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Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 06/09/2024.

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Sport
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00:00:00Bonjour à tous, bonjour à toutes, on est vendredi, il est 16h10, on est ponctuel ici
00:00:08et c'est l'heure de l'équipe de shop, évidemment comme tous les jours, on est
00:00:11partis pour deux heures d'émission autour de l'actualité sportive de ce vendredi,
00:00:15jour de match des Bleus, jour de match des espoirs, on a vraiment plein de choses à
00:00:18voir avec toute la bande et cette bien belle bande composée de Pierre Nuby et Julien Alliade.
00:00:22Comment ça va Français ? Moi ça va très bien, je vois que tu danses, t'es dans l'ambiance.
00:00:25On est vendredi, bientôt le week-end. Ah c'est pas les Bleus qui t'excitent ?
00:00:29Les quoi pardon ? Les Bleus qui t'excitent ? Les onze qui jouent là sur un petit terrain.
00:00:33T'es fatiguant. Je sais pas, je sais pas. Bonjour Français, je suis très excité par ces deux matchs.
00:00:36C'est n'importe quoi. Mais non, mais il dort lui, arrête un peu.
00:00:39Qu'est-ce qui vous excite le plus dans le décor là ? C'est un petit peu le ton de l'émission,
00:00:45c'est dont on va parler ? Un comme ça là, un seul.
00:00:47Olysée. Olysée ? Ok, Michael Olysée,
00:00:51le petit nouveau de la bande chez les Bleus et ça tombe bien dis donc mon Pierrot,
00:00:53on va en parler dans cette émission. On va en parler avec Vectis,
00:00:56on va en parler avec nos renforts. J'appelle pour débuter M. Mathieu de Séville.
00:01:00Il devient de plus en plus d'accord avec Boubi. C'est le meilleur ami de Nolan Roux
00:01:04et il en manque de Ligue 2. Oui Mathieu, tu peux nous rejoindre sur le plateau de l'équipe de choc.
00:01:09Nolan Roux qui ne l'a jamais assez remercié pour ses passes décisives.
00:01:11Mais je comprends totalement, je suis complètement d'accord.
00:01:14J'attends toujours 10% de ses primes de but. Nolan, c'est toujours parti viant.
00:01:21Petit message pour la prochaine fois Mathieu, un peu plus de rythme dans l'arrivée.
00:01:28Prochaine recrue, on va voir s'il est plus rapide. Et puisqu'on parle des Bleus,
00:01:35on a besoin de quelqu'un qui a porté le maillot bleu. Frédéric Piquion, mais oui,
00:01:38une sélection en bleu. Oh là là l'erreur, l'erreur retourne là-bas.
00:01:41Ça c'est le nouveau idée. Reste dehors l'affiche. Une sélection en bleu,
00:01:46zéro but en bleu. Est-ce que tu as gardé le maillot Fred ? Et là tu peux nous rejoindre très
00:01:50rythmé, à la différence de Mathieu, pour nous dire si tu as gardé ce fameux maillot bleu.
00:01:54Oui j'en ai quatre. Tu n'as joué qu'un match ? Oui j'ai joué qu'un match mais j'ai été appelé
00:01:59plusieurs fois et donc j'ai fait des bancs. Donc en faisant des bancs, j'ai d'autres maillots bleus.
00:02:03Bien évidemment. Sur ça, ça ne se revend pas.
00:02:05Pas encore.
00:02:07Avant de débuter l'émission, de quoi va-t-on parler ? Le sommaire est dans le décor. On va
00:02:14parler de l'élection à la LFP, car deux présidents lassés de la situation vont se
00:02:18retirer des votes et laisser le champ libre à la brune. On vous explique tout ça dans un instant.
00:02:21Franci Tali ce soir avec la surprise du chef dont Pierre Boubi veut parler, Michael Olizé qui
00:02:26devrait être titulaire pour sa première sélection en bleu et qui pourrait peut-être changer le
00:02:29visage de cette équipe. Et puis Kylian Mbappé, j'ai oublié de faire le geste comme ça. Kylian
00:02:34Mbappé, le grand retour au Parc des Princes. Est-ce qu'il nous doit une revanche le capitaine
00:02:37des bleus après son euro raté ? On en discutera sur ce plateau. Je crois que j'ai vu passer du
00:02:42Ronaldo aussi, des Jeuparas. Qu'est-ce qu'il y a d'autre dans le décor ? Des espoirs bien sûr.
00:02:48Et Savalinka, fin de l'US Open. Les espoirs parce qu'on va d'ailleurs tout de suite filer à Angers
00:02:53où se discute un match très important tout à l'heure pour l'équipe de France Espoir. Ce sera
00:02:57en direct sur notre antenne à 18h20. Terminé les JO, on est passé en mode Euro 2025 et notre
00:03:02envoyé spécial que vous adorez tous ici, Timothée Mémon. Est-ce qu'il est déjà dans les vestiaires
00:03:06à deux heures du coup d'envoi ? Salut Timothée ! Bonjour France, bonjour à tous. Les bleus de
00:03:13l'équipe de France Espoir affronteront tout à l'heure la Slovénie. On a la chance d'être dans
00:03:17le vestiaire de cette équipe de France qui sera emmenée, vous le savez, désormais par Gérald
00:03:21Batik. On va vous inviter à découvrir un peu comment se passe ce vestiaire qui est habituellement
00:03:25celui du SCO, qui a été remis aux couleurs de l'équipe de France avec notamment Dylan Bakoua,
00:03:30nouvel invité dans cette équipe de France Espoir, le joueur strasbourgeois. On va également se
00:03:36diriger vers un homme, un nom qui ne devait pas être là initialement, c'est Hugo Equitique,
00:03:41qui a été rappelé à cause de la blessure malheureusement d'Arnaud Kalimwendo et qui a
00:03:46rejoint le groupe hier. Difficile de l'imaginer titulaire, c'est ce que nous a dit Gérald Batik
00:03:51hier en conférence de presse. En revanche, on devrait le voir notamment pour le prochain match,
00:03:56ce sera au Mans, ce sera mardi et ce sera face à la Bosnie-Herzégovine. Voilà, c'est là que les
00:04:02Bleuets vont préparer cette rencontre, rencontre importante face au leader de leur groupe en vue
00:04:07de la qualification à l'Euro 2025. Et puis vous avez vu, les intendants ont tout préparé ici pour
00:04:13que les Bleuets soient dans les meilleures conditions avec le nécessaire des fruits secs,
00:04:17des bananes pour être en pleine forme pour ce match-là qui sera à suivre sur la chaîne
00:04:21l'équipe tout à l'heure à 18h30. Parfait, merci Timothée, génial d'être dans les vestiaires à la
00:04:272h du coup de revoir. Privilège, autre privilège, on aura le traditionnel entretien d'avant-match.
