100% Féminin - Mandie Chanavat : Entre Handball de Haut Niveau et Engagement Pompier Mandie Chanavat, handballeuse et pompier volontaire évoluant en national 2 avec l'équipe de St Chamond. Portrait de cette femme pompier, offrant ainsi un aperçu de la vie et des défis de cette athlète polyvalente.
Démo - Handball, discipline olympique majeure, dans notre série sur les JO 2024.
Participation à un entraînement avec le Saint-Étienne Handball, dirigé par l'expérimenté Peter Gerwert. Ce sport allie concentration, explosivité et technique, nécessitant une implication stratégique pour soutenir les coéquipiers.
Équitation - Myla Moulin Teste, objectif championnats d'Europe poney
Rencontre avec la talentueuse Myla Moulin Teste, cavalière de l'équipe de France Poney. A seulement 15 ans, la jeune Ligérienne à pour ambition de participer aux prochains Championnats d'Europe Poney en saut d'obstacles, qui se dérouleront en Belgique, avec son poney D'Zeus des Chesnaies
Portrait de sportif - Grâce Charpy : La Transition Audacieuse de la Gym à l'Athlétisme
Grâce Charpy, 24 ans, ancienne gymnaste de haut niveau à Saint-Étienne, a pivoté vers la course à pied en 2020 en raison du COVID et des études. Malgré des blessures, son intégration réussie au Coquelicot 42 se traduit par une progression remarquable, établissant régulièrement de nouveaux records personnels sans pression particulière.
Invité - Événement « Faites de l'escalade » ce week-end
Faites de l'escalade", événement inédit en France les 26 et 27 janvier, offre l'opportunité à travers 80 salles dans 51 villes et 42 départements, une découverte accessible de l'escalade pour seulement 5€. Organisé par l'Union Des Salles d'Escalade, cet événement promeut l'inclusivité, le plaisir et souligne le statut de l'escalade en tant que sport olympique. Participez nombreux à cette initiation conviviale et abordable.
Le Basket pour tous et à tout âge
Le Basket pour tous et à tout âge du côté de Montrond-les-Bains, vise à promouvoir le développement du basketball à travers la réalisation de compétitions. Son objectif ultime est de créer des liens d'amitié et de solidarité entre tous ses membres, soulignant ainsi l'inclusivité et l'esprit communautaire dans la pratique du sport.
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Équitation - Myla Moulin Teste, objectif championnats d'Europe poney
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Invité - Événement « Faites de l'escalade » ce week-end
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Le Basket pour tous et à tout âge
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TVTranscription
00:00 *Musique*
00:14 *Applaudissements*
00:20 Bonsoir !
00:21 Bonsoir à toutes et à tous, ravi de vous retrouver ici même sur Plateau Sports 7.
00:25 J'avais jamais vu mon plateau dans cet angle là.
00:28 Je suis avec Julia, ça va Julia ?
00:30 Tu viens d'où ?
00:31 Elle veut pas me dire bonjour.
00:33 Serre moi la pince !
00:35 Si vous vous asseyez dans le 43,
00:37 il vient du 43 exactement pour regarder Sports 7.
00:40 Alors Sports 7 vous le savez, c'est toute l'actualité sportive de notre département et tout ça en...
00:45 42 minutes.
00:46 Non enfin en 43 minutes pour elle.
00:48 Alors cette semaine on a beaucoup de public d'ailleurs, on applaudit bien fort.
00:52 *Applaudissements*
00:54 C'est pas mal !
00:55 Et vous allez voir une grosse actualité sportive qui va dépoter.
01:01 Alors cette émission je peux vous le dire parce que j'adore les réseaux sociaux.
01:04 Oh bah là mais c'est...
01:05 Pour moi c'est une cour de récré.
01:06 Et cette émission est dédiée à Rodolphe.
01:08 Qui c'est Rodolphe ?
01:09 Qui est Rodolphe ?
01:10 C'est un spectateur sur le Facebook parce que Sports 7 est aussi sur Facebook.
01:14 Qui s'étonnait de ne pas avoir une certaine affaire de sex tape qui a rien à faire dans Sports 7.
01:19 Voilà, et il dit "Mais pourquoi on parle pas ça ?"
01:21 Rodolphe, nous on parle que du sport.
01:23 Et cette émission est dédiée pour Rodolphe, donc on applaudit Rodolphe.
01:26 Et il va détourner Rodolphe dans cette émission sportive, voilà.
01:30 Alors je vous demanderai aussi de faire un tonnerre d'applaudissements pour notre invité
01:33 Sylvain Vréconde.
01:35 Alors on l'a déjà dit bien fort.
01:37 *Applaudissements*
01:39 On va parler de la première édition de la fête de l'escalade.
01:41 *Applaudissements*
01:43 Qui a réuni une centaine de salons dans toute la France.
01:45 Et la Réunion.
01:46 Et la... Oh bah ça nous met pas la Réunion.
01:48 Ils ont dit "Ne nous oubliez pas".
01:50 Ouais, je vais me prendre Pierre.
01:51 Ouais, depuis le temps.
01:52 Exactement.
01:53 A côté de vous, Lillian Bart, qu'on appellait bien fort.
01:55 Bonsoir.
01:56 Le portrait de la semaine, c'est Grace Charpy.
01:59 Elle était gymnaste tricolore et aujourd'hui elle est runneuse au Coquelicou 42.
02:03 Et elle arrête pas de courir et surtout elle fait des bons timings.
02:06 Donc on va aller à sa rencontre.
02:07 Et sa galle.
02:08 En face de vous, Fiona Ligonède en 100% féminin.
02:10 *Applaudissements*
02:12 Je reviens aujourd'hui avec, j'allais dire, une balle balise qui a retenu mon attention.
02:17 Une cour à mi-aude et vous verrez, j'ai un petit clin d'œil pour vous.
02:21 Pour accéder à votre public, mais pas du tout.
02:23 C'est Solide Fendi derrière vous.
02:25 On peut l'applaudir fort.
02:26 Bonsoir.
02:27 *Applaudissements*
02:29 On va parler basket et on va parler d'un club du département, la Fraternelle de Montreux-les-Bas.
02:34 Exactement.
02:35 Et on sera en direct du Bordeaux à Saint-Etienne où Damien va s'essayer un sport olympique.
02:40 Et ouais, le hand.
02:41 En plus, nos français en ce moment sont pas mal dans le hand.
02:45 Alors, on l'a dit, gros week-end.
02:47 Très très chargé, ça se voit au niveau du public ce week-end.
02:50 Et entre autres, une fête.
02:51 Une fête, mais comment une fête ? Une fête chapeau ou à I.T.E ?
02:55 La meilleure façon de fêter l'escalade, c'était de la pratiquer.
02:58 Parce que quand on pratique, tout le monde aime.
03:00 On va voir l'affiche d'ailleurs.
03:01 On a fait fête de l'escalade.
03:03 On a bossé beaucoup de temps.
03:04 On est des grimpeurs, on n'est pas des gormeliers.
03:06 Dans la communication, on est pas mal.
03:08 On va voir l'affiche.
03:10 C'est quoi, c'est la première fois que ça ?
03:11 C'est la première édition, tout à fait.
03:13 L'escalade devient de plus en plus à la mode.
03:17 Elle sera au G.O. dans pas longtemps.
03:19 C'est vrai qu'il y a beaucoup de jeunes qui veulent se lancer dans la grimpe.
03:23 Pourquoi ce phénomène ? Pourquoi cet attrait ?
03:27 Pour répondre toujours à demande,
03:29 globalement, les gérants de salles d'escalade sont des passionnés.
03:33 Aiment leur sport et veulent toujours le faire découvrir.
03:35 Et si le prix qu'on essaie de faire le plus bas possible est un frein,
03:38 on essaie de ne pas faire voler.
03:40 Vous parlez d'argent parce que c'est Fiona ou ça n'a rien à voir ?
03:43 Nous, au basket, on a fête, ça fait un moment qu'on le fait.
03:46 Le comité du basket de la Loire organise fête du basket.
03:50 Ils ramènent tout à lui.
03:51 Non, mais c'est pas à lui, c'est à notre sport.
03:52 Et nous, c'est gratuit.
03:54 Et on offre des ballons.
03:56 Alors, qu'est-ce que tu réponds à ça, Sylvain ?
03:58 T'es content d'être venu ?
03:59 Tout à fait.
04:00 Il y a une certaine logistique à respecter,
04:03 notamment les notions de sécurité qui sont quand même importantes.
04:06 On ne peut pas accueillir plein de personnes,
04:08 les accueillir correctement et les lancer sur les structures.
04:11 On a un minimum d'accueil à faire.
04:13 Mais là, on parle de blocs, donc on n'est pas...
04:16 Chez eux, oui.
04:17 Chez nous, c'est que du bloc, pas de cordeliers, de baudrillers.
04:20 Donc des mouvements un peu plus explosifs
04:22 qui nous permettent de faire des trucs très rigolos,
04:24 de faire tomber tout le temps les gens.
04:25 Voilà, comme ça, on tombe.
