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Court métrageTranscription
00:00Générique
00:16Bonjour à tous, c'est par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:21Comédie, drame, fantastique et action sont au programme cette semaine,
00:25avec tout d'abord La Petite Vadrouille de Bruno Podalides.
00:28Nous expérimenterons La Gardave de Thomas et Dimitri Lemoyne.
00:32Nous aurons un rendez-vous avec Paul Pott grâce à Ritty Pan.
00:36Nous serons plongés en pleine guerre froide avec l'affaire Vincia Curry.
00:39Nous découvrirons le premier long-métrage de Céline Rousset en attendant la nuit.
00:43Et nous retrouverons le duo Will Smith-Martin Lawrence à l'affiche du quatrième volet Bad Boys Ride or Die.
00:51Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine,
00:54nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles établi par les étoiles des spectateurs sur le site AlloCiné.
01:01Troisième position, Memory obtient 3,8 sur 5.
01:07Juste au-dessus, avec 4,2 sur 5, on retrouve Feignante.
01:12Et cette semaine se place en première position 39,45, elles n'ont rien oublié, qui obtient 4,3 sur 5.
01:18Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:23Daniel Auteuil rejoint la bande des habitués de l'univers de Bruno Podalides à l'affiche de La Petite Vadrouille.
01:28Un couple et leur bande d'amis trouvent une solution pour résoudre leur problème d'argent
01:33en organisant une fausse croisière romantique pour un gros investisseur qui cherche à séduire une femme.
01:39Justine ? Oui, Monsieur Poyac ?
01:41Je voudrais passer un petit week-end original.
01:43Je vous confie une petite somme d'argent et vous m'arrangez ça.
01:46D'accord.
01:47Le principe, c'est de s'en garder au moins la moitié.
01:50Il faut que l'on organise un week-end de rêve.
01:52On va tous se refaire.
01:54Jocelyn Capitaine, albin commercial, personne ne se connaît.
01:58On dirait qu'on prépare un hold-up.
01:59Mais oui, mais c'est ça, c'est exactement ça.
02:01Vu les tourments du monde actuel, on voudrait toujours que notre art aide à arranger les choses.
02:09Moi, je me suis dit, j'ai plutôt montré qu'est-ce qui est encore aimable aujourd'hui,
02:16qui nous maintient à flot, sans faire de mauvais jeu de mots avec le sujet du film,
02:20mais de filmer les petits bonheurs auxquels on a toujours droit.
02:25Être auprès d'un arbre, une table de pique-nique, le vin qu'on sort de la rivière, je ne sais pas.
02:31C'est célébrer les petites choses de la vie qui font qu'on peut encore résister à la pression ambiante.
02:40Il faut rester élégant, raffiné.
02:43J'ai mon poste en jeu, donc il faut que tout soit de très, très grande qualité.
02:47Ah, les croûtes.
02:48La petite vache, je l'adore.
02:51Elle a raison, il faut le faire cracher.
02:52À chaque écluse, il faut payer 50 euros.
02:54Chez Bruno, il y a beaucoup d'enfance.
02:56Je trouve que c'est un point commun qu'on avait tous, que Daniel a, que Denis a et que j'ai,
03:02et qu'on était un peu comme dans une récré organisée par Bruno,
03:06comme si on avait 15 ans et qu'on avait les partitions et qu'il fallait le faire sérieusement,
03:10parce qu'il faut qu'on y croit, mais en se marrant, quoi.
03:14Il la frappe. C'est qui, ce type ?
03:17Quand on est enfant, quand on joue aux cow-boys et aux indiens, c'est ça le révolver.
03:22On tire, ça vous tue pour de vrai.
03:25C'est ça, jouer la comédie.
03:40La Gardave, co-réalisée par Thomas et Dimitri Lemoyne,
03:43est centrée sur un jeune acteur ambitieux qui galère pour boucler sa bande démo.
03:47Un de ses amis lui propose de tourner dans son clip de rap,
03:50mais le tournage ne va pas se passer comme prévu.
03:53C'est pour exorciser une histoire vécue
03:55que Thomas Lemoyne a choisi le mélange des genres entre burlesque et drame.
04:01Je m'appelle Mathieu Lecomte.
