"Mon compagnon est réticent concernant le mariage" - À Votre Écoute

  • il y a 5 mois
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##A_VOTRE_ECOUTE-2024-05-28##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:07 Sud Radio à votre écoute 16h17, Alexandre Delovane
00:12 Bonjour à tous, ravi de vous retrouver durant 7 heures dans votre émission à votre écoute et
00:26 même si le temps n'est pas toujours au beau fixe, rien ne vous empêche de prendre des décisions et
00:32 de prendre votre vie en main aussi. Alors les réponses à vos questions vous seront données
00:37 en nous contactant au 0 826 300 300 mais aussi depuis notre adresse email à votre écoute
00:45 arroba sud radio.fr. Sud Radio à votre écoute Alexandre Delovane. Et au programme de l'émission
00:53 aujourd'hui j'aurai le plaisir d'accueillir Céline. Céline une auditrice, elle travaillait
00:58 auparavant dans une crèche et s'est reconvertie en tant qu'artiste peintre tout comme Delphine
01:05 auparavant architecte intérieur et elle est devenue coach de vie mais aussi nous écouterons Guy,
01:11 alors c'est pas seulement sur des sujets de reconversion professionnelle mais Guy lui a
01:16 besoin d'éclaircissement sur l'avenir de son couple après avoir pris conscience qu'il avait
01:23 peut-être trop idéalisé sa femme et bien il a aujourd'hui des questionnements sur l'avenir.
01:30 Alors bien sûr on n'oubliera pas les autres témoignages et à présent on va démarrer
01:34 l'émission avec Jeanne pour un sujet tout autre différent c'est à propos de sa fille qui aurait
01:40 des perceptions étranges. Bonjour Jeanne. Oui bonjour. Bienvenue sur Sud Radio Jeanne. Ravi.
01:47 Merci. Vous avez 46 ans, vous êtes du Lot-et-Garonne. Oui. Et vous travaillez dans le milieu hospitalier
01:55 c'est bien ça ? Tout à fait. Alors Jeanne, vous nous appelez pour votre fille. Votre fille a quel
02:01 âge aujourd'hui ? Alors elle a 12 ans, elle est en sixième. Oui. Et donc elle a eu des signes en effet
02:07 de médiumnité on va dire il y a deux ans. Donc nous on n'était pas du tout dans ce milieu, on
02:13 connaissait pas, on a découvert au fur et à mesure ce qui lui arrivait. Bon on a réussi, c'était
02:19 tellement important qu'il a fallu qu'on stoppe ses capacités. Oui. Et donc ça a été stoppé jusqu'à
02:25 ses 18 ans. Bon voilà donc maintenant on passe au outre mais ça lui a quand même freiné je trouve
02:30 la scolarité. Oui. Et là maintenant en sixième donc il s'inquiète alors donc ils me font faire
02:37 orthophoniste, soutien trois heures par semaine, je l'aide. Bon moi c'est une vie. Alors elle est
02:43 quand même dans sa bulle toujours un petit peu, elle crée beaucoup de choses, voilà donc je la
02:49 laisse faire, elle n'est pas retardée quand même. Mais je ne sais pas, est-ce que je dois les écouter
02:54 aux profs ? Est-ce que je dois m'inquiéter ? Ou est-ce que je dois laisser faire et elle va vivre
02:59 sa vie ? Voilà je sais pas. D'accord. Alors bon il y a deux aspects différents, vous nous parlez de
03:06 son de ses capacités et de ses résultats scolaires et son aptitude au sein du programme scolaire et
03:14 puis vous nous parlez aussi d'une d'une enfant qui aujourd'hui peut-être a d'autres aptitudes en
03:20 termes de perception, de ressenti, d'une ultra sensibilité, d'une hypersensibilité, de tout
03:26 ça. Donc ce sont quand même deux aspects différents. Aujourd'hui les profs, ils disent
03:33 quoi par rapport à ses résultats, par rapport à sa capacité d'apprentissage ? C'est ça, à la capacité
03:40 de compréhension qu'ils trouvent qu'elle ne comprend pas assez. Voilà. D'accord. Je peux
03:48 l'entendre mais est-ce que je dois m'inquiéter vraiment et faire tout ce qu'il me demande parce
03:52 que du coup ça la fatigue à elle, elle ne veut pas me mettre à côté parce que ça lui demande trop. D'accord.
03:58 D'où l'intérêt d'entreprendre des cours et des séances d'orthophonie. Oui. D'accord.
04:04 Ok. Jusque là, vous avez démarré ces séances avec l'orthophoniste ? Oui. D'accord. Est-ce que
04:12 vous sentez une amélioration aujourd'hui ou c'est peut-être trop tôt ? Non, moi j'en vois pas.
04:17 D'accord. J'en vois pas et même j'ai l'impression que je ne voudrais pas que non plus ça la braque et
04:22 que ça... Oui. D'accord. Ensuite, on dirait que depuis trois ans votre fille malgré tout a été
04:31 marquée par des événements ou par des fragilités d'un point de vue familial. Quelle est l'entente
04:37 dans votre couple ? Alors elle est très très proche de moi. Oui. Alors est-ce que c'est dû à
04:45 cette suite de médiumnité ? Je ne sais pas. On vient ensemble, on vient ensemble, voilà ça va très
04:52 bien. D'accord. Mais la relation avec son papa ? Alors moi et lui ? Oui. Oui, ça va. Est-ce qu'il
05:01 y a trois ans il n'y a pas eu un événement ou il n'y a pas eu des histoires familiales qui
05:05 l'auraient un peu perturbé votre fille ? Et bien c'est là où est sortie l'histoire de médiumnité
05:12 mais c'est pas par rapport à lui non. Je ne dis pas que c'est par rapport à lui, je veux dire
05:17 d'un climat familial. Est-ce qu'il y a eu des changements au sein du climat familial ? Est-ce
05:23 que vous avez vécu des choses ? Non, ça ne me parle pas. D'accord. Mais pour moi ce qui serait
05:28 intéressant c'est de retracer un peu ces trois dernières années pour voir un petit peu ce qui
05:33 s'est passé auparavant et peut-être arriver à sonder ou incerner tout ça. Ensuite, sur ses
05:41 capacités que vous dites médiumniques, il faudrait pousser un peu. Qui ? Est-ce que vous avez vu
05:48 quelqu'un qui vous aurait dit ? Oui. Quel est le genre d'une personne ? C'est-à-dire qu'on a fait
05:54 venir quelqu'un pour... En fait, elle avait des peurs affreuses de la nuit. Elle se levait, c'était
06:00 quand même très impressionnant. Donc on a fait venir quelqu'un pour simplement nettoyer la maison.
06:05 Elle n'était pas là dans la maison et quand elle est revenue le soir, je lui ai expliqué que
06:09 quelqu'un est venu pour nettoyer. Et là, elle m'a expliqué qu'il y avait des personnes, donc des
06:13 âmes au coin, qui étaient dans la maison. Ce que m'avait expliqué très précisément, avec des
06:17 détails très très précis, les autres personnes. Et c'est là où on a compris. D'accord. Mais après,
06:23 est-ce que votre fille dit des choses qui peuvent être vérifiées ? Parce que, attention, j'entends
06:30 le côté irrationnel et bien sûr, moi je suis dans cette partie-là, donc je peux l'admettre et je
06:35 peux le reconnaître aussi. Mais est-ce que vous avez pu vérifier les informations par rapport à ce
06:41 que dit votre fille ? Alors, c'est-à-dire que quand cette association est venue, qu'elle m'a décrit
06:50 très précisément les gens qui étaient dans la maison, moi je n'en ai pas parlé à ma fille. Elle,
06:54 elle m'a redécrit ce qu'elle voyait en me dessinant et c'était ce que m'avait décrit l'après-midi.
07:00 D'accord. Alors, bon, pour moi, il n'y a pas d'affolement à voir. Après, elle a une hypersensibilité,
07:05 elle a une capacité de pouvoir peut-être ressentir les choses et il faut en parler avec elle de
07:13 manière, je dirais, presque logique et faire en sorte qu'elle ne soit pas effrayée par ce genre
07:21 de choses, de l'accompagner, de la faire accompagner, de rester dans un discours quand même assez
07:26 rationnel pour que votre enfant ne soit pas trop et ne se sente pas trop en décalage par rapport à
07:32 tout ce qui est, je dirais, d'un monde actuel et de notre quotidien. Mais, c'est d'être dans cette
07:39 notion d'accompagnement et ensuite, au niveau de la scolarité, je crois qu'il faut vraiment faire
07:45 en sorte qu'elle soit accompagnée avec des professionnels de la santé pour qu'elle puisse
07:53 être au même niveau que tout le monde et peut-être l'amener aussi à avoir des cours, soit de
08:00 rattrapage ou en tout cas de perfectionnement pour qu'elle puisse ne pas se sentir trop décalée. Mais
08:05 tout ça va se mettre en place. Moi, je ne ressens pas une inquiétude face à la situation de votre
08:11 fille. Plus ça va aller dans l'âge et vous savez qu'en période souvent de l'adolescence, chez les
08:19 enfants, c'est là où se déclenche cette aptitude à ressentir les choses, à percevoir les choses.
08:26 On parle aussi parfois de poltergeist, des choses comme ça, ce sont des apparitions soit de fantômes,
08:36 de choses comme ça ou des amérantes. Mais n'ayez aucune crainte et au contraire, je crois que votre
08:42 fille a besoin de le vivre très naturellement et pour reprendre un chemin qui lui sera son chemin à
08:50 elle sans pour autant se sentir complètement en décalage avec les autres. D'accord, donc je
08:56 laisse et quand même je maintiens ses soutiens, elle en a besoin. Oui, complètement. Je vous
09:03 remercie beaucoup. Merci à vous, ça a répondu à votre préoccupation. C'est gentil, oui, je continue
09:09 comme ça. Merci à vous. Bonne journée. Et nous on se retrouve dans quelques minutes avec Céline.
09:17 Alors Céline, elle ne voulait pas passer à côté de ses envies à l'approche de la quarantaine. Elle
09:24 a pris le risque de quitter son emploi en tant que fonctionnaire dans une crèche où elle était
09:29 auparavant pour se consacrer à plein temps à sa passion, la peinture artistique. Alors a-t-elle
09:36 fait le bon choix ? Qu'en pensez-vous et que dit votre sixième sens à vous ? Eh bien, je vous
09:42 donnerai moi mon ressenti juste après le temps d'une pause. Sud Radio à votre écoute 16h17,
09:49 Alexandre Delovane. Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de votre émission. C'est
09:55 le moment pour vous de témoigner et de poser toutes vos questions au 0826 300 300. Odd
10:02 au standard vous attend. Et avant de retrouver notre prochaine auditrice Céline, eh bien,
10:08 c'est le moment du "saviez-vous". Alors le "saviez-vous", le talent est parfois confondu
10:13 à tort avec la compétence. Et les deux notions se ressemblent, mais elles sont différentes sur
10:20 le fond. Le talent lui est inné et en revanche, il peut rester caché faute de circonstances
10:27 favorables qui permettent de le découvrir et de travailler pour le développer. Alors chacun a
10:33 une compétence de talent qui lui est propre, mais à vous de gagner de la confiance et aussi
10:40 de oser vous exprimer pour faire ressortir votre talent. Alors, est-ce que vous avez bien une
10:48 expérience à ce sujet là ? Est-ce que vous n'osez pas justement faire apparaître votre talent ?
10:53 N'hésitez pas à poster aussi vos témoignages sur le groupe à votre écoute sur Facebook ou tout
10:58 simplement de venir témoigner à l'antenne. Et à présent, j'écoute Céline. Bonjour Céline.
11:03 Bonjour Alexandre.
11:05 Bienvenue sur Sud Radio Céline.
11:07 Merci, ça me fait plaisir d'être avec vous.
11:09 Ben, également. Également, ça me fait énormément plaisir et comme avec tous les autres auditeurs.
11:16 Je prends beaucoup de plaisir. Alors Céline, vous avez 39 ans, vous êtes du Gers et aujourd'hui,
11:23 bien vous êtes artiste peintre, c'est ça ?
11:26 Oui.
11:26 Oui.
11:27 Bon, vous vous reconnaissez en tant que telle ?
11:29 Oui, disons qu'il y a une petite confiance encore qui manque et surtout d'espérer en vivre de
11:37 façon, on va dire, complète. Ce n'est pas encore le cas. Bon, j'y travaille, mais voilà, j'ai pris
11:45 le risque pour pouvoir vivre de ma passion et je m'accroche.
11:49 D'accord. Alors, racontez-nous un petit peu. Auparavant, vous étiez, vous travailliez pour
11:55 une crèche. Et puis, vous avez travaillé pendant combien de temps dans cette crèche ?
12:01 Six ans.
12:02 Six ans. Vous avez toujours fait ce métier-là ?
12:05 Non, pas du tout. J'étais responsable commerciale avant, donc voilà. La peinture,
12:12 en fait, ça a toujours fait à peu près partie de ma vie, mais d'une façon plutôt discrète et
12:19 juste pour moi. Et puis, j'ai voulu partager ça avec mon entourage et au final, je me suis rendu
12:29 compte qu'il y avait quelque chose à développer. Et puis, c'est quelque chose dans lequel je me
12:32 sens vraiment bien. C'est ma bulle, c'est là que je m'accomplis. Et donc, voilà, je me suis dit,
12:40 pourquoi pas ?
12:40 D'accord. Alors, depuis combien de temps vous vous êtes investie dans cette passion et d'exprimer
12:51 aussi ce talent-là ? Depuis combien d'années ou combien de mois ?
12:54 Ça se compte en mois. Ça ne fait pas très longtemps, ça fait six mois.
12:57 Qu'est-ce qui a été le déclic ? Qu'est-ce qui vous a amené justement à dire, tiens,
13:02 je lâche tout et je prends le risque ? Parce que vous prenez des risques quand même.
13:06 En fait, le déclencheur, ça n'a pas été un seul déclencheur, mais ça a été beaucoup de
13:13 déclencheurs dans ma vie personnelle qui est assez tumultueuse. Et je me suis dit,
13:19 voilà, je n'ai jamais rien fait pour moi. C'est le moment. On va dire un peu la crise de la
13:24 quarantaine qui est arrivée avant l'heure. Et voilà, je voulais vraiment m'accomplir moi
13:31 personnellement. D'accord. Et aujourd'hui, dans votre expression, dans ce que vous créez,
13:36 c'est quoi ? C'est plutôt contemporain ? Est-ce que c'est sur d'autres manières d'exprimer ?
13:46 Oui, c'est plutôt contemporain. C'est un peu un style plutôt abstrait. Je ne fais pas du tout
13:52 dans le réalisme. Donc voilà, ça va être plus de la sensibilité au niveau des textures, des couleurs,
13:58 qui me parle vraiment moi au niveau de mon univers, de ce que j'ai en moi.
14:04 D'accord. Alors, je sais qu'on peut en vivre, mais c'est quand même difficile. Et ce n'est
14:11 pas donné à tout le monde. Et malheureusement, parce que je crois qu'il n'y a rien de mieux que
14:17 de pouvoir vivre de sa passion, parce qu'au-delà de ce que ça ne peut nous apporter matériellement,
14:23 mais vivre de sa passion, ça nous enrichit, ça nous épanouit, ça nous apporte plein de joie et
14:28 de bonheur. Et parfois, tout le monde ne peut pas arriver à se réaliser avec sa passion. Quels sont
14:37 vous les degrés ou en tous les cas les limites que vous vous êtes donné pour se dire, est-ce que je
14:47 dois persévérer, pas persévérer ? Ou jusqu'à quand je peux continuer comme ça ?
14:51 Je dirais tout simplement l'aspect financier. C'est celui-là qui est le plus compliqué. Et là,
15:00 en plus, j'ai un petit souci de santé qui fait que je suis assez restreinte dans mon activité. Il y a
15:08 beaucoup de choses qui se passent en ce moment dans ma vie et qui font que ça me met des petits
15:13 obstacles sur ma route. Donc je dirais que vraiment, c'est l'aspect financier qui va tout définir.
15:22 Oui, exactement. Et donc aujourd'hui, vous êtes en fragilité de santé et ça vous empêche de
15:28 pouvoir continuer votre métier à ce jour ? Oui, pour quelques semaines encore, mais voilà,
15:33 là c'est vrai que ça m'a mis un stop. D'accord. Quelle est votre question ? C'est de savoir si
15:38 vous allez pouvoir continuer ? Oui, voir un peu votre intuition par rapport à tout ça. Si je vais
15:48 pouvoir, s'il faut que je m'accroche et que je continue à y croire et à croire en moi surtout,
15:53 et ou alors si vraiment c'est un rêve que je ne peux pas atteindre et qu'il faut que je redescende
16:00 sur terre. Alors, je vais vous répondre très simplement Céline. Je crois que je n'ai pas de
16:06 réponse à vous donner vraiment. Alors, bien entendu que je vais vous en donner une, mais ce que je
16:11 veux dire c'est que la réponse, elle est en vous. Elle est en vous dans le sens où c'est votre choix,
16:19 vous êtes face à votre propre réalisation. Ce choix, il n'est pas évident. Vous avez accepté
16:28 de prendre des risques et pourquoi ? Parce que ça répond à votre passion et il y a peut-être
16:34 sûrement votre petite voix intérieure qui vous dit d'y aller, de foncer et de vous réaliser dans
16:41 ce sens-là. Et je crois qu'il ne faut pas se laisser ou en tous les cas se laisser freiner
16:47 ou avoir peur de tout ce qu'il y a d'un point de vue extérieur. Et j'entends le côté matériel,
16:53 mais vous pouvez dépasser tous ces obstacles et il faut que ce ne soit pas seulement ces raisons-là
16:59 qui vous malheureusement seraient amenés à vous arrêter de votre réalisation et de votre passion.
17:06 Par contre, je sens qu'à côté de ça, il y a ce côté peut-être d'une activité aléatoire ou peut-être
17:14 quelque chose qui pourrait très bien se définir et se décider de manière parallèle et c'est
17:21 peut-être en rapport à de l'enseignement. Donc, n'hésitez pas à continuer à vous enrichir dans
17:28 ce que vous faites, dans cette activité-là, parce que pour moi, je vous sens avoir cette
17:33 capacité et cette possibilité d'enseigner plus tard et de transmettre aux autres. Et c'est peut-être
17:40 ça qui va vous permettre de compléter les revenus et de vivre de cette passion et de ce métier-là.
17:46 D'accord, merci beaucoup. Merci à vous. Soyez courageuse comme vous l'êtes aujourd'hui,
17:54 foncez, persévérez. Je sais, je sais, la vie est un combat de tous les jours. Tous les domaines
18:00 sont affectés et du coup, ce n'est pas facile de tenir. Je vous avoue. Mais je sens que vous en
18:09 êtes capable, c'est pour ça que j'ai ce discours-là avec vous. D'accord ? Ça marche. Merci beaucoup
18:14 Alexandre. Merci. Au revoir. Merci. Et à présent, c'est à vous, si vous avez un doute, des questions
18:22 sur votre devenir, un seul numéro, le 0 826 300 300. On se retrouve dans quelques minutes avec
18:28 Delphine. Alors Delphine aussi, elle souhaite avoir des questions sur son avenir professionnel,
18:36 puisqu'elle a été auparavant architecte d'intérieur jusqu'en 2017. Et depuis, elle s'est lancée dans
18:42 l'accompagnement en tant que coach. Cette activité ne lui permet pas de vivre à l'aise financièrement.
18:48 Alors, va-t-elle pouvoir continuer dans ce métier de coach ? Ne bougez pas, je vous dirai la suite
18:55 juste après. Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane. Sud Radio à votre écoute,
19:05 16h17, Alexandre Delovane. Et oui, de retour pour cette deuxième partie d'émission. Alors,
19:12 nous avons eu Céline auparavant, notre précédente auditrice, avec beaucoup de doutes sur sa
19:18 reconversion professionnelle en tant qu'artiste peintre. Et je vais aussi accueillir là tout de
19:24 suite Delphine, qui, elle, vit une situation assez similaire, même si le secteur d'activité est
19:31 différent. Mais peut-être, vous, chers auditeurs qui, aujourd'hui, nous écoutez, vous retrouvez
19:37 dans ce cas de figure. Eh bien, c'est le moment d'appeler le 0 826 300 300. Et puis, j'en profite
19:45 aussi pour souhaiter la bienvenue à tous nos auditeurs qui nous rejoignent en ce moment. Et
19:49 nous sommes en direct. Alors, avant de retrouver Delphine, je vais aussi vous donner des conseils
19:54 pour découvrir votre potentiel et peut-être même votre talent. Alors, il est important de prendre
20:02 le temps, de la réflexion, de poser toutes les bonnes questions, telles que vos plus grandes
20:07 réussites, les actions que vous accomplissez avec aisance, mais aussi les domaines où vous êtes
20:13 performant. Ne restez pas focalisés sur le présent. Penchez-vous plutôt sur des moments que vous avez
20:20 vécu durant votre enfance, comme des jeux, des activités préférées et faites le point sur votre
20:27 situation actuelle. Interrogez-vous et interrogez votre entourage pour prendre conscience de vos
20:34 talents. Les personnes qui vous connaissent bien et qui sont bienveillantes à votre égard pourront
20:39 vous donner des bons conseils et peut-être vous amener vers cette voie-là. Multipliez les
20:45 expériences pour révéler vos talents cachés, testez de nouvelles activités et ouvrez toutes
20:51 les possibilités aux opportunités qui s'offrent à vous et qui pourraient vous mener à un de vos
20:58 talents cachés. Et surtout, osez l'inhabituel pour provoquer votre destin. Et à présent, j'accueille
21:05 Delphine. Bonjour Delphine. - Oui bonjour Alexandre. - Bienvenue sur Sud Radio Delphine. Vous avez
21:12 50 ans, vous vous appelez des Pyrénées-Orientales. - Non, c'est du tarn. - Ah c'est du tarn, bon très bien.
21:20 Bah écoutez, c'est pas grave, on n'est pas très loin, à quelques centaines de kilomètres. Voilà
21:26 exactement. Et vous avez, vous, osé changer votre vie et provoquer aussi un changement dans votre
21:34 destin, puisque auparavant vous étiez architecte intérieur et vous avez cessé cette activité en
21:43 2017, c'est bien ça ? - Voilà, après 15 ans d'activité en indépendant, en libéral, j'ai senti
21:51 vraiment de basculer dans autre chose, dans l'accompagnement à la personne, c'est-à-dire
21:56 je me suis occupée du toit des gens, comme j'aime dire, du T.O.I.T. et ensuite j'ai voulu m'occuper de
22:02 toi et de moi en même temps en fait. - C'est bien, j'aime bien cette définition-là. Je vais vous
22:08 la copier cette définition. - Ah oui, si vous voulez. - Ça me donne de l'inspiration. - C'est vraiment ça,
22:16 je m'occupais du bien-être des gens dans leur habitat, puisque c'était vraiment l'aspect OK
22:21 déco, OK architecture, travaux, maîtrise d'œuvres, mais au final je m'occupais beaucoup aussi de la
22:28 notion du bien-être. Mais à un moment donné j'ai fait un burn-out suite à une vie personnelle très
22:34 compliquée et je n'avais plus la force d'aller faire du switch entier, de m'occuper du toit
22:39 des autres. Et donc je me suis occupée déjà de moi-même, de me reconstruire et en parallèle donc
22:44 de mettre tous mes talents qui sont ces talents médiumniques et de finalisation sous le titre
22:53 de coach de vie. Et au bout de sept ans, puisque maintenant ça fait sept ans que je fais cette
22:59 activité, je vois que oui j'ai réussi à tenir à peu près le niveau, mais pas suffisamment pour
23:06 que je puisse être aisée dans ma vie. - Alors c'est très étrange parce que quand je vous écoute et
23:18 je vous entends, j'ai vraiment ce sentiment que vous n'avez pas changé de métier. Vous avez changé
23:24 de langage, vous avez adapté un autre langage et vous avez changé de clientèle ou de style. Mais
23:32 le métier en lui-même vous ne l'avez pas complètement changé et parce que même si vous
23:37 n'êtes plus et vous n'occupez plus du même toit, vous êtes sur un toit aussi et quel que soit le
23:43 toit de l'individu ou le toit de l'habitat. Mais pour moi, et c'est ce qui fait toute cette
23:48 différence, c'est que je crois que vous avez été vers un autre langage, vers une autre approche et
23:54 à la fois vous êtes dans cette continuité, je dirais même c'est presque logique. - Oui,
24:02 puisque quelque part ma façon d'exercer, je n'ai pas perdu mon essence, on va dire,
24:10 j'ai gardé mon essence, j'ai changé de clientèle, comme vous dites Alexandre,
24:15 j'ai changé de langage sauf qu'il y a une réalité ensuite maintenant qui est financière,
24:20 qui est que la réalité de m'occuper du toit, théorité des personnes me permettait d'assumer
24:27 ma vie financièrement. Aujourd'hui j'ai un vrai souci donc je me dis d'où est-ce que ça vient,
24:36 est-ce que c'est ma façon de communiquer, est-ce que c'est parce que j'ai scindé, séparé les deux
24:40 activités et c'est surtout comment remettre en fait de ce que j'appelle de l'unificité dans tout ça.
24:47 - Mais alors, pardonnez-moi Delphine, les besoins sont pas les mêmes et l'investissement financier
24:56 n'est pas le même. Quand vous faites appel à un architecte intérieur, c'est pour capitaliser et
25:02 faire une plus-value sur un habitat pour un bien-être, pour un équilibre et quand on est
25:06 dans un accompagnement de soi, eh bien il faut le vouloir déjà, il faut l'accepter et c'est un
25:14 investissement qui n'apporte pas forcément une rentabilité financière et matérielle sur le
25:22 long terme. Après ça apporte un bénéfice sur notre bien-être et notre équilibre bien entendu,
25:27 donc on n'est pas sur la même rentabilité, vous voyez ce que je veux dire. Donc voilà,
25:32 pour moi et là je réponds à votre question parce que je vois où vous voulez en venir,
25:37 ma chère Delphine, est-ce que vous allez continuer ou pas ? Eh bien oui, vous allez continuer et vous
25:42 allez même reprendre l'architecture intérieure, c'est-à-dire que ces deux activités s'associent
25:48 à peut-être pas une seule activité parce qu'il faut bien les différencier et adapter un langage,
25:53 comme je vous l'ai dit au début, différent, mais pour moi je vous sens avoir une activité peut-être
25:59 en tant que salarié dans un cabinet d'architecture intérieure pour assurer la stabilité économique et
26:07 financière et puis à côté votre passion est d'accompagner les gens et de faire en sorte qu'ils
26:12 y soient bien abrités sous un bon toit. Voilà, parce qu'il y a une vraie question,
26:18 c'est est-ce que je dois rester à mon compte comme j'ai tout le temps été depuis 2002 ou est-ce que
26:22 je dois prendre en fait une activité salariée à 100% ? Je viens de vous répondre. Oui, j'ai entendu.
26:29 Voilà, tout simplement Delphine. D'accord, merci, prenez soin de vous et tenez-nous au courant.
26:35 Merci. Merci Alexandre. Merci. Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane. Et à présent j'accueille
26:44 Yvette. Bonjour Yvette. Oui bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio Yvette. Merci de me
26:53 prendre à l'antenne. Oui, avec grand plaisir. Vous nous appelez d'où Yvette ? Des Hautes-Pyrénées.
27:00 Des Hautes-Pyrénées, parfait. Alors vous, vous avez une question, vous voulez savoir si vous allez
27:05 vous marier ? Oui. C'est très bien comme question parce que souvent la question qui se pose la
27:11 plupart de nos auditeurs ou de nos auditrices c'est "est-ce que je vais rencontrer quelqu'un ?" Mais là
27:16 vous allez rencontrer la bonne personne sûrement et vous voulez justement voir si ça va pouvoir
27:21 se concrétiser par un mariage, c'est bien ça ? Voilà, c'est ça. Bon. C'est-à-dire que monsieur
27:29 est parait un petit peu réticent donc c'est pour ça que je me pose la question en fait. Pourquoi
27:34 il est réticent ? Vous ne faites pas bien à manger ? Je ne sais pas. Non, je crois qu'il est content
27:40 là-dessus. Ça fait combien de temps que vous êtes en couple avec ce monsieur ? Alors ça va faire
27:48 bientôt quatre ans mais on se connaît depuis 40 ans. Ah oui, donc il vous connaît bien. On s'est
27:56 retrouvés, dirons-nous. Est-ce que la notion du mariage lui fait peur ? Pas par rapport à
28:01 l'engagement parce que l'engagement il l'a et je le sens impliqué dans la relation mais dans le
28:06 fait que pour lui c'est un accomplissement, quelque chose qui est peut-être acquis et qui
28:13 ne remettra pas forcément en question la relation pour plus tard ou autre. Est-ce que c'est ça qui
28:19 pourrait lui faire peur d'après vous ? Honnêtement je ne peux pas vous répondre, je ne sais pas. Je
28:26 le sens un peu réticent mais c'est vrai qu'il y a des gros soucis avec son fils qu'il a eu d'une
28:32 première union. Il a vraiment des gros problèmes avec son fils, moi aussi également. Je ne sais
28:41 pas si c'est par rapport à ça. Yvette, pensez à une couleur et pensez si vous allez effectivement
28:46 vous marier. Oui, ça y est. Moi j'ai Zach au standard qui est en train de me dire oui aussi,
28:52 il pense que vous allez vous marier. Donnez-nous la couleur. Jaune. C'est un jaune, effectivement.
28:58 Le jaune ça correspond à la couleur de la confiance. Donc pour moi, oui, n'ayez aucune crainte, je sens
29:05 qu'il y a un mariage. Et puis au fond de ce que je ressens aussi, je le ressens bien comme ça Yvette,
29:10 c'est une question de, allez, encore un petit peu de patience mais en 2025, et bien monsieur changera
29:18 d'avis, prendra la décision parce que ce n'est pas par rapport à la réticence de son passé à lui,
29:25 c'est qu'à un moment donné, il a envie de vous faire plaisir parce qu'il a des sentiments et
29:29 il vous aime tout simplement. Enfin, c'est à lui à vous le dire. D'accord. D'accord ? D'accord.
29:33 Et est-ce que vous pensez que ça va s'arranger avec son fils ou pas ? Moyennement, ça va être
29:39 un peu compliqué, ça reste toujours un peu en dents de scie. Mais n'hésitez pas à nous tenir
29:44 au courant. Merci à vous Yvette. Avec grand plaisir. Merci. Merci à vous. Au revoir.
29:48 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delevanne. Et la parole est à Ludivine. Bonjour Ludivine.
29:57 Bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio Ludivine. Merci. Vous avez 40 ans, vous êtes de Toulouse et
30:03 vous êtes gérante d'entreprise. Alors justement, vous avez un associé, vous avez des fragilités
30:09 économiques liées au fonctionnement de l'entreprise. Et aujourd'hui, vous avez une proposition qui vous
30:16 a été faite pour un autre commerce. C'est bien ça ? Tout à fait. Moi, je suis dans le bâtiment et là,
30:21 on nous a proposé de reprendre un restaurant dans notre ville. Donc de la restauration rapide,
30:27 chose qui n'est pas du tout dans mon domaine, ni dans celui de mon associé. Et pour autant,
30:32 on a l'impression qu'on devrait y aller. Pour quelles raisons vous devriez y aller ?
30:38 Parce que ça fait deux ans que dans le bâtiment, on a d'énormes difficultés, qu'on ne se paye pas,
30:44 qu'on n'arrive vraiment pas à s'en sortir. On a l'impression qu'on arrive au bout de quelque
30:48 chose. Et pour autant, on ne veut pas arrêter de travailler ensemble. Et c'est vrai que c'est
30:55 bizarre cette opportunité qui nous arrive comme ça, alors que ce n'était pas du tout dans nos
31:01 recherches. D'accord. Alors vous ne voulez pas rester à travailler ensemble, mais vous voulez
31:06 y aller ? Oui, on souhaite. On dit qu'on voulait continuer à travailler ensemble.
31:11 Ok, d'accord. Il n'y a pas une relation intime entre vous deux ? Vous êtes juste associés ?
31:16 Oui. Non, j'essaye de savoir un petit peu. Non, pas du tout. Si on pouvait avoir un petit peu
31:21 d'informations, des histoires un peu coustillantes, ça peut être sympa aussi. Non, il n'y en a pas,
31:26 désolé. Bon, c'est bien. Alors, j'ai une petite inquiétude par rapport à ça. C'est-à-dire que
31:33 sur l'idée de cette proposition de commerce, de restauration, c'est pas mal. Après, peut-être
31:39 entourez-vous de bonnes personnes, parce que la restauration, ce n'est pas si simple que ça. C'est
31:44 aussi un métier. Il ne faut pas faire n'importe quoi. Donc entourez-vous de bonnes personnes
31:48 compétentes pour nous faire un bon restaurant et que les gens aient envie de revenir vers vous
31:54 et cultiver une bonne image. Mais je pense que vous en êtes capable de ça. Et je crois qu'effectivement,
32:01 il y a une énergie, il y a une volonté de réussir dans ce domaine-là. Et là, c'est bien. Par contre,
32:07 là où j'ai un doute ou une véritable interrogation, c'est sur votre entreprise actuelle. Elle est en
32:13 difficulté et ça va être compliqué. Est-ce que ça serait peut-être pas utile ou nécessaire,
32:22 soit de vite la vendre ou de faire une cessation d'activité ou de trouver une solution au lieu
32:30 de garder quelque chose qui va vous freiner, qui va vous bloquer et qui peut énergétiquement vous
32:36 amener vers quelque chose de négatif ? Et surtout, si vous êtes dans l'idée de se dire "tiens,
32:42 le bénéfice de ce restaurant, on va l'injecter dans l'autre entreprise", eh bien là, vous faites
32:48 erreur. Non, justement, c'est ce qu'on ne veut pas faire parce que c'est une erreur qu'on a déjà
32:52 faite. On a déjà mis beaucoup d'argent dans cette entreprise, on aurait dû arrêter depuis longtemps.
32:58 Pour autant, si ce projet de restauration se fait, on souhaite arriver au bout de nos chantiers
33:06 actuels pour ne pas laisser tomber nos clients parce que ce n'est pas du tout notre façon de
33:10 faire et on travaille avec un orient particulier. Mais effectivement, si dans la restauration on
33:15 arrive à s'en sortir, je pense qu'on ne pourra pas conserver les deux activités, presque physiquement.
33:20 Exactement. Moi, je pense que la société du bâtiment, c'est d'essayer de la réduire,
33:25 d'essayer de gérer les dettes au mieux que possible et peut-être voir éventuellement
33:28 essayer de la revendre même si vous la revendez à un prix plutôt bas. Mais il y a une possibilité
33:35 et puis vous consacrez sur votre nouveau projet parce qu'il y a un renouveau et il y a la possibilité
33:40 d'une réussite avec ce commerce-là. C'est une bonne nouvelle alors. Une excellente nouvelle.
33:46 Tenez-nous au courant. Avec plaisir. Merci beaucoup Alexandre. Merci à vous, prenez soin de vous.
33:52 Vous aussi, merci. Merci. Et à présent, c'est peut-être à vous, c'est peut-être votre tour,
33:58 pour passer à l'antenne de Sud Radio, tentez votre chance au 0800 26 300 300,
34:04 Aude Standard vous attend. Allez, nous on se retrouve dans quelques minutes avec Guy.
34:08 Alors Guy, à la suite d'une opération d'une tumeur au bras, il a manqué de soutien moral
34:15 depuis cette... de soutien moral avec sa femme bien entendu et depuis cette période, ce n'est
34:20 plus pareil. Ils vivent toujours ensemble mais la distance s'est installée. Quel est l'avenir
34:25 de son couple ? On en parle juste après. Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delevanne.
34:33 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delevanne. Et de retour sur Sud Radio pour cette
34:41 dernière partie. Avant de retrouver les vraies voix présentées par Philippe David et Cécile
34:44 Dominimus, il vous reste quand même quelques minutes pour passer dans l'émission. À votre
34:49 écoute et je rappelle le numéro le 0800 26 300 300. La parole est à Guy. Bonjour Guy.
34:55 Bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio Guy. Merci. Guy, vous vous appelez du bassin d'Arcachon ?
35:03 Oui. Et vous êtes jeune retraité j'imagine ? C'est cela oui. Alors, vous avez une histoire un peu
35:15 difficile aujourd'hui, enfin avec des doutes, des remises en question concernant votre vie
35:24 sentimentale. Racontez-nous un petit peu. J'ai rencontré une personne il y a une vingtaine
35:32 d'années où nous avions chacun de notre côté notre vie, nous étions accompagnés et on se
35:39 retrouvait dans des soirées privées où nous avions des amis communs. Tout se passait bien,
35:46 on s'entendait bien, très bien. Bon, il y a eu après des moments d'absence évidemment et puis
35:54 nous nous sommes retrouvés il y a sept ans. Oui. Voilà, où c'était inévident, nous étions chacun
36:01 libre et nous nous sommes mis ensemble. D'accord. Donc voilà, dans quelques années, bon, c'était
36:09 bien, bien. Ce n'était pas l'amour fou, mais c'était bien quand même. Je voyais quand même,
36:17 malgré tout, un certain égoïsme de sa part, mais bon, je supportais, ça allait, j'étais en activité,
36:26 donc bon, ça allait. Il y a deux ans et demi, je suis tombé... J'ai dû subir une intervention
36:34 chirurgicale. Oui. Et cesser toute activité parce que je ne savais pas comment j'allais
36:39 sortir de cette épreuve. Donc tout le parcours des examens, pas de problème, elle m'a soutenu,
36:45 il n'y a pas eu de souci. Je me suis fait opérer et là, du jour au lendemain, plus de soutien,
36:51 plus rien, rien du tout. Alors que j'étais faible, moralement, psychologiquement, physiquement,
36:57 c'est là où j'avais besoin d'elle et puis pas du tout. Dans sa tête, j'étais opéré,
37:03 donc tout allait mieux pour elle. D'accord. Et aujourd'hui, donc, vous vous posez des questions
37:08 à savoir quel est l'avenir de votre couple. Depuis ce temps-là, j'ai perdu confiance.
37:14 Vous arrivez à vous projeter dans l'avenir avec votre femme ou votre compagne? J'ai aucune
37:24 projection, justement. Alors, moi, je ne veux pas être négatif, mais je ne vois pas beaucoup de
37:31 changements. C'est à dire qu'à la fois, c'est comme si on devait intégrer ce concept-là de vie,
37:36 ce mode-là de vie. C'est à dire que votre compagne, elle, elle s'est habituée. Vous lui
37:44 avez laissé aussi la possibilité d'être comme ça. Donc, elle ne comprendrait pas si du jour au
37:50 lendemain, vous deviez changer les choses ou si vous deviez imposer autre chose. Et puis,
37:55 si vous deviez décider d'une séparation ou d'une rupture, eh bien, j'ai l'impression qu'elle va
38:00 mal le vivre ou elle le vivra mal parce qu'elle est quand même attachée à vous. Alors, oui,
38:06 il y a peut-être une certaine forme de pudeur, il y a une certaine forme de froideur dans le
38:11 sentiment, dans l'approche avec vous. Mais pour moi, il y a des habitudes qui se sont installées.
38:17 Il y a un quotidien ensemble qui est là, qui est présent et qui se poursuit. Même si vous,
38:24 il vous manque une certaine forme d'épanouissement. Alors, je dirais peut-être essayer de pallier
38:30 avec des activités extérieures ou d'autres choses. Mais en attendant, une séparation serait
38:36 lui faire du mal et peut-être que pour vous aussi, ça serait difficile à affronter dans l'avenir.
38:42 Tout à fait, mais nous en sommes conscients tous les deux.
38:45 D'accord, on est d'accord. C'est pour ça, je pense qu'il faut essayer de trouver le bonheur
38:52 autrement, différemment et ne pas ruminer sur ce qu'il n'y a pas aujourd'hui. D'accord ?
38:58 Bon, ok, d'accord. Merci. Merci beaucoup. Bonne soirée.
39:03 Merci. Et pour conclure, je dirais si vous avez des prédispositions naturelles à faire quelque
39:09 chose de mieux que les autres, c'est peut-être votre talent qui s'exprime. Allez, nous on se
39:14 retrouve demain. Je vous souhaite une bonne fin de journée et je laisse la place aux vraies voix.
39:18 Bonsoir Philippe David. Bonsoir Alexandre Delovane. Au menu des vraies voix à 17h30,
39:23 on vous pose cette question. Jordan Bardella a-t-il déjà gagné les européennes ? Oui,
39:27 puisqu'il monte au plus haut. Alors on va le dévoiler, l'embargo est à 17h pour le sondage
39:32 IFOP fiducial pour le Figaro et Sud Radio. Il est à 34% des voix, son plus haut niveau dans
39:38 le rolling du jour. Est-ce que pour vous, il a déjà gagné les européennes ou peut-il être rattrapé ?
39:43 Venez nous le dire au 0826 300 300. À 18h35, le coup de projecteur. Comme le disent des magistrats
39:50 mexicains, la France est-elle sur le point de devenir un arco-État ? Oui, des magistrats
39:55 mexicains nous mettent en garde. Rappelons qu'en 20 ans, les narcotrafiquants ont fait 450 000
40:02 morts au Mexique. C'est totalement surréaliste. Vous pensez que la France est en train de devenir
40:07 une nouvelle Colombie ou pas ? Venez nous le dire au 0826 300 300. Nos trois vraies voix du jour,
40:13 un trio de choc avec Philippe Bilger, Françoise Degoy et François Derugy. Comme d'habitude,
40:18 bonne émission. SUD RADIO à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane. Avec Idealvoyance.fr,
40:28 coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email.

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