[#Journal ] Le 19H30 du 25 Septembre 2024
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00:00Nous sommes le mercredi 25 septembre 2024, bienvenue dans votre 19h30.
00:16Les travaux de l'Assemblée constituante qui se sont achevés dimanche 22 septembre 2024
00:22ont débouché sur pas moins de 801 amendements,
00:25mais qui n'ont pas concerné l'article 52 du projet de constitution.
00:30Deux mois après l'acquisition d'Asala Energies,
00:33l'état gabonais entend désormais procéder à une audite des comptes du géant pétrolier.
00:39Mesdames et messieurs, bonsoir.
00:40Sept ans de mandat présidentiel renouvelable une seule fois,
00:44cette disposition contenue à l'article 52 du projet de constitution
00:49devrait logiquement rester intacte puisqu'elle a fait l'objet
00:53d'un consensus des députés et sénateurs de la transition
00:57réunis dix jours durant en vue de formuler des avis motivés au projet de constitution.
01:03Reportage.
01:04Les travaux de l'Assemblée constituante qui se sont déroulés sur dix jours
01:08ont débouché sur 801 amendements formulés par 78 députés et sénateurs de la transition.
01:14Si au terme des travaux, la constituante s'est réunie en assemblée plénière
01:18afin de dégager les amendements les plus pertinents
01:21qui seront ensuite remis au Comité pour la transition et la restauration des institutions
01:26et au gouvernement, il semblerait que la durée du mandat présidentiel fixé,
01:31dont la version initiale à sept ans renouvelable une fois,
01:34ne fera pas l'objet d'arbitrage.
01:37C'est une disposition contenue dans l'article 52 du projet de constitution
01:41et qui fixe à sept ans renouvelable une seule fois la durée du mandat présidentiel,
01:46laquelle disposition est frappée du sceau de l'intangibilité.
01:50Si certains estimaient qu'il fallait revenir à la norme internationale
01:53qui est de cinq ans renouvelable une seule fois,
01:56députés et sénateurs n'ont pas jugé utile de retenir cette option.
01:59C'est en tout cas ce qu'a laissé entendre le député de la transition, Paul Biogimba.
02:04La durée du mandat c'est de sept ans, on a compté sept ans, deux fois.
02:09C'est-à-dire un premier mandat de sept ans, un second de sept ans.
02:12À première vue comme ça, bon ça peut dire il faut cinq ans, mais qu'est-ce qu'on a vu ?
02:16Je vous ai dit qu'il faut tenir compte de l'histoire.
02:17Généralement ceux qui ont cinq ans de mandat,
02:20au bout du deuxième mandat veulent tous avoir un troisième mandat.
02:25Il faut dire que ces dix jours ont été particulièrement animés,
02:28surtout lorsqu'il s'agit de débattre de certaines questions telles que l'équilibre des pouvoirs.
02:35À ce propos, Paul Biogimba a indiqué que des amendements amélioratifs ont été apportés
02:40afin de limiter le pouvoir du président de la République.
02:44C'est vrai que le président de la République, c'est maintenant un régime présidentiel
02:49où le président est un personnage constitutionnel très fort, avec des pouvoirs énormes.
02:54Il fallait équilibrer cela.
02:57Ça a été équilibré avec des compensations.
03:00Autant le président peut dissoudre le Parlement dans certaines conditions,
03:03mais il y en a mis des verrous.
03:05À l'intérieur d'un même mandat, en réalité il ne peut le faire que deux fois.
03:08Il faut dire que malgré cette garantie, le consensus n'a visiblement pas prévalu
03:13puisque l'honorable Geoffroy Fongoula a d'ailleurs justifié son refus de voter en faveur du rapport de la Constituante
03:20par ce qu'il considère comme une absence d'équilibre entre l'exécutif et le législatif.
03:29Nous vous l'annoncions en titre, alors que la situation au sein du groupe pétrolier Asala Energies
03:34n'est pas la plus glorieuse depuis la reprise des activités par GOC,
03:40un audit des comptes post-rachat aura été diligenté fin août,
03:44lequel devrait être effectué par le bureau parisien de KPMG.
03:50Deux mois après le rachat d'Asala, l'État gabonais, à travers la Société Nationale des Hydrocarbures du Gabon
03:56et Gabon Oil Company, a décidé d'auditer les comptes d'Asala Energies.
04:01La nouvelle maison-mère de l'ex-filiale de Carlay a même déjà choisi le cabinet qui devrait réaliser cet audit.
04:08C'est ce que nous a confirmé une source interne, qui annonce au passage que le bureau parisien de KPMG
04:15a été choisi fin août par le directeur général de GOC, Marcelin-Symbal Gabi.
04:21Si, selon certaines indiscrétions, la situation au sein d'Asala Energies est quelque peu tendue
04:26depuis le rachat par l'État gabonais, avec l'aide du Suisse-Guinevore,
04:30GOC, bras séculiers de l'État dans cette opération, la reprise en mai total semble avoir été amorcée.
04:37Un audit des comptes post-rachat a été diligenté fin août.
04:41Il devrait être conduit par le bureau parisien de KPMG, cabinet d'audit de conseil d'expertise comptable,
04:48de droit et de fiscalité, un cabinet qui fait en autre partie du très célèbre Big 4.
04:55Spécialiste de l'audit, le cabinet aura essentiellement pour mission d'examiner les comptes du producteur d'hydrocarbures,
05:01de les passer au pays fin dans le but de déceler toute anomalie,
05:05notamment dans son fonctionnement sous la direction du français David Roux.
05:09Toute chose qui vise essentiellement à assurer la transparence et l'efficacité des opérations
05:14de la société nouvellement acquise, à confirmer la valeur des actifs acquis
05:18et de s'assurer que tous les passifs sont correctement identifiés et pris en compte.
05:24Courant dans les cas de rachat, cet audit devrait permettre à GOC de mieux orienter sa stratégie,
05:29de définir sa priorité opérationnelle et stratégique,
05:32de mesurer la portée des investissements à réaliser tout un programme.
05:37La compagnie pétrolière qui emploie près de 2 500 personnes annonçait l'an dernier
05:42avoir investi pas moins de 350 milliards de francs CFA pour le maintien et le renouvellement de ses réserves pétrolières,
05:50des investissements qui lui ont permis d'atteindre un taux record de renouvellement des actifs pétroliers de 170%
05:57et augmentant de 40% la production de ses champs pétroliers.
06:02Visant également à s'assurer que l'entreprise respecte les normes comptables et les réglementations en vigueur,
06:07ce qui est essentiel pour éviter tout accroc,
06:10cet audit devrait permettre d'identifier les synergies et les défis à surmonter lors de l'intégration d'Asala, dont la GOC.
06:18Il devrait également offrir une assurance pertinente aux investisseurs, créanciers et autres parties prenantes
06:24sur la fiabilité des informations financières, tout en aidant la nouvelle direction
06:29à prendre des décisions stratégiques, basées sur des données financières précises.
06:37Dans le même ordre d'idées, alors que le rachat d'Asala a été conclu depuis plus de deux mois déjà,
06:42la prise de poste par les employés semble être un fiasco.
06:46En effet, entre un top management relogé dans les meilleures conditions,
06:51avec des habitations dont les loyers seraient payés sur deux ans,
06:56et un lower management qui lui semble invité à se débrouiller,
07:00ce déménagement susciterait selon certaines administrations quelques frictions en interne.
07:06Nous en parlerons plus en détail au cours de nos prochains programmes.
07:10Nul n'a le droit d'être humilié ni torturé même lorsqu'il est en état d'arrestation.
07:15Ce principe cardinal qui fonde l'état de droit et qui est reconnu par les textes en vigueur au Gabon
07:21n'est pas pris en compte par les forces de sécurité et de défense
07:25qui semblent avoir pris goût à humilier des jeunes compatriotes sous prétexte de comportement contraire à la loi.
07:33Une pratique devenue récurrente et qui tranche avec les promesses de rétablissement de l'état de droit.
07:39Reportage.
