[#Journal ] Le 19H30 du 02 Septembre 2024
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00:00Nous sommes le lundi 2 septembre 2024, ravis de vous retrouver pour ce rendez-vous quotidien.
00:21Passons tout de suite au titre. Le gouvernement a rendu public la loi de finances rectificative
00:262024 au terme du conseil des ministres du 31 août 2024, lequel prévoit une augmentation du
00:34budget général de l'État. 27 milliards de francs CFA, c'est la somme que l'État devrait engager
00:40pour l'organisation du référendum constitutionnel de cette fin d'année. Mesdames et messieurs,
00:45bonsoir. Le président de la transition, le général Brice Clotaire, Olivier N'Diéma,
00:50a adhérit ce 1er septembre 2024 en Chine, où il participera au forum économique Chine-Afrique,
00:57qui se tiendra du 4 au 6 septembre 2024. Un événement décisif pour le Gabon qui table
01:03sur un accroissement des investissements directs étrangers dans le pays, afin de
01:08répondre à la problématique du chômage. Je les bienvenue. Ce dimanche 1er septembre 2024,
01:14le président de la transition, le général Brice Clotaire, Olivier N'Diéma, est arrivé à Beijing,
01:20en Chine, où il prendra part au 9e sommet du forum sur la coopération sino-africaine,
01:26qui se tiendra du 4 au 6 septembre prochain dans la province de Jiangsu. Une rencontre à laquelle
01:32prend part le chef de l'État et qui sera l'occasion de jeter les bases d'un renforcement
01:36de la coopération entre Libreville et Pékin. Pour renforcer davantage dans un nouveau contexte
01:43la coopération amicale entre la Chine et les pays africains. Relever ensemble les défis de la
01:49mondialisation économique et œuvrée au développement commun sur l'initiative commune de la Chine et de
01:55l'Afrique. Le forum sur la coopération sino-africaine a été créé officiellement suite à la conférence
02:01ministérielle de l'an 2000 qui s'est tenue du 10 au 12 octobre 2000 à Beijing. Ainsi, après Dakar,
02:08la Chine accueillera cet événement majeur qui réunira plusieurs chefs d'État et de gouvernement
02:13africain. Déjà présent en Chine, le président de la transition prendra part à cette rencontre de
02:18haut niveau. Elle sera l'occasion d'examiner des moyens de faire avancer l'amitié traditionnelle
02:23entre la Chine et l'Afrique, d'approfondir la solidarité et la coopération et d'ouvrir de
02:29nouveaux horizons pour le développement commun. Lors de cet événement, le chef de l'État devrait
02:34engager des discussions autour de projets d'infrastructures majeures, de l'exploitation
02:39minière et de nouvelles initiatives environnementales en phase avec la vision du Gabon
02:44pour une transition écologique durable. Dans le même temps, le général Brice
02:49Oliginguema aura un tête-à-tête avec le président chinois Xi Jinping. Si les deux
02:54pays avaient décidé en avril 2023 de hisser leur relation en partenariat stratégique de
02:59coopération globale, la rencontre entre les deux hommes devrait permettre de donner un coup de
03:04fouet à la coopération entre les deux pays. Alors que dans sa loi de finances initiale,
03:12l'État tablait sur un budget général équilibré en recettes et en dépenses de
03:17l'ordre de 4162 milliards de FF, soit une de plus éleveuse des histoires du Gabon,
03:23la loi de finances rectificative a réévalué ce montant à 4493,4 milliards de FF, un chiffre en
03:33hausse de plus de 331 milliards de FF. Une pause témoigne une nouvelle fois de la politique
03:40budgétaire expansionniste de l'État et qui ne semble pas prendre en compte de nombreux salaires
03:46de ses partenaires au développement, Iris Oganga. C'est la principale information du Conseil des
03:52ministres de ce samedi 31 août 2024. Sur la base des principales hypothèses arrêtées par le
03:58cadrage macroéconomique et budgétaire, le gouvernement a adopté un projet de budget de
04:04l'État équilibré en recettes et en dépenses à 4493,4 milliards de FF. C'est plus de 331,4 milliards
04:13de FF de plus que les 4162 milliards de FF adoptés initialement en janvier dernier. Mais c'est
04:21également la confirmation de la politique budgétaire expansionniste menée par les
04:25autorités de la transition, malgré les récriminations des partenaires techniques et
04:30financiers qui appellent à la prudence. Soutien à l'optimisation des recettes à travers la mise
04:36en œuvre de mesures visant à accroître la performance des services fiscaux et amélioration
04:40de la collecte des recettes douanières. Réduction du train de vie de l'État par la mise en œuvre de
04:45mesures concourant à stabiliser la masse salariale. Lutter contre les sous-budgétisations des dépenses
04:50inéluctables en lien avec la volonté du président de la transition de présenter un budget vérité
04:57améliorant la transparence et la qualité des prévisions et la poursuite des chantiers,
05:01notamment dans les secteurs de la route, de l'éducation, de la santé, de l'eau et de l'énergie.