00:04:32Vous savez, quand on est détenteur des droits, on a le droit de rencontrer le sélectionneur,
00:04:35de lui poser trois questions. Tête à tête. Première fois que Gérald Batik sera en tête à
00:04:38tête face à Timothée Memon. Va-t-il résister à son charisme ? On verra bien !
00:04:43Il peut se passer des trucs, c'est toujours un moment important. Ce sera un petit peu plus tard.
00:04:4616h14, on enchaîne avec la présidence de la LFP qui fait beaucoup parler. Vous savez que mardi,
00:04:52se tiendra l'élection présidentielle avec un duel annoncé entre la Brune et l'Inet. Les
00:04:56présidents de Ligue 1 et de Ligue 2, entre autres, vont devoir voter mais il paraît qu'il y a deux
00:05:00d'entre eux qui ne sont plus très sûrs d'eux et qu'ils vont peut-être lâcher l'affaire. Juju,
00:05:04explique-nous ça. Oui, notamment le président de Lens, Joseph Ougourlian, qui a annoncé dans
00:05:08un poste LinkedIn, retirer sa candidature au conseil d'administration de la LFP. Regardez ce
00:05:15qu'il a déclaré. « Le système de gouvernance actuel me semble à bout de souffle devant les
00:05:19contours politiques que prend cette élection présidentielle et pas récocher celle du conseil
00:05:23d'administration. Il est préférable pour moi de rester fidèle à mes convictions et à mes valeurs,
00:05:28j'avoue, être sidéré par le manque de réaction du conseil d'administration. » Selon les informations
00:05:34de l'équipe, Valdemar Kitta, lui, devrait en faire de même mais content de la tournure des
00:05:39événements lui aussi. Avec leur désengagement, le collège de Ligue 1 de mardi matin, pour désigner
00:05:45les sept représentants de l'élite au conseil d'administration, n'a plus trop de suspense.
00:05:49Dans un instant, on sera avec quelqu'un qui siège au conseil de la LFP, donc qui pourra
00:05:54nous donner son avis. Mais juste petit premier tour de plateau rapide, est-ce qu'il faut louer
00:05:58ou blâmer cette attitude ? Parce que Ougourlian, il dénonce un ras-le-bol mais en même temps,
00:06:01il quitte un peu le navire, Pierre. « Féliciter des personnes qui quittent le navire quand ça
00:06:07tingue un peu, moi, ça me pose un petit peu problème. Donc, je pense que s'ils sont là,
00:06:10c'est qu'il y a un intérêt, au moins un sujet de discussion. Partir à la moindre petite soufflante,
00:06:16je ne suis pas sûr que ça les glorifie plus que ça. » Mais c'est pour s'opposer à la brune en
00:06:20même temps. « Oui, ça marche bien. » « Je suis un peu sur la même longueur que Pierrot,
00:06:23quitter le navire comme ça, mais c'est surtout à deux ou trois jours de l'élection. Encore,
00:06:30si on aurait pu les féliciter, s'il y a quelques mois, ils auraient senti la chose et se dire,
00:06:37voilà, j'ai besoin de partir maintenant. Mais finalement, à trois jours, je trouve que c'est
00:06:42un peu bizarre. » « En fait, moi, je comprends un petit peu, parce que vu que c'est des votes
00:06:45anonymes, du coup, c'est une façon à lui de pouvoir se démarquer en disant, voilà, moi,
00:06:49je ne participe pas à ça, je prends une position là-dessus. Malgré tout, on aurait aimé qu'il
00:06:56puisse continuer à se battre. » Tu penses que prendre une position en fuyant, c'est une bonne
00:07:00image ? « En fait, c'est ce qu'il a envie de montrer, de dire, voilà, moi, je ne prends pas peur
00:07:05à ça. C'est une mascarade depuis le début. C'est perdu d'avant. Vous voyez, voilà, moi, je ne ferai
00:07:10pas partie, entre guillemets, de ce moule-là. Je me démarque. C'est sa façon à lui de se démarquer.
00:07:14Maintenant, voilà, sur la forme, je peux comprendre le fond. Je partage votre opinion. Je pense que
00:07:19c'est dommage de ne pas se battre jusqu'au bout. Il peut encore influencer du monde. Bon, voilà,
00:07:24je trouve effectivement que c'est dommage dans le fond. » On a un témoignage précieux qui sera
00:07:30mardi à l'élection. François Morinière, membre du conseil d'administration de la LFP, qui fait
00:07:34partie du Collège des indépendants, comme Gervais Martel ou encore Karl Oliv, qui ne sont pas
00:07:38présidents. Bonjour François, bienvenue dans l'équipe de Choc. « Bonjour France, quel plaisir
00:07:43de vous voir, bonjour à tous. » Mais partagez ! Alors, vous avez forcément vu ses déclarations.
00:07:46« Non, à Jeuny. » Oui, on va dire ça. On arrête peut-être. On n'est pas entre nous, François,
00:07:50tout le monde nous regarde. Vous avez vu, notamment, ses déclarations. Donc, le président
00:07:55de Lens qui dénonce un manque de réaction du conseil d'administration. Donc, vous êtes
00:07:59directement concerné. François, qu'est-ce que vous répondez à ce constat de Joseph Ougourlian ?
00:08:03« Je pense que ce qu'il constate, c'est qu'en fait, le conseil ne sert pas à grand-chose. Et je
00:08:11fais le même constat, c'est-à-dire que la collégialité du conseil ne fonctionne pas bien,
00:08:15parce que l'essentiel de décision se prenne entre les présidents de Liguin, dans ce collège Liguin,
00:08:20et qu'il n'y a pas beaucoup d'interaction. Et donc, je pense qu'il n'est pas très à l'aise avec ça.
00:08:26Et je pense qu'il a d'autres choses à faire. Donc, c'est du temps investi qu'il n'a pas envie
00:08:31d'investir. C'est dommage pour le conseil, parce que je pense que c'est quelqu'un de bonne qualité,
00:08:34qui a apporté au football français, qui est un homme d'affaires, je dirais, confirmé. Et donc,
00:08:41son départ, ce n'est pas une bonne nouvelle. Voilà, je pense que c'est quelqu'un qui pouvait
00:08:45apporter. Et alors, ce qu'il faut, c'est essayer de se remettre un peu… il faut toujours avoir
00:08:49le sens de l'histoire. C'est-à-dire que ce conseil d'administration, il a été… c'était
00:08:54un petit peu au quai Corral entre 2016 et 2020, entre Didier Kiyo, Nathalie Boulatour, Jean-Michel
00:08:59Hollace, tout le monde, ça tirait dans tous les sens. Et on est passé probablement un peu dans
00:09:03l'extrême inverse, où finalement, maintenant, on n'ose plus trop parler. Dès qu'il y a un avis
00:09:10qui s'exprime, peut-être c'est mal perçu. Et donc, du coup, ce besoin d'unité, il a été un peu trop
00:09:16forcé, je pense. Et du coup, peut-être que les gens n'ont pas pu s'exprimer. Mais voilà, ce n'est
00:09:20pas simple à faire fonctionner, ça, c'est sûr. – François, on rappelle…
00:09:22– Moi, je fais un peu le même constat. Du coup, je ne me présente pas, moi, je ne me représente pas.
