ont pris part à cette rencontre, occasion pour Alun Bakayoko, président de la cérémonie,
06:03 de féliciter le président du mandat 2024 et ses collaborateurs pour les activités menées en faveur de la jeunesse ivoirienne.
06:10 J'ai jugé important d'associer mon image, parce que pour moi, la formation de nos jeunes frères reste un pilier de développement très capital.
06:20 Ces gens d'initiatives ont vraiment encouragé.
06:24 La fédération que je dirige, nous sommes là, par notre position transversale, nous voulons mettre un pont entre toutes les associations,
06:33 entre l'industrie du tourisme et cette organisation.
06:37 La jeune chambre internationale Abidjan Soleil a pour mission d'offrir aux jeunes des opportunités de développement,
06:43 de leur leadership, en leur donnant la capacité de créer des changements positifs dans leur communauté.
06:49 Pour parler littérature, la maison d'édition Al-Ikma a procédé ce samedi 27 avril à la cérémonie de présentation
06:57 de dédicaces du livre "Sheikh Moustafa Sonta, l'héritage du prophète",
07:02 un livre de Daouda Berthe qui mise en avant des valeurs morales et spirituelles pour un comportement exemplaire dans les sociétés.
07:09 Féda Nayeo et Asiton Diara ont pris part à cette dédicace.
07:16 Lors de la cérémonie de dédicaces de son livre intitulé "Sheikh Moustafa Sonta, l'héritage du prophète",
07:22 l'auteur Daouda Berthe est revenu sur les valeurs fondamentales telles que l'humilité et le comportement exemplaire de son maître,
07:29 le Sheikh Moustafa Sonta qu'il retrace dans son œuvre.
07:32 Un comportement inspiré par la vie du prophète Mohamed qu'il faut s'approprier selon lui.
07:37 Il faudra voir ce livre-là sous le langue d'une problématique qui est celle de l'éducation par l'exemple.
07:43 Le Sheikh Moustafa Sonta montre effectivement qu'on peut, en étant éducateur, être un exemple d'éducation.
07:50 C'est une rupture par rapport à ce qu'on a envie d'entendre.
07:53 Fais ce que je t'ai dit de faire, mais ne fais pas ce que je fais.
07:56 Et donc, en fait, c'est une interpellation pour tous les parents, pour tous les éducateurs que nous sommes,
08:01 de sorte à ce que nous soyons des modèles inspirants pour nos enfants, pour des comportements plus vertus.
08:05 Cet ouvrage, loin d'être réservé uniquement aux musulmans, aborde des thèmes universels,
08:11 tels que l'éducation par exemple et le modèle des conduites à suivre.
08:15 Pour moi, c'est un ouvrage qui permet d'éduquer, d'éduquer à l'exemple, mais c'est avant tout un acte de foi.
08:22 Les valeurs qui sont chronées là sont des valeurs qui sont données à tous.
08:27 C'est important, vous savez, ce monde met beaucoup l'accent sur la technique, sur les compétences.
08:33 Vous allez avoir toutes les compétences possibles.
08:36 Si vous ne savez pas vous comporter et si vous ne savez pas utiliser ces compétences,
08:42 vos compétences vont plutôt être destructives au lieu d'être constructives.
08:46 Cette cérémonie de dédicace a permis de riches échanges entre les invités et l'auteur,
08:52 offrant à chacun des éclaircissements sur l'œuvre et sur les enseignements qu'elle véhicule.
08:57 Pour les chers Mustapha Sonta, mis en ézègre dans cette œuvre, c'est une satisfaction.
09:02 C'est un sentiment d'humilité, de reconnaissance envers Dieu.
09:07 Et on demande à Dieu que les gens comprennent mieux le message.
09:12 Parce que comme Daouda Bertel a dit, le message ce n'est pas moi.
09:15 Le message c'est surtout le caractère du prophète Mohammed (s.a.w.).
09:21 C'est de comprendre qui et comment le prophète vivait, comment il fonctionnait.
09:26 Nous, les êtres humains, on essaie de prendre un peu de lui pour en faire notre quotidien
09:34 et pour transmettre ça aux gens qui nous suivent.
09:37 La cérémonie a pris fait avec une séance des dédicaces.
09:41 Vous le disiez en titre, le cancer du sang tue.
09:45 Et ça, on ne le dira jamais assez dans l'optique de sensibiliser, afin de prendre des précautions.
09:52 Dans la commune de Koumasi, Salimata Diakite est atteinte de cette maladie.
09:57 Malgré les nombreux soins, le mâle persiste chez la jeune femme.
10:01 Aujourd'hui, la famille de Salimata a le regard tourné vers les personnes de bonne volonté
10:06 pour la sauver de l'emprise de cette maladie cancéreuse.
10:10 Sauvant Salimata Diakite, un reportage de Justin Kouassi commenté par Asit Andira, âme sensible, sache tenir.
10:17 Quartier soleil dans la commune de Koumasi.
10:20 Ici habite Salimata Diakite, mère de six enfants.
10:24 Elle souffre depuis plus de onze mois du cancer du C, un tueur silencieux, qu'elle n'a pas dépisté plus tôt.
