Brayan Larese joue à la fac de Monroe, en Junior College. Formé chez les Gones de Lyon, Larese s’est blessé juste avant son départ de l’autre côté de l’Atlantique. Il faut donc se soigner, puis retrouver le terrain et faire ses preuves. En rêvant, forcément, des sommets de son sport.
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00:00C'est pas la première fois que je m'entends dans une nouvelle ville comme ça, avec des
00:13personnes que je connais pas, même je suis pas stressé déjà parce que d'ailleurs je
00:20suis blessé surtout.
00:21Et en plus, comme je l'ai dit, j'étais prêt, j'étais prêt à partir.
00:29J'étais prêt à partir, je sais ce que j'ai toujours voulu faire, je savais que ça allait
00:34se faire, un jour ou l'autre, là maintenant je vais pas me stresser, je suis excité de
00:40voir comment ça va être, parce qu'à chaque fois c'est des bêtes d'expérience.
00:44Ouais, de toute façon on se revoit, on se revoit au premier match, d'ici là normalement
00:54je pourrais courir, normalement.
00:58Je pencherai sur le terrain, d'ici là.
01:28Vous aviez déjà des douleurs sur cet adultère ?
01:42Ah ouais, j'étais à l'ancienne, j'avais des douleurs.
01:45Un petit peu depuis Belgique ou l'Angers ?
01:47Ça m'est déjà arrivé, mais c'était apparemment depuis il y a un an.
01:51D'accord.
01:52Pour votre football américain alors ?
01:56En tout cas, confirmation, le muscle en lui-même est bien, il n'y a pas de rétraction du muscle.
02:01J'aurais plutôt tendance à parler d'une rupture partielle fissuraire, c'est une blessure
02:06du tendon en gros, qui ne s'est pas cassée complètement, mais qui s'est un peu craquelée,
02:11qui a pu venir d'une déchirure avec des petites fissures.
02:14Et voilà, donc on va bien s'assurer.
02:19C'est combien de temps ça ?
02:22Ça, je ne suis pas médecin du sport, mais comme pour le lien, je pense que c'est plusieurs semaines.
02:33J'ai vu prendre les coups difficiles, c'est compliqué pour lui, ça va être compliqué
02:37de rebondir sur ça, mais je n'ai jamais vu baisser les bras, je n'ai jamais vu abandonner
02:40et c'était toujours, il cherchait toujours la prochaine solution qui pourrait résoudre
02:45son problème.
02:46Il n'a pas vu grand monde d'aussi fort mentalement que lui, il ne s'est jamais acharné sur le
02:50destin et c'était toujours, ça, ça m'est arrivé, qu'est-ce que je peux faire pour
02:54continuer malgré ça ?
03:08Philippe !
03:20Ça glisse là.
03:27Il glisse !
03:32Avoir un Brian, surtout pour quelqu'un comme moi, ça pousse vers le haut parce que moi,
03:36je suis flemmard.
03:37Des fois, c'est dur de se motiver et Brian, il est toujours derrière moi, c'est celui
03:40qui croit le plus en moi, avec la famille bien sûr, mais c'est la famille en fait,
03:44c'est la famille et franchement, ça pousse vers le haut.
03:48Franchement, moi, des fois, j'étais démotivé, j'ai voulu même arrêter le foot l'année
03:52dernière, c'est lui qui m'a remis dedans, franchement, ça pousse vers le haut.
03:59C'est vrai qu'il a vécu pas mal de moments durs, mais je ne l'ai jamais vu franchement
04:03baisser les bras, en tout cas, il ne le montre pas, mais non, des fois, par exemple, hier,
04:09quand il s'est blessé, franchement, je le voyais sur le moment, c'était dur, mais
04:13après, il va toujours trouver le moyen de se relever le plus rapidement possible et
04:17de ne pas se déconcentrer.
04:27Sa famille, franchement, plus particulièrement sa grand-mère, vu qu'il vit avec elle 100%
04:33du temps quand il est à Lyon, c'est elle qui gère, elle gère bien, elle gère bien,
04:37elle gère Brian, les papiers, tout, elle est toujours là derrière lui et moi, je suis
04:41souvent chez eux, du coup, c'est vrai que je vois ça, elle cuisine les repas comme
04:45Brian veut, elle fait tout le bien qu'il y avait pour mettre au mieux, dans les meilleures
04:49conditions Brian.