05:08Les objectifs annoncés par le gouvernement en marge de la présentation de la loi de
05:12finance rectificative 2024, fixée à 4 493,4 milliards de francs CFA, soit plus de 331,4
05:21milliards de francs CFA, de plus que les 4 162 milliards de francs CFA adoptés initialement,
05:27sont dans la continuité de ce privilégié par le CTRI, basé notamment sur des hypothèses autour
05:33d'une production pétrolière qui devrait progresser de 3,4% à 11,4 millions de tonnes
05:39métriques en 2024, contre 11 millions de tonnes prévues initialement, et sur une production de
05:45manganèse qui devrait augmenter de 2,2% à 10,3 millions de tonnes en 2024. Après 11,1 millions
05:53de tonnes initialement prévues, cette loi de finance rectificative confirme les vérités
05:58expansionnistes des autorités actuelles. En dépit des récriminations des partenaires
06:02techniques et financiers qui appelaient encore récemment à la prudence, les autorités de la
06:06transition ont notamment pris le pari d'augmenter les dépenses budgétaires, qui affichent désormais
06:11plus de 2 818,4 milliards de francs CFA, dont un service de la dette évalué à 1 952,2 milliards
06:20de francs CFA. Autre dépense en hausse par rapport à 2023, la masse salariale de l'État. Estimée à
06:27704 milliards de francs CFA sous Alibongo, elle passe à plus de 771 milliards de francs CFA sous
06:33le CTRI. C'est deux fois plus que les charges financières de la dette projetées à 388,4 milliards
06:40de francs CFA. Avec des dépenses de biens et services en hausse de 40% par rapport à la loi
06:45de finance initiale et qui s'établissent désormais à 396,6 milliards de francs CFA en lien avec la
06:52forte augmentation des dépenses liées au référendum qui devrait coûter 27 milliards de francs CFA,
06:58des remboursements de la TVA chiffrée à 30,7 milliards de francs CFA et des besoins additionnels
07:04de l'administration publique évalués à 48 milliards de francs CFA, en plus des dépenses
07:09de transferts projetées à 393,3 milliards de francs CFA en hausse de 41 milliards de francs CFA.
07:16Toujours autant difficile de cerner les priorités et la stratégie des autorités de la transition.