04:26 Et justement, ça peut s'adresser à partir de quel âge ?
04:30 Alors nous, nos cours d'escalade, on les commence à 3 ans,
04:32 dès les tout-petits.
04:33 Ah oui, mais c'est sûr.
04:34 Alors on ne fait pas les mêmes choses, bien évidemment.
04:36 C'est des anniversaires, plutôt à partir de 6 ans.
04:38 Mais voilà, il n'y a pas d'âge pour commencer,
04:39 il n'y a pas d'âge pour arrêter non plus.
04:41 Et tout public aussi.
04:42 Et tout public aussi, voilà.
04:43 Et tout public, parce que vous faites beaucoup avec les handicaps.
04:46 Je sais qu'au Bloc à Brecs, justement,
04:48 vous faites beaucoup avec des personnes en situation de handicap.
04:50 C'est un bel accueil, je pense, que vous mettez en place.
04:53 Oui, tout à fait, et pour la confiance en eux,
04:55 des personnes qui ont la trisomie, par exemple, l'autisme,
04:58 ils font beaucoup de progrès en faisant ce sport-là.
05:01 500 adhérents ?
05:02 À peu près 500 adhérents et 200...
05:03 Vous les ai comptés samedi, quand même ?
05:05 Oui, tout à fait.
05:06 Alors, sans les citer, il y a un nouvel...
05:10 un nouveau lieu pour grimper sur Saint-Etienne qui est ouvert.
05:13 Est-ce qu'il vous fait de l'ombre ?
05:15 Pas vraiment, non.
05:16 On a un positionnement légèrement différent.
05:18 Eux sont plus fixés sur la corde,
05:19 avec des murs plus hauts
05:21 qui permettent d'avoir un effort un petit peu plus long.
05:23 Ils ont une petite partie Bloc aussi, mais voilà, un petit peu moins...
05:25 Elle est petite, hein ?
05:26 Non.
05:27 Un petit peu...
05:28 Ils sont plus chers, en plus.
05:30 Moi, je les ai plus chers que eux.
05:32 Moi, je travaillais dans un chambre de loisir,
05:34 on amenait des gamins,
05:36 et c'est vrai que c'est pas donné.
05:38 C'est votre concurrent.
05:39 Je vais pas trop prononcer là-dessus.
05:40 Non, c'est un confrère.
05:41 Un confrère, plutôt.
05:43 Vous faites pas forcément la même chose.
05:44 Elle m'a envoyé un petit message ce matin.
05:45 Il faut savoir que ça fait 8 ans que vous étiez seuls.
05:47 Nous, ça fait 8 ans.
05:48 Sur la Loire, même, je crois.
05:49 On était seuls sur la Loire pendant 7 ans, à peu près.
05:52 Et depuis l'année dernière,
05:53 il y a une deuxième salle dans le Stade Geoffroy-Guichard, en effet.
05:55 Alors, il a apporté, vous avez vu, sur la table, quelques prises.
05:58 Des prises imprisables.
06:00 C'est ce que j'allais dire.
06:01 Des prises où...
06:02 J'ai pris un petit peu de tout.
06:03 Alors, ça, c'est pour Fiona.
06:04 Ce qu'elle aime bien, c'est porter des prises plates.
06:06 Liliane me l'a fait la blague, mais c'est un petit nez de coçon, regarde.
06:09 Non, mais ça, sincèrement, c'est une prise...
06:11 Ça, c'est une prise, voilà.
06:12 Plutôt une prise pied.
06:13 On peut la prendre avec des mains, avec des pouces, éventuellement, ce genre de choses.
06:16 Mais voilà, c'est plutôt une prise pied.
06:17 On a des prises, ça, c'est des débutants, qui sont comme ça,
06:19 ce qu'on appelle un bac.
06:20 Ça serait pour moi, ça.
06:21 On le prend vraiment en pleine main.
06:22 On prend des prises plus petites, plus crochetantes.
06:24 On appelle ça des rails.
06:25 On prend juste avec le bout des doigts.
06:27 Après, des prises plus plates.
06:28 Oui, parce que j'allais dire, celle qui est devant, elle est très plate.
06:31 Oui, voilà.
06:32 Mais en fait, on vient jouer sur la friction.
06:33 C'est pour ça que c'est un petit peu granuleux, contrairement à ici, là.
06:36 Et en fait, ce genre de surface, on arrive à le tenir.
06:38 Alors, c'est granuleux, mais moi, là, devant moi, on voit la marque.
06:42 C'était une ancienne marque ligérienne, d'accord ?
06:44 Tout à fait.
06:45 Un enfant du pays, à Saint-Chamond, qui a fait ses premières prises là-bas.
06:48 Depuis, il a pris un petit peu l'air frais de la Bretagne.
06:50 Ses prises, Coco Rico, vous les retrouvez où, ça ?
06:52 Au JO de Paris.
06:54 Ah oui ?
06:55 La marque Expression, née dans la Loire,
06:58 fournisseur officiel de beaucoup de grandes compétitions,
07:01 notamment celles qui sont en France.
07:03 C'est solide, quand même.
07:04 Alors, on en parle, justement.
07:06 Il y a des confrères, concurrents, on peut l'appeler le mot que vous voulez.
07:10 Comment on fait pour être toujours attractif ?
07:13 Alors, pour être attractif, j'ai un dynamic.
07:15 Ah, mais ça se voit !
07:17 Attends, tu es un mec dynamique.
07:19 Voilà, tout à fait.
07:20 Donc, on se renouvelle tout le temps.
07:21 Deux fois par semaine, on change une partie de la salle de tous les blocs.
07:24 Je trouve ça incroyable.
07:25 Deux fois par semaine ?
07:26 Deux fois par semaine, vous changez la moitié ?
07:28 Combien de prises ?
07:29 Ce matin, on a attaqué à 9h et j'ai fini juste avant de venir là, à 17h-18h.
07:34 À la clé à choc, on y va, on se fait plaisir.
07:36 À la clé à choc, oui, tout à fait.
07:38 On fait ça, on les bouge un petit peu quand ça ne va pas trop.
07:41 On fait du calage.
07:42 On imagine les choses, on va dans notre caisse de prises,
07:45 on les pose sur le mur.
07:46 Et ça, deux fois par semaine ?
07:48 Deux fois par semaine, à peu près.
07:49 Et comment vous jaugiez ?
07:51 On se rend compte que c'est possible.
07:52 Par contre, il faut tester, il faut voir si c'est possible.
07:54 C'est ce que j'allais dire.
07:55 Et le niveau, parce que je suppose qu'il faut avoir différents niveaux de difficultés.
07:59 Comment vous faites pour jauger ça ?
08:01 En fait, c'est notre expérience qui nous dit,
08:03 là, je vais faire un bloc, le premier niveau de difficulté, c'est le jaune, par exemple.
08:06 On dit, avec ces prises-là, je vais arriver à faire un bloc jaune.
08:08 Et on les répartit en faisant des mouvements que les grimpeurs de bloc jaune peuvent réaliser.
08:14 On pose tout ça sur les prises.
08:16 Et comme tu dis, Lilian, après, nous, on essaye pour se dire,
08:19 ah ben non, là, on était un peu trop ambitieux sur le mouvement,
08:21 on ramène un petit peu la prise, on en met un petit peu plus grosse, ce genre de choses.
08:23 Tu es en doute avec les testes ?
08:25 Non, mais je trouve que c'est super fort.
08:28 C'est créatif.
08:30 Ce parcours-là, je l'ai mis en vert, mais en fait, non, c'est une noire,
08:35 c'est un parcours violet, j'ai dit n'importe quoi, mais on est obligé de changer.
08:39 Tout à fait.
08:40 Alors, on parle de changement. Combien de mètres carrés vous avez ?
08:43 On a à peu près 500 mètres carrés d'espace grimpable.
08:45 Ça suffit ou tu sais où je veux venir parce que je fouille de partout ?
08:48 Je sais que tu es bien renseigné.
08:50 Oui, c'est un petit peu à l'étroit depuis quelques temps déjà.
08:54 Déménagement ou agrandissement ?
08:56 On regarde un petit peu à pousser les murs.
08:58 En haut ou en bas ? Sur les côtés ?
09:00 C'est un secret, mais les grimpeurs aiment bien mentir, généralement.
09:03 C'est pas mal ça.
09:07 Les travaux ?
09:09 On est dans les papiers là encore, on les permet de construire tout ça.
09:12 Donc voilà, pour l'instant.
09:13 2024, 2025, fin 2025 ?
09:15 La transition, normalement, si tout va bien.
09:17 Ou Saturbois, comme tu aimes bien ?
09:18 Oui, voilà, essayer de s'assailer au colo, effectivement.
09:21 On peut l'applaudir.
09:22 Bien fort, Gilles-Alain Frécond.
09:24 On va voir, c'est ce week-end, fête de l'escalade.
09:26 On va voir l'affiche.
09:28 Ça commence dès vendredi et samedi.
09:30 Tout à fait, vendredi et samedi, toute la journée.