07:40Récemment, des opérations de sécurité à Mwandash,
07:44chef lieu du département de Lebonbi-Lehou, lancé par les forces de l'ordre,
07:48sur requête de Jacques Benitsanga, gouverneur du Haut-Ogwe,
07:51face à une montée de l'insécurité, ont pris une tournure inquiétante.
07:56En plus d'être interpellés, certains suspects ont été victimes de traitements humiliants,
08:01notamment le rasage forcé de leur crâne et la contrainte à chanter devant des caméras.
08:06À l'abré, à l'abré !
08:17Ces pratiques, loin de répondre aux impératifs de justice, constituent une grave violation des droits humains.
08:24Le Gabon, comme beaucoup d'autres nations, s'est engagé à respecter les principes de la Déclaration universelle des droits de l'homme.
08:31L'article 5 de cette déclaration stipule clairement que
08:35« Nul ne peut être humilié, maltraité ou torturé, même lorsqu'il est en état d'arrestation ou d'isolement. »
08:42Cette norme internationale a pourtant été bafouée à Port-Genti
08:45et même récemment, à Mwanda où les autorités militaires semblent ignorer
08:50ces préceptes fondamentaux repris par notre Constitution de 1991 en son préliminaire 1.
08:58L'humiliation infligée aux suspects non seulement déroge au principe de la dignité humaine,
09:03mais elle met également en lumière une déviation préoccupante des pratiques de justice.
09:08La présidence de la République de la Transition, dirigée par le général de Brigade,
09:13Bruce Flotter, Oleg Ingema, est chargée de restaurer la légalité et la justice.
09:18Dans ce contexte, il est impératif que des mesures correctives soient prises.
09:23Paul Maringondjou, ministre de la Justice, devrait en toute urgence exiger
09:27une enquête pour ces abus et garantir que les responsables soient tenus pour compte.
09:32L'objectif d'une opération de sécurité ne devrait jamais justifier la violation des droits fondamentaux.
09:38L'humiliation publique et les traitements dégradants sont des pratiques indignes de la légalité et de l'éthique.
09:44Pour que le Gabon puisse véritablement avancer vers une justice restaurée et respectueuse des droits humains,
09:50il est crucial que les autorités assurent la fin de ces abus,
09:54mieux qu'elles favorisent le respect de la dignité de tous, même en période de crise sécuritaire,
09:59sans quoi ce serait la porte ouverte à l'anarchie militarisée.
10:04C'est un !
10:06Regardez la caméra !
10:07C'est un !
10:08Les voleurs là !
10:09C'est un !
10:09Tu lèves la tête, on va te voir à la télé, le vol que vous faites là !
10:15Comment répondre à la problématique de l'insalubrité qui pollue les interes de la capitale,
10:20alors que le CTRI a renforcé les capacités matérielles de l'entreprise Clean Africa,
10:26un schéma directeur de collecte a été mis en place.
10:29Si le dispositif se déploie progressivement,
10:32l'incivisme des populations constitue un frein à la réussite de ce programme.
10:37Reportage.
10:38En vue de lutter contre l'insalubrité dans le Grand Libreville,
10:42la Société de ramassage des ordures ménagères Clean Africa a mis en place, le 2 septembre dernier,
10:48un schéma directeur de collecte des déchets ménagers.
10:51Un dispositif qui permet une meilleure efficacité et qui vise à discipliner les populations
10:56quant au principe de tri des déchets,
10:58tout en contribuant à l'assainissement de l'environnement et au cadre de vie.
11:03Sous l'inspiration des plus hautes autorités, à la demande des plus hautes autorités,
11:07Clean Africa s'est lancé dans la conception du nouveau schéma directeur.
11:13Donc ce nouveau schéma directeur voudrait qu'aujourd'hui,
11:17nous passons à la réduction et à la suppression de certains points d'apport volontaires
11:23en vue de pouvoir collecter le plus près des ménages possible.
11:27Donc on s'est lancé dans un système de collecte de proximité.
11:31Et pour ce faire, nous avons lancé la phase grandeur nature depuis le 2 septembre,
11:38en commençant par le sixième arrondissement de Libreville.
11:41Ainsi, cette nouvelle méthode de collecte des déchets permettra à bien des égards,
11:45à chaque citoyen, de prendre conscience de l'importance de la gestion personnalisée.
