• il y a 5 mois
À partir du 1er juillet, le GCS (groupement de coopération sanitaire) Clinique Pays de Seine, né d’un partenariat public-privé comprenant l’hôpital de Troyes à 52,5 %, gérera l’établissement avec une tarification publique.
Images : Marylou Prévost / Réalisation : Glenn Essoly

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Transcription
00:00L'enjeu par rapport à Romilly était de pouvoir sauver, si je puis dire, l'outil d'accès aux soins que représentent le bloc et la permanence des soins.
00:30C'était un établissement privé et il nous est apparu très vite que la meilleure solution pour reprendre cet outil, c'était ce groupement, ce statut de groupement de coopération sanitaire.
00:42Comme son nom l'indique, c'est un groupement de partenariat et il est aujourd'hui constitué d'accueillants, d'administrateurs, d'administrateurs, d'administrateurs, d'administrateurs, d'administrateurs.
00:56C'est un groupement de partenariat et il est aujourd'hui constitué d'acteurs publics, des hôpitaux avec le centre hospitalier de Troyes, celui de Romilly-sur-Seine, de Barcelour-Aube,
01:10et puis des acteurs privés un peu non lucratifs, le GCS, l'hôpital privé de l'Aube et la mutualité française Champagne-Ardennes-Saint-Denis.
01:20C'était important d'avoir ce partenariat vraiment public-privé. Aujourd'hui, l'effectif est proche de 50 personnes. En tant que soignants, en tant que personnels administratifs, il y a en plus les médecins et chirurgiens qui eux ont un statut libéral.
01:42Donc aujourd'hui, on reprend la totalité des activités. Et bien sûr, notre ambition est de pouvoir renforcer cette activité existante, notamment comme il a été fait avec Troyes pour renforcer notre activité et renforcer le maillage territorial de l'accès aux soins.
02:12...
02:23L'idée, c'est comme je le disais tout à l'heure, bien évidemment, c'est de réarmer le bloc au niveau de l'activité, notamment. Donc maintenir l'activité, mais aussi la développer. La développer avec l'existence, en injectant également de nouvelles activités.
02:35Et puis, une des conditions, c'est qu'on a fait l'horloge. C'est une reprise des effectifs, et notamment au niveau de l'activité qui environne l'environnement du patient. Et l'idée, tout de suite, dès le mois de juillet, c'est de commencer à recruter tout un environnement autour des chirurgiens.
02:55Donc on voit bien qu'aujourd'hui, le patientnel est déjà plus tendu par rapport à l'activité actuelle. Donc une des premières phases, ça va être l'évidence de recruter pour avoir une activité plus sereine au niveau des blocs. Puis dans un second temps, si on veut développer l'activité, c'est de recruter pour avoir un environnement serein, mais qui corresponde à des normes, pour avoir des activités en toute sécurité.
03:18...

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