07:22S'il y a bien une promesse que le CTRI et le gouvernement de transition peinent à tenir,
07:31c'est la réduction du trait de vie de l'État. Si cette politique extensionniste est perceptible
07:37à travers la masse salariale qui est passée par 771 milliards de francs CFA sous le CTRI,
07:43notre dépense contribue à renforcer cette doctrine à l'état de l'organisation du
07:50référendum constitutionnel qui devrait coûter aux contribuables d'abonnés pas moins de 27
07:55milliards de francs CFA. Esther Keyer pour le députage. Depuis le coup d'État du 30 août
08:022023 orchestré par le Comité pour la transition et la restauration des institutions, l'un des
08:08principaux mots d'ordre a été la réduction du train de vie de l'État. Dans la droite ligne de
08:13cette directive, son président Brice Clotaire Oulguenguima a renoncé à son salaire les
08:18traitements des parlementaires ont également été réduits au strict minimum. Cependant,
08:24d'autres postes de dépense ont fortement augmenté. C'est le cas des dépenses de biens et services qui
08:30devraient atteindre près de 397 milliards de francs CFA en 2024, dont 27 milliards de francs
08:38CFA pour le seul référendum lié à la nouvelle constitution. Pour Paul Malékou, dignitaire de
08:44la République, le débat sur le non ou le oui au référendum sur un texte que personne n'a lu
08:50ou vu est incohérent. Néanmoins, de cette incohérence est née une intégration budgétaire
08:56dans la loi de finances rectificatives. Adoptée en Conseil des ministres ce samedi 31 août dernier,
09:01cette loi de finances rectificatives a 4493,4 milliards de francs CFA quand on compte des
09:09dépenses budgétaires de l'ordre de 2 588,9 milliards de francs CFA, dont 771,7 milliards
09:18de francs CFA en dépenses de personnel ou encore 396,6 milliards de francs CFA de dépenses de
09:25biens et services, dépenses de biens et services composées de 27 milliards de francs CFA uniquement
09:31pour le référendum. Si le coût d'un référendum en Afrique peut varier en fonction de plusieurs
09:36facteurs tels que la taille du pays, le nombre de votants, l'infrastructure disponible et les
09:41exigences logistiques spécifiques, pour ce qui est du Gabon, le coût semble un tantinet exagéré.
09:48A titre de comparaison, le référendum de 2016 au Sénégal a coûté 2 milliards de francs CFA alors
09:55qu'il a fallu imprimer 12 millions de bulletins de vote, 6 millions de oui et 6 millions de non.
10:02En tenant compte de ces facteurs, qu'est-ce qui explique donc qu'au Gabon,
10:06Charlembas et ses équipes aient budgétisé plus de 13 fois plus, bien qu'incluant les
10:13dépenses organisationnelles et logistiques comprenant la préparation des lieux de vote,
10:17la formation des agents électoraux et la mise en place des systèmes de sécurité mais aussi des
10:23campagnes de formation et de sensibilisation à l'endroit des citoyens et encourager à
10:28participer au scrutin ? La bagatelle somme de 27 milliards de francs CFA prévue par le projet
10:35de loi de finances pour assurer le financement de l'organisation du référendum constitutionnel
10:40questionne l'opinion. Avec un coût rivalisant avec celui de grands pays comme le Nigeria ou
10:47l'Afrique du Sud, deux pays dont la population dépasse les 100 millions d'habitants, notamment
10:52pour le Nigeria, le Gabon confirme une fois de plus sa propension à dépenser de façon irrationnelle
10:59en entraînant ces dérapages budgétaires substantiels tant décriés par les partenaires
11:05techniques et financiers, surtout dans un contexte de risque de liquidité accrue d'un pays d'entreprise
11:11et de remboursement de la dette. Alors que les apprenants de lycées et collèges auraient gagné
11:21les salles de classe ce 2 septembre 2024, une équipe de Gabon Media Time est allée prendre le
11:26cours au sein des différents établissements de la capitale. Le constat fait est celui d'une
11:32sixième mise en place. Bienvenue sur Banga pour le compte rendu avec les images de Chenevoy.
