• il y a 5 mois
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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Transcription
00:00 A deux mois du coup d'envoi des Jeux Olympiques de Paris, M. Pokora,
00:03 Mat, que j'embrasse fort d'ailleurs, a fait connaître son étonnement et sa déception
00:07 de ne pas avoir été contacté pour participer à la cérémonie d'ouverture.
00:10 Lui qui est très proche du sport, il a fait part à...
00:15 Il était un peu dubitatif, regardez.
00:18 Alors, on le sait, Ayana Kamura est une des artistes précentrières
00:21 pour assurer le show de la cérémonie d'ouverture des JO.
00:23 Souvenez-vous, il y a quelques années, elle s'est embrouillée avec M. Pokora
00:26 au sujet du nombre de NMA qu'il avait reçus.
00:28 Il a gagné pour quel son ? Rien contre lui, mais il n'est même pas dans le top 10.
00:32 Elle avait attaqué M. Pokora. Elle avait rapidement supprimé son tweet à l'époque.
00:36 Mais voilà. Qu'est-ce que vous en pensez ?
00:39 Tiens, Ayana Kamura, vous trouvez ça bien ?
00:41 - Moi, ça ne me dérange pas. - Ah, ça ne vous dérange pas ?
00:43 Qu'est-ce qui vous dérange ? - Marie-Hillaire Bernaise et Gilcardo.
00:45 - Non, mais il ne me dérange pas du tout.
00:48 Je peux ne pas être d'accord avec eux, il ne me dérange pas.
00:50 Non, non, ça, ça ne me dérange pas du tout. C'est un choix.
00:52 Ils ont fait un choix, il y a un peu tout le monde.
00:54 Il ne sera pas tout seul, de toute façon. Il va y avoir, si j'ai bien compris,
00:57 une pléiade d'artistes, un petit peu tout confondu.
01:00 Mais on ne parle que d'être M. Pokora. Il a une histoire qu'on connaît.
01:03 Son père était footballeur professionnel.
01:06 Il a toujours été dans le milieu du sport.
01:08 Maintenant, je peux comprendre sa frustration, mais voilà.
01:12 Après, il y a des choix. Je ne sais pas qui fait les choix. Je ne sais pas qui choisit.
01:15 - Moi, je ne comprends pas. Je trouve que ce n'est pas lui, ce côté aigri.
01:19 Alors, attention, ce n'est pas lui. - C'est la chance, nul.
01:21 - C'est une boussole aigri. - Tu es chiant. Tu en es marre.
01:24 Je ne te donne même pas la parole. Tu me fatigues.
01:26 Tu me fatigues, sans rigoler. Tu salies tout. Tu es insupportable.
01:29 - Je n'ai rien sali. - Non, mais si. Arrête de dire ça.
01:32 Arrête de dire des bêtises pareilles. C'est notre ami.
01:34 Écoute, tu sais quoi ? C'est quoi, ça, ton problème ?
01:36 C'est pour ça que tu n'as plus aucun ami. Tu sais quoi ?
01:38 Mais sans rigoler, plus personne ne veut être ami avec toi.
01:40 Tu es un enfer. Non, mais je suis désolé, excusez-moi,
01:42 parce que je ne supporte pas d'entendre ça.
01:44 Moi, vous savez, quand on attaque un ami à moi, franchement, ça me gêne fortement.
01:48 Et Gilles Vernest, tu es insupportable. Crois-moi. Voilà, insupportable.
01:51 - Mais du coup, est-ce qu'on a le droit de le dire un peu plus gentiment
01:54 que Gilles l'a fait parce que tu as été très maladroit et il n'est pas aigri du tout ?
01:57 - Qu'est-ce que vous voulez ? - Mais est-ce qu'on peut le dire d'une manière plus gentille ?
01:59 - Non. Non. - Non, de dire que ça ne lui ressemble pas
02:02 et qu'on ne comprend pas. - Non, mais pas du tout.
02:04 - Il en est aussi la mort comme ça. - Vous ne connaissez pas.
02:07 Vous ne connaissez pas Matt. - Je le connais.
02:09 - Il est sensé tout ça. - Et Matt, c'est un mec qui est vrai.
02:11 Et Matt, il dit ce qu'il pense. C'est pour ça que je l'aime aussi.
02:13 C'est pour ça que le public l'aime. - Oui, mais de se mettre en avant comme ça,
02:15 justement, ça fait bizarre. - Non, je ne suis pas une hypocrite.
02:17 - Mais non, il n'est pas en avant. - Matt, il dit juste...
02:19 - Il dit les choses, il est touchant. - Moi, j'aime bien le mec qui dit
02:21 « j'aurais envie de le faire ». Il a raison.
02:23 - Oui, désolé. - Ce que j'aurais qu'ont fait, Cyril.