00:09:26D'abord, j'ai pas mal de choses à faire et qu'ensuite, c'est vrai que j'ai l'impression
00:09:29que je ne sers pas à grand-chose. – Pour l'élection de mardi, donc, vous ne vous
00:09:32représentez pas au siège du conseil administratif, mais vous y serez, en tant que témoin.
00:09:36– Oui, j'ai le plaisir d'être invité, quand même. – Alors, est-ce qu'on peut vous demander votre
00:09:39avis sur ce vrai-faux duel entre Linette et Labrune ? Maintenant, vous êtes neutre, vous auriez…
00:09:44– Le bilan de Vincent Labrune, il est contrasté. C'est vrai qu'il a fait des choses intéressantes.
00:09:51Je crois qu'il s'est beaucoup battu. La saillie de Médiapro, le deal CDC, le remboursement du PGE.
00:09:58C'est vrai qu'après, la séquence droite télévision, elle a été compliquée.
00:10:02Il a reconnu lui-même, d'ailleurs, qu'il a pu faire des erreurs.
00:10:04Donc, je ne crois pas qu'il soit dans une logique de dire « je suis le meilleur, je suis le plus beau ».
00:10:07Enfin, en tout cas, ce n'est pas ce qu'il a dit récemment. J'ajouterais quand même qu'il y a pas mal
00:10:11de présidents de club qui ont été impliqués dans la dernière ligne droite.
00:10:14Pas les indépendants comme moi, malheureusement, mais ils n'étaient pas quand même tous seuls
00:10:17à la manœuvre, ils étaient plusieurs. Et donc, ce n'est pas fait non plus sans l'intervention de pas mal de gens,
00:10:26y compris Philippe Diallo. Donc, il y a une déception, mais je pense qu'il faut qu'il y ait aussi
00:10:31le fait d'assumer collectivement cette déception. Et à l'inverse, je ne crois pas qu'on se présente
00:10:37comme candidat en un mois parce qu'on change de boulot. Donc, il faut connaître bien les dossiers,
00:10:43il faut les travailler depuis longtemps. Ce n'est pas si simple que ça.
00:10:45Donc, je ne sais pas si l'opposition qui se présente est en mesure, sur le fond, d'apporter beaucoup.
00:10:53Ça, c'était pour Cyril Linette. François, je vous passe Pierre Bouby qui est passionné par le sujet.
00:10:57Bonjour François. Bonjour Pierre.
00:10:59Bonjour. J'ai une question par rapport à ce qu'a déclaré Cyril Linette sur le fait qu'il a exprimé
00:11:06qu'il fallait une dizaine d'années un peu pour remettre la Ligue 1 sur le droit chemin avec son projet.
00:11:12Vincent Labrune, avec ce qui s'est passé, vous l'avez bien émulé, CVC, Média Pro, la crise des droits TV.
00:11:18Est-ce qu'en quatre ans, avec tous ces dossiers-là sur le dos, est-ce qu'on peut s'attendre à un début de projet, finalement, à enclencher ?
00:11:29C'est toujours pareil. Est-ce que vous jouez la question de l'expérience en disant qu'il a appris de ce qu'il a fait ?
00:11:34Peut-être qu'il va quand même réformer le fonctionnement de la gouvernance en ce moment.
00:11:37D'ailleurs, le conseil s'est engagé à ce que l'histoire des parrainages soit un peu nettoyée.
00:11:43C'est un détail. Donc, je pense qu'il a en tête quand même un certain nombre d'erreurs faites, de choses à faire.
00:11:49Est-ce qu'il est capable de le faire ? C'est une question.
00:11:51Est-ce qu'à l'inverse, il faut repartir de zéro et donc espérer en dix ans les perspectives de Cyril Linette ?
00:11:56C'est peut-être quand même un peu loin. Je ne sais pas si les clubs français, le football français,
00:12:00ont les moyens d'attendre dix ans avant de voir un changement de cap.
00:12:06Probablement, le CBC non plus n'a pas dix ans devant lui pour attendre de voir ce qui se passe.
00:12:10Je trouve que c'est un peu illusoire, si vous voulez, aujourd'hui.
00:12:14Quelle entreprise, même dans des perspectives longues, est capable d'avoir un plan à dix ans ?
00:12:18Oui, peut-être Dassault-Othalès. Le football, ce n'est quand même pas des missiles ni des fusées.
00:12:22Donc, je pense qu'on doit pouvoir quand même faire des choses dans les quatre ans qui viennent.
00:12:25Merci François. Pierre, tu continues. Je crois que ça te concerne aussi.
00:12:28Oui, c'est une très belle chute.
00:12:32J'ai une autre question que je me pose. L'opinion publique, on l'a bien compris, était contre Vincent Labrune.
00:12:37J'ai plus l'impression qu'il soit personnel, plus que par rapport à son bilan, même si les droits de l'homme ont fait beaucoup de mal.
00:12:42Comment, de votre point de vue, vous pouvez expliquer qu'en fait, par rapport aux missiles que Vincent Labrune prend de tous les côtés,
00:12:49puisse y avoir autant de présidents, autant de personnes qui continuent de croire en son projet ?
00:12:54Ce n'est pas un gourou, Vincent Labrune. S'il est arrivé avec une proposition qui est nulle, il n'y aurait pas de débat.
00:13:00Là, pour le coup, le débat se pose parce que ces gens qui sont présidents, ces gens qui votent pour lui, sont des chefs d'entreprise,
00:13:05ce sont des gens qui sont assez brillants. Il y a un truc qu'on ne sait pas. Ce n'est pas possible.
00:13:10Alors moi, je n'en sais pas plus que vous. On peut faire plusieurs hypothèses.
00:13:15Soit ils sont devenus idiots quand ils parlent de football. C'est toujours possible.
00:13:19C'est vrai que le football rend un peu fou. Soit ils sont liés par des connexions que je ne connais pas
00:13:25et donc ont fait des procès d'intention sur des renvois d'ascenseurs.
00:13:29Soit ils sont quand même assez réalistes sur la situation. Encore une fois, un certain nombre d'entre eux ont participé très près au Négo,
00:13:36Longoria, évidemment Nasser, mais d'autres, Rivère, etc.
00:13:41Donc ils n'étaient pas dans leur chaise longue en attendant de savoir si c'était 400, 500 ou 600.
00:13:46Donc il y a eu énormément de réunions, je vous rappelle, dans la période Médiapro, dans la période CVC.
00:13:53Donc c'est quand même des gens qu'on travaille ensemble de manière assez rapprochée.
