PAF : Analyses, décryptages et investigations sur les émissions télé !
Du lundi au vendredi à 17h50 sur C8.
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00:00 Non mais franchement, quand elle dit les gens qui font "gnagnagna"
00:03 tu penses qu'elle, elle fera "gnagnagna" après s'être baignée ?
00:06 A sortir, je peux vous dire que ça va être quelque chose.
00:08 Il y a un truc qui n'est pas honnête là-dedans, c'est qu'elle dit
00:10 ça va être un héritage exceptionnel, comme si nous on allait pouvoir se baigner
00:13 dans la Seine en maillot de bain. Mais elle, elle va y aller deux minutes en combi.
00:16 Les gens ne vont pas nager comme ça, comme s'il allait à la mer à la Seine.
00:18 Ce n'est pas du tout honnête ce qu'elle dit.
00:19 C'est leur pari. Leur pari, c'est qu'après les Jeux, les Parisiens...
00:23 Elle a fait beaucoup des paris.
00:25 Elle compte tous les paris qu'elle a perdus. Ani Dalgo, vous venez.
00:27 Moi j'ai une rigolade dans Paris. Il y a plein de travaux, mais il n'y a jamais d'ouvriers.
00:31 Non mais c'est une dark art. Il n'y a que des travaux, il n'y a jamais d'ouvriers.
00:34 Je vous demande mon taxi.
00:35 Vous êtes d'accord avec moi ? Sans rigoler.
00:36 Ils ont posé des trucs, ils sont partis.
00:38 Il n'y a que des travaux, il n'y a pas d'ouvriers. C'est incroyable.
00:41 Qu'est-ce qu'il a, vous regardez comme ça l'autre ?
00:43 Non, on vous regarde avec...
00:44 Ah ouais, c'est ça.
00:46 En tout cas, ce sera en juin. Elle n'a pas dit la date précise, mais juin.
00:49 Et face à l'île Saint-Louis. C'est là où elle dira.
00:52 Vous voulez que je vous dise ? Ils vont faire une petite gouille mâle, ils vont s'ébaigner, ils vont faire un truc.
00:56 Elle va rester 10 secondes dans l'eau.
00:57 Les athlètes des JO, pour le trier, le temps notamment, c'est entre une demi-heure et trois quarts d'heure dans l'eau.
01:02 Donc ça n'a rien à voir. Et après, ils n'ont pas de mousse aseptisante.
01:05 Après, ils enchaînent avec le vélo et la course à pied.
01:07 Donc eux, ils ont vraiment le temps que le virus développe et tout.
01:10 Alors qu'elle, elle va rester 10 secondes.
01:11 Non mais c'est sûr, c'est n'importe quoi.
01:13 On savait qu'avant 1983, on avait le droit de se baigner.
01:15 Ah ouais ?
01:16 Et les gens se baignaient, les parisiens se baignaient.
01:18 Non, 1923.
01:19 1923, pas 1923.
01:20 23 !
01:21 La baignade a été interdite en 1983.
01:23 Ça veut dire qu'avant, on pouvait se baigner.
01:25 Écoutez ce qu'il dit là-haut.
01:26 23 !
01:27 23 !
01:28 Écoutez, Montiel, il a dit avant 1983.
01:30 Ah oui, bah oui, avant 1983, il y a 23, d'accord. Il y a 60 ans d'écart.
01:34 [Rires]
01:36 Non mais arrêtez de rigoler à ces petits stéréotypes.
01:38 C'est logique, Gilles, de dire la baignade a été interdite en 1983 à partir...
01:43 C'est très bien, Bernard.
01:45 ...que ce soit 23 ou 50 ou 60 ans.
01:47 Bernard, défonce-toi.
01:48 Bah ouais, défonce-toi.
01:49 [Rires]
01:51 Je comprends pas ce que je lui dis.
01:52 Ça a été interdit en 1923.
01:54 Moi j'ai hâte, j'ai hâte.
01:55 T'as hâte de quoi ?
01:56 J'ai hâte de me baigner, j'ai hâte que ce soit...
01:57 Baigne-toi tout de suite, je vais arrêter.
01:58 Mais non, mais c'est formidable.
01:59 On attend ça depuis tellement de dizaines d'années, vous vous rendez compte ?
02:03 Ça va être ouvert au public, on va pouvoir retrouver le plaisir de plonger dans la salle.
02:07 T'y crois, toi ?
02:08 Mais bien sûr que j'y crois.
02:09 Mais moi, si jamais j'ai été invité, moi je ne suis rien, on m'invitera pas.
02:11 Mais si on m'invite, je plonge dedans.
02:13 Mais bien sûr, invitez-le.
02:15 On a rien à foutre avec ton physique, toi.
02:17 Je pense aux gens qui sont beaux.
02:19 [Rires]
02:21 T'es foutu, t'en as rien à foutre.