04:55Franchement, elle est vraiment au top, je l'embête souvent, mais elle est au top.
05:05J'ai dit qu'on n'enregistrait pas les âneries, les conneries, c'est un test,
05:11un test, on n'enregistre pas.
05:17Moi, je m'occupe surtout de ce qui est la logistique, c'est-à-dire qu'il ait une
05:22alimentation qui correspond directement à ce qu'il veut, qu'il puisse faire ses
05:30entraînements de façon très sereine, ses rendez-vous chez le kiné, ses rendez-vous,
05:38je m'occupe beaucoup de la logistique.
05:41C'est quelqu'un de, déjà, assez indépendant, très responsable, il a toujours eu cette
05:50notion de responsabilité, même assez tôt dans sa vie, quelqu'un qui est courageux,
05:58qui ne lâche pas, qui est assez social, il est à l'aise un peu partout.
06:29Je ne sais pas, je ne pense pas que je connais d'autres écoles qui vont à l'Europe
06:37pour recruter, alors, comment savez-vous de ça ?
06:40Beaucoup de talents là-bas, tous les talents.
06:43Par exemple, en France, la plupart des joueurs français, ils ne parlent même pas
06:46l'anglais.
06:49Et ils ne comprennent pas ce qu'ils disent, c'est pour ça qu'ils font de mauvaises
06:53choses en entraînement, ils ne font pas le bon entraînement, ou ils font l'entraînement
06:57qu'ils ne comprennent pas, donc la plupart du temps, ils s'améliorent avec le temps,
07:02mais ça prend beaucoup plus de temps.
07:04Mais s'ils ont le bon entraînement, ils peuvent définitivement compéter au niveau
07:09élevé.
07:13Je m'appelle Johan Williams, je suis le coordonnateur de défense et l'associé
07:17d'entraînement pour le Collège de Montréal.
07:19Ratchdiem et son service d'entraînement, son réseau d'entraînement, il m'a
07:23appelé et il m'a mentionné qu'il y avait un joueur qui se sentait excellent
07:27sur les deux côtés de la balle, et il m'a envoyé son film.
07:30Et en regardant ça, il y avait des choses que je trouvais qui m'intriguaient
07:34à propos de lui.
07:40J'avais vu beaucoup de potentiel athlétique dans lui, sa vitesse, sa capacité à
07:45attraper les balles.
07:52Il semblait avoir une bonne vision et il semblait être un joueur physique.
07:55Et toutes ces choses sont nécessaires pour être successeux ici aux Etats-Unis.
07:58Donc, en dessinant ces choses ensemble et en regardant Brian sur le film,
08:02je me suis rendu compte que c'est un gars qui pourrait compéter ici pour nous
08:07et faire très bien.
08:09Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
08:40Moi, c'est Brian Larez, je fais du football américain depuis 4 ans déjà.
08:44J'ai commencé en 2018, je pense.
08:51En 2018 ou en 2022.
08:53Quand j'ai commencé, j'ai commencé comme tout le monde.
08:56Je faisais du rugby de base et j'habite à Paris.
08:59Et quand je suis revenu à Lyon, je devais reprendre le rugby.
09:01Mais au lieu de reprendre dans mon club normal de rugby,
09:04j'en avais marre un peu.
09:05Je me suis dit, je vais changer de sport.
09:07J'ai commencé le football américain, je me suis renseigné,
09:09j'ai vu qu'il fallait faire des papiers,
09:11qu'il fallait aller contacter des coachs,
09:12il fallait que les coachs te contactent aussi.
09:14C'est comme ça que j'ai compris qu'il fallait aussi s'entraîner.
09:16Et puis c'est comme ça qu'on a progressé pendant le confinement.
09:18C'est vraiment que là, on a step-up au niveau,
09:21que ce soit physique, que ce soit technique.
09:23On a vraiment beaucoup pris.
09:25Si je veux jouer au football américain, il faut que j'aille au States.
09:27Ça ne sert à rien d'aller chercher ailleurs.
09:30C'est là-bas qu'il faut jouer au football américain.
09:32Je m'appelle Olivier Moret, j'ai 54 ans,
09:35et je suis directeur technique national
09:37de la Fédération française de foot américain.