00:13:57Donc s'ils considèrent aujourd'hui que Vincent Labrune est capable de continuer à tenir le manche, je pense qu'ils ont des raisons.
00:14:03Après, peut-être qu'ils font de mauvaises analyses.
00:14:06Et sans doute que la séquence est tellement rapprochée entre le bilan des droits de télé et cette élection
00:14:13que du coup, il n'y a peut-être pas eu le moment nécessaire pour apaiser les choses,
00:14:17se dire ce qui allait marcher, ce qui n'allait pas marcher, définir un plan, etc.
00:14:20Moi, je trouve que ce qu'on appelle un post-mortem, c'est de dire qu'est-ce qu'il faut qu'on change ?
00:14:26Alors peut-être qu'ils vont le faire après et qu'ils se disent Vincent Labrune est capable de le faire.
00:14:30C'est un peu dommage qu'on ne l'ait pas fait avant, je trouve.
00:14:32Il serait probablement facilité la compréhension, au moins à l'extérieur.
00:14:35Après, ce n'est pas une élection suffrage universelle.
00:14:39Donc ce n'est pas les réseaux sociaux qui font l'élection.
00:14:42C'est une élection des grands électeurs.
00:14:44Et tant mieux sûrement.
00:14:46Oui, parce que je ne pense pas que ce soit à l'indicte de mettre Labrune à un potent,
00:14:51ce qui va faire que les droits de la télé vont augmenter le 1er octobre.
00:14:55Et personne n'a de magasine magique, certainement pas Cyril Linette.
00:14:57François, pour terminer, je voudrais qu'on revienne sur votre première déclaration.
00:15:00Le conseil administratif, finalement, ne sert pas à grand-chose.
00:15:03Concrètement, prenez-moi par la main, je ne sais pas comment ça marche.
00:15:05Vous vous réunissez souvent ? Combien de temps ? Qu'est-ce que vous y faites lors de ces conseils ?
00:15:09On a une idée de…
00:15:10C'est variable.
00:15:11Il y a un calendrier annuel avec, je dirais, 3 ou 4 conseils par an.
00:15:16Et puis après, il y a des réunions qui se montent de manière adéquate en fonction de l'agenda.
00:15:20Donc, ça peut être sur un sujet administratif, un sujet juridique, parce qu'il y a un problème avec un club.
00:15:26Ça peut être sur la négociation de la CBC au capital.
00:15:31Ça peut être un problème de club qui doit être relégué par relégué.
00:15:34Enfin, voilà, c'est un petit peu en fonction de l'actualité.
00:15:36Et vous avez votre mot à dire.
00:15:39À mon avis, c'est des dossiers assez techniques.
00:15:42Et sur des points clés, on a quand même l'impression qu'ils paient les cides.
00:15:48Ce qui n'est pas un mauvais réflexe en tant que tel, parce que c'est vrai que moi, je ne suis rien du tout.
00:15:53Je ne suis pas actionnaire, président ou quoi que ce soit.
00:15:56Mais dans des conseils d'administration, il y a des gens qui sont ça, qui ne sont effectivement rien,
00:16:00mais qui sont là parce que, comme ils sont indépendants, ils ont le droit de dire ce qu'ils pensent.
00:16:03Ils peuvent avoir une opinion.
00:16:04C'est pour ça que moi, je me suis abstenu sur le choix d'Amazon, parce que je pensais que l'offre n'était pas claire.
00:16:09Ce n'est pas pour ça que je considère que ça a été mal négocié.
00:16:12Mais je trouve qu'on n'était pas capable de prendre cette décision.
00:16:15Mais il fallait la prendre.
00:16:16Moi, je ne peux pas la prendre.
00:16:17Il y a trois ans, je me suis abstenu sur Amazon, parce que je pensais que l'offre d'Amazon n'était pas claire.
00:16:22Je pensais que proposer des liens comme un package de promotion de vidéos, ça m'ennuie.
00:16:28Je trouvais que l'offre n'était pas claire en termes de liens.
00:16:31J'ai posé la question, mais si on brûle les mains sur l'alcool, qu'est-ce qu'il va se passer ?
00:16:36Le monsieur l'a envoyé dans mes buts en me disant que les GAFA, c'est l'avenir du monde.
00:16:40Donc, il faut y aller.
00:16:41Je ne sais pas.
00:16:42François, je suis obligée de raccrocher.
00:16:45On s'arrête ici.
00:16:46Non, ce n'est pas ça.
00:16:47C'est la liaison un peu mauvaise, mais c'était vraiment un témoignage précieux.
00:16:50Merci pour ce témoignage et bonne élection.
00:16:53Même si vous ne voterez pas, vous serez mardi au siège de l'LFP.
00:16:56Au revoir, François.
00:16:57J'espère.
00:16:58Au revoir, France.
00:16:59C'est important.
00:17:00Maintenant, on sait ce qu'il s'y passe dans ces conseils d'administration.
00:17:03On voit que c'est un message de plus, d'impuissance finalement à pouvoir faire changer les choses.
00:17:07Il y a une hiérarchie aussi par rapport peut-être au club de Ligue 1,
00:17:11peut-être à des personnes qui sont bien au pouvoir,
00:17:14et puis finalement les autres qui n'ont rien, les voix ne portent pas.
00:17:19On a une démocratie qui nous empêche.
00:17:22Le Sénat a un avis consultatif et on ne dit pas que ça ne sert à rien non plus.
00:17:26Ils amènent ce qu'ils pensent.
00:17:28Après, si tu as des bonnes idées, peut-être qu'ils les prennent aussi.
00:17:31Peut-être que les idées proposées ne sont pas forcément très bonnes.
00:17:34Après, c'est le rôle aussi d'un CA.
00:17:36Il y a quelque chose qui n'est pas toujours très clair,
00:17:38et on se pose la question je crois depuis qu'on suit cette présidence de l'LFP,
00:17:41c'est comment on vote, qui vote, et Juju a des explications là-dessus.
00:17:43Oui, surtout Olivier Ménard, notre mémé, présentateur de l'équipe du soir,
00:17:48a mené l'enquête et a raconté hier dans l'équipe du soir
00:17:51comment l'élection allait finalement se dérouler.
00:17:54Regardez, écoutez, c'est très instructif.
00:17:56D'après mes informations, Nasser Al-Khalifi, Jean-Pierre Caillot,
00:18:00Damien Komoli et Pablo Longoria sont pro-La Brune.
00:18:04Les autres qui restent, Jean-Pierre Rivère, Olivier Lettent
00:18:07et Juan Sartori, vice-président de Monaco,
00:18:09eux, on va les mettre dans les indécis.
00:18:11La Brune prend 4 voix supplémentaires, ça fait 5 voix.
00:18:15L'Inet pour l'instant avec les indécis ne marque pas de voix.
00:18:19Sur la ligne de départ, 3 présidents, Bernard Jouannin-Damien,
00:18:22Loïc Ferry de Lorient, Pierre-Olivier Murat de Rodez,
00:18:25ils sont 3 candidats pour 2 postes.