09:31 Il se passe des choses, donc profitez bien du vendredi,
09:34 parce que samedi, vous allez voir dans quelques instants, il se passe des choses.
09:36 Vous aimez le hand ?
09:37 Oui, oui, très bien.
09:38 Ce serait bien que tu dises oui, ça m'arrange un peu.
09:40 Parce que justement, on a Damien qui est en direction,
09:43 enfin qui est en direct du Bordeaux.
09:45 Damien qui est dans sa série, nous présenter les sports qui seront aux Jeux Olympiques.
09:49 D'ailleurs, elle n'est pas venue chez vous.
09:50 Ça va, Damien ?
09:51 Bonsoir, Julien.
09:55 Bonsoir à tous.
09:56 On se retrouve aujourd'hui pour continuer notre série autour des Jeux Olympiques.
10:01 Et notamment des épreuves qui seront à Paris en 2024.
10:04 Et donc tout naturellement, on vient au Handball.
10:07 Et chez vous, au Stadium, Pierre Maisonial.
10:10 Merci, Peter, de nous recevoir.
10:11 Avec grand plaisir.
10:12 Comment se porte le club de Saint-Etienne ?
10:14 Le club se porte plutôt bien.
10:16 On a des équipes de jeunes qui tournent bien.
10:19 On a ce soir encore des gamins qui font partie de l'académie de Saint-Etienne Handball qui sont présents.
10:23 Des jeunes qui évoluent au moins du championnat de France.
10:26 Et on a actuellement l'équipe première qui s'entraîne.
10:28 La Nationale 2 qui reprend non pas le championnat, mais la coupe.
10:33 Est-ce que justement, en parlant de Handball, on a vraiment un engouement ?
10:39 Vous le ressentez, à votre niveau, au niveau des inscriptions, des adhésions ?
10:42 Alors, il y a eu un fait marquant, c'est le retour d'après Covid.
10:46 En fait, nous, on n'a pas ressenti trop de difficultés.
10:48 On n'a pas eu de déperdition sur le nombre de licenciés.
10:50 Et aujourd'hui, on est quasiment sur toutes les catégories.
10:53 On a doublé le nombre d'équipes.
10:55 Deux équipes moins de 13, deux équipes moins de 15, deux équipes moins de 18.
10:57 Donc, on a quand même un réservoir de joueurs qui est très important à Saint-Etienne Handball.
11:01 Et vous êtes entraîneur de l'élite, c'est ça ?
11:03 Alors, de l'élite, je ne sais pas.
11:04 En tout cas, je suis le manager général du club et l'entraîneur de l'équipe première.
11:08 Et on a fait une première phase plutôt honorable,
11:11 puisqu'on est sur neuf victoires consécutives pour deux défaites.
11:14 Ce qui laisse présager une belle deuxième partie de saison, parce qu'on a encore tout à jouer.
11:18 Bon, c'est parfait, du coup.
11:20 Un petit échauffement avec les gars.
11:22 J'attends de toi que tu sois costaud en attaque, costaud en défense et que ça coure un peu.
11:25 Bon, ça fait pas mal de choses. J'espère que tu vas pouvoir me donner les bonnes consignes.
11:28 Bon, vous l'avez compris.
11:30 Merci. Bon, je vous retrouve tout à l'heure. Je vais me changer.
11:34 Il n'avait pas l'air un peu surmené.
11:37 Tout ça en même temps ?
11:39 Ça faisait trop d'informations en même temps.
11:40 Mais on a quand même fait un peu une coalition avec...
11:43 On est un tigeant de cette émission.
11:45 Et pendant quelques instants, on a notre invitée qui est là, présente. Elle s'appelle comment ?
11:48 Elle s'appelle Mandy Chanava.
11:50 Et elle est handballeuse au club de Saint-Chamond.
11:52 Oh, malin. Et trois choses en même temps. C'est compliqué à faire.
11:55 Mais justement, ce week-end, il y a le Hand Elite.
11:58 Alors, on va voir tout de suite le programme.
12:00 Ça commence jeudi et vendredi, si je ne me trompe pas.
12:04 Vous connaissez le Hand Elite ?
12:05 Oui, bien sûr.
12:06 Très belles équipes qui sont présentes.
12:07 On en profite que l'équipe de France vont gagner le championnat d'Europe.
12:11 J'espère.
12:12 C'est sûr. C'est ce qui nous manque. Exactement.
12:14 Et justement, pour s'échauffer, ils sont là depuis combien d'années ?
12:17 Ça fait des années qu'ils sont ici.
12:18 Oui, parce qu'à l'époque, il y avait Richardson qui était là.
12:22 Et on s'en sonnait.
12:23 Et on avait fait justement... On était allés sur les terrains à ce moment-là.
12:26 Et maintenant, il est en équipe.
12:28 On va revoir le programme, le Hand Elite.
12:30 On ne l'oublie pas, c'est ce week-end.
12:31 Il faut venir forcément au Gymnase du Bordeaux, à Saint-Etienne.
12:33 Ça fait plaisir.
12:34 Alors, une petite virgule et vous allez nous présenter votre invitée.
12:43 100 % féminin.
12:44 Je suis très heureuse de recevoir Mandy Shannava aujourd'hui avec nous.
12:50 Alors, Mandy, elle a attiré mon attention à la fois parce que...
12:53 Parce qu'elle a une veste rouge.
12:54 Oui, aussi.
12:55 - Ça s'attire. - Ça marque.
12:57 Mais voilà, handballeuse en National 2.
13:00 Mais aussi un petit clin d'œil à vous parce que Mandy est aussi pompier volontaire.
13:04 Quel courage vous avez.
13:06 Avec justement l'objectif de passer professionnelle.
13:10 - D'où le rouge. - Ah, ben voilà.
13:13 On a compris.
13:14 Et pour ça, je trouvais intéressant qu'elle puisse nous rejoindre sur le plateau
13:17 pour qu'elle nous parle un peu de son parcours.
13:19 Déjà, Mandy, vous faites partie de Saint-Chamond.
13:22 C'est un club qui évolue. Voilà, à quelle division ?
13:25 Alors, chez les filles, du coup, on évolue en National 2, principalement.
13:29 Et notre équipe réserve est montée en National 3 cette année.
13:32 Et chez les garçons, on évolue en National 3.
13:35 Et est-ce qu'on vous a fait un petit clin d'œil, comme ça,
13:37 pour aller du côté de Saint-Étienne, au-dessus de la division ?
13:41 - C'est comment, un peu ? - Non, on ne m'a jamais fait un petit clin d'œil,
13:44 comme vous dites.
13:45 - Après... - On appelle du pied, je peux faire un appel du pied.
13:47 - Si c'est pas agréable. - Aucun n'est deux.
13:49 Après, c'est vrai que Saint-Chamond-Saint-Étienne,
13:51 c'est toujours un petit peu comme un derby.
13:54 - La guerre. - La guerre, un derby.
13:56 Après, il y a beaucoup de filles qui sont allées à Saint-Étienne,
13:59 venues à Saint-Chamond, fait des allers-retours.
14:01 - Oui. - Mais après, non.
14:02 Il y a cette entente-là, même si, on va dire sur le papier,
14:05 ça reste des derbys en concatenant de vous vous affronter.
14:08 - C'est ça. - C'est ça.
14:10 - Et j'allais dire, vous avez commencé jeune, et toujours à Saint-Chamond.
14:15 - Toujours à Saint-Chamond. J'ai jamais quitté Saint-Chamond.
14:17 J'ai attaqué à l'âge de 9 ans et je suis toujours restée.
14:19 - Là, cette année, vous êtes en National 2,
14:21 est-ce qu'il y a une ambition de monter ?
14:23 - Une ambition de monter, je ne sais pas.
14:25 Au début de l'année, en tout cas, non.
14:27 On pensait recréer une nouvelle équipe cette année, avec beaucoup de recrues.
14:29 C'est vrai qu'on n'avait pas envisagé ça.
14:31 Après, c'est vrai que là, on est quand même haut de tableau.
14:34 Deuxième, il n'y a pas longtemps. Là, on vient de repasser troisième.
14:37 Donc, on ne sait pas. Après, on vit toujours le plus haut, de toute façon.
14:40 - En tout cas, à Saint-Chamond, il pourrait y avoir, justement,
14:42 le financement ou ce projet qui pourrait être abouti ?
14:45 - Alors, de toute façon, le financement vient après,
14:48 avec l'excellence et le haut niveau.
14:50 Donc, sûrement. Après, pour l'instant, on n'a pas trop discuté.
14:53 Mais je pense que ce serait possible, oui.
14:54 - Et au niveau du club, justement, ça, GFND, tu pourrais le dire,
14:56 au basket, c'est pareil.
14:58 Quand on a des équipes comme ça, au National,
15:00 on mise sur la formation des jeunes.
15:03 - C'est bien d'avoir réveillé Fendi.
15:04 - Non, non, non, je regardais les images, parce que c'est impressionnant.
15:06 On dit National 2. Oui, bien sûr, au niveau du club.
15:08 Moi, dans ce que vous avez dit, on me dit,
15:10 vous avez une équipe, votre équipe première en National 2,
15:13 et l'équipe réserve en National 3.