09:40La présence de Brian aux États-Unis vis-à-vis de nous,
09:43effectivement, ça amène beaucoup de choses positives.
09:45Ce n'est pas d'un claquement de noix
09:47qu'on décide d'aller aux États-Unis,
09:48parce que pour aller aux États-Unis,
09:49quand on est un jeune français,
09:50il faut être meilleur que les Américains.
09:52C'est-à-dire qu'il faut être plus prêt que les Américains.
09:54Les Américains, ils se foutent de savoir
09:55si on est plus prêt que les Américains.
09:57C'est-à-dire qu'ils se foutent de savoir
10:00si on est plus prêt que les Américains.
10:01Les Américains, ils se foutent de savoir
10:02si t'es Colombien, Belge, X ou Y.
10:06Il faut que tu sois meilleur.
10:07Donc un Français qui va là-bas
10:10pour qu'il puisse prendre la place sur le terrain,
10:13il faut qu'il soit super fort.
10:15Donc ça veut dire que ce parcours-là,
10:17il doit être au quotidien,
10:19tous les matins, je me lève
10:21et je m'entraîne pour aller aux États-Unis.
10:23Mais normalement, j'ai bien géré le truc.
10:27Normalement, je peux tout porter.
10:31Quand tu te blesses,
10:32surtout si proche du départ,
10:34tu te mets un peu dans le mal,
10:36tu vois, les premiers jours.
10:38Tu penses beaucoup et tu te dis...
10:41Tu te fais tous les mauvais scénarios dans la tête
10:43même si, tu vois, t'essayes de penser positif.
10:47Tu te dis que c'est pas possible,
10:49que c'est pas possible,
10:50que c'est pas possible,
10:51que tu penses positif,
10:53finalement, c'est presque impossible
10:55de ne pas avoir des pensées négatives dans ta tête.
10:59C'est obligé.
11:00Tu penses à tous les scénarios
11:01et je pense que c'est bon
11:02de penser à tous ces scénarios-là,
11:05d'avoir limite des pensées négatives
11:07pour être sûr que vraiment,
11:10en vrai, tu veux atteindre ce but.
11:17Je vais mettre en premier ça.
11:19Si tu décourages alors qu'il y a une blessure, tu te dis « ouais non, la blessure elle est
11:25vraiment mal tombée là, je vais m'arrêter ». Non, tu vois, ça fait trois ans que t'es
11:29dans le truc, t'es obligé de continuer à pousser, t'es obligé de continuer à
11:33travailler même si t'es blessé. Tu t'adaptes, tu fais l'eau du corps, tu fais quelque chose.
11:38Donc non, moi ça m'a un peu mis dans le mal les deux premiers jours mais c'est pas la
11:44première fois que j'étais dans le mal pour ça.
12:19Je ne suis pas une drogue, ce n'est pas ça, c'est la vérité, je m'excuse.
12:49De toute façon, le but c'est de prendre le terrain le plus rapidement possible. Il faut
13:18que ce soit la première saison. Le plus rapidement possible c'est le mieux pour les recruteurs
13:25ou même pour l'expérience. Puisque c'est l'estate, le jeu va beaucoup plus vite.
13:32Je pense qu'en plus là on va avoir une bonne équipe, il y a moyen qu'on fasse des très
13:38bons résultats nationalement.
14:08C'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:29ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:30ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça,
14:31c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:32ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:33ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:34ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça,
14:35c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:36ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:37ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça,
14:38c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:39ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est
14:40ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça
15:10C'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c
15:40et puis comme ça l'année prochaine je pourrai jouer et j'irai,
15:44espérons-le, j'irais healthy, sans problème, etc.
15:55Le niveau forcément, je sais pas, c'est plus élevé, tout le monde cours plus
15:59vite, tout le monde sait ce qu'il fait, tout le monde est plutôt correct
16:03techniquement, si tout va plus vite, sur le terrain si, quand je suis sur le
16:07et que j'ai une attaque en face, ça va plus vite.
16:10Pour les Français qui regardent, c'est rien d'idéaliser les Américains,
16:14c'est des humains comme nous.
16:16Si tu sais comment t'entraîner en France,
16:19et que tu vas aux Etats-Unis,
16:21tu ne vas pas être dépaysé, tu vas pouvoir jouer contre eux,
16:24il n'y aura aucun problème.