02:25 - S'il vous plaît, s'il vous plaît. J'aurais kiffé le faire. Je suis désolé.
02:27 Les mecs, je suis quand même, je pense, celui qui connaît le mieux ici autour de la table, donc je vais quand même en parler.
02:31 Je vous dis, je connais Matt. C'est pas du tout... Il n'est pas du tout aigri.
02:35 C'est pas du tout un forceur. C'est juste que... Voilà.
02:38 - Il a les boules, c'est ça ? - Non, pas les boules.
02:40 Il dit « si on m'appelle, je viens ».
02:42 - Si on m'appelle, je viens. - Mais je vais m'adorer.
02:45 - Il se dit aussi pourquoi Ayana Kamoura et pas moi, pourquoi un tel et pas moi.
02:51 Mais c'est vrai qu'il dit qu'il pourrait faire partie de la liste. C'est tout.
02:54 Il n'y a aucune aigreur dans ce qu'il dit. - Il a raison d'ailleurs.
02:57 - Je suis désolé. En vrai, Matt Pokor, il a une carrière. Ça fait maintenant plus de 10 ans qu'il est au top.
03:03 - Non mais c'est très justifié, je trouve, ce qu'il dit.
03:06 D'abord, il est touchant. Il est extrêmement touchant. C'est une grande star.
03:10 Il sait monter des shows, comme il l'a souligné. Et c'est vrai, on le voit sur scène, les shows qu'il donne.
03:14 Moi, je trouve ça légitime. Maintenant, il ne fallait pas faire trop comme ça, quand même.
03:18 Il aurait peut-être dû appeler Thomas Joly, le mec qui s'en occupe.
03:21 - Qu'est-ce qu'il en sait, lui ? Thomas Joly ou Thomas Pabaud ?
03:24 - C'est écrit en corse. - Qu'est-ce qu'il en sait ? Qu'est-ce que tu racontes ?
03:28 Non mais l'autre, parce qu'il connaît trois personnes à l'Été, il faut le faire malin.
03:31 - Arrête d'en parler plus. - Arrête un peu. Il fallait appeler Thomas Joly ou Thomas Pabaud.
03:35 - C'est le directeur artistique, celle des CME qui décide.
03:38 - Justement, il passe vraiment par sa voix, qui est la voix même.
03:41 - Mais il est touchant. - Je trouve ça très humble d'une star.
03:44 Parce que, excuse-moi, c'est une star française incroyable.
03:47 - C'est très humble de dire ça, de dire "je suis triste de ne pas être de la fête, parce que c'est la fête du sport".
03:52 - Moi, je vais vous dire un truc. J'en ai marre d'entendre tout et n'importe quoi sur ces JO et sur les artistes des JO.
03:59 Pour moi, un artiste qui est aux Jeux Olympiques, il doit être irréprochable.
04:03 Matt Pokorin, il est irréprochable. Je suis désolé, les mecs.
04:06 Il n'y a rien à dire sur lui. Le seul truc qu'il y a à dire, c'est qu'il a du succès depuis 20 ans.
04:11 Il est irréprochable. Et je peux vous dire, les artistes irréprochables, ça se compte sur les doigts de la main.
04:16 Donc déjà, Matt Pokorin, peut-être qu'il faudrait déjà s'y pencher.
04:22 Non mais c'est vrai. Il a raison. Et sur scène, il fait un show de fou.
04:25 Donc à un moment, je comprends. Je suis désolé. On va dire Ayana Kamua, c'est très bien Ayana Kamua.
04:31 Mais Ayana Kamua, je suis désolé. C'est pas une Pokorin. Elle a quelques casseroles. Je suis désolé, les mecs.
04:39 Les JO, c'est l'exemplarité. Voilà, c'est tout. C'est simple.
04:43 - Soprano, c'est l'exemplarité. - Exactement. Soprano, c'est l'exemplarité.
04:45 - Je suis désolé, je suis d'accord avec toi. - Même signal.
04:47 - Voilà, même signal. Soprano, Matt Pokorin, c'est l'exemplarité. Vianney, c'est l'exemplarité.
04:51 - Je suis désolé, il y en a beaucoup. - Et puis, rares sont ceux à avoir ouvertement dit quand même qu'ils avaient envie de faire quelque chose pour les jeux.
04:58 Il y en a très peu. Donc moi, je trouve ça bien qu'ils fassent parler son cœur.
05:03 - C'est trop tard. Ils ont déjà décidé quand même qu'il y allait faire. - Pas sûr.
05:06 - Non, c'est pas fini. - Je pense qu'il peut encore.
05:09 - Là, t'as deux doigts de voir Guyang et Guénor.
05:12 - Là, alors qu'il est, t'as la compagnie Crawl et Guénor.
05:18 - Enchaîne des nez. - En plus, il a une cérémonie d'ouverture.