15:15 Alors, au basket, nous, on n'a pas le droit à ça.
15:17 En fait, quand je dis, il faut avoir minimum deux divisions d'équipe.
15:20 Et là, dans le hand, financièrement, c'est vrai,
15:23 comme on dit, ça doit être compliqué, parce que c'est des longs déplacements.
15:26 - Elle, c'est une joueuse. Il ne me faudrait pas d'argent.
15:28 - C'est pas président. - C'est pas président.
15:30 - Au niveau du club, c'est vrai que ça n'a pas été bien.
15:32 - Bon, dis-moi, vous faites le club.
15:34 - Alors, c'est combien de budget ?
15:35 - Non, non, mais ce n'est pas une question de budget.
15:37 Mais quand on a deux équipes qui évoluent en National,
15:39 alors c'est bien pour les passants.
15:40 - C'est bien pour les entraînements, parfois, peut-être.
15:42 - C'est bien pour les entraînements,
15:44 parce que c'est vrai que du coup, on peut faire les oppositions
15:46 sans avoir trop de différence de niveau.
15:48 Et puis, évidemment, si une fille se blesse,
15:51 c'est plus facile de faire monter une fille de National 3
15:53 qu'une fille d'un niveau en dessous.
15:54 - Et en tant que joueuse, c'est quoi votre point fort ?
15:56 - Moi, en tant que joueuse, alors je dirais ma vitesse,
15:59 parce que c'est vrai que je suis vachement en anticipation
16:01 des contre-attaques, montées de balles.
16:03 Mon impact en défense, j'adore la défense.
16:06 Pour moi, c'est la phase la plus importante.
16:08 Et puis après, je dirais la motivation que j'apporte à l'équipe.
16:12 - Le dynamisme. - C'est ça.
16:13 - L'ambiance, vous mettez la musique,
16:15 ou c'est Lilian qui faisait la musique ?
16:16 - Oui.
16:17 - Il y a carrément l'ambiance dans ce sport.
16:18 - Trop bien la musique d'entrée d'émission.
16:20 J'ai remarqué. J'adore.
16:22 - Il y a qui l'adore.
16:23 - Mais du coup, au niveau personnel,
16:25 est-ce que ça serait toujours resté à Saint-Chamond
16:27 ou ça serait peut-être évolué ailleurs ?
16:28 - Oui. Alors, maintenant...
16:29 - T'as Tétienne. Si on t'appelle à Saint-Etienne ?
16:31 - Elle veut pas, elle a dit.
16:32 - Alors Saint-Etienne, c'est un niveau au-dessus.
16:34 - C'est la National 1, ça reste un derby,
16:36 donc c'est toujours compliqué de réfléchir
16:37 à est-ce qu'on partirait au club adverse.
16:40 Mais c'est sûr que oui, si l'occasion se proposait à moi,
16:44 peut-être que j'irais chercher...
16:46 - Mais il y a d'autres projets.
16:47 - Ou alors le mieux, ce serait que Saint-Chamond monte
16:49 et que du coup... - Exactement.
16:51 - Mais en effet, vous avez raison, il y a d'autres projets.
16:53 Parce que ce que je disais, ce qui a attiré aussi mon attention,
16:55 c'est tout votre engagement en tant que pompier.
16:58 Donc vous êtes pompier volontaire.
17:00 Qu'est-ce qui vous a attiré ?
17:02 - Alors moi, ce métier m'a toujours attiré
17:04 depuis que je suis toute petite, aider les autres.
17:06 Après oui, on peut dire les feux, les accidents...
17:09 - Les calendriers à passer !
17:11 - C'est ça, c'est ça. - C'est une passion.
17:12 - C'est la meilleure. - Comme l'autre.
17:13 - Ah, les calendriers, les chocolats !
17:15 - Mais non, c'est vraiment...
17:16 Oui, cette relation avec le public,
17:20 enfin... - Et côté complémentaire avec le sport aussi.
17:22 - C'est ça. Moi, de toute façon, il me fallait un métier où ça bouge.
17:26 - Ah, bah ça bouge, oui.
17:27 - Mais par contre, pompier volontaire, c'est pas les week-ends ?
17:29 - Ah, bah... - Pas forcément.
17:30 - Pas forcément. - Parce que les week-ends, il y a les matchs.
17:32 - Ouais, mais elle a pas envie d'en faire, elle a dit.
17:34 - Oui, il y a les matchs, mais c'est vrai qu'on peut jauger.
17:36 Moi, j'arrive à faire des gares de la semaine,
17:38 les week-ends, les soirs, parce qu'on travaille aussi la nuit.
17:41 Donc non, ça va, j'arrive à gérer les deux.
17:43 - Justement, alors vous allez passer le concours
17:46 pour être pompier professionnel.
17:48 Il y avait un événement qui allait arriver aussi avec...
17:52 qui est à Liège, je sais pas si vous le savez, Julien.
17:54 Pompiers et handball.
17:55 - C'est ça. Cette année, c'est la Loire qui reçoit
17:58 le championnat de France de handball des pompiers.
18:00 - Ah, ça je savais pas, ça. - En septembre, on le reçoit.
18:02 - Ah, mais c'est trop loin pour moi. - Le pompe-balle.
18:05 - Et donc peut-être qu'en septembre, vous aurez eu votre réponse.
18:07 - Ah, normalement, je l'aurais eu, oui.
18:09 Normalement, ça devrait arriver.
18:10 - Julien, il peut vous aider pour être pompier professionnel.
18:13 - Ah, bah pas du tout, non.
18:14 - Il a des contacts.
18:16 - Le volume d'un con de Lubec, tu le connais ?
18:18 - Non. - Je suis en plein dedans.
18:20 Avec mes enfants en 4e. Voilà, exactement.
18:23 Bah écoutez, prochain match pour vous, pour votre équipe, c'est quand ?
18:26 - Alors le prochain match, ça sera...
18:28 Pas ce week-end, le week-end prochain.
18:29 - Ah, bah tranquille, donc t'as une garde.
18:31 - Non. Ce week-end, non. Je suis en repos.
18:34 - T'as un truc, tu es en repos.
18:35 - En fait, au week-end, elle prépare son concours.
18:38 - Ah, bah oui, attends.
18:39 - Donc ses musculations, son mange. - Ah, bah oui, exactement.
18:41 Merci à vous, on peut l'applaudir.
18:43 Il va falloir rester avec nous.
18:45 Dans quelques instants, on va parler.
18:47 Vous savez, mon fameux Rodolphe, là, qui veut...
18:50 - Mais Rod, c'est des histoires comme ça.
18:52 C'est pour ça que j'adore cette émission-là.
18:54 Vous allez voir, au plus haut niveau, on change de sport.
18:56 Et bah on reste quand même au plus haut niveau en changeant de sport.
18:58 C'est incroyable. C'est un portrait sportif.
19:00 - Et comme on le dit, une sharpie pour en cacher une autre.
19:08 Surtout qu'elles sont trois.
19:10 - Deux sharpies pour en cacher une autre.
19:12 Trois sharpies pour en cacher un autre.
19:14 Ils sont plusieurs, les sharpies.
19:16 Le portrait de la semaine, c'est Grace Sharpie.
19:18 - Ça vous dit "sharpie" ou pas du tout le nom ?
19:19 - Pas du tout.
19:20 - Vous allez voir, dans quelques instants, ça va vous dire "ah mais oui, je connaissais".
19:22 - Alors, le portrait de la semaine, c'est Grace Sharpie.
19:25 Il arrête pas de me couper.
19:26 - Oh, Jean-Luc Favé, en plus, il a pas peur.
19:28 - Ça mérite.
19:29 En tout cas, je vous présente cette semaine.
19:32 Donc Grace Sharpie, c'est le portrait de la semaine
19:34 avec une partie gym, gymnastique,
19:37 puisqu'elle a fait près de 20 ans de gymnastique
19:39 au Pôle Gym à Saint-Etienne.
19:41 Elle a porté les couleurs, les couleurs, les couleurs.
19:43 Elle a été en espoir jusqu'en 2018, sa dernière compétition,
19:47 jusqu'au Covid.
19:49 Elle a fait de la gym, donc au plus haut niveau.
19:52 Et avec le Covid, l'arrêt du sport pendant quelques temps,
19:56 son coach qui s'en va, etc.
19:59 - L'âge peut-être aussi.
20:00 - L'arrêt de la gymnastique et les études, bien sûr,
20:02 puisque Grace Sharpie du coup aujourd'hui est kiné.
20:05 Donc les études étaient un peu trop,
20:07 un peu trop compliquées avec le sport de haut niveau.
20:10 Et aujourd'hui, du coup, elle a décidé de se mettre au running.
20:13 - Et les résultats sont là.
20:16 - Et elle gagne Vénitieux.
20:17 - Elle gagne Vénitieux, elle gagne le Running Lyon,
20:21 elle l'a gagné à Nice il y a deux semaines,
20:23 elle a gagné la City Run que vous connaissez toutes et tous
20:26 en décembre dernier.