11:50Cependant, la résistance des habitants est une véritable épine qui, si rien n'est fait,
11:55viendra saper tous les efforts de Clean Africa et des acteurs engagés dans la lutte contre l'insalubrité.
12:01La difficulté à laquelle nous nous heurtons, la principale, c'est l'incibisme.
12:04Malheureusement, beaucoup sont réfractaires au nouveau système.
12:09Beaucoup se dirigent encore vers les anciens points d'apport volontaires
12:12pour y déposer leurs déchets à toute heure.
12:13Ce qui nous amène à mettre en place une veille,
12:16parce qu'il faut dire que dans le sixième, nous avons prévu une veille
12:19pour justement continuer de collecter ces points d'apport volontaires là,
12:23jusqu'à ce que le système prenne réellement sa vitesse de croisière.
12:30Il faut dire que ce dispositif, qui a débuté le 2 septembre dans le sixième arrondissement de la commune de Libreville,
12:36se déploiera progressivement à l'échelle de la capitale gabonaise.
12:40Gageons que les autorités sauront faire preuve de fermeté
12:43face à la résistance de certains compatriotes réfractaires à ce nouveau dispositif.
12:50La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Repression des Fraudes a rendu public
12:57la mercuriale des prix du nouveau manuel scolaire.
13:00Si ces manuels étaient vendus à des prix abordables l'année dernière,
13:04cette année, ils ont considérablement augmenté, de quoi préoccuper les ménages.
13:09Reportage.
13:10La Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Repression des Fraudes a publié
13:16la nouvelle mercuriale des prix des manuels scolaires.
13:19Ce communiqué, daté du 18 septembre, a révélé que les nouveaux manuels destinés aux élèves
13:24de quatrième et cinquième année seront vendus entre 5 500 francs CFA et 7 900 francs CFA,
13:31soit une augmentation de 2 290 francs par rapport aux anciens ouvrages,
13:36mis au sujet exorbitant par certains compatriotes.
13:40Au manuel scolaire, qui sera mis sur le territoire gabonais, moi je trouve que c'est très très cher.
13:47Parce qu'il y a des familles qui sont très très pauvres, pauvres dans ce pays-là.
13:51Je trouve que vraiment ce n'est pas bien, il faut revoir.
13:545 000 et 7 500, allez, si c'est sur un livre, ça va, c'est gérable.
14:00Mais si c'est sur 5, 4, 10 livres, à ce moment-là, vous faites le calcul,
14:04ça vaut quand même quelque chose à une période où justement les nouvelles autorités combattent contre la vie chère,
14:12et ça passe justement par prendre des mesures fortes contre les prix des manuels scolaires qui ne font qu'augmenter.
14:20Cher ? Oui, le gabonais dans Namda, c'est cher.
14:25Parce que, il y a un livre à 5 000, si vous avez 10 enfants, ça fait combien d'enfants ?
14:30Combien de centaines de mille que vous allez déposer ?
14:31Donc vous comprenez que c'est vrai que c'est cher.
14:35Il faut que l'État essaie de revoir les prix de ces livres.
14:39Mais d'un côté aussi, je dirais, on ne peut pas aussi tout avoir gratuitement.
14:44Ces nouveaux manuels scolaires seront bientôt mis à la disposition des apprenants
14:48afin qu'ils s'imprègnent de l'histoire et de la culture du Gabon.
14:52Comme l'a souligné le ministre de l'Éducation nationale, Kamelien Tountoum-Leclerc,
14:56lors de la réception de ses ouvrages le 20 septembre dernier.
14:59Il faut dire que l'écart des prix sont considérables entre ceux pratiqués sur les anciens manuels et les nouveaux.
15:05En effet, à Libreville, les prix variaient de 2 300 francs CFA à 5 100 francs
15:12et à l'intérieur du pays, 2 530 francs CFA à 5 610 francs.
15:17Alors que l'objectif était de permettre à tous les enfants d'accéder aux manuels sans discrimination.
15:22Les nouveaux montants affichés rendent l'accès plus difficile,
15:26surtout pour les familles résidant en dehors de la capitale.