11:37Conformément au calendrier officiel du ministère de l'éducation nationale, la rentrée scolaire
11:432024-2025 a eu lieu ce lundi 2 septembre. Selon le constat d'une équipe de Gabon Media Time qui
11:50s'est rendue dans plusieurs établissements de la capitale, la reprise des classes s'est faite dans
11:55une ambiance calme. Cette rentrée timide s'explique en partie par le retard observé dans l'inscription
12:01des élèves par leurs parents. Il faut signaler que cette rentrée s'est faite normalement mais
12:07elle est timide parce que beaucoup de parents n'ont pas réagi comme cela se devait. Nous avons
12:11laissé une marge du 26 août au 31 août pour les inscriptions et réinscriptions des élèves,
12:18mais malheureusement beaucoup de parents n'ont pas réagi. Du côté du siège de Damas,
12:21quelques élèves et enseignants étaient sur place. Les surveillants quant à eux étaient
12:25en séance de travail pour se préparer à recevoir ces jeunes apprenants. La rentrée a bien le
12:32moins été effective avec des élèves qui sont arrivés mais timidement. La rentrée a commencé
12:41timidement et la vie scolaire que je représente ici est en train de faire le point sur la façon
12:55dont on doit accueillir ces élèves. Ce faible engouement a également été ressenti par les
13:01commerçants d'uniformes scolaires dont les ventes étaient timides durant la semaine de rentrée
13:06administrative. Nous avons commencé la vente des tenues il y a trois jours. Au début c'était
13:12timide mais maintenant ça va. À partir d'aujourd'hui, à la rentrée effective, malheureusement,
13:18parce qu'on devait commencer depuis la semaine dernière, les parents ne sont pas venus. Ce
13:25matin vraiment il y avait de l'engouement. Nous avons vendu l'uniforme à 13 000 francs,
13:31c'est-à-dire la chemise et le bas, pantalon ou la jupe, à 13 000 francs. Un jeune apprenant n'a
13:38d'ailleurs pas manqué d'exprimer l'état d'esprit des élèves à chaque début de l'année scolaire.
13:41On connaît les élèves gabonais, quand on dit le 2 septembre, ils ne viennent pas le jour J,
13:45ils viennent moins d'une semaine après. Face à ce retard, Nadej Nzinga Malou a lancé un appel
13:50aux parents les invitant à inscrire leurs enfants dans les plus brefs délais pour éviter toute
13:55perturbation. Nous passons par ce canal pour rappeler aux parents qu'il serait souhaitable
14:01qu'ils arrivent plus tôt afin que nous puissions commencer les apprentissages. Il faut dire que
14:07dans l'ensemble des établissements de la capitale, le démarrage réel devrait être effectif le lundi
14:129 septembre prochain. Les projets de développement propres par le CTR qui est au Gabonaire ne
14:21concernent visiblement pas la ville de Bigou, située dans le département de la Boumi-Louétie,
14:26où le pavage du seul linéaire actuellement en chantier peine à s'achever. Une situation qui
14:33n'est pas de vous les habitants. Bigou, chef-lieu du département de la Boumi-Louétie, située dans
14:39la province de Longounier. Une ville où vivent quelques milliers de Gabonais, mais dont les
14:44infrastructures publiques peinent à émerger malgré la bouffée d'oxygène apportée dans le pays par
14:50le CTRI. En effet, la seule voie en cours de pavage peine à être achevée et ce, malgré le
14:58satisfait de l'entreprise. C'est un chantier député il y a deux ans et qui était alors piloté par le
15:05ministère des Travaux Publics. Si le problème de financement n'a pas permis son achèvement,
15:10les autorités de la transition ont, dès leur arrivée, instruit l'entreprise d'achever le
15:15chantier sous cinq mois contre huit initialement prévus. C'est un chantier de 1,5 km. Il part du
15:22conseil départemental jusqu'au pont de la Boumi. Pour le moment, nous sommes au linéaire 460,
15:30disons le profil 23, au niveau du CECADO. Pour le moment, nous sommes en train de nous battre pour
15:37faire avancer les travaux comme cela se doit. Si les équipes de chantier disent avoir réalisé plus
15:42de 460 mètres linéaires en l'espace d'un mois et demi, de nombreux obstacles risquent de freiner
15:48cet élan. Ah ça c'est le plus gros, c'est la difficulté qui est ici, la difficulté majeure,
15:53l'approvisionnement parce que tout revient de l'huile, que ce soit en gravier, que ce soit en
16:00ciment, que ce soit en acier. Alors vous voyez qu'ici nous avons juste du sable, même pour avoir
16:05du sable c'est compliqué. Déjà là, vraiment on va vers la saison de pluie, on sait pas comment on
16:11fera parce qu'ici, en saison de pluie, on ne sort pas du sable. Donc c'est un peu la crainte
16:17maintenant. Et vu l'état des routes, ça va être difficile pour les approvisionnements. Bien que le
16:24chef de chantier n'ait pas voulu l'évoquer, certains riverains nous ont indiqué que l'engin
16:29servant à déplacer un certain nombre de matériaux indispensables au chantier est en panne depuis
16:35quelques semaines. Quoi qu'il en soit, le constat qui se dégage de manière globale pour toute
16:41personne arrivant à Mbigou est celui d'une ville abandonnée. Absence de services publics, pas de
16:47station d'essence, toutes les voiries publiques ont l'intérêt de bâtiments administratifs vieillissants.