20:27 - C'est pour ça qu'ils viennent m'appeler.
20:29 Et juste sa soeur, si je ne me trompe pas,
20:31 va être porte-drapeau aux Jeux Olympiques.
20:33 - Aux Jeux Olympiques.
20:34 - C'est solide quand même.
20:35 - Donc Laurel Sharpie.
20:36 - Grosse famille.
20:37 - C'est ce que je voulais dire, je pense qu'il y a des familles,
20:38 ils ont le talent pour.
20:39 - Ce ne sera pas la mienne a priori.
20:40 - Ils ont le talent pour, mais oui, il semblerait que ce soit
20:46 quand même dans les gènes.
20:47 Les parents ont été sportifs et sont propres de sport.
20:49 - Le cousin, c'est qui le cousin ? Il s'appelle comment ?
20:51 - Le cousin s'appelle Adrien Ponçard, il est chroniqueur sur Sportset,
20:54 la meilleure émission de sport.
20:55 - C'est une famille dingue.
20:56 - Qui a joué à la SS.
20:57 - Qui a joué à la SS.
20:58 - Ah bon ?
20:59 - Donc non, en tout cas, c'est une famille de sportifs.
21:02 Grâce Sharpie, elle n'a jamais lâché le sport.
21:05 Aujourd'hui, elle l'est encore.
21:06 Je vous propose de la découvrir dans ce portrait où elle va nous parler
21:09 à la fois de la gym et de sa reconversion aujourd'hui dans le running.
21:12 - Alors, j'ai commencé la gym toute petite.
21:33 Je devais avoir 3 ans en baby gym avant d'être détectée par le Pôle France
21:39 de gymnastique de Saint-Etienne, où je suis rentrée en 2008.
21:42 En gym, j'ai été sélectionnée pour la première fois en équipe de France en 2011.
21:47 Donc, j'étais dans la catégorie espoir, j'avais 11 ans.
21:49 J'ai fait pas mal de préparations de championnats d'Europe,
21:52 championnats du monde, les Jeux méditerranéens à Tarragone en 2018.
21:57 Donc, c'était ma toute dernière compét avec l'équipe de France.
21:59 J'ai arrêté au moment du confinement parce que les salles de gym étaient fermées.
22:04 Mon entraîneur de club est parti et ça a commencé à être compliqué
22:08 avec les études de kiné.
22:09 Fin août 2021, donc juste avant ma quatrième année de kiné,
22:15 mes parents m'ont dit "mais pourquoi tu tentes pas l'athlée ?
22:17 Je pense que tu peux faire quelque chose."
22:20 Trois jours après, je faisais mon essai au coq et en fait, j'ai pas arrêté.
22:25 Et j'ai tout de suite voulu faire de mieux en mieux et toujours plus.
22:28 Donc, j'ai attaqué par un 3000 mètres sur piste à Firmini
22:32 et j'ai fait deuxième de ma course, quatrième espoir au championnat de France.
22:36 Et après cette saison-là, 2022-2023, j'ai été une fois blessée,
22:40 une fois bien, une fois blessée.
22:42 Et là, pour le moment, je touche mon front.
22:45 Tout va bien et j'ai attaqué là une bonne saison pour l'instant.
22:49 Alors, mes parents m'avaient inscrit, je devais avoir 7 ans à un cross.
22:56 Et au départ, il y avait plein de monde, je me suis éclatée à plat ventre,
23:00 je saignais du nez et tout ça.
23:02 Et ma petite sœur était avec moi, elle a fait demi-tour pour m'aider à me relever.
23:06 Du coup, j'ai été dégoûtée du cross.
23:08 Et pourtant, maintenant, c'est mon sport et je ne fais que ça.
23:11 Ce que je garderai toujours, c'est la fois où on a fait troisième ex aequo
23:17 avec Laurette au championnat de France au sol,
23:19 où on se fait un câlin sur le podium.
23:25 Je ne suis pas du tout superstitieuse, je n'ai ni rituel ni porte-bonheur.
23:29 Je ne cherche pas quoi que ce soit et je cours.
23:34 Là, j'ai la saison des cross, donc faire les championnats de France de cross.
23:37 Ensuite, les championnats de France de 10 km sur route.
23:40 Et après, je vais essayer de faire un peu de piste,
23:42 donc plutôt les 5000 mètres,
23:44 et battre mes records au fur et à mesure et de faire du mieux que je peux.
23:54 C'est incroyable !
23:55 Surtout, excusez-moi, mais entre la gym et la course,
23:58 je ne veux pas dire, mais ce n'est pas du tout la même souplesse.
24:01 D'ailleurs, on le voit qu'elle n'a pas du tout la même physique
24:04 entre la gymnaste et la runneuse.
24:06 Elle m'en parlait justement,
24:07 que ce qu'elle perdait là actuellement, c'était la souplesse.
24:09 Donc, elle essaie de continuer à la travailler,
24:11 parce que la souplesse qu'elle avait à la gym,
24:12 elle ne l'a plus au running.
24:13 Pour vous dire, aujourd'hui, le 10 km,
24:15 elle le tombe en moins de 38 déjà.
24:17 Ok, mais moi aussi, un peu d'entraînement.
24:22 Oui, Julien.
24:24 Un très bon portrait en tout cas.
24:26 Elle a eu beaucoup de blessures,
24:27 donc elle est à peu près à sa troisième année de running.
24:29 Elle a eu beaucoup de blessures sur ses deux premières.
24:31 Pour le moment, comme elle le dit dans le reportage,
24:33 je touche mon front, tout se passe bien.
24:35 On lui souhaite que tout continue dans le meilleur des mondes
24:38 sur cette belle année 2024.
24:41 En tout cas, elle est encore jeune pour justement performer dans une...
24:44 Il faut le savoir, parce qu'elles ne sont pas originaires tout à fait de la loi.
24:46 Et elles ont une coloc dans mon quartier préféré,
24:48 qui est Berg.
24:49 Berg.
24:50 Tout à Berg.
24:51 À Bergson.
24:52 Et il y a les trois sœurs ?
24:54 Il y a les trois sœurs.
24:55 Les trois championnes, elles sont toutes à Berg.
24:57 Normal.
24:58 Elles ont des médailles de partout.
24:59 Vous aimez bien, alors ?
25:01 Il y en a plein.
25:02 Il y en a plein chez eux.
25:03 C'était un joli portrait.
25:04 Merci à vous.
25:06 Dans quelques instants, on...
25:07 Non, non, non, non, non !
25:08 De Zeus.
25:10 Bien sûr que non.
25:11 Il y a des belles images du week-end.
25:12 Regardez-moi ces images.
25:13 Elles sont magnifiques.
25:14 Regardez ça.
25:15 Non, ce n'est pas la Saint-Élion.
25:17 C'est bien le Psa.
25:19 C'est la nuit blanche du Pila.
25:20 C'est magnifique.
25:21 C'est la CAC 14e édition.
25:24 Une magnifique édition, vous le voyez, avec de la neige.
25:26 Très, très froid.
25:27 Il y a eu -4, -6.
25:28 Oui, ça piquait.
25:29 Le premier en masculin, c'est Manu Messa en 49, 32.
25:34 Manu Messa, le gagnant de la Saint-Élion.
25:37 Il l'a déjà gagné, la Saint-Élion.
25:39 Effectivement.
25:40 49 minutes sur un 14.
25:42 49 minutes sur combien de kilomètres ?
25:44 Sur 14.
25:45 Et ça monte et ça descend.
25:46 Oui, c'est vrai.
25:47 Il y a de la neige.
25:48 Ça glissait.
25:50 Le deuxième, Corentin Pley en 52, 2.
25:52 Le troisième, Clément Chrétien en 52, 14.
25:55 Et la première féminine, c'est Tiffaine Basile en 1h03.
25:58 C'est pas joli, regardez-moi ça.
26:00 Combien de personnes, 1 million ?
26:01 Oui.
26:02 Oui, 1 200, pardon.
26:04 1 200, oui.
26:05 Je dis oui, mais en fait, je le sais.
26:06 Il y avait plus de 1 200 de ça.
26:10 C'était très, très beau.
26:11 C'était justement ce week-end.
26:13 Le temps d'une petite virgule, on va parler petit poney.
26:16 Petit poney.
26:17 Non, on parle de basket.
26:18 Non, c'est Basile.
26:19 Oui, je sais, mais j'appelle ça un pied.
26:21 On parlera petit poney avec vous, Marielle Charron.
26:23 Parce qu'elle est là.
26:24 Elle n'a pas présenté.
26:25 Je suis arrivée comme une fleur sur le plateau, Julien.
26:27 Voilà, exactement.
26:28 On parlera justement d'une athlète qui fait ses preuves.
26:32 Une pépite.
26:33 Une pépite d'une lignée.
26:34 Pareil, on est dans la lignée des Sharpies.
26:37 C'est pareil.
26:38 Mais après cette virgule, on parlera basket.
26:40 Je ne l'ai pas oublié.
26:41 Du haut de vous, 90 kilos, ça se voit.