00:18:27En Ligue 2, c'est facile.
00:18:28Quel que soit le candidat ou les candidats qui resteront,
00:18:31Bernard Jouannin, Loïc Ferry ou Pierre-Olivier Murat,
00:18:34votent La Brune.
00:18:35Le président du syndicat des entraîneurs, vous savez, le Futuni.
00:18:38Président des présidents.
00:18:39Le président des présidents, Futuni.
00:18:41Bon là, pas de suspense, il roule pour Vincent La Brune, il l'adore.
00:18:45La Brune passe donc à 8 voix.
00:18:47L'Inet reste à 1 voix.
00:18:49Balle de match pour Vincent La Brune
00:18:51qui n'a plus qu'à récolter plus qu'une voix pour être élu.
00:18:54Selon mes informations, Philippe K votera pour Vincent La Brune.
00:18:58La 9e voix est acquise et Vincent La Brune est couronné.
00:19:03Merci beaucoup Mémé pour cet éclairage
00:19:06que vous pouvez retrouver sur le compte X de l'équipe du soir.
00:19:08Mathieu, les dés sont déjà pipés finalement pour l'élection de mardi.
00:19:12C'est pour ça que les deux présidents ont voulu renoncer.
00:19:16Et encore une fois, je trouve ça dommage de ne pas continuer à se battre jusqu'au bout.
00:19:21Mais quand tu sais que tu n'as aucune chance au bout.
00:19:23Oui, mais le but c'est toujours de défendre son opinion jusqu'au bout.
00:19:27Tu ne sais jamais.
00:19:28Peut-être qu'il y a des personnes qui ont dit qu'ils allaient voter
00:19:30et qui peuvent se retourner au dernier moment
00:19:32et trouver des arguments pertinents.
00:19:34Se battre jusqu'au bout, c'était intéressant.
00:19:37Mais encore une fois, je vois aussi son opinion.
00:19:40Quand on a une envie de renoncement, on peut se démarquer.
00:19:44Vu que ce sont des votes anonymes,
00:19:46je ne fais pas partie de ça, je préfère me démarquer.
00:19:50Ce que je veux dire, c'est qu'il y a Julien qui te lance l'idée de son pipet.
00:19:55C'est aussi la forme et la façon de procéder dans cette élection
00:19:59qui fait que ce n'est peut-être pas pipet.
00:20:01C'est juste leur choix.
00:20:02Tu peux le considérer comme honnête.
00:20:04Tu n'es pas obligé de dire que...
00:20:06Totalement d'accord.
00:20:07Après, si tu ne convainc pas les gens, c'est un peu ta faute aussi.
00:20:11Totalement d'accord.
00:20:12Il y a 17 votants.
00:20:13Il faut qu'il y en ait 9.
00:20:14Ils n'ont rien volé.
00:20:15Ils ont remis son titre en jeu.
00:20:19Il y a des votes.
00:20:20Malheureusement, c'est un peu du copinage.
00:20:24Jusqu'à présent, La Brune ne nous présente rien.
00:20:27On ne peut que baser sur ce qu'il a fait avant.
00:20:30Peut-être que ça ne sera pas mieux avec Cyril Linet.
00:20:33Au moins, Cyril Linet nous présente quelque chose sur le court et moyen terme.
00:20:39Ils peuvent nous dire que ça peut être cohérent.
00:20:42Est-ce que le résultat peut être différent que La Brune ?
00:20:46Non, pas différent.
00:20:47Est-ce qu'il peut être contesté par d'autres instances ?
00:20:51Le CNOSF ?
00:20:52Il y a des recours.
00:20:53Quelque part, le recours, c'est le ministère sans ministre, pratiquement.
00:20:58L'idée est missionnaire.
00:20:59On ne sait pas qui sera le prochain ministre des Sports.
00:21:02Après, c'est une élection.
00:21:03Est-ce qu'il y a quelque chose derrière ?
00:21:06C'est peut-être aussi une solution.
00:21:08Si tu veux contester, il faut que tu aies des preuves aussi.
00:21:10Après, tu peux faire rallonger le fait de contester.
00:21:13Peut-être que ça va permettre à Cyril Linet de pouvoir avoir plus de choses.
00:21:17Il y a un truc qu'il faut m'expliquer.
00:21:18Il y a le statut de la LFP.
00:21:21Les statuts ont été écrits.
00:21:22C'est comme ça que l'élection est faite.
00:21:24La ministre des Sports sortante, Amélie Oudéa Castera, a appelé Philippe Piat pour faire un compromis.
00:21:30Et le compromis, c'est quand même que si Cyril Linet rentre et qu'il n'est pas élu, il redémissionne.
00:21:34Il doit partir après.
00:21:35Moi, je veux bien, mais les choses dans les deux sens, c'est un peu n'importe quoi.
00:21:39Si ça ne va pas, il fallait changer les statuts peut-être il y a quatre ans.
00:21:43Mais là, on est dedans.
00:21:44Donc, je ne vois pas comment tu remettras en cause l'élection de Vincent Labrune s'il est élu.
00:21:47Moi, ça me paraît difficile.
00:21:48Quand Labrune avait été élu, il n'avait pas eu la majorité non plus.
00:21:52Deux fois, il avait eu un recours.
00:21:54Et deux fois, il n'avait pas eu la majorité.
00:21:56Et pourtant, il a été élu.
00:21:57C'est aussi pour ça que c'est mal fait.
00:22:00Les choses sont mal faites.
00:22:01Deux fois, il n'a pas eu la majorité.
00:22:03Prochain rendez-vous.
00:22:04Mardi, donc, pour cette fameuse Assemblée Générale de la LFP qui devra élire un nouveau président
00:22:09ou alors réélire celui qui est en palace.
00:22:1116h32, on va passer à la Planète Sport maintenant.
00:22:18On démarre cette Planète Sport avec l'actualité des Jeux paralympiques
00:22:22et la médaille d'argent décrochée par Kevin Lequin sur la course en ligne.
00:22:27Vous allez le voir sur les images.
00:22:28Le Français, qui était bien placé dans les derniers mètres,
00:22:30a finalement été battu par un Ukrainien, Dementiev.
00:22:34Gastien Lerousseau, aussi dans le coup, prend la quatrième place.
00:22:37Vous voyez, le Français, Kevin Lequin, 36 ans, s'était imposé sur cette même épreuve il y a trois ans
00:22:42lors des Jeux paras de Tokyo.
00:22:43Mercredi dernier, il avait remporté la médaille d'or sur le contre-la-montre.
00:22:46Médaille d'argent également aussi sur la course en ligne pour la Française Heidi Gauguin
00:22:52qui a 19 ans seulement et qui prend une troisième médaille d'argent sur ses Jeux paras
00:22:57au classement des médailles.
00:22:58Dans la France, c'est toujours cinquième avec 64 médailles.