04:02J'ai décidé de monter sur Paris pour devenir comédien.
04:04Lève les mains en l'air, fils de pute, ou je t'éclate ta tête !
04:07Ok, stop !
04:07Apprends-moi.
04:08Je peux pas, j'ai le tournage de mon clip.
04:10C'était chanmé !
04:12Il est trop crédible, en fait.
04:12Le keuf, le keuf.
04:14C'est moi, c'est toi.
04:16On a raqué.
04:17Bad boys, bad boys, what you gonna do ?
04:20Et vous entendez rien, là ?
04:23C'est son histoire vraie qu'il m'a racontée un petit moment après l'avoir digérée.
04:28Et j'étais à la fois stupéfait de cette histoire et en même temps mort de rire.
04:33Y a des gens qui nous ont appelés pour nous dire qu'il y avait des flics
04:35qui se faisaient agresser par des jeunes avec des armes.
04:37C'est la genre, on est juste comédiens, on est en train de faire un clip, c'est tout, y a rien.
04:40On oppose au pas de résistance.
04:41Le personnage de Mathieu est avant tout un personnage qui est passionné.
04:44Il est passionné par le cinéma, il veut faire acteur.
04:47Et quand on est passionné, on se rend par contre des fois
04:49qu'on est un peu en décalage par rapport à la réalité.
04:51Ça fait 13 ans, 13 ans, que ta carte, elle est périmée.
04:54C'est-à-dire qu'en fait, je m'en sers jamais.
04:56C'est la première fois que je vais le contrôler.
04:59On va embarquer tout le monde !
05:01Mathieu se retrouve, malgré lui, dans cette histoire rocambolesque
05:05avec des quiproquos incroyables qui vont l'amener à découvrir
05:08ce monde de garde à vue, ce monde de relation avec la police
05:12auquel il n'a jamais eu affaire.
05:13C'est possible de desserrer un peu les manottes parce que ça fait mal
05:15et moi j'ai pas l'habitude comme eux, là.
05:16La garde à vue, à travers le burlesque, parle d'un vrai sujet de société,
05:20non moralisateur, où on attaque ni les uns ni les autres,
05:23où on pose à plat les bases de quelque chose qu'il faudrait dire.
05:25Attention, ça va trop loin.
05:27Chaque année, ça augmente, ça augmente, ça augmente.
05:30Maintenant, si il y a 50 ans, t'as pas fait une garde à vue,
05:32on dirait que t'as raté ta vie.
05:33On aurait fait des super flics.
05:39Rendez-vous avec Paul Pott de Ritipan se situe en 1978.
05:43Depuis trois ans, le Cambodge vit sous le joug du dictateur
05:46et trois Français acceptent l'invitation du régime
05:48pour un entretien exclusif avec Paul Pott.
05:51La réalité qu'ils perçoivent va faire basculer leur certitude.
06:04Bonjour camarade, je suis Paul Pott.
06:07Bonjour camarade, je suis Soum, du ministère des Affaires étrangères.
06:10Tu m'as pas reconnu, j'ai été à la Sorbonne avec lui.
06:14Je vais vous emmener en province,
06:15vous allez découvrir le véritable état du pays
06:18qui n'a strictement rien à voir avec ce qu'en fait la propagande occidentale.
06:23Ce film, c'est sur les braises ou une bulle qui va éclater.
06:29Et être là à ce moment-là et se dire merde, comment on fait ?
06:33Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce que je vois ?
06:35On est journaliste, on est journaliste.
06:37Moi je veux voir une vraie coopérative.
06:39La révolution doit faire table à rase l'année passée.
06:41Absolument.
06:42J'étais sous l'éclair rouge là-bas, en ce temps-là,
06:45j'ai vécu ces périodes-là,
06:47puis je portais cette histoire au fond de moi.
06:50Riti, c'est une histoire qu'il écrit avec sa chair.
06:54Enfin je veux dire, c'est quelque chose qu'il a traversé, qu'il a vécu,
06:57et dont la plupart de ses films aussi revisitent, retrouvent cette mémoire.
07:03C'était non seulement un régime de terreur,
07:06mais complètement incompétent.