26:44 Alors, j'ai trouvé ça trop bonne histoire, mais c'est vraiment l'histoire de Sports
26:55 Head.
26:56 On a reçu un petit mail.
26:57 Exactement.
26:58 À travers les réseaux sociaux, je reçois un message.
27:00 Il n'y a pas trop d'os dans les réseaux sociaux.
27:01 Non, il n'y a pas trop d'os.
27:02 Je reçois un message d'un téléspectateur moronnais.
27:07 On dit bien ça, moronnais de Mont-Rémin.
27:09 Mont-Ronday.
27:10 Mont-Ronday, d'accord.
27:11 Et il me répond en me disant, j'aime bien votre émission, je regarde Sports Head, est-ce
27:14 que vous pourrez parler du basket de Mont-Rond-les-Bains ?
27:17 Je lui ai dit pourquoi pas.
27:19 Et c'est pour ça qu'on peut l'applaudir bien fort.
27:21 On a Sylvain.
27:22 Bienvenue.
27:23 Il est dirigeant.
27:24 Ils sont venus en nombre.
27:25 Il y a les U15 qui sont derrière.
27:26 Les U15 de l'équipe.
27:27 Ils sont brillants.
27:28 Une grande partie des groupes sont représentés.
27:29 Il y a même la présidente aussi qui a fait le déplacement, qui est par ici.
27:30 Alors, Sylvain, on va parler de sport.
27:31 C'est pas péjoratif, mais c'est vrai qu'on va dire que c'est un petit club avec, vous
27:47 avez quoi, 110 licenciés, il me semble ?
27:49 120 licenciés cette année.
27:50 En tout cas, c'est gentil d'être tous venus.
27:53 120 licenciés cette année, et ça va de bébis.
27:58 Ça va de bébis, donc d'enfants de 4 ans jusqu'au senior.
28:03 C'est quoi un senior pour vous ?
28:04 Alors, une année, on avait une senior qui a arrêté à 60 ans.
28:08 Il y a quelques années.
28:09 Annie, pour ne pas la citer.
28:11 Bisou à Annie.
28:12 Annie a arrêté à 60 ans et elle avait encore un beau basket.
28:15 C'est la dernière année de basket.
28:17 Elle duque.
28:18 Cette année, on doit avoir une licenciée qui a un peu plus de 50 ans.
28:23 Un senior fille qui évolue en DF3, en départemental 3.
28:28 Alors, on a mis un petit bandeau, comme quoi le basket pour tous et à tout âge, ça vous correspond ?
28:32 Oui, aujourd'hui, voilà, notre cible, c'est une cible de faire découvrir le basket à tout le monde.
28:38 On a un groupe de baby basket qui est très important cette année, où il y a 21 enfants.
28:44 Ah ben, ça se reproduit beaucoup à Mont-Rendez-Bain.
28:46 Qui viennent découvrir le basket.
28:48 Ils viennent de Mont-Rendez-Bain et des alentours de Mont-Rendez-Bain.
28:50 C'est à quel âge le baby basket ?
28:51 Ça commence à 4 ans.
28:53 C'est une catégorie de 4, 5 et 6 ans.
28:55 Alors, basket à tout âge, et vous n'êtes pas, vous aimeriez, si j'ai bien compris,
29:00 développer un peu plus ce côté compétition, mais avant tout, prendre du plaisir.
29:04 C'est ça.
29:05 C'est exactement ça.
29:06 C'est exactement ça.
29:07 Mais à côté de ça, vos U15 qui sont derrière, ils sont quand même au plus haut niveau du championnat départemental en D1.
29:13 On a une équipe, cette année, de moins de 15 ans, qui évolue en départemental 1.
29:18 Et ça fait de nombreuses années qu'on n'avait pas eu une équipe à ce niveau.
29:22 Et on est fiers de nos U15.
29:23 Et on est fiers qu'ils soient là ce soir.
29:25 Et en plus, ils sont beaux.
29:26 Justement, oui.
29:27 Comment on gère ?
29:28 Je voulais juste savoir comment on gère, parce que du coup, quand on a, comme vous disiez tout à l'heure, un petit club,
29:33 au niveau des entraîneurs, c'est tous des bénévoles ?
29:35 Parce que je vois que vous avez un salarié qui s'occupe, c'est tout nouveau, qui est au top de la com ?
29:39 Aujourd'hui, on a un apprenti qui est en alternance.
29:43 C'est une nouveauté cette année et qui nous a permis d'évoluer différemment cette année.
29:49 C'est une saison un peu spéciale cette année.
29:52 Et on remercie Hugo de sa présence et de tout ce qu'il nous apporte.
29:55 Il est très inquiet, il est très bon.
29:57 Moi, je vais vous dire, il a été très bon.
29:58 Juste rapidement, on se posait la question, mais à Mont-Romé-Bain, il y a beaucoup d'habitants.
30:01 Mais c'est le sport principal ou pas le basket ?
30:03 S'il y a quoi ?
30:04 Enfin, les machines à sous, ça ne compte pas.
30:06 Non, non, aujourd'hui, il y a de nombreux sports qui sont représentés à Mont-Romé-Bain.
30:09 Quoi ?
30:10 Il y a, à travers l'Office des Sports et des Loisirs, il y a 18 associations sportives et culturelles.
30:14 Oui, mais vous êtes la plus grosse.
30:16 Il y a deux clubs de gym.
30:17 Ah oui ?
30:18 Il y a du judo, il y a du karaté, il y a du tennis de table.
30:20 Autant prendre.
30:21 Et votre ambition, vous, en tant que dirigeant, ce serait quoi pour votre club ?
30:29 C'est que les enfants et les plus grands au basket prennent du plaisir, gagnent des matchs, bien évidemment.
30:36 Alors, compliqué aussi, vu la situation géographique sur l'implantation, parce que vous êtes au milieu de Fer, de Mont-Brizon.
30:46 C'est des petits clubs.
30:47 Quand on voit ces trois clubs autour, il faut exister.
30:50 Alors aujourd'hui, on a une cible qui n'est pas les trois clubs que Fendi vient de citer,
30:55 mais aujourd'hui, ça permet de découvrir des talents.
30:58 Et si des jeunes ont vocation à évoluer dans le basket, il y a des clubs autour qui leur permettent d'évoluer.
31:04 On est repéré, je vais l'amener à André Gieu, dans le public, j'ai repéré.
31:07 Et sinon, vous travaillez aussi avec Boisset, c'est ça ?
31:10 On travaille beaucoup avec Boisset, Les Morons, le CGS Boisset, qui sont nos voisins, où on fait des collaborations.
31:15 Cette année, on a une équipe en commun, une équipe en entente, qui est les U13 Garçons,
31:20 parce qu'eux, ils n'étaient pas assez nombreux, nous, on n'était pas assez nombreux, donc on a fait une équipe en commun.
31:24 La Nats, le prochain événement du CISN Nats.
31:26 C'est quoi ? C'est loin, en plus.
31:27 Non, c'est pas très loin. Là, le 10 mars, vous organisez un plateau Baby Basket, c'est ça ?
31:31 Tout à fait, c'est une première à Moron-les-Bains, du fait qu'on a aussi un effectif important.
31:36 On va mobiliser tous nos licenciés, les bénévoles, les parents,
31:40 pour cette manifestation qui va avoir lieu le dimanche 10 mars, après-midi.
31:44 Je viendrai.
31:45 Avec ses bébises.
31:46 Avec mes bébises, je viendrai, pas de souci.
31:48 Sylvain, on vous regarde un petit peu. Vous aimez les calassons, les chevaux ?
31:51 Bien sûr.
31:52 Vous n'en mangez pas ?
31:53 Non.
31:54 C'est intéressant.
31:55 En quelques instants, c'est la chronique équitation de Marie Le Charbon.
32:00 [Musique]
32:03 Et cette semaine, vous nous amenez pas loin de Moron-les-Bains.
32:08 Alors, pas très loin de Moron-les-Bains, oui, du côté de Précieux.
32:11 Donc, effectivement, on n'est pas très loin de chez vous, à l'élevage des misandres.
32:14 Je suis allée à la rencontre d'une pépite des misandres.
32:16 Je ne connais pas.
32:17 Comment ça, vous ne connaissez pas ?
32:18 C'est quoi, misandre ?
32:19 Incroyable.
32:20 Comment ça ? Vous êtes là pour remettre de l'ordre dans cette émission.
32:24 Pour remettre dans l'ordre, l'élevage des misandres, c'est un élevage de poneys français de sel.
32:28 Des welsh ?
32:29 Non, des poneys français de sel.
32:30 Je connais ça, moi.
32:31 Alors, le jour où vous arriverez à faire de l'obstacle avec un welsh, Julien, je veux voir ça.
32:34 Je ne connais rien, ça, je vois.
32:35 Donc, du côté de Précieux, donc Mila Moulin-Test est une jeune pépite de l'équitation française.
32:41 Alors, dans la famille Moulin…
32:42 Mila, oui.
32:43 Oui.
32:44 Moulin.
32:45 Moulin comme…
32:46 Comme Moulin.