00:23:04Mais maintenant, on va aller du côté du Club France pour retrouver notre envoyé spécial,
00:23:09notre testeur, Charles-Antoine Norat.
00:23:12Hier, Charles-Antoine, tu as testé l'escrime fauteuil.
00:23:15Aujourd'hui, tu nous as réservé quoi ?
00:23:20Julien, je suis en plein match de basket fauteuil.
00:23:22Je suis désolé, on est très pris.
00:23:24Les Français ne se sont pas très bien débrouillés aujourd'hui.
00:23:26Ils se sont inclinés 72-57.
00:23:29Ça va très très vite.
00:23:31Face à l'Espagne, ils ont fini dernier.
00:23:33On défend, allez, on défend les Bleus.
00:23:35Mais nous, on va essayer de faire mieux.
00:23:36Julien, on va essayer de faire mieux.
00:23:38On va essayer de faire mieux.
00:23:39Alors, c'est très dur d'avoir le micro et le poteau en même temps.
00:23:43Là, je suis dans l'équipe des Bleus.
00:23:45Personne ne veut te donner le ballon, apparemment.
00:23:47C'est super.
00:23:50On est très occupé au Club France avec Dorine Jarnias, je vous l'assure.
00:23:55On profite de cette journée.
00:23:57Il y a beaucoup d'enfants.
00:23:58Non, mais je suis très nul.
00:23:59Je ne suis pas meilleur qu'en escrime, Julien.
00:24:01Je suis désolé.
00:24:02C'est la catastrophe.
00:24:03Mais on se donne rendez-vous à Los Angeles.
00:24:05On va essayer de faire quelque chose, je vous l'assure.
00:24:07Merci, Charles-Antoine.
00:24:08Merci beaucoup.
00:24:09On te retrouve, bien évidemment, dans l'équipe du soir.
00:24:11En fin de journée, pour débriefer cette journée.
00:24:14On n'aura pas le médaille avec lui, je crois.
00:24:17Il l'a mis.
00:24:21On va enchaîner avec Annie Dalgo, la maire de Paris,
00:24:24qui a confirmé ce matin en conférence de presse
00:24:26son souhait de conserver les anneaux olympiques sur la Tour Eiffel
00:24:30pour la prochaine Olympiade, au minimum.
00:24:33Regardez ce qu'elle a déclaré.
00:24:34« La proposition que j'ai faite, c'est que jusqu'en 2028,
00:24:37c'est-à-dire jusqu'aux Jeux Olympiques de Los Angeles,
00:24:39nous laisserons les anneaux sur la Tour Eiffel
00:24:41et peut-être qu'ils resteront après. »
00:24:43On verra.
00:24:44Annie Dalgo veut également maintenir les agithos paralympiques
00:24:47sur les Champs-Elysées à l'issue des Jeux,
00:24:50qui s'achèvent dimanche.
00:24:52Alors Pierre, qu'est-ce qu'on fait ?
00:24:53On garde tout ?
00:24:54Les anneaux sur la Tour Eiffel ?
00:24:56Les agithos sur les Champs-Elysées ?
00:24:57Moi, je n'étais pas franchement pour garder ni les anneaux,
00:25:03ni les agithos.
00:25:04Jusqu'en 2028, je ne sais pas, ça ne sert à rien.
00:25:07Mais bon, elle est contente.
00:25:08C'est une manière de nous la mettre en douce.
00:25:11Après 2028, ça ne sert à rien.
00:25:14Mais je ne sais pas ce qu'elle a avec ça.
00:25:16Mais c'est symbolique.
00:25:17Il y a plein de gens qui adorent ça.
00:25:18Moi, je fais partie d'eux.
00:25:19Qu'ils achètent la porte-clé, qu'ils le gardent.
00:25:21Ça reste pour les JO.
00:25:23Pour les JO, ça dure jusqu'en 2028.
00:25:25Une fois que c'est passé, on va être en 2025,
00:25:27ça rappelle des souvenirs.
00:25:29Qu'on le remette à chaque Olympiade,
00:25:32qu'on fasse un souvenir, qu'on le remette pendant un mois.
00:25:35Ça coûte de l'argent de le mettre de l'envers.
00:25:37On ne mettrait pas un chapeau La Frige sur la Tour Eiffel aussi ?
00:25:40Je n'ai pas pris ce qu'il y a en plafond, t'as de la chance.
00:25:42À vie, comme ça, en acier.
00:25:44Moi, j'aurais préféré qu'on les mette justement pendant 4 ans.
00:25:47À partir du moment où on a fini Tokyo,
00:25:49on les met pendant 4 ans jusqu'à aujourd'hui.
00:25:51Beaucoup plus cohérent.
00:25:52Jusqu'à aujourd'hui et à la fin des JO paralympiques.
00:25:55Tu te présentes ou pas pour l'Amérique de Paris ?
00:25:57Ça va être dur.
00:25:58Ils veulent l'échanger quand même.
00:26:00Ça ne sera pas à la commande des nouveaux allants.
00:26:02Des plus légers.
00:26:03À l'augmenter les impôts aussi.
00:26:06Avec l'actualité, l'équipe de France féminine de Hand,
00:26:08qui a un nouveau sélectionneur.
00:26:10On le savait, Olivier Krumboltz l'a arrêté après les JO.
00:26:13C'est son adjoint Sébastien Gardillou,
00:26:16que vous voyez au centre de l'image à côté des filles,
00:26:19qui va prendre la succession d'Olivier Krumboltz.
00:26:22Il était l'adjoint depuis 2016.
00:26:24En faisant ce choix, la Fédé choisit la continuité finalement.
00:26:28Le nouveau sélectionneur proposera un staff
00:26:30pour l'accompagner dans cette mission dans les prochains jours.
00:26:32On rappelle que l'équipe féminine de Hand a connu
00:26:35tous les titres de son histoire avec Olivier Krumboltz.
00:26:37Les JO en 2021, les Mondiaux en 2003, 2017, 2023,
00:26:41ou encore l'Euro en 2018.
00:26:43Une grande page du monde français.
00:26:46C'est comme Vincent Collet au basket.
00:26:49Il n'y en a qu'un qui s'accroche.
00:26:51On aime la continuité.
00:26:53Je n'ai pas compris.
00:26:55On va passer à de l'athlétisme.
00:26:57Si vous le voulez bien, on va filer du côté de Zurich.
00:27:00Prenons des nouvelles des Français.
00:27:02Notamment, Sirena Sambamayela, la vice-championne
00:27:05olympique du 100 mètres haies,
00:27:07qui va être au couloir numéro 6,
00:27:09a pris la deuxième place en 12 secondes 40.
00:27:12Elle est seulement battue par sa collègue d'entraînement
00:27:14et championne olympique de Tokyo, Jasmine Kamachokuin,
00:27:16qui la devance de 4 centièmes.
