Erwann Delaunay, de la Fondation nationale Jeunesse France Harcèlement estime qu'un an après le suicide de Nicolas, victime de harcèlement scolaire «rien n'a changé».
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00:00Aujourd'hui, en fait, on est face à un ancien gouvernement qui était accro à un coup de communication et aujourd'hui, on a des annonces, de fait, mais effectivement, comme vous le dites, c'est que rien ne bouge et quand la maman porte plainte, j'en suis certain, la plainte sera classée sans suite parce qu'aujourd'hui, la justice ne veut pas s'embêter avec des choses pour le harcèlement scolaire.
00:29Et aujourd'hui, on est face à une nouvelle rentrée scolaire, on est face à des nouvelles choses d'annoncer, mais aujourd'hui, rien ne bougera et tant que rien ne bougera, les élèves ne pourront pas aller en sécurité en cours, ce n'est pas possible.