16:52Bref, la population de Mbigou cumule à elle seule toutes les insuffisances que rencontre le pays.
17:00Une note de fou dans ce journal, Xavi Batica, l'international gabonien évoluant à Toulouse
17:08en France, dira bien de la partie lors de la rencontre entre le Gabon et le Maroc sur le match
17:14comptant pour les éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations 2025. Ce qui n'est pas le cas pour Mario Zelbina,
17:21des arrêts forfaits pour cause de blessures. Reportage. Le feuilleton naissant dans la tanière des
17:27Panthères du Gabon est déjà à mettre dans les armoires de l'histoire des différents entre coach et
17:31joueurs comme il est de coutume. Et pour cause, Xavi Batica aurait décidé de passer l'éponge et de
17:36rejoindre le groupe à Agadir au Maroc. Mais ce, après une discussion franche avec le staff.
17:41Alors que l'équipe débute sa préparation ce lundi 2 septembre 2024 à Agadir au Maroc avec
17:47pour ambition ramener des points face au Lyon de l'Atlas, il était inopportun qu'un malentendu gage
17:53cet élan de reconstruction. Conscient de l'enjeu, les deux parties, à savoir Thierry Mouyouma et
17:58Xavi Warren Babica, ont mutuellement fermé les yeux sur les discords pour se concentrer sur
18:03l'intérêt supérieur de la nation. Le groupe réunit ce lundi 2 septembre sans l'éminat.
18:08L'information a été rendue publique par la page officielle de l'équipe nationale des Panthères
18:12du Gabon le dimanche 1er septembre 2024 dans la nuit. Xavi Babica attendu au Maroc ce lundi.
18:18Y est-il annoncé ? Non sans manquer de préciser que l'attaquant de Toulouse sera bel et bien au
18:23Maroc pour ses deux matchs comptants pour les éliminatoires de la prochaine Cannes. Il s'agit
18:28des rencontres décisives de ce groupe comptant pour les éliminatoires de la Coupe d'Afrique
18:32des Nations 2025. Les deux adversaires sont les Lyons de l'Atlas et les Fauves de Baobangui de
18:38la République Centrafrique respectivement les 6 et 10 septembre 2024. Si l'affaire Babica,
18:44Mouyouma est à oublier. Des désistements sont à signaler, notamment celui de Mario
18:49Lemina blessé et de facto remplacé par Jeff Bilongo. Le chiffre du jour est 4493,4 milliards
19:01de francs CFA qui correspond au montant de budget révisé de l'état gabonien en 2024 en hausse de
19:08331,4 milliards de francs CFA. Le verbatim de ce soir est de Jean-Victor Mwang Bading qui s'est
19:17agacé le 24 août dernier au cours d'une déclaration du tribalisme en vogue dans le
19:22pays. « On ne vote pas une personne parce qu'il est de votre ethnie ou de votre région. C'est de
19:28la traîtrise. Nous faisons de la politique pour la liberté du peuple. » Voici qui met un terme à
19:33cette édition d'information. Bon début de semaine à tous et à bientôt sur Gabon Media Time.