10:31 Inactive aujourd'hui, couchée dans son lit, Salimata se sent mal, impuissante face à cette maladie qui la harrange au fil des jours.
10:40 "Le bébé m'a dit de m'attraper, ici au coucher là. Mon bébé, il ne veut pas être attrapé.
10:45 Le bébé, là, il voit comme ça, il ne veut pas la prendre. La nuit, il ne veut pas dormir.
10:50 Ici, là, comme ça, il m'assoit comme ça. C'est ma soeur qui prend mon bébé pour aller dormir.
10:56 Il me sent fatigué. Tout mon corps me fait mal. Ici, il neveut même.
11:02 Souvent, il a envie de me never, mais je ne sais pas comment il a fait.
11:06 Pardonner, venir me dire. Il souffre trop."
11:09 "On a constaté une boule au sein du sein gauche. Il a demandé ce que c'était.
11:15 Elle ne disait pas. Je l'ai envoyée à l'hôpital de Koumancy.
11:18 On a fait un premier examen, on nous a fait savoir que c'était une infection.
11:22 On l'a mise sous traitement. Il y a un examen qui s'est avéré qu'elle avait une grossesse avancée d'environ cinq mois.
11:31 Maintenant, l'autre examen, pour la boule, pour savoir ce que c'était, on nous a dit qu'elle avait un cancer.
11:38 Quand le résultat est venu, c'est comme ça qu'on a commencé la chimie."
11:41 La santé de Salma tasse et dégrade de jour en jour. La tumeur est maintenant apparente.
11:46 La plaie s'est déjà emparée de son sein gauche et atteint progressivement son dos.
11:51 Cette situation plonge toute sa famille dans une angoisse profonde.
11:55 "Depuis, la maladie l'a attrapée. On est tristes. On ne sait pas où on va faire. Mon enfant a trop souffert."
12:06 "Chaque matin, on va à l'hôpital. Elle a du mal à marcher. Je tiens sa main. Je suis obligée d'être auprès d'elle, de la soutenir. Il n'y a pas le choix."
12:19 Difficile pour Dauda Traoré, son époux, de voir la mère de ses enfants mourir à pétifeu.
12:24 "C'est un grand coup de vie pour moi, pour ma famille et pour la malade. C'est très difficile parce que le traitement est long, très coûteux et la malade est fatiguée."
12:36 "La nuit, souvent le sommeil me prend. Mais quand j'entends sa voix, je me réveille. Elle n'est pas contente de me voir trop dormir parce qu'elle souffre énormément."
12:45 Vu l'état de santé de Salimata et souci de son incapacité à mener des activités génératrices de revenus, les habitants du quartier lui apportent soutien et réconfort.
12:55 "Le jour que j'ai vu, je n'ai pas dormi ce jour-là. Je m'étais servi de la femme. Elle a eu une maladie. Son mari ne peut plus. C'est comme un gain. Elle a bébé en fin de siècle, il y a six mois. Ce n'est pas facile."
13:11 Pratiquement en phase terminale, ce cancer pourrait coûter la vie à Salimata. Sa famille sollicite l'aide des personnes de bonne volonté et des autorités compétentes afin de permettre à cette mère des familles de recouvrir la santé.
13:24 "Le cancer a été traité sous une grossesse. A sept mois, on a fait une opération. Le bébé est suivi, la maman est suivie. Sincèrement, où je suis, la famille est très épuisée financièrement.
13:45 Je viens par là demander à tous ceux qui vont entendre ce message de nous venir en aide. Franchement, ce n'est pas facile. Aidez-nous, aidez-nous s'il vous plaît."
13:55 Selon les études, le cancer du seigne est le premier cancer de la femme en Côte d'Ivoire. Il représente 19% des cas de cancer chez la femme. Plus de 1300 nouveaux cas et près de 1.815 par an.
14:08 Dans l'espoir d'une suite favorable, nous souhaitons un propre établissement à Salimata et courage à sa famille.
14:16 Dans un autre chapitre, à 6000 kilomètres d'Abidjan, Bonjour Paris a tenu toutes ses promesses.
14:22 Le samedi 27 avril, à la salle de la mutualité, le public de la diaspora, les partenaires de l'émission, mais aussi le directeur général du groupe RTI, l'ambassadeur de Côte d'Ivoire en France, ont été séduits par la qualité des prestations des humoristes qui ont fait montre de leur talent et de leur savoir-faire.
14:40 Pour cette quatrième édition, la victoire des éléphants est au cœur des présentations envoyées spéciaux à Paris par Gassoro Kone de Madongui et Haruna Kone.
14:49 Paris, maison de la mutualité, il est un peu plus de 21h.
14:55 A l'entrée, on se dépêche pour égagner la salle du spectacle. Personne ne veut se faire compter le grand rendez-vous humoristique de la RTI, Bonjour Paris, quatrième édition.
15:05 Pendant ce temps, dans les loges, les humoristes sont serrés. Ils attendent produire un spectacle féerique et inoubliable.
