• il y a 7 mois
Transcription
00:00 C'est une dramédie sociale, quelque chose de l'ordre, du mélange des genres.
00:04 Je sais pas qui j'imite.
00:05 Il existe ce gars ou pas ?
00:06 Ce petit rigolo c'est Benjamin Lavergne.
00:08 Tu l'as vu dans tous ces films-là.
00:10 Et avec son acolyte Pierre Lautin, il présente au Festival de Cannes en fanfare
00:14 une comédie dans laquelle deux hommes qui ont embrassé des carrières musicales bien différentes
00:18 se découvrent frères.
00:19 On fait des tournées d'avant-première dans le Nord, c'est tellement chaleureux.
00:22 C'est un décor génial pour le film, il y a un charme fou.
00:26 Les gens nous ont accueillis merveilleusement et la fanfare de l'Alain,
00:29 des frères putés dans leur vraie salle de répétition.
00:31 Et puis le fait qu'il y ait une histoire avec cette région et la fanfare, le bassin minier,
00:34 les fanfares étaient rattachées aux mines.
00:35 C'est vraiment un monde.
00:36 C'est quoi ça ? On regarde Thibaut quand même ?
00:39 Au minimum.
00:40 Tout simplement c'est bien réalisé, c'est bien joué, on a fait ça avec le cœur.
00:43 On a eu beaucoup de plaisir à jouer.
00:45 On a eu des moments de...
00:46 Il y a un drif de match de foot.
00:47 On a fait ça avec le cœur, avec un peu de mur, c'était bourné un petit peu.
00:50 Il y a de la solidarité, il y a du cœur, il y a de la sincérité.
00:52 C'est réjouissant de savoir que le festival peut être ouvert et surtout de mélanger
00:55 les genres.
00:56 Mais oui, il y a une dimension populaire, auteur, qui est difficile à faire.
00:59 On a été à la fois surpris d'être sélectionnés et à la fois...
01:01 Ah non mais je ne t'ai pas surpris, je savais que tu...
01:03 Non mais pas surpris mais c'est vrai que...
01:04 On a un bon truc quand même, arrête de dénigrer ce qu'on fait sans arrêt.
01:07 C'est un garçon.
01:08 Ah mais c'est...
01:09 (rires)