• il y a 3 mois
Selim Miled, expert en cybersécurité, s'exprime sur les cyberattaques ayant eu lieu au Grand Palais de Paris : «Le logiciel malveillant va empêcher l'utilisation des systèmes informatiques dans le but d'exiger une rançon. C'est le type de cyberattaque le plus répandu en France et dans le monde. Ces attaques sont toujours difficiles à contrer. Qu'elles soient graves ou non, ce qui est certain, c'est qu'elles ne sont ni innocentes ni anodines, et qu'un travail d'expert est nécessaire pour minimiser les dégâts».

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Transcription
00:00Ce logiciel malveillant va empêcher d'utiliser les systèmes informatiques
00:05dans le but d'exiger une rançon.
00:08C'est une manière, en fait, de vous empêcher de travailler avec vos outils informatiques
00:13et de dire, si vous voulez retrouver ces outils informatiques, il va falloir nous payer.
00:17Il y a eu beaucoup de travail de montée en maturité ces dernières années
00:20puisque c'est le type de cyberattaque qu'on a le plus vu en France et dans le monde.
00:25Ils se sont préparés.
00:27L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information intervient à leur côté aussi.
00:31Ce sont des experts de très haut niveau.
00:34Après, ce sont des attaques qui sont toujours difficiles à contrer
00:36en fonction du niveau de profondeur, en fonction de ce que le pirate a pu faire avant d'être détecté.
00:40Donc, c'est difficile aujourd'hui de dire si l'attaque est grave ou pas.
00:43Ce qui est certain, c'est qu'elle n'est pas innocente, elle n'est pas anodine.
00:47Et il y a du travail d'experts à faire pour la contenir au mieux et minimiser les dégâts.
00:54Sous-titrage Société Radio-Canada

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