00:27:19Ça m'a un peu rappelé la finale des Jeux olympiques.
00:27:21Regarde France, 4 centièmes.
00:27:23C'est quoi 4 centièmes dans une vie ?
00:27:25Chez les garçons, le spécialiste français du 110 mètres haies,
00:27:28Sacha Zoya, présenté depuis des années
00:27:30comme la nouvelle pépite de l'athlétisme,
00:27:32s'est réveillé en fin de saison.
00:27:34Il est couloir numéro 2.
00:27:36Il va prendre lui aussi la deuxième place
00:27:38en battant son record personnel en 13 secondes 10.
00:27:40C'est 5 centièmes de mieux que son précédent record.
00:27:43Il a été devancé par le champion olympique américain,
00:27:45Grant Holloway.
00:27:47Je suis très frustrée.
00:27:48Pourquoi ?
00:27:49Je sais que vous ne vouliez pas en parler pendant des heures,
00:27:51mais moi j'en aurais fait un tel ce soir.
00:27:53Sacha Zoya qui tape son record perso un mois après les Jeux.
00:27:55Il aurait pu être champion olympique peut-être.
00:27:57C'est pour ça que ce n'est pas toi qui décides, Français.
00:27:59Allez, thème suivant.
00:28:01J'adore.
00:28:03Un mot du roi de la perche, le Suédois,
00:28:05Mondo Duplantis.
00:28:07Toujours en Suède, au meeting de la Ligue du Diamant,
00:28:09à Zurich.
00:28:11Mondo Duplantis n'a pas réussi à affranchir la barre des 6 mètres.
00:28:13La barre symbolique des 6 mètres.
00:28:15Il s'est arrêté à 5,82 mètres hier,
00:28:1711 jours après
00:28:19avoir battu son 10e record du monde
00:28:21de la spécialité, porté maintenant à 6,26 mètres.
00:28:23Mondo a franchi donc
00:28:255,82 mètres à son premier essai
00:28:27avant d'échouer par
00:28:29deux fois à 6,02 mètres.
00:28:31Puis après il a décidé d'arrêter le parcours.
00:28:33Tu parlais du 100 mètres, justement,
00:28:35français, qu'il a disputé mercredi soir
00:28:37la veille de ce meeting
00:28:39face à Carsten Warren, qui l'a remporté d'ailleurs
00:28:41face aux spécialistes du 400 mètre
00:28:43haie. Eh bien justement,
00:28:45son adversaire, le Norvégien,
00:28:47avait un gage pendant
00:28:49ce meeting de Zurich. Il devait porter
00:28:51un maillot suédois pendant son
00:28:53épreuve du 400 mètres haie. Eh bien,
00:28:55c'est ce qu'il a fait, Carsten Warren.
00:28:57Il a tenu promesse
00:28:59après le gage perdu,
00:29:01après cette course perdue, surtout,
00:29:03ce 100 mètres perdu face à Mondo Duplantis.
00:29:05Il est Norvégien, on le rappelle.
00:29:07On revenait quand même sur Duplantis
00:29:09où on n'est jamais sûr
00:29:11de pouvoir battre son record.
00:29:13On n'est jamais sûr.
00:29:15Encore une fois, il nous claque un 6 mètres,
00:29:17on ne sait pas pourquoi.
00:29:19Il était peut-être pas bien. Non, mais il a échoué à 6 mètres.
00:29:21On n'est jamais sûr qu'il va nous claquer
00:29:23un temps éternel des records.
00:29:25C'est normal qu'il le fasse un centimètre par centimètre.
00:29:27Il est fatigué par le 100 mètres de la veille.
00:29:29Voilà, peut-être.
00:29:31Un gros titre, ça y est, c'est la fin.
00:29:33On n'est pas loin du tennis.
00:29:35Maintenant, on va filer aux Etats-Unis.
00:29:37On connaît la finale du tableau
00:29:39féminin à l'US Open,
00:29:41la Belarus Arena Sabalenka.
00:29:43En bas de votre écran, un numéro de mondial
00:29:45a dominé l'américaine Emma Navarro,
00:29:476-3, 7-6,
00:29:49qui pourra atteindre, comme l'an passé,
00:29:51la finale à l'US Open,
00:29:53surpassée en puissance Navarro,
00:29:55qui est quand même la révélation de l'année,
00:29:57mais novice à ce niveau de compétition.
00:29:59L'américaine a eu un sursaut dans la deuxième manche,
00:30:01mais Sabalenka a fait parler son expérience
00:30:03pour faire la différence.
00:30:05Sabalenka rencontrera donc en finale
00:30:07l'américaine Jessica Pegula,
00:30:09qui est en bas de votre écran,
00:30:11qui a dominé la tchèque Carolina Mouhova
00:30:13en 3-7,
00:30:151-6, 6-4, 6-2.
00:30:17Première qualification en finale de grand chelème
00:30:19pour Jessica Pegula face à Sabalenka.
00:30:21Ça va être compliqué.
00:30:23La demi-finale 100% américaine, c'est cette nuit-là ?
00:30:25C'est Laufritz contre Francesco Schiaffo.
00:30:27Pas mal ! Ça t'a plu, Pierrot ?
00:30:29Superbe. Superbe, merci pour cette présence.
00:30:31Après la pub, on va passer au bleu
00:30:33et là on va retrouver le sourire peut-être pour Boubi.
00:30:35France-Italie ce soir en Ligue des Nations,
00:30:37avec la surprise du chef.
00:30:39Mais si, ça va lui donner le sourire,
00:30:41c'est forcément le petit nouveau.
00:30:43Michael Ulise qui devrait faire sa grande première
00:30:45face peut-il changer carrément le visage des bleus ?
00:30:47La ronde la plus séduisante,
00:30:49peut-être plus offensive, on en parle dans quelques minutes.
00:30:59On est de retour dans l'équipe de choc avec, en ce moment,
00:31:01en direct, regardez sur l'équipe livefoot,
00:31:03vous avez un match de Ligue des Nations entre
00:31:05Kazakhstan et la Norvège, on reconnaît le maillot rouge.
00:31:07Et qui dit Norvège dit Erling Haaland,
00:31:09forcément, qui figure dans la liste du Ballon d'Or,
00:31:11on l'a vu cette semaine.
00:31:13Il va avoir des buts, je l'espère,
00:31:15parce que pour l'instant, 0-0 juste avant la mi-temps.
00:31:17C'est pas que le Royaume, mais ça va changer en deuxième mi-temps.
00:31:19Rendez-vous sur l'équipe livefoot pour la suite.
00:31:2116h48, on passe au match du soir ?
00:31:23Bien sûr.
00:31:25Je pense que ça va peut-être vous intéresser un petit peu plus que Kazakhstan-Norvège.
00:31:27France-Italie au Parc des Princes,
00:31:29premier match de Ligue des Nations pour les bleus
00:31:31et premier match aussi, normalement, pour Michael Ulise.