15:29Comment concilier l'objectif d'une éducation de qualité pour tous avec des prix aussi élevés,
15:34surtout dans un contexte inflationniste qui plombe le pouvoir d'achat des ménages ?
15:41Le cri d'alarme des parents d'élèves tendant à la mise en place d'une police scolaire au sein des établissements scolaires
15:48sera-t-il entendu cette année ?
15:51Alors que la violence au milieu scolaire devient un véritable enjeu de politique publique,
15:55des solutions pour y faire face sont toujours attendues.
15:59Face à la montée inquiétante des violences au milieu scolaire,
16:03les parents d'élèves avaient lancé lors de l'année académique 2023-2024
16:08un appel pour la création d'une police scolaire.
16:11Cette initiative visait à dissuader les comportements déviants tant au sein qu'aux abords des établissements.
16:17Pourtant, un an plus tard, cette mesure ne semble toujours pas figurer,
16:21mise en branle par les autorités compétentes.
16:24À peine débutée, que l'année scolaire a déjà enregistré un événement déplorable
16:27lié à la délinquance juvénile.
16:30Une élève aurait été agressée à la sortie du lycée technique national Omar-Bongo
16:34par un autre élève et ce, alors qu'elle était uniquement pour une réinscription.
16:39Si le préjudice matériel se limitait à quelques objets,
16:43cet acte témoigne de l'atmosphère d'insécurité autour des établissements scolaires.
16:48L'une des causes souvent évoquées par le personnel éducatif et les élèves
16:52est la porosité des établissements scolaires.
16:54Les lycées et collèges manquent de barrières conformes aux normes de sécurité.
16:59À cela se greffent les multiples points d'entrée non contrôlés,
17:03ce qui facilite l'intrusion d'individus mal intentionnés.
17:07Les élèves scolarisés, dont ces établissements sont souvent situés
17:10dans des zones réputées pour leur insécurité,
17:13deviennent ainsi des proies faciles pour les délinquants locaux.
17:16D'autres fois, ces élèves eux-mêmes se transforment en agresseurs,
17:19commettant des actes de violence contre leurs camarades pour des raisons diverses.
17:25Face à cette situation, les surveillants pourtant en première ligne sont souvent dépassés.
17:30Il n'est pas rare que certains d'entre eux soient eux-mêmes victimes de vols ou d'agressions.
17:35Cet état de fait démontre l'inefficacité des mesures de sécurité actuelles
17:39et la nécessité d'adopter une approche plus dissuasive.
17:43Compte tenu de l'effectif conséquent des forces de défense et de sécurité au Gabon,
17:46une présence policière permanente dans les établissements scolaires
17:51serait non seulement envisageable, mais probablement salutaire.
17:55La mise en place d'une police scolaire aurait pour effet
17:58la dissuasion des auteurs de violences, qu'ils soient internes ou externes à l'établissement.
18:03Une telle présence permettrait de répondre rapidement aux incidents,
18:07de renforcer les contrôles aux entrées
18:10et de garantir un environnement plus serein pour les études.
18:13Toute chose qui permettra de sécuriser les apprenants et le personnel,
18:17mais également de restaurer la conscience des parents
18:20de plus en plus inquiets face à cette récrudescence de la violence.
18:42sur la période allant de septembre 2023 à août 2024.
18:47C'est ce qui ressort du bilan des 365 jours du ministère de l'Economie et des Participations.
18:52Le verbatim de ce soir est du sénateur de la Transition, Marcel Diabio.
18:57Nous avons tenu compte de la volonté exprimée par les Gabonais et les Gabonaises
19:02lors du dialogue national inclusif tenu à Ngonjé du 28 mars au 30 avril 2024.
19:08En ce sens, il y a dans ce projet de constitution
19:10des dispositions intangibles,
19:13afin que notre loi fondamentale ne soit plus modifiée selon la volonté de quiconque.
19:17Des propos recueillis par le quotidien L'Union
19:20et rendus publics le 23 septembre 2024.
19:23C'est la fin de votre journal, merci de nous avoir suivis.
19:26A demain.