02:22 Non, non, ça c'est bon.
02:23 Ça c'est bon.
02:24 Ça laisse un peu de plaisir.
02:25 C'est drôle.
02:26 Non, mais j'ai rien à dire, regardez-le.
02:28 Il fait faim.
02:29 Il a une peau magnifique, regardez-le.
02:30 Non, sans déconner.
02:31 Il a une peau de gilet, c'est incroyable.
02:32 Sans déconner, il est gentil.
02:33 Un épiderme.
02:34 Mais bien sûr.
02:35 Mais Dieu le bénisse.
02:36 Mais tant de produits.
02:37 Merci, Céry, merci.
02:38 Non, mais Gilles est tout content parce qu'il va pouvoir plonger dans une scène pleine de merde.
02:40 Mais oui, mais...
02:41 Moi, pardonnez-moi.
02:42 Mais parce que lui, quand il y a de la merde, il est content.
02:43 Moi, pardonnez-moi, mais moi je suis contacté.
02:44 On l'appelle le coq.
02:45 J'ai été contacté.
02:46 Est-ce qu'on peut quand même juste parler pendant deux secondes du scandale des pistes cyclables ?
02:49 Bien sûr.
02:50 Il y a un côté de la rue de Vaugirard aujourd'hui, il y a tout un côté de la rue de Vaugirard
02:53 qui est une piste cyclable.
02:54 Et tous les commerçants de la rue de Vaugirard doivent fermer parce que les gens ne peuvent
02:58 plus se garer.
02:59 Et donc, il n'y a plus d'activité.
03:00 Ils sont tous en cessation d'activité.
03:01 Donc, c'est ça la réalité de Paris aujourd'hui.
03:02 Mais elle a flingué.
03:03 Elle a flingué.
03:04 Vous avez vu ce qu'elle a fait place du Trocad ?
03:05 Maintenant, on comprend rien.
03:06 Il y a des voitures qui viennent.
03:07 Donc, tout le monde se dit que c'est une place à Paris où il ne s'est jamais rien passé.
03:11 Tout allait bien.
03:12 Ça roulait très bien.
03:13 Ça arrivait.
03:14 Je ne sais pas.
03:15 Ça part dans tous les sens.
03:16 Il y a des barrières.
03:17 Ça arrivait.
03:18 Je ne sais pas ce qu'elle faisait.
03:19 Ils sont encermés.
03:20 Ils n'entendent pas les écolos.
03:21 Les écolos, ils ne disent rien.
03:22 Tu passes 30 minutes de plus dans ta voiture par personne.
03:23 C'est-à-dire que tout le monde passe plus de 30 minutes.
03:24 Donc, tu pollues énormément.
03:26 Mais je n'entends pas les écolos.
03:27 C'est bizarre, ce truc-là.
03:28 Il faudra m'expliquer comment ça peut être possible de doubler les temps de trajet.
03:32 Comme tu disais l'autre fois, même à minuit, pour faire 5 km, tu mets 30 minutes.
03:36 Même à minuit.
03:37 Même à 2 heures.
03:38 C'est fou.
03:39 On rigole.
03:40 On ne pollue pas quand on est dans les bouchons.
03:42 Paris, c'est la seule ville où il y a des embouteillages même quand il n'y a pas de voiture.
03:46 Je vous rassure.
03:47 Je me disais ça la dernière fois.
03:48 Je suis allé faire un truc à 2 heures du matin, à 3 heures du matin.
03:51 Il n'y avait pas de voiture.
03:52 Il y avait quand même des embouteillages.
03:55 Souffleusier.
03:56 Souffleusier à 3 heures du matin.
03:58 J'allais me baigner dans la Seine.
03:59 Tranquille.
04:00 Non, mais franchement, je vous jure que c'est vrai.
04:03 C'est la seule ville où il y a des embouteillages sans voiture.
04:05 C'est une prouesse technique qu'elle a fait son amie, Anne Hidalgo.
04:08 Et si on vous dit que ça ne risque rien, vous y allez ou pas dans la Seine ?
04:10 Mais qu'est-ce que j'en ai ?
04:11 Si, j'en ai à foutre.
04:12 Non, mais comme, je ne sais pas, comme expérience de l'extrême.
04:14 Non, non, pas du tout.
04:15 Expérience de l'extrême, déjà, j'ai Gilles Vernez qui me le dit.
04:18 C'est autrement plus difficile.
04:19 Comme si c'était une piscine, mais c'est dangereux même d'aller nager dans la Seine.
04:22 Il y a des gros.
04:23 Tu vas voir, tu vas voir plein de mecs.
04:25 Vous allez voir les accidents qui vont y avoir.
04:27 Oui, on peut le dire aux gens qui peuvent mourir dans la Seine.
04:29 Vous allez voir les accidents qui vont y avoir à cause de Gilles Vernez et de ses amis de Hidalgo.
04:32 Ce n'est pas un jeu la Seine.
04:33 Non, mais ce n'est pas un jeu la Seine.
04:34 Mais il y aura des espaces dédiés, enfin.
04:36 On ne se jette pas n'importe où dans la Seine.
04:38 Tu verras qu'il y en a qui le feront.
04:40 Il y en a qui le feront parce qu'ils se diront on peut maintenant.
04:43 Comme le bassin éphémère de la Villette.
04:44 Qu'est-ce que tu dis ?
04:45 Le bassin éphémère de la Villette.
04:47 Il y a eu des bassins éphémères de la Villette où les gens...
04:49 Tu ne connais pas la Villette, tu connais que les boucheries.
04:51 C'est vrai, non ?
04:52 Oui, c'est vrai.
04:53 C'est vrai, mais quel est l'intérêt ?
04:54 C'était là, la seule chose.
04:55 Faire une analogie.
04:56 Il faut se baigner, mais est-ce que tu suis un peu l'émission ?
04:58 Oh, quand il y a une voiture...
05:00 Aujourd'hui, tu en prends plein la gueule, pourquoi ?
05:02 C'est-à-dire que là...
05:03 Il y a beaucoup de rats, il y a déjà beaucoup de rats qui se baignent.
05:05 C'est terrible.
05:06 J'ai une copine qui est bêniche.
05:07 J'ai vu, moi, la dernière fois, écoute-moi bien.
05:08 J'étais tranquillement, j'étais dans un magasin, j'ai vu un rat qui est rentré, il a demandé un maillot.
05:11 Il est prêt.
05:12 Un masque à tout bord.
05:14 Un autre rat sort de la cabine.
05:16 Un maillot.
05:19 Je dis, mec, on en est là.
05:21 Il y a beaucoup de rats qui se baignent.
05:23 Oui, parce que moi, j'ai une copine qui a une péniche sur la scène.
05:25 Je lui disais, mais c'est fantastique d'habiter sur une péniche comme ça.
05:27 Elle me dit, non seulement déjà c'est dangereux quand on a un chien ou un enfant, etc.
05:30 Mais en plus, toute la soirée, on regarde la télévision qui est juste devant les bâtiments, les trucs.
05:35 Elle dit, on voit des rats passer toute la soirée comme ça devant le...
05:38 Ce qui passe sur la basse d'un gage de la péniche en déoilé.
05:41 Ils plongent, forcément.
05:42 Oui, ils plongent, oui.
05:43 On ne peut pas le faire.
05:44 Oui, oui.
05:45 Et qu'est-ce qu'on dit à ça, les rats qui plongent ?
05:46 Qu'elles vendent sa péniche.
05:47 C'est la solution.
05:50 Plus on est au fond, plus personne peut te plairir.
05:52 On va pleurer sur quelqu'un qui a une péniche ce soir.
05:54 Ça ne coûte pas cher.
05:55 Très bien.
05:56 Une péniche, ça coûte beaucoup moins cher qu'un appartement.
05:57 Ton appartement coûte certainement plus cher que la péniche de sa copine.
06:00 Très bien.
06:01 Ton appartement coûte certainement plus cher que la péniche de sa copine.
06:03 Non, mais arrête de dire que les péniches, ça coûte cher.
06:05 Une péniche coûte moins cher qu'un appartement.
06:07 Une péniche, je ne vais pas pleurer.
06:08 Oui, oui.
06:09 Donc, je te le dis.
06:10 Donc, ton appartement coûte plus cher que la péniche de sa copine.
06:11 Je ne vais pas pleurer sur moi.
06:12 Je ne vais pas pleurer non plus sur cette dame.
06:13 Pleure plutôt sur elle que sur toi.
06:14 Si elle n'est pas contente qu'elle quitte sa péniche, à un moment, c'est bon.
06:17 Il y a trois rats.
06:18 C'est pas rapport à la péniche.
06:19 Il y a trois rats qui se battent en duel.
06:20 Arrêtez.
06:21 En plus, ils se battent les rats.
06:24 C'est dangereux.
06:25 Excuse-moi.
06:26 Ah oui.
06:27 Je ne savais pas que j'ai battu.
06:28 Tu me l'apprends.
06:29 C'est très dangereux.
06:30 Qu'est-ce qu'il y a ?
06:31 Mais t'es fou, quoi ?
06:32 C'est des centaines de rats qui se battent.
06:33 Des centaines de rats.
06:34 Bien sûr.
06:35 Des centaines de rats.
06:36 Ils vont aller sur la face, à un moment, ils vont se baigner.
06:37 Mais ce n'est pas possible.
06:38 Mais qu'est-ce qu'il peut dire comme guignolerie ?
06:39 C'est incroyable.
06:40 C'est incroyable.
06:41 [Musique]