16:26Ils sont très bons, c'est ça, il ne faut pas non plus dénigrer,
16:29mais ils sont très très bons.
16:31Mais si tu t'entraînes de la façon dont il faut s'entraîner en France,
16:34tu peux jouer contre des Américains.
17:05C'était fou !
17:07Non, ce n'était pas.
17:34C'est ça, tout le monde.
18:04Je ne sais pas, je ne sais pas.
18:06Je ne sais pas, je ne sais pas.
18:08Je ne sais pas, je ne sais pas.
18:33Son nom est Brian, mais on l'appelle en France.
18:35C'est ce qu'ils commencent à appeler.
18:37Je ne savais pas qu'il s'appelait Brian
18:39jusqu'à deux semaines après,
18:41on parlait de tout.
18:46Oh mon Dieu !
18:48Oh mon Dieu !
18:50C'était dans le basket, mec !
19:01Brian est un bon joueur.
19:03Quand on s'est tous rencontrés,
19:05la première semaine,
19:07on a tous décidé d'enlever les tapes
19:09pour voir à quel point on était bons.
19:11Je suis surpris qu'il soit venu de France
19:13jusqu'à New York.
19:15C'est un peu fou pour moi.
19:17Mais Brian est bon.
19:19Oui, il est vraiment très bon.
19:21Il a été blessé. Il a été blessé la plupart du temps,
19:23avant qu'il ne revienne en santé.
19:25Mais c'est bien de le voir jouer maintenant.
19:32Brian m'a dit
19:35qu'il a été élevé par sa famille.
19:37Sa mère est morte.
19:39Je pense que c'était une motivation pour lui.
19:41Il a des frères plus jeunes, il m'a dit.
19:43Je pense que ça l'a poussé à aller encore plus fort.
19:45Quand il rentre à la maison, il a quelque chose à montrer.
19:47Il est venu ici pour ça.
19:49Ils lui ont mis beaucoup de travail.
19:51Et il travaille ici. Il travaille tous les jours.
19:53Il ne dort pas. Il travaille.
19:55Même s'il est blessé, il travaille.
19:57Il m'amène ici.
19:59Il est très blanc. Il ne ment pas.
20:01Il ne bat pas dans les arbres.
20:03Il est honnête.
20:05C'est une qualité rare.
20:07Je l'apprécie.
20:09C'est rare.
20:11Je ne savais jamais qu'ils jouaient au football en France.
20:13Quand il me montrait ses clips,
20:15on regardait.
20:17On regardait ses highlights.
20:19On disait que c'était bien.
20:21Mais je sais que Brian va aller à la Ligue.
20:23Il va faire un nom pour le football en France.
20:25Et ça va devenir un grand thème.
20:27Je pense que c'est ça.
20:29Je pense que c'est ça.
20:31Je veux aller en France.
20:33Je veux aller en France.
20:37Tout le monde dit ça.
20:39Tout le monde.
21:01C'est ça.
21:31Oh.
21:33Oh.
21:35Oh, merde.
22:01C'est ce qui permet aux joueurs de se barrer.
22:03D'aller en division 1.
22:09J'ai l'habitude maintenant.
22:11Il me manque...
22:13L'année prochaine.
22:31Oh.
22:33Oh.
22:35Oh.
22:37Oh.
22:39Oh.
22:41Oh.
22:43Oh.
22:45Oh.
22:47Oh.
22:49Oh.
22:51Oh.
22:53Oh.
22:55Oh.
22:57Oh.
22:59Oh.
23:01Je ne sais pas s'il est grand ou rapide pour jouer à Power 5, mais ça peut changer.
23:06C'est vraiment l'une des choses dont je dois voir ce qu'il peut faire ce printemps.
23:10Et si cette question m'était posée après le printemps,
23:12j'aurais probablement une meilleure idée de l'endroit où il va être.
23:15Mais ce qui va se passer dans les prochains trois mois va vraiment indiquer
23:19comment il va pouvoir faire en fonction de nos expectations.
23:31Allez, on va d'un côté, d'un côté, d'un côté.
23:33Allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez,
24:03allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez, allez,
24:33allez, allez, allez, allez, allez, allez