05:21 - Ils sont de la singer. - Ils sont pas l'ombre d'une idée.
05:24 - Ils sont organisés alors. - Je sais pas qui est ce monsieur qui est certainement très sympa.
05:27 - Justement, s'il appelle ce monsieur... - Mais c'est pas la peine de faire du neck dropping.
05:29 Moi aussi, je peux dire des blazes. Stéphane Fourquet, Patrick Fichoniole.
05:33 - Mais tu vois, s'il appelle ce monsieur, moi, je trouve que justement, ça fait gratteur et ça fait copinage.
05:37 Alors que là, finalement, c'est un artiste qui dit simplement, comme l'a dit Daniel, sincèrement et avec beaucoup de spontanéité.
05:42 Moi, voilà, j'aurais kiffé. Ça m'aurait plu. J'adore ça. Je suis fan de sport.
05:45 - Mais t'as pas compris qu'il a pris son intervention juste pour dire qu'il connaissait le gars qui s'était l'appelé.
05:49 - Non, je connais pas en plus. - Mais je connais. Il va l'appeler qui ?
05:52 - J'ai pas inventé un nom. Je vous dis, il s'appelle Thomas Joly. C'est lui, directeur artistique.
05:55 C'est lui qui est en charge des artistes. - Je crois vraiment M. Pokora, il va l'appeler.
05:59 "Ouais, allo, Thomas Joly." - Non, c'est la Maison de...
06:01 - Il faut que ce soit validé par plein de gens. C'est pas Thomas Joly qui l'a décidé.
06:04 - Vie avec tout le monde. Vie avec tout le monde. Non, mais c'est bon. Non, mais c'est vrai.
06:08 - Quel rapport ! - Du coup, maintenant, ils vont plus le prendre.
06:10 - Pourquoi ? - Non, pourquoi ? Non.
06:11 - Pourquoi ? - Au contraire.
06:12 - C'est pas un peu "j'ai pleuré" maintenant. - Non, au contraire. Non, c'est ça.
06:14 - Non, c'est pas ce qu'il a fait. - Au contraire.
06:15 - C'est pas "j'ai pleuré". J'ai envie. J'aime de la fête.
06:17 - Il a montré son envie, sa sensibilité sur le sujet.
06:20 - C'est pas le mot qui est dans les petits papiers. - Non, ce que je sais, c'est que la liste n'est pas bouclée, n'est pas définitive.
06:27 - Voilà. C'est pas bouclé. - Voilà. C'est tout.
06:29 - Alors c'est constaté. - Et moi, je trouve ça très touchant.
06:30 - Est-ce qu'il y en a qui refuse ? - Bien sûr. Zidane.
06:33 - Des chanteurs, je veux dire.
06:34 - Alors, il y en a qui demandent, par exemple, Michel Polnareff aussi, qui est un très grand.
06:38 - Oui. - Il aimerait aussi le faire. Ou en tout cas... Oui, oui.
06:40 - Ah, oui. - Il a fait savoir qu'il le faisait.
06:42 - Il représente bien les anneaux olympiques, Michel Polnareff.
06:46 - Pourquoi tu dis ça ? - C'est lunette.
06:47 - Comme ça. Parce qu'on disait l'exemplarité. C'est pas Michel Polnareff.
06:51 C'est naturellement que c'est un très grand artiste. - Ah oui ?
06:53 - Mais enfin, il y a... - Il vit plus en France.
06:55 - Je l'adore. - Il est un très grand artiste.
06:56 - Je l'adore aussi. - Polnareff.
06:57 - Et je le vois pas dans ce genre de... - Ah, sûr ?
06:59 - Autant lui, je trouve que c'est vraiment dans son domaine.
07:01 - Mais non, Polnareff. - C'est bien.
07:02 - Donc, il y a qui, alors ? Balance ta balle. Crache ta balde à, là.
07:04 - Je crache rien du tout. Je suis pas au courant.
07:06 Je vous dis simplement que c'est ce monsieur que j'ai cité, que je ne renommerai pas.
07:10 C'est lui qui s'occupe de ça. - Comment il s'appelle ?
07:12 - Et...
07:13 (Rires)
07:14 - Pas beau. - Pas beau.
07:15 - Comment il s'appelle ? - Thomas Jolie.
07:17 - C'est lui qui décide. - Mais non.
07:18 - Et est-ce qu'Alien Akamora, c'est sûr ou pas, pour toi ?
07:20 - Oui. - Ah oui, c'est sûr, oui.
07:22 - C'est sûr. - Oui, oui, oui.
07:23 - C'est lui qui a décidé. - Ah, il m'a pas dit ça ? Je le connais pas.
07:25 - C'est une décision politique. C'est pas juste... - Je l'ai jamais rencontré.
07:28 - David Guetta. - Il faut que ce soit validé.