32:47 Donc, on est champion…
32:48 On avait une Lisa Moulin, c'est peut-être pas elle.
32:49 On est champion et sportif.
32:50 Mais qui était au basket de Moron-les-Bains.
32:51 En plus, Lisa.
32:52 Oui.
32:53 On est champion et sportif de père, mais également de mère en fille, j'allais dire,
32:58 puisque bien entendu, le papa de Jessie Moulin était l'ancien gardien de nos vers, de l'équipe de la SS.
33:02 Ah oui.
33:03 Mais elle n'a pas pris du papa, alors.
33:04 Mais la maman de Mila est également championne de France d'équitation.
33:08 Ça aide un peu plus.
33:09 Alors, à seulement 15 ans, Mila, elle est déjà dans l'équipe de France poney.
33:14 Et là, son objectif, c'est d'être qualifiée pour les prochains championnats d'Europe
33:18 qui se dérouleront en Belgique cet été avec son poney de Zeus.
33:20 Donc, je vous propose tout de suite de découvrir le délicieux portrait de l'avenir de l'équitation française.
33:25 J'ai commencé vers mes 3 ans.
33:32 Ça fait à peu près 11 ans que je monte à poney, maintenant.
33:35 Aujourd'hui, je suis rentrée en équipe de France l'année dernière.
33:39 Et je suis atteinte à peu près au niveau à poney.
33:43 Et à côté de ça, je monte des poneys pour les valoriser sur le circuit SHF.
33:50 Donc, en fait, on a trouvé Zeus.
33:52 C'est mon coach qui l'a repéré parce qu'il aimait beaucoup les origines.
33:55 Et en fait, il s'est trouvé qu'il était très compliqué parce qu'il avait que 4 ans, enfin 5 ans, à peine débourré.
34:01 Voilà, il avait rien fait du tout.
34:03 Du coup, c'est ma mère qui l'a monté au début.
34:05 Du coup, moi, je l'ai repris quand j'ai grandi un petit peu.
34:08 Et donc, ma mère, elle a fait les 6 ans et les 7 ans avec.
34:11 Et après, je l'ai repris.
34:13 C'est là que notre histoire a commencé.
34:15 J'ai commencé à faire des P3, des P2.
34:17 Et après, ça s'est enchaîné.
34:19 Voilà, c'est pour ça qu'on en est là aujourd'hui.
34:21 J'ai commencé le circuit SHF il y a à peu près 3 ans.
34:27 Et en fait, je me suis fait un petit peu connaître.
34:30 Et du coup, au début, j'ai eu quelques propriétaires qui m'ont demandé pour valoriser leurs poneys.
34:35 Et maintenant, on fait de la pension travail à la maison.
34:37 C'est-à-dire, les propriétaires nous mettent des poneys au travail.
34:41 Et moi, je les travaille et je les valorise pour de la vente ou pour l'élevage plus tard.
34:46 Et du coup, maintenant, j'ai à peu près 10 poneys au travail pour les travailler vers les circuits SHF.
34:52 Cette année, j'aimerais beaucoup faire les championnats d'Europe avec mon bonnet Zeus.
34:55 Donc, c'est un objectif. Mais voilà, je ne me presse pas.
34:58 Si je n'y arrive pas, ce n'est pas grave. Je fais comme j'ai pu.
35:01 Alors, je suis en 3e.
35:03 Et pour l'instant, je fais ma 3e normale.
35:06 Et après, je ne sais pas encore si je pars dans le général, faire quelque chose.
35:10 Je ne sais pas encore. Je n'ai pas trop réfléchi à ce que je veux faire plus tard.
35:14 Je vais faire mon métier dans le cheval, mais encore exactement, je ne sais pas.
35:17 En fait, déjà, ma mère était cavalière avant moi.
35:24 Donc, du coup, j'ai toujours voulu atteindre le niveau de ma mère parce qu'elle a réussi à être championne de France.
35:28 Voilà, dédicace, maman.
35:30 J'ai réussi à être championne de France. Donc, voilà, j'ai atteint mon objectif un petit peu.
35:34 Et après, dans le cavalier de haut niveau à cheval, je pense que c'est Julien Payard.
35:38 Parce que c'est un peu les cheveux de tout le monde maintenant.
35:41 Voilà, j'adore sa passion pour cheniller, comment il monte.
35:45 J'adore regarder ses vidéos.
35:47 Après, je ne sais pas encore ce que l'avenir nous réserve.
35:49 Parce que le cheval, c'est un autre monde encore.
35:52 Mais j'aimerais beaucoup être cavalière professionnelle à cheval et faire les plus belles épreuves.
35:58 J'aimerais beaucoup, oui.
36:00 Incroyable !
36:08 Je crois que je me laisse regarder ce reportage.
36:12 Non, mais c'est vrai.
36:14 Marielle, tu as dit, elle avait quel âge ? 15 ans ?
36:16 Oui, elle a 15 ans, Mila.
36:18 Tu dis ça parce qu'elle est derrière toi, c'est ça ?
36:20 Non, mais c'est vrai.
36:21 Je suis vraiment bluffée par l'humilité.
36:23 Je pense que Mila n'a pas conscience de son talent.
36:25 Parce que je monte moi-même à cheval et je peux vous dire que j'en ai pris vraiment plein les yeux.
36:29 Mila, le reportage était top ou pas ? Tu as le droit de faire ça ou pas ?
36:31 Tout le monde lui a parlé, elle n'a pas pu en profiter.
36:33 Oui, c'est ça. Pas mal.
36:35 Marielle, tu as le droit de regarder.
36:37 Elle saute le cheval, enfin les deux.
36:39 135 avec son ponette.
36:41 Comment tu t'appelles toi ?
36:43 Lève-toi. Tu m'as dit à peu près 135.
36:46 Le cheval, c'est énorme.
36:50 C'est ça.
36:52 Moi, je ne saute pas.
36:53 Il faudrait qu'on fasse un concours avec vous.
36:55 Moi, j'ai le enjambe.
36:57 Incroyable.
36:59 Comme sa maman, elle suit la lignée de sa maman ?
37:01 Oui, et puis je pense que ce qui est très important à dire aussi, c'est que ce n'est pas son ponette tête qu'on voit sur le repassage.
37:06 Ce n'est pas de Zeus ?
37:07 Non. Donc à seulement 15 ans, il y a des propriétaires qui lui confient déjà des chevaux au travail.
37:12 Je vous laisse imaginer le niveau à cheval.
37:16 Et depuis cette année, Mila a obtenu le statut de sportive de haut niveau,
37:20 ce qui lui permet d'avoir des horaires un petit peu aménagés,
37:22 concernant notamment les absences.
37:24 Parce que quand on fait du sport de haut niveau, on se déplace beaucoup,
37:27 notamment pendant les concours.
37:29 Ils étaient du côté de Bordeaux.
37:31 Donc il y a une plus grande souplesse, j'allais dire, au niveau des emplois du temps.
37:34 Et puis ça permet d'être connu et reconnu et surtout soutenu par le département de la Loire.
37:38 Bravo, ça, ça peut aller longtemps.
37:40 Pour conclure, Julien, on va suivre Mila en espérant qu'elle va se qualifier pour les prochains championnats d'Europe.
37:47 Quoi qu'il en soit, on la suivra bien entendu sur les championnats de France.
37:50 Et pour conclure, on regardera aussi du côté de l'élevage,
37:53 puisque cette année, c'est le premier ponet, donc il y a trois ans, qui est né à l'élevage,
37:57 qui va être débourré, donc mis sous la selle.
37:59 Donc on suivra bien le côté élevage et le côté compétition de très près.
38:03 Allez, on va essayer de récupérer le retard que nous avons.
38:06 On va parler de la Coupe Gambardella, forcément en direction Andrés Dubouté.
38:09 Romain Récaud, ça vous a porté chance.
38:18 C'était il y a 15 jours déjà, ça fait loche, ça fait loche, face à Montpellier.
38:23 Une grosse icurie, 1-0.
38:25 Trop beau, on va voir l'affiche.
38:27 On n'a pas les images du seul but, mais la joie.
38:31 Le tirage au sort a eu lieu à Paris ce week-end.
38:35 Vous avez tiré qui ?
38:36 On a tiré Saint-Clément-Montferrier.
38:38 C'est un petit quartier vers Montpellier, d'ailleurs.
38:40 Vers Montpellier, exactement.
38:42 Au même niveau que vous ?
38:43 Au même niveau, oui.
38:44 Alors donc, ça va être plus dur.
38:45 C'est toujours chiant quand c'est le même niveau.
38:48 C'est un domicile, c'est pas pareil.
38:49 Moi, je vous dis, minimum jusqu'aux quartes finales.
38:51 Vous allez voir.
38:52 On espère, on espère.
38:53 C'est de bonne augure pour vous.
38:55 Vous avez dit, quand vous étiez sur le plateau, il y a trois semaines,
38:58 "C'est pas ma priorité."
39:00 Est-ce que c'est toujours pas votre priorité ?
39:02 Non, c'est toujours pas la priorité.
