Reda Belhaj était l’invité de Punchline sur CNEWS. Le porte-parole Unité IDF a affirmé au sujet des écoutes de la cellule Mohamed Amra : «Nous ne sommes pas surpris. Le problème est toujours le même, c’est le manque de moyen».
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00:00 On n'est pas surpris, je vous donne un exemple comme les prisons de freine.
00:03 Moi j'ai travaillé une vingtaine d'années sur le mal de marne.
00:06 Prisons de freine, domaine de freine, c'est tous les soirs,
00:08 tous les soirs, absolument tous les soirs, des parloirs sauvages.
00:11 C'est tous les soirs des jeteurs.
00:13 Parloirs sauvages, c'est des gens qui viennent communiquer avec des gens,
00:16 des gens de l'extérieur qui viennent communiquer avec des gens
00:19 qui sont placés en détention et qui sont censés ne pas avoir de contact
00:23 dans le cadre de leur peine avec des gens de l'extérieur.
00:26 Donc là déjà, vous pouvez communiquer sur des délits ou des crimes,
00:29 des préparations éventuellement.
00:30 Et puis vous avez les jeteurs qui utilisent des lance-pierres.
00:35 Voilà, propulsion qui envoie des objets, des produits stupéfiants,
00:41 des téléphones portables.
00:42 Vous avez aussi l'emploi des drones.
00:43 Mais le problème, c'est toujours le même, c'est un manque de moyens.
00:46 Parce que quand les gens nous appellent, on se déplace, nous policiers.
00:50 Mais le problème, c'est le manque de moyens.
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