07:07C'est-à-dire que les gens crevaient de la famine,
07:09et on parlait de purifier un peuple, de rééduquer aussi un peuple.
07:16Beaucoup de réfugiés affirment que les intellectuels ont été tués.
07:196 millions de personnes sont pénétrées sur plusieurs kilomètres.
07:22Pourquoi vous mentez ? Qu'est-ce que vous avez fait de Paul ?
07:25Nous n'avons rien compris à notre révolution.
07:28On est dans un enjeu qui est de raconter une histoire
07:30avec des choses qui sont encore dans chaque particule d'air qu'on rencontre.
07:35Ce que je veux, c'est que les gens réfléchissent vraiment à ce qui se passe,
07:40aujourd'hui et hier.
07:42Pas « vous me désespérez ou pas », ça c'est des bons sentiments tout ça.
07:46C'est une manière de fuir aussi.
07:49Il y a une vocation en tout cas dans ce personnage d'Elisabeth Becker.
07:54Il disait « voilà, le danger c'est quelque chose que jamais j'ai calculé ».
07:58Ça paraît fort de se dire ça, parce qu'il risque énormément.
08:01Ceux qui pourront être réformés le seront.
08:04Les autres seront éliminés.
08:14L'affaire Vincha-Curie nous plonge en 1958 en pleine guerre froide.
08:17Des scientifiques yougoslaves sont gravement irradiés
08:20dans le cadre d'une mission tenue secrète.
08:22Ils sont soupçonnés de travailler à la fabrication d'une bombe nucléaire.
08:26Rapatriés en France, ils sont pris en charge à l'Institut Curie.
08:30Ils ont été exposés à la radiation nucléaire du terrain.
08:33Il faut que l'on trouve le remède contre la radiation.
08:38Vous faites des expériences sur nous.
08:40C'est vous qui confondez tout.
08:42Ici vous n'êtes pas en dictature communiste.
08:44En 1958, dans un institut qui s'appelle Vincha, en Yougoslavie,
08:49des jeunes chercheurs qui travaillaient sur un programme secret
08:52pour essayer d'obtenir la formule pour avoir la bombe atomique,
08:55ont été irradiés.
08:57Dépêchez-vous vite !
08:59Dépêchez-vous vite, vite !
09:03Dépêchez-vous vite !
09:05Vite !
09:06Radojko, arrêtez tout !
09:08Arrêtez tout !
09:10Dépêchez-vous !
09:11Ils ont été rapatriés pour être soignés en France
09:14par deux docteurs, le docteur Jamais et le docteur Maté,
09:17pour essayer justement de guérir ces radiations
09:20sur fond d'espionnage,
09:22puisque évidemment les Français voulaient savoir un peu
09:25où en était le programme nucléaire yougoslave.
09:27Dans la vie,
09:29Allez !
09:30il y a toujours un moment où une personne doit faire un choix.
09:38Que vous le vouliez ou non, nous vivons un moment historique.
09:43Vous avez échoué à Vincha, mais vous avez engendré une autre réaction en Chine.
09:47On a réuni des comédiens français, des comédiens serbes,
09:50qui ne parlent pas la même langue,
09:52qui communiquaient par le langage du cinéma,
09:54et qu'on a recréé cette sorte d'amitié, de rencontre,
09:58qui avait eu lieu déjà à l'époque,
10:00lors de cette histoire.
10:05Ça parle donc de comment, à la base, la formule de la mort,
10:08une formule pour détruire, devient une formule de la vie,
10:10et comment la vie prend toujours le dessus,
10:13et cette espèce de réaction en Chine qui fait que,
10:16malgré tout,
10:18c'est toujours l'humanisme qui gagne sur la violence.
10:25Qu'est-ce que vous suggérez ?
10:27Crève de moelle osseuse.
10:28On va les tuer !
10:33En attendant la nuit, De Céline Rousset s'intéresse à un adolescent pas comme les autres.
10:37Pour survivre, il a besoin de sang humain.
10:39Dans la banlieue pavillonnaire, où il emménage avec sa famille,
10:42il fait tout pour se fondre dans le décor,
10:44jusqu'au jour où il tombe amoureux de sa voisine.
10:49Il faut absolument qu'on ait l'air les plus normaux possibles.