39:04 C'est les militaires.
39:05 On joue les matchs pour les gagner, forcément.
39:07 Donc, quand on y sera, on fera tout pour passer.
39:10 Mais voilà, ça ne reste pas l'objectif prioritaire.
39:13 Ça ne sera qu'un plus.
39:14 Ça reste le championnat, oui.
39:15 Ça ne sera qu'un plus, et puis ça permet de se confronter.
39:19 Ça se joue ?
39:20 On sait pas encore, donc ça se joue là-bas.
39:22 Le terrain n'est pas homologué pour accueillir...
39:24 C'est pas top, donc il faut aller à Andrézieux, c'est mieux.
39:26 Pour accueillir un tour de 16e de finale.
39:28 Donc, on n'a pas l'homologation du terrain,
39:30 mais dans tous les cas, ça sera l'extérieur.
39:32 Ça peut jouer à Montpellier, du coup ?
39:34 On peut jouer au centre de formation de Montpellier.
39:37 Ah, le centre de formation.
39:38 Donc, on attend.
39:39 Et les joueurs sont motivés ? Ils sont dans quel état d'esprit ?
39:42 Ils sont très motivés.
39:44 Ils sont là.
39:45 Vous êtes motivés, les gars ?
39:46 D'accord.
39:47 Je vois que vous avez des têtes qui...
39:49 Ah, c'est motivation de dingue.
39:51 Non, non, ils sont très motivés.
39:53 Après, voilà, c'est toujours gratifiant d'arriver jusqu'à ce tour-là.
39:56 Donc, là-dessus, au niveau de la motivation, je me fais aucun souci.
39:59 On enchaîne, il fait froid, pas de blessures, tout va bien ?
40:02 Tout va bien, oui et non.
40:04 Parce que j'ai deux, trois blessures qui sont arrivées ce week-end-là.
40:07 Donc, on essaye un petit peu de...
40:09 Des grosses blessures ou des petits points sur la cuisse ?
40:11 Des petites blessures.
40:12 Des petites blessures, donc voilà.
40:14 On connaît une bonne kiné, Sharpie, elle est pas mal.
40:16 Bah, je veux bien, là.
40:17 Moi, j'aimerais juste savoir, au niveau palmarès,
40:20 le club d'André Géboutéon a déjà fait un 16e de finale ?
40:23 Oui, ça va être le deuxième 16e de finale.
40:25 C'est pour ça qu'il faut passer.
40:26 C'est la première fois qu'on élimine un club pro avant d'arriver en 16e de finale.
40:30 Ah, bah voilà, donc vous avez écrit un peu l'histoire.
40:32 On a un petit peu écrit l'histoire, oui, c'est ça.
40:34 Romain, le championnat, c'est la priorité ?
40:36 Oui.
40:37 On en est où ?
40:38 Bah, là, on reprend ce week-end avec un match à retard.
40:41 Ouais.
40:42 Au classement, on est toujours premiers du championnat
40:45 avec trois points d'avance et un match de retard.
40:47 C'est ça.
40:48 Donc, là, il y a des échéances qui arrivent importantes.
40:51 Et entre ça, il y a la gambardée, là.
40:53 Donc, c'est dur de jongler.
40:55 C'est un sacré week-end.
40:56 C'est du bonus.
40:57 C'est du bonus.
40:58 C'est du bonus.
40:59 Mais c'est un sacré week-end.
41:00 Alors, cette fois, on ne pourra pas venir vous voir ?
41:02 C'est pas grave.
41:03 On aura des images.
41:04 On peut faire un déplacement.
41:05 Moi, je suis prêt.
41:06 Ça fait beau, en plus, à bord.
41:07 Avec plaisir.
41:08 Vous restez avec nous, Romain ?
41:09 Vous savez que ça crie dans l'oreillette.
41:11 Vous n'entendez pas, mais je suis sourd d'une oreille, là.
41:13 Je suis prêt.
41:14 Le match a commencé.
41:15 Mais quel match, Damien ?
41:16 Il est où, Damien ?
41:18 Ah, bah oui, il est où, Romain ?
41:20 Sur le cameraman.
41:22 Non, mais il est là-bas, ton joueur.
41:24 Il ne faut pas le lâcher.
41:25 Je pense qu'on le paye assez cher.
41:27 C'est défoncé d'entrée de jeu.
41:29 Je l'avais, pourtant.
41:30 Ça enchaîne.
41:31 Jeu.
41:32 Je l'avais, je l'avais.
41:34 On y va tout de suite.
41:35 Des relais.
41:36 Les roues, vous êtes disponibles.
41:37 Vite la balle.
41:38 Vite la balle.
41:39 Vite la balle.
41:40 Vite la balle.
41:41 Je suis là.
41:42 Tu parles d'un appel.
41:43 Je crois qu'il n'a jamais fait de sport court.
41:46 C'est bien joué, ça, Romain.
41:47 Tout de suite, on est en place, les garçons.
41:49 On va vite vers l'avant.
41:50 Regarde devant toi, Dams.
41:51 Avant de dribbler.
41:52 Ça enchaîne.
41:53 Il va tenter.
41:54 Il est sportif, Damien.
41:56 Oui, il fait du trail.
41:57 Ça se voit.
41:58 On ne sait pas grand-chose.
41:59 Ça enchaîne.
42:00 Dams, tu peux défendre.
42:01 Sinon, il va être en panique.
42:02 Il va manquer un gars derrière.
42:03 Ça enchaîne.
42:04 Jeu.
42:05 Jeu, les gars.
42:06 Je sais que c'est dur.
42:07 On ne dribble pas.
42:08 Regarde devant.
42:09 Il y a des solutions.
42:10 Damien, t'es perdu là.
42:11 Lève la main.
42:12 Il est tout devant.
42:13 C'est pas mal.
42:14 C'est pas mal.
42:15 Ça enchaîne.
42:16 Jeu.
42:17 Damien, il court.
42:18 Mais il ne regarde pas le jeu.
42:19 Je t'ai dit, c'est un bien, ça.
42:20 Avant, tu n'as pas envie de défendre.
42:21 C'est un jeu.
42:22 Tu as tout ça à faire.
42:23 Deux minutes.
42:24 Le soir, on ne fait pas partie de ces sports.
42:25 Deuxième ballon.
42:26 Ouh.
42:27 Tu as fait un bon travail.
42:28 Tu as fait un bon travail.
42:29 Tu as fait un bon travail.
42:30 Tu as fait un bon travail.
42:32 Le soir, on ne fait pas partie de ces sports.
42:33 Deuxième ballon.
42:34 Ouh.
42:35 Ballon noir.
42:36 On peut monter à la base.
42:37 Je pense, elle ne va pas me dire la base.
42:38 Le ballon, il colle normalement.
42:39 C'est ça ?
42:40 Tu dois défendre sur celui-là.
42:41 Je pense qu'il n'a peut-être pas l'habitude.
42:42 Il y a une sorte de colle autour du ballon.
42:43 Thierry a eu deux buts dans la même soirée.
42:44 Déjà, à maîtriser, c'est un peu chaud.
42:45 Ça faisait longtemps, Thierry.
42:46 On n'est pas chez les pupus.
42:47 C'est blessé, Damien.
42:48 Damien, vous nous rendez l'antenne quand même, parce qu'il ne nous parle pas.
42:49 Encore, encore, encore, les gars.
42:50 Une minute.
42:51 Ça veut dire qu'on parle de Damien, non ?
42:52 Une minute.
42:53 Bon, on t'embrasse, Damien.
42:54 C'est bien, ça.
42:55 C'est bien, c'est dorénant.
42:56 Allez, les gars.
42:57 Il est vivant.
42:58 Vous nous entendez ?
42:59 Encore un peu d'entraînement pour moi.
43:00 Finissez belle émission.
43:01 Bisous, bisous.
43:02 En fait, il a fait une fin, mais c'est bien bien.
43:03 C'est bien bien.
43:04 On va se faire un petit déjeuner.
43:05 On va se faire un petit déjeuner.
43:06 On va se faire un petit déjeuner.
43:07 On va se faire un petit déjeuner.
43:08 On va se faire un petit déjeuner.
43:09 On va se faire un petit déjeuner.
43:30 On va se faire un petit déjeuner.
43:56 On va se faire un petit déjeuner.
44:11 On va se faire un petit déjeuner.
44:12 On va se faire un petit déjeuner.
44:13 On va se faire un petit déjeuner.
44:14 On va se faire un petit déjeuner.
44:15 On va se faire un petit déjeuner.
44:16 On va se faire un petit déjeuner.
44:17 On va se faire un petit déjeuner.
44:18 On va se faire un petit déjeuner.
44:19 On va se faire un petit déjeuner.
44:20 On va se faire un petit déjeuner.
44:21 On va se faire un petit déjeuner.
44:22 On va se faire un petit déjeuner.
44:23 On va se faire un petit déjeuner.
44:24 On va se faire un petit déjeuner.
44:25 On va se faire un petit déjeuner.
44:26 On va se faire un petit déjeuner.
44:27 On va se faire un petit déjeuner.