15:14 Bonjour, bonjour, c'est Papito. Prenez place. Nous, on est prêts déjà. On est dans la version. On est en train de tuer. Tout le monde est prêt pour le show. Merci à la RTI.
15:26 Alors donc, on s'apprête. Ça va être chaud, bien. Voilà, préparez-vous.
15:30 On avait déjà dit, la canne, c'est chez nous. La coupe ne bougera pas. Et tout à l'heure, on va démontrer ça. Il rit comme les chefs bandits.
15:43 Et dans la loge officielle, le directeur général de la RTI est accueilli par ses plus proches collaborateurs. 21h30, le spectacle peut alors commencer.
15:53 Les humoristes sur scène font montre de leur talent et de leur savoir-faire.
15:58 On est tellement contents. On a aussi un autre plan. Il est parti où, mon frère?
16:05 Il est parti pour la fête. Il a fait trois vidéos. Il est parti se consoler. Il se consolait tout.
16:16 Mais les plus petites vêtements, c'est le coach. Bon, vous dites quoi tu vois, après, le client. Voilà, parce que c'est réveillé, il y a des champions d'Afrique. Trois fois.
16:26 Et pour lui, il a sa main. Où est-ce que j'en vois?
16:30 Bonjour, Paris 2024, une initiative de la radio télévision ivoirienne RTI en partenariat avec Courser. Pour cette quatrième édition, la victoire des éléphants au cœur des différentes prestations et allocutions.
16:44 Après bonjour à Bidjan, eh bien, tout le monde est à la Cannes. Et comme chacun de nous, chacun de vous, la Cannes a été un moment extraordinaire.
16:56 Où ce beau pays, comme un seul homme, s'est mobilisé. Et au final, quels que soient les chemins tortueux et difficiles, Ivoirien reste Ivoirien.
17:11 Je suis très ravie d'être parmi vous ce soir et je tiens à remercier particulièrement la RTI, notre partenaire, qui nous a permis de partager ce moment qui valorise la culture ivoirienne.
17:30 Courser est aussi acteur qui est engagé pour faire rayonner la culture en Côte d'Ivoire.
17:40 Une initiative saluée par l'ambassadeur de Côte d'Ivoire en France, Maurice Kwaku-Bandama.
17:45 Monsieur le député-general de la RTI, je veux vous saluer, vous remercier, vous et votre équipe, pour la constance de cette amitié que vous faites à la diaspora, aux Ivoiriens de France,
18:00 en nous offrant cette grande émission qui est Bonjour, Bonjour Paris, à sa quatrième édition.
18:08 Et je m'honore, en tant qu'ambassadeur de la Côte d'Ivoire en France, d'accueillir sur ces quatre éditions la troisième, c'est-à-dire trois éditions qui se passent sur notre mandat.
18:19 Merci, monsieur le député-general.
18:22 Le président Asanguatara a pris l'engagement de faire la meilleure canne de l'histoire et il a tenu l'engagement. Nous sommes fiers.
18:34 En plus des humoristes, certains artistes chanteurs, dont Aboumélie Léfan, ont réussi à aiguiller le public de Bonjour Paris.
18:46 Tu marches un petit bloc, papa, tu marches un petit bloc, tu marches un petit bloc.
18:50 Chakorama, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet, boulet.
18:58 Le public de Paris, lui, n'a pas boudé son plaisir.
19:03 Je suis fier de nos humoristes parce qu'ils nous ont vraiment gâtés et à travers eux, avec une forte ambiance, tous les Ivoiriens sont contents.
19:14 Le pays d'Ivoire est champion d'Afrique. C'était vraiment un bon cadeau pour nous, vraiment, d'avoir Bonjour 2024.
19:21 Très bien, très bien. J'ai beaucoup apprécié. Mon épouse est ibérienne. On voulait absolument venir ce soir et j'ai passé un très bon moment.
19:28 Beaucoup d'humour. Je connaissais peu l'humour africain, mais là, on a été servi sur un plateau magnifique. Voilà. Et je reviendrai l'an prochain, je pense.
19:36 Fini Bonjour Paris 2024. Rendez-vous l'année prochaine pour la cinquième édition, pour plus de rires et d'humour.
19:43 D'ailleurs, même, est-ce que vous connaissez le sens du RETA ? C'est un acrostiche. Chaque mot veut dire quelque chose. Le RETA veut dire quoi ?
19:51 Régard erroné sur le temps annoncé et reconnu au début. Tu vois ? Ça, c'est le RETA qui est défini comme ça.
20:02 Et puis, dans cette belle ambiance, nous terminons ce temps d'information au Togo, où près de 4,2 millions d'électeurs togolais ont voté dans le calme ce 29 avril
20:12 pour les législatives et régionales. Reporté à plusieurs reprises, ce double scrutin se tient alors qu'une nouvelle constitution adoptée par les députés sortant le 29 avril
20:21 fait passer le Togo d'un régime présidentiel à un régime parlementaire. À la mi-journée, ce lundi, il n'y avait pas grande affluence devant le bureau de vote de la capitale Lomé.
20:30 Mais rassurez-vous, tout s'est passé dans la quiétude. Merci et bonnes sur le programme sur RTI 2.
20:36 (Générique)