10:51Et les voisins ?
10:54Tant que tu fais comme tout le monde, t'es tranquille.
11:01Peut-être que je devrais faire directement une autre poche, moi, pour demain.
11:04Une fois que c'est fini, tu fais disparaître la poche.
11:08C'est ça.
11:09Mon frère, il est né avec une différence.
11:11Au départ invisible, il a beaucoup subi le rejet des autres,
11:14et le poids du regard des autres.
11:17Et en fait, quand il était petit,
11:20il voyait des vampires qui venaient dans sa chambre pour lui parler,
11:22et il était terrifié par ces monstres.
11:25Et au fil de sa vie, il s'est mis à regarder tous les films de vampires qu'il trouvait,
11:30et ce que j'ai compris avec le temps,
11:33c'est qu'il s'est mis à se sentir proche de ces créatures,
11:36de ces monstres fragiles, incompris du commun des mortels,
11:39dont la condition est invisible au premier regard,
11:41comme peut l'être le handicap, le mal-être adolescent, la dépression.
11:45Et donc, pour moi, ça a été assez évident de faire appel à cette figure,
11:49comme ça, très touchante, très tourmentée,
11:53pour parler de la différence, de l'exclusion, de la peur de l'autre.
12:09Il y a un point sur lequel Céline m'a beaucoup aidé,
12:12c'était la colère contenue.
12:14Parce qu'il le plaçait assez justement vis-à-vis de sa condition
12:16et vis-à-vis du monde extérieur, en fait.
12:19Et lui, je pense que ça le définit honnêtement.
12:22Il a besoin d'être doublement aimé.
12:25Et ça t'a fait quoi, quand il est chez maman ?
12:27Quoi ?
12:29La violence, elle vient de l'extérieur.
12:30On parle du monstre, du vampire et tout,
12:32mais toute la monstruosité, elle vient de l'extérieur, quoi.
12:35Eux, ils essayent de se trouver une espèce de cocon,
12:37de tendresse, de protection, de soin, là-dedans.
12:41C'est juste leur manière d'exprimer ça,
12:44mais qui est vue comme un truc violent,
12:47parce que c'est une morsure, du sang et tout ça,
12:51mais c'est une façon de s'écouler cet amour-là, quoi.
12:54Je sais pas ce qui m'arrive.
12:56T'es chez moi, ici.
13:02Pourquoi vous me laissez vivre ça ?
13:04Pourquoi ?
13:05Parce qu'on s'en file.
13:07Lâche-la, je te dis !
13:09Arrêtez !
13:12Tenez bon !
13:13Reviens !
13:17Pars, moi.
13:22Le duo Adil El Harbi et Bilal Fallah,
13:24à qui l'on doit le précédent Bad Boys,
13:26se reforment pour le quatrième volet de ce duo iconique
13:29Bad Boys, Ride or Die.
13:31Cette fois-ci, les meilleurs flics de Miami
13:33deviennent les hommes les plus recherchés d'Amérique.
13:37J'ai des chiens frais.
13:38J'ai mis un homme hier.
13:39Donne-moi un.
13:40Mets un peu de relish sur ce putain.
13:42Ouvre le registre.
13:43C'est comme ça.
13:45C'est Skittles sur le bord, Marcus ?
13:47C'est pas moi, Mike.
13:48Oui, c'est lui.
13:49Marcus, rentre dans la voiture.
13:50Il a un pistolet sur la tête.
13:51Tu veux s'en occuper avec lui ou avec moi ?
13:53Désolé, monsieur, mais je dois y aller.
13:57Appelez 911.
13:58Vous, la police !
14:00Pour nous, on a grandi avec ces films-là.
14:02Quand on était tout petits, on a vu le premier Bad Boys
14:05et les films de Jerry Bruckheimer et Michael Bay en général.
14:08C'était un grand rêve d'enfant d'un jour
14:11de pouvoir travailler à Hollywood
14:13et faire des films comme ça.
14:16Je ne sais pas à quel point ça va,
14:18mais ne croyez pas à personne.
14:20Vous êtes mes Bad Boys.
14:22Vous êtes mon nom.