00:31:33Juju, à peine appelé, déjà aligné.
00:31:35Oui, le joueur du Bayern Munich
00:31:37va être titularisé
00:31:39par Dié Deschamps,
00:31:41en formation du journal L'Équipe.
00:31:43Il va même être positionné derrière
00:31:45Kylian Mbappé en position de meneur de jeu.
00:31:47À sa gauche, il aura
00:31:49Bradley Barcola qui va animer le couloir.
00:31:51L'aile gauche, Colomogny
00:31:53de l'autre côté.
00:31:55Un milieu à deux avec N'Golo Kanté et Fofana,
00:31:57le Néo Milanais.
00:31:59Et puis une défense à quatre avec Théo Hernandez,
00:32:01William Saliba, Oupamecano,
00:32:03Jonathan Kloss et Mike Maignan
00:32:05dans les buts, sans oublier le capitaine,
00:32:07Kylian Mbappé.
00:32:09Pierre Bouby travaille,
00:32:11prépare beaucoup les émissions.
00:32:13C'est bien de le dire, merci France.
00:32:15J'ai du mal à le comprendre, même en le disant.
00:32:17Pierre Bouby, tu nous as dit clairement
00:32:19je pense qu'Ulise va peut-être changer
00:32:21le visage de cette équipe.
00:32:23Est-ce que tu es prêt à le redire ?
00:32:25Bien sûr, je l'assume.
00:32:27Michael Ulise va porter quelque chose au bleu.
00:32:29Je suis parti d'un constat assez simple.
00:32:31On a vu l'Euro avec
00:32:33Griezmann et Mbappé en souffrance
00:32:35et on a vu,
00:32:37ça nous a sauté aux yeux, le manque de créativité.
00:32:39Le problème c'est que
00:32:41étant donné que les bleus
00:32:43et Didier Deschamps se basent exclusivement
00:32:45sur ce genre de choses et qu'il n'y a pas de réflexion sur le jeu
00:32:47offensif dans des schémas,
00:32:49dans des structures, dans des mouvements,
00:32:51on voit les limites de cette idée.
00:32:53C'est-à-dire que quand Griezmann ou Mbappé
00:32:55n'est pas en forme, on est complètement inoffensif.
00:32:57On l'a vu pendant l'Euro, je crois qu'on a mis un seul but dans le jeu
00:32:59et le deuxième sur pénalty.
00:33:01La question de se poser,
00:33:03de dire qu'Ulise va
00:33:05amener quelque chose,
00:33:07on va le regarder un petit peu avec des séquences,
00:33:09mais bien sûr, on a fait un montage,
00:33:11mais là, sur cette situation,
00:33:13on voit sa faculté, sur sa première touche,
00:33:15à se mettre dans le sens du jeu et de passer devant
00:33:17son coéquipier et derrière de trouver
00:33:19une passe encore juste. Je trouve qu'il a une
00:33:21justesse dans la dernière passe
00:33:23et le jeu vers l'avant qui est très très fort.
00:33:25Là ici, il voit le déplacement sur le côté en bas-gauche, on ne le voit pas,
00:33:27mais tout de suite il se rend disponible. Il a une faculté
00:33:29à se mettre entre des zones pour
00:33:31jamais être au marquage. Là, il l'a déjà vu derrière.
00:33:33Il a eu cette créativité
00:33:35que l'équipe de France n'a pas
00:33:37en tout cas en ce moment.
00:33:39Là, sur cette séquence, on voit aussi son
00:33:41idée de se mettre entre deux joueurs, tout le temps
00:33:43disponible pour son coéquipier et là,
00:33:45il sait déjà qu'il va être serré, donc il décale en une touche.
00:33:47Il prend une boîte au passage et malgré tout,
00:33:49c'est toujours du jeu vers l'avant.
00:33:51Et là, sur cette image, c'est la même chose.
00:33:53Il sait qu'il va être serré, du jeu en une touche.
00:33:55C'est ce qu'a un petit peu Griezmann, mais lui là aussi.
00:33:57La différence qu'il a par rapport à Griezmann,
00:33:59c'est qu'il est capable de faire ça, mais aussi en mouvement.
00:34:01Là, ici, on va le voir, il n'est pas spectateur.
00:34:03Il est tout de suite acteur. Il se déplace au cas où
00:34:05il y a une remise et la passe est fantastique.
00:34:07Il a toujours ce geste juste sur la
00:34:09dernière passe. Et la chose que je vais rajouter,
00:34:11c'est que dans l'effort
00:34:13défensif, c'est un
00:34:15joueur qui a une VMA de fou.
00:34:17Il court énormément. Il est rodé à la première ligue,
00:34:19donc il connaît les efforts.
00:34:21Et là où il m'a bluffé
00:34:23en tout cas le plus, c'est vraiment sur sa
00:34:25disponibilité. Quand on a Saliba et
00:34:27Upamecano, qui sont des très bons relanceurs,
00:34:29qui ont un bon jeu de passe,
00:34:31dans les intervalles qu'ils se sont laissés,
00:34:33et là où Antoine Griezmann pouvait se mettre
00:34:35avant, mais juste sur des déviations,
00:34:37Griezmann est capable de le faire, sauf que lui a une capacité
00:34:39à se retourner et à créer du danger
00:34:41instinctivement, à se mettre dans le sens du jeu.
00:34:43Et j'insiste encore sur cette dernière passe
00:34:45qui est assez incroyable. Là, ici,
00:34:47sur les images qu'on va voir, il est tout de suite en réaction.
00:34:49C'est-à-dire que sur ce but-là, il sait
00:34:51déjà qu'il va y avoir un renvoi du défenseur.
00:34:53Et l'autre, qui est en train de regarder,
00:34:55qui est spectateur, lui, il est en avance. Et après, il y a la qualité
00:34:57technique qui fait la diff. Donc moi, je pense que
00:34:59vraiment, ça va être un atout majeur pour l'équipe
00:35:01de France, avec en plus les qualités qu'il a devant.
00:35:03J'achète. Tu m'as convaincu. Dans le
00:35:05camp en face, est-ce que vous pensez que
00:35:07l'Olympique...
00:35:09Je donne mon avis, mais bon...
00:35:11D'une naïveté déconcertante.
00:35:13Retrouve de Cévi qui n'est pas d'accord
00:35:15avec Boubi. Voilà ! Alors, dis-nous pourquoi.
00:35:17Le problème, c'est pas Olysée.
00:35:19Ça reste Deschamps. Tu crois qu'il y a...
00:35:21Ça fait des années qu'on a
00:35:23Deschamps. Tu crois
00:35:25que c'est un nouveau joueur de 22 ans
00:35:27qui va arriver et qui va changer la philosophie
00:35:29du jeu de Deschamps, ou l'aspect
00:35:31offensif ? C'est une naïveté.
00:35:33Il a quasiment
00:35:35toutes les actions qