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00:00Cette semaine, évidemment, nous allons largement faire place aux élections législatives
00:04en recevant des candidats à ces élections.
00:06Le premier tour, je vous le rappelle, c'est dimanche.
00:08Et ce matin, notre invité, c'est Victor Lastecuer,
00:10candidat sur la sixième circonscription, c'est-à-dire au sud du Pays Basque,
00:13de Biarritz-Sandaï, en passant par Cambo et Espelette.
00:16Bonjour Victor Lastecuer.
00:18Bonjour, merci beaucoup de m'accueillir ici, c'est un plaisir.
00:20Vous êtes le candidat aux couleurs du Rassemblement National,
00:22mais aussi des LR d'Éric Ciotti.
00:24Ce matin, Emmanuel Macron a écrit une lettre aux Français
00:28où il vous accuse, vous extrême droite, de diviser la nation,
00:31de ne rien proposer concrètement, d'ignorer le changement climatique et ses conséquences.
00:35Ça mérite réponse ?
00:36Oui, tout à fait. Alors, aujourd'hui, il faut partir des bases.
00:40Nous sommes l'inverse de la division, puisque nous sommes l'union.
00:42Vous savez, M. Macron lui-même appelait à mettre fin au clivage,
00:46mais le clivage, c'est lui qui le crée.
00:49Il est normal qu'on soit dans un pays
00:52où il y a une polarisation des idées absolument énorme,
00:54et ça, on le voit même dans les universités, on le voit partout.
00:57Il a fait le choix de rappeler les Français pour un vote.
01:04Bon. Il fait donc jouer la démocratie.
01:07Aujourd'hui, la droite s'unit, et on le voit, nous, les Républicains, avec Éric Ciotti.
01:12Nous sommes soutenus par le Rassemblement National,
01:14nous faisons une union, et on constate quoi ?
01:16Mais d'ailleurs, vous êtes plutôt Rassemblement National
01:18ou plutôt les LR d'Éric Ciotti, qui n'est pas forcément un symbole d'union ?
01:21Moi, je suis chez les Républicains.
01:23Aujourd'hui, Éric Ciotti est élu démocratiquement à la tête des Républicains.
01:28Un vote démocratique.
01:30Qu'est-ce qu'on constate ?
01:32On constate que le bureau politique des Républicains
01:36n'a pas souhaité, n'a pas accepté la décision d'Éric Ciotti de faire l'union.
01:42Aujourd'hui, s'il y a bien des gens dans nos partis politiques
01:45qui sont pour la division, qui sont contre l'union,
01:48ce sont justement ces gens qui ont refusé cela.
01:53Mais aujourd'hui, nous sommes dans une logique d'union.
01:55Nous voulons vraiment unir, parce que, qu'est-ce que nous constatons ?
01:58Depuis plusieurs années, les voix à droite sont de plus en plus importantes.
02:02Déjà en 2022, les 89 députés à l'Assemblée Nationale,
02:05c'était déjà un record historique pour le Rassemblement National.
02:08On a compris la logique électorale, et on veut s'en servir,
02:12on veut continuer là-dedans.
02:15Donc aujourd'hui, oui, nous voulons l'union, nous ne voulons pas la division,
02:17ce n'est pas vrai, et c'est un faux argument
02:20pour essayer de rassembler les voix au centre en réalité,
02:23mais ça ne fonctionnera pas, les Français ne sont pas dupes.
02:25Sur le fond, sur le programme que vous proposez,
02:28c'est un peu difficile de vous suivre.
02:30Par exemple, sur la réforme des retraites,
02:32le Rassemblement National laisse planer quand même le doute.
02:35Vous, vous revenez ou pas sur le départ à la retraite des 64 ans ?
02:38Parce que chez les ALR, c'est aussi un peu différent.
02:40Donc, qu'est-ce qu'on fait ?
02:42Alors, aujourd'hui, nous sommes partis donc,
02:44c'est ce qui a été annoncé par Jordan Bardella,
02:47une remise en question de la réforme à partir de l'automne.
02:51Maintenant, on est dans un contexte tout de même économique en France
02:58qui est compliqué.
03:00Depuis 7 ans tout de même, la dette a augmenté de plus d'un milliard,
03:04de plus de 1000 milliards, pardon,
03:06on cherche les milliards partout,
03:08on ouvre tous les tiroirs à la recherche du moindre milliard.
03:10Aujourd'hui, on ne peut pas tout de suite dire
03:14qu'on va mettre fin à cette réforme.
03:16Cependant, il a été annoncé et c'est prévu
03:19qu'on la remette en question à partir d'automne,
03:21c'est-à-dire quand on aura aussi remis en place
03:23une fiscalité intéressante en France.
03:25Et la remettre en question, c'est-à-dire la ramener à combien ?
03:28L'âge de la retraite.
03:30Voilà, tout à fait, l'âge de la retraite initiale.
03:32Donc, vous, vous seriez pour le remettre à 62 ans ?
03:35Oui.
03:36Mais comment est-ce que vous le faites ?
03:37Parce que justement, vous êtes aussi accusé
03:39de vouloir augmenter les impôts,
03:40en tout cas chez le Rassemblement National.
03:43Non, écoutez, comment est-ce qu'on le fait ?
03:46Tout d'abord, on propose aussi un départ à la retraite à 60 ans
03:49pour les carrières longues,
03:51pour les gens qui commencent à travailler avant la vingtaine.
03:55Ensuite, vous savez, notre programme économique,
03:57je ne sais pas si...
04:00Par exemple, par rapport à la précarité,
04:02l'intérêt, c'était de réduire les factures sur l'énergie,
04:05le coût de l'énergie.
04:07Donc, de réduire la TVA de 20 à 5,5%.
04:10Ça, déjà, c'est une baisse des taxes.
04:12Et l'intérêt, c'était également un allègement fiscal
04:15sur les patrons, sur les charges patronales.
04:18Ici, qu'est-ce qu'on a ?
04:19Mais donc là encore, il va falloir trouver l'argent pour financer ça.
04:21Qu'est-ce qu'on a ?
04:22Oui, mais regardez.
04:23Par exemple, dans le Pays Basque, qu'est-ce qu'il se passe ?
04:26On a les entreprises et le MEDEF
04:28qui dénoncent une augmentation de la fiscalité de 5%.
04:31C'est une réalité ici.
04:32C'est problématique, en effet,
04:34parce que ce qui est dénoncé,
04:35c'est qu'une pression fiscale importante,
04:38ça met fin aussi à un certain dynamisme économique.
04:41Aujourd'hui, Dieu sait que nous en avons besoin au Pays Basque
04:44qui est un canton vieillissant.
04:49Ce dynamisme économique,
04:50il ne peut pas exister s'il y a une pression fiscale trop forte.
04:55L'intérêt derrière, qu'est-ce que c'est ?
04:57C'est que les entreprises puissent investir,
05:00qu'elles puissent se développer.
05:01C'est ça que nous voulons aujourd'hui.
05:02C'est l'intérêt.
05:03Si on met tout le temps des restrictions,
05:04comment ça peut se passer ?
05:05Bon.
05:07Victor Lastecouère,
05:08le temps passe très très vite.
05:10Je voudrais revenir peut-être sur votre âge.
05:12Vous avez 19 ans, bientôt 20 ans.
05:14Ce n'est pas trop jeune ?
05:16Écoutez, vous savez,
05:17ça fait maintenant plusieurs années que je m'engage,
05:20que je suis un militant de terrain.
05:21J'ai été à l'Uni.
05:24Je suis responsable de l'Uni, d'ailleurs.
05:26L'Uni est une association universitaire
05:28qui existe depuis mai 68,
05:29qui s'engage dans les universités.
05:32Et dans le cas du Pays Basque,
05:33c'est l'université de Pau et des Pays de la Dour.
05:36Bon.
05:37Tous les jours, on est sur le terrain.
05:38On connaît les problèmes.
05:40Moi-même, je suis employé.
05:41Je suis un travailleur à côté de mes études.
05:43Je sais ce que c'est aussi tout ça.
05:45Bon.
05:46Pourquoi est-ce que je m'engage aujourd'hui ?
05:48Parce que vous voyez,
05:49bon, je suis jeune.
05:51J'aime mon pays.
05:53J'aime ma localité.
05:55J'aime d'où je viens.
05:56Je suis amoureux de mon département,
05:57amoureux de ma région.
05:58Parce que vous êtes effectivement landais.
06:00Vous vivez à Pau.
06:01Est-ce que ça ne sera pas trop compliqué quand même
06:03de représenter finalement une circonscription
06:05que vous ne connaissez pas ?
06:06Comme je vous l'ai dit,
06:07je suis responsable uni ici.
06:08J'ai milité ici.
06:09Je connais le Pays Basque,
06:10puisque moi-même,
06:11il y a une branche d'université à Bayonne.
06:13J'ai beaucoup de contacts.
06:15J'y vais très régulièrement.
06:16Vous savez, ce n'est pas pour rien que je suis là.
06:18D'ailleurs, ça fait trois jours d'affilée que je suis ici.
06:20Trois jours pour connaître peut-être le Pays Basque ?
06:22Non, ne vous inquiétez pas.
06:23Ça fait deux ans que je vis dans le département.
06:25Ne vous inquiétez pas,
06:26j'ai eu l'occasion de bien le connaître.
06:27Merci Victor.
06:28Je rappelle que vous êtes candidat aux couleurs
06:30du Rassemblement National et DLR d'Éric Ciotti.
06:33Sur cette circonscription,
06:34on retrouve par exemple un P.U. Dufault
06:36pour l'Union de la Gauche
06:37ou encore Christian Devese
06:38pour Ensemble Majorité Présidentielle.
06:40Merci beaucoup.
06:41On continue évidemment à en parler
06:43de ces élections législatives
06:44avec notre deuxième invité.
06:45Ne bougez pas dans une minute,
06:46c'est Jean Lassalle qui nous rejoint.
06:57Mercredi sur France 3, enquête de région.
07:07Un petit air de vacances
07:09pour ce dernier numéro de la saison.
07:11Depuis le bassin d'Arcachon,
07:13revivez une année d'actualité
07:15à travers une sélection de reportages.
07:17Depuis la crise viticole
07:19jusqu'à la cohabitation entre chasseurs et randonneurs,
07:22en passant par les succès
07:24dans les filières surf et mode.
07:27Enquête de région, le best-of.
07:29C'est mercredi à 23h sur France 3
07:32et sur la plateforme France.tv.
07:43Il est 8h22 sur France Bleu Pays Basque
07:46et François Eushkaleri.
07:47Les élections législatives
07:49toute cette semaine avec deux invités chaque matin.
07:51Nous recevons les candidats de chaque circonscription.
07:53La place maintenant à Jean Lassalle,
07:55candidat résistant sur la quatrième.
07:57Avec vous, Bichente Brégnon, bonjour.
07:59Bonjour Jean Lassalle.
08:00Bonjour Bichente.
08:01En 2022, vous n'étiez pas présenté aux législatives.
08:04C'est un autre Lassalle, Julien, votre frère,
08:06qui était candidat.
08:07Pourquoi repartir cette fois-ci ?
08:09J'étais malade à cette époque.
08:14Et à vrai dire, je me croyais foutu.
08:17Je ne vais pas épiloguer,
08:19mais je demandais un peu à la hâte.
08:23J'avais demandé d'abord à Barthélémy, à guerre.
08:26Ensuite, j'ai demandé à mon frère,
08:29parce que je trouvais qu'il aurait fait aussi mon député.
08:31Moi, je pensais que c'était fini pour moi.
08:34Et après, donc, Iñaki a été élu.
08:40Iñaki Echani, ce député sortant.
08:42J'ai d'ailleurs voté pour lui.
08:44Et, qu'est-ce que je voulais dire ?
08:47Je me suis cassé cinq vertèbres.
08:51Alors que je ne m'étais jamais rien cassé,
08:53à part les cordes du temps du rugby,
08:55par-dessus lesquelles il fallait sauter, etc.
08:59Mais les vertèbres, ça fait mal.
09:01Et puis après, j'étais pas bien,
09:03parce que je voyais l'ambiance à l'Assemblée,
09:05je voyais que tout ça n'allait pas,
09:07que ça ne tournait pas.
09:09Je n'ai pas été du tout surpris par la résolution.
09:12Et j'estimais que j'étais un combattant,
09:16ayant eu la chance d'une telle longévité
09:19d'apprendre autant aussi, d'expérience.
09:22Cette confiance avait dépassé le dernier.
09:24À qui je n'avais même pas dit au revoir, ni merci,
09:27je voulais me remettre à leur service.
09:29– Vous avez été vingt ans député de 2002 à 2022,
09:33d'abord chez Les Centristes, après vous étiez non inscrit,
09:36vous avez siégé dans le groupe Lyott.
09:39Justement, on connaît bien vos positions sur l'agriculture,
09:42par exemple sur le pastoralisme,
09:44mais là, dans la prochaine lendemain de Nature,
09:46un député, Jean Lassalle, il voterait la confiance
09:48à qui ? Un gouvernement RN, un gouvernement Macron,
09:51un gouvernement Nouveau Front Populaire ?
09:53– Vous avez raison, dans l'état actuel des choses, à aucun.
09:59Je crois que la plus-value de ma candidature, c'est l'expérience.
10:05C'est la chance d'avoir vu tous ces présidents,
10:09tous ces premiers ministres défiler.
10:12Et ce n'est pas la première fois que je ne voterai pas la confiance.
10:17Je l'ai eu fait d'autres fois.
10:19Je crois que dans le contexte actuel,
10:22il faut voir ce qu'ils vont dire vraiment.
10:25Il faut voir aussi comment l'Assemblée nationale réagit.
10:30Vous ne voterez pas des députés qui pourraient avoir
10:33un positionnement qui ressemblerait au mien.
10:36– Vous ne voterez pas la confiance Jean Lassalle,
10:38pourtant vous êtes soutenu par la majorité présidentielle
10:40sur cette circonscription.
10:42Vous avez négocié quelque chose ?
10:44On vous demande quelque chose en retour ?
10:46Qu'est-ce qui s'est passé pour qu'ils vous soutiennent ?
10:48– Non, je veux dire tout d'abord à Anik Ponday
10:50que c'est une grande dame, réellement.
10:53– C'est la candidate renaissance de la précédente campagne.
10:56– Elle perd de moins de 100 voix.
10:58– 80 voix, déclarée avec Iñaki Chalus.
11:00– J'ai voté pour Iñaki, donc il faut quand même le faire.
11:03Oui, elle m'a appelé.
11:06Et vraiment, très grande classe.
11:09Elle m'a dit qu'elle ne souhaitait pas compliquer encore la situation.
11:15– Mais alors pourquoi ils vous soutiennent,
11:17si vous ne voterez pas la confiance ?
11:19– C'est simple, moi j'apprécie beaucoup,
11:21parce que je serais un bel hypocrite si je disais le contraire,
11:25mais moi je veux rester non-aligné.
11:29J'ai mis tellement longtemps,
11:31comme le général de Gaulle,
11:33mais toute proportion gardée,
11:36à obtenir cette ligne,
11:38qui est la seule qui conduira un jour,
11:40et j'espère le plus rapidement possible,
11:42à sortir notre pays de l'impasse.
11:44Ce pays ne veut pas être extrêmement droitisé,
11:46extrêmement gauchisé,
11:48ni extrêmement macronisé.
11:50– Mais au moins, il faut s'engager,
11:52il faut soutenir une politique.
11:54On ne peut pas toujours voter contre.
11:55Si on veut pouvoir agir,
11:56si on veut pouvoir que le gouvernement prenne des décisions,
11:58que le Parlement vote des lois.
12:00– On ne m'a jamais reproché de ne pas en faire assez.
12:03On m'a plutôt reproché d'en faire trop.
12:05J'ai été député.
12:07Et on ne peut pas dire que je sois sorti un député inconnu.
12:11Je suis, même deux ans après,
12:13on m'appelle encore monsieur le député à Paris.
12:15Il croit encore que je suis député.
12:17Je ne vais pas me vanter, mais je suis là quand même pour vous répondre,
12:20parce que vous êtes un fait journaliste, vous connaissez tous les mystères de la quatrième.
12:25Eh bien, je crois que je suis devenu un des députés les plus connus de France,
12:30qui est le plus fait connaître le Pays basque et le Véan.
12:34Donc, j'ai l'expérience pour savoir me positionner,
12:37et le moment venu, et j'expliquerai mes votes.
12:40Mais la confiance d'entrée, je ne vois pas qui je la donnerai.
12:43– Vous l'avez redit au cours de cette interview,
12:46vous avez voté Iñaki Echaniz la dernière fois.
12:48On sait que vous l'avez appelé plusieurs fois au cours de son mandat,
12:51pour lui dire ce que vous pensiez de son action.
12:53Alors, pourquoi vous présentez contre lui ?
12:55– Je me suis présenté contre lui parce que,
12:58je trouve qu'il est un peu dans le jeu, jeu, jeu, jeu.
13:01J'ai fait ci, j'ai fait là.
13:03Et puis alors, quand il a laissé entendre,
13:05je me demande si ce n'est même pas sur vos antennes,
13:07qu'il avait fait, lui, plus en deux ans, presque deux ans et demi,
13:11que moi en vingt ans.
13:13Bon, écoutez, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ?
13:15Et puis, surtout, je suis quand même un petit peu surpris par son attitude.
13:21Bon, la NUPES avait été un attrape-croyons de première catégorie,
13:24il y a déjà deux ans et demi,
13:26mais je pensais qu'il avait pris un petit peu ses distances,
13:30vous savez, avec le candidat socialiste de Nouvelle Donne,
13:36malgré tout, il y a eu une ouverture,
13:38parce qu'il a dû se mettre là-dedans.
13:40Je pensais, bon, qu'il était quand même resté un peu proche de LFI aussi.
13:45Mais quand je vois que Jean-Luc Mélenchon a viré Corbière,
13:49Daniel Simonnet, qui est une très proche de lui...
13:52– Ça c'est LFI, Etienne Ketchanis est parti socialiste.
13:55– Oui, mais c'est le Front Populaire.
13:57– C'est le nouveau Front Populaire, c'est ça.
13:59– C'est le Front Populaire.
14:01Ruffin qui se fait siffler en voulant défendre Corbière,
14:04mais je n'ai pas entendu du tout,
14:06alors qu'il parle volontiers de politique nationale,
14:09notre ami Ketchanis, il n'a pas dit un seul mot là-dessus.
14:12Quelle est sa position ?
14:14Quelle est sa position à propos des prises de parole
14:17de Jean-Luc Mélenchon sur le Hamas ?
14:19Je ne l'ai pas entendu.
14:21Alors, on me reproche d'habitude,
14:23vous ne parlez que d'agriculture, monsieur Lassalle,
14:25vous ne parlez que d'artisanat, de commerce,
14:27vous ne connaissez que ça, mais au niveau national.
14:29C'est une élection nationale, il faut quand même savoir.
14:32– Merci Jean Lassalle d'avoir répondu à notre invitation ce matin.
14:35– Merci à vous, parce que vous êtes toujours aussi brillant.
14:37Est-ce que je peux dire au maire de Saint-Jean-de-Pieds-le-Port
14:39que je voudrais le voir, à celui de Saint-Jean-le-Vieux,
14:41parce que j'ai entendu que c'était la fête des Saint-Jean partout.
14:44– C'est le Saint-Jean, c'est le Saint-Jean.
14:46– Saint-Etienne de Mailloux, merci.
14:48– Je pense qu'il vous a entendu, merci Jean Lassalle.
14:50– Merci beaucoup, je vais passer dans la journée.
14:52– Merci beaucoup, je rappelle que dans la 4ème circonscription
14:54sont aussi candidats Sylviane Lopez pour le Rassemblement National,
14:56Iñaki Etchadiz pour le Nouveau Front Populaire, c'est le député sortant.
14:59Et vous retrouvez tous les candidats sur francebleu.fr.
15:02Merci Bichente.