07:30 - David Guetta, c'est...
07:31 - Alors, je crois qu'effectivement, il y a dans l'air.
07:36 - Il y a dans l'air. - Oui.
07:37 - Ça, ce serait très bien. - David Guetta serait très bien.
07:39 - Il y a dans l'air. - Bien sûr.
07:41 - Bob Sinclair. - Non, non.
07:43 - Non, c'est Guetta. - David Guetta, Alien Akamora.
07:45 - C'est pas fait, mais... - Ça avance comme ça.
07:47 - Oui, mais alors, je vous assure que la liste n'est pas bouclée, à ma connaissance.
07:51 - À ta connaissance ? - Maintenant, je connais personne, vous le savez bien.
07:53 - Tu connais Monsieur Joli ? - Non, je l'ai jamais vu.
07:57 - Tu connais Monsieur Joli ? - Non, j'ai jamais vu.
07:59 - Non, mais c'est vrai. Est-ce que vous les attendez, ces Jeux olympiques, ou pas du tout ?
08:03 - Moi, oui. Depuis Marseille, moi, je trouve que ça m'a donné envie. Franchement, oui.
08:07 - Ah ouais ? - Alors, c'est...
08:08 - Oui, et ce qui est touchant, c'est l'effervescence autour de la flamme olympique.
08:11 Tu vois, dans toutes les villes où passe la flamme, c'est vraiment l'effervescence.
08:14 C'est dingue. - Surtout à Lyon.
08:17 - Qu'est-ce qu'il dit ? - Mais qu'est-ce qu'il dit ?
08:19 - Qu'est-ce qu'il dit ? - Mais qu'est-ce qu'il a ?
08:22 - Il nous contredit sans voir. - Surtout à Lyon.
08:24 - Il dit que la flamme, c'est bien, et surtout à Lyon. - Pourquoi ?
08:26 - Qui est une ville qui n'a pas payé pour que la flamme passe.
08:30 - Ah oui, il a raison. - Toutes les villes doivent payer.
08:32 Et Lyon a refusé, son cher maire a refusé.
08:35 - 150 000 euros. - Une ville très sportive, il a refusé.
08:38 Mais je vois qu'il n'y a pas grand monde au courant de tout ce genre de choses.
08:40 - Non, non. - Celui qui a refusé sa fin de Noël...
08:43 - On n'a peut-être pas la flamme, on a le feu au cul.
08:45 - Vous avez raison. Au niveau du reboument parisien, au niveau des réservations,
08:50 au niveau des hôtels, au niveau des restaurants, il y a rien de biz.
08:52 Non, c'est pas que c'est pas ouf, c'est que ça ne va pas du tout.
08:54 - C'est catastrophique. - Pour l'instant, c'est catastrophique.
08:56 - Oui, mais on la viétre en elle-même.
08:57 - J'ai l'impression que ça fait aussi, comme pour toutes les villes olympiques,
09:00 au départ, tu as 6 mois, 8 mois avant, les gens râlent en disant que c'est chiant,
09:05 que ça va perturber tout. Et au fur et à mesure, il y a un début des fermées.
09:08 Ça avait fait ça à Londres aussi, où les Anglais râlaient complètement.
09:11 Et même 3 semaines avant, ça a commencé à péter dans tous les sens.
09:15 Et ensuite, ils étaient ravis. C'était formidable.
09:17 - C'est dans 2 mois et demi, quoi.
09:19 - Benalim, elle est toujours positive. Elle devrait travailler chez Carrefour.
09:22 - Ben, elle peut le faire. - Elle devrait travailler avec ça.
09:25 - Non, mais je te jure. C'est vrai, elle devrait travailler chez Carrefour.
09:27 Elle est toujours posi-crog. On est dans la merde.
09:29 Elle est mal, elle est fiée dans la merde. Elle va te dire qu'on est bien.
09:31 - Toujours voir le vert à moitié.
09:33 - Ou elle est positive ou elle est hypocrite. Qu'est-ce que t'en penses, Gilles Verdes ?
09:35 - Je suis d'accord avec vous, moi.
09:37 - C'est pas ce que tu me dis en coulisses.
09:39 - Tu entends ce que je dis ?
09:41 - Surtout, je suis d'accord avec vous, surtout sur les Jeux olympiques, je suis pas d'accord, là, en revanche.
09:44 Moi, je sens l'engouement. Je suis très heureux des Jeux olympiques.
09:46 - C'est ce que je viens de dire.
09:48 - Oui, je parle de lui, je parle pas de vous.
09:50 - De lui, hein. - De lui, il raconte quoi ?
09:52 - Je dis que je suis d'accord avec... - De lui ?
09:54 - D'accord sur l'engouement des Jeux olympiques.
09:56 - T'es bourré, mon vieux Tony.
09:58 (rires)
09:59 [Musique]

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