14:25On voulait vraiment donner quelque chose aux fans
14:28parce que nous-mêmes, on est des fans.
14:30Pendant le film, il y a beaucoup de références
14:33à d'autres films de Bad Boys.
14:35Il y a le cameo de Michael Bay
14:38qui a dirigé les deux premiers Bad Boys.
14:42Il y a aussi l'histoire de Reggie
14:45qui a vraiment une belle fin ici, dans ce film.
14:50Vous êtes en train de vous préparer, détective.
15:00Nous avons deux suspects, Lowry et Burnett.
15:04Ils sont armés et dangereux.
15:06On ne voulait pas que ce film-là soit des copies
15:09des films précédents, mais aussi des autres films d'action.
15:12Nous, on adore les films d'action, le cinéma d'action en général.
15:15Pas nécessairement que hollywoodiens,
15:17ça peut aussi être des films sud-coréens
15:19et un peu partout dans le monde.
15:21On analyse toutes ces séquences d'action, ces scènes d'action
15:24et on essaie de s'imprégner de ça
15:26et de réinventer des séquences et des scènes
15:28qu'on n'a pas vraiment vues nécessairement auparavant.
15:30On est aussi très inspirés par le monde du jeu vidéo
15:32qui est vraiment un monde encore plus grand que le monde du cinéma.
15:42C'est un film qui parle de l'amitié.
15:44Moi et Adil, on a la même chémistrie
15:47comme Mike et Marcus, comme Will et Martin.
15:50C'est vraiment un film personnel
15:53qui est en même temps un grand comédie avec action,
15:57mais il y a le truc humain dedans.
16:02Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
16:32C'est un film qui parle de l'amitié.
16:34C'est un film qui parle de l'amitié.
16:35C'est un film qui parle de l'amitié.
16:36C'est un film qui parle de l'amitié.
16:37C'est un film qui parle de l'amitié.
16:38C'est un film qui parle de l'amitié.
16:39C'est un film qui parle de l'amitié.
16:40C'est un film qui parle de l'amitié.
16:41C'est un film qui parle de l'amitié.
16:42C'est un film qui parle de l'amitié.
16:43C'est un film qui parle de l'amitié.
16:44C'est un film qui parle de l'amitié.
16:45C'est un film qui parle de l'amitié.
16:46C'est un film qui parle de l'amitié.
16:48Fermes !
16:49Fermes !
17:07La vie ne ressemble pas de tout à une biographie.
17:10Elle n'est pas une série d'épisodes ou d'aventures sentimentales.
17:14Mais elle consiste en la métamorphose de soi,
17:16Se laisser transformer par le temps.
17:20Devenir non pas seulement un autre, mais d'autres.
17:46C'est le temps.
17:52Manuel Morales.
17:55Ça peut pas aller plus vite que ça, les gars sont crevés.
17:57J'appelle l'agence, pis ils m'enchippent d'autres.
17:59Tu veux que je t'aide là?
18:01Oui, mais d'où elle est?
18:03Tu peux pas demander à un de tes temporaires québécois de le remplacer.
18:05Y'en a pas de cab qui pèse ta 10$.
18:07Là, c'est ma tête qui se bio.
18:09Fais ce qu'il faut, ok?
18:11On est pas très impressionnés par les résultats du dernier trimestre.
18:14C'est le docteur Gauthier.
18:17Pourquoi ils disent pas non, des fois?
18:19Ils ont pas l'air dits qu'on peut y renvoyer n'importe quand.
18:21Mettons, ce truc-là.
18:23Pourquoi y'a des caméras tout d'un coup?
18:25J'ai été 35 ans dans les ressources humaines, j'ai jamais vu ça.
18:27Mais c'est pas illégal de les surveiller.
18:29J'ai pas du mal de ça, c'est clair.
18:31Qu'est-ce qu'ils font, une enquête? On va tous perdre notre job.
18:33Je veux pas que vous la croyez.
18:35C'est votre parole contre la sienne, M. Cournoyer.
18:37Fais-tu penser à toi avant les autres?
18:41Tu peux pas être complice de tout ça, c'est dégueulasse la façon dont t'es traité.
18:43Je te le dis à rien, on se fait jouer à la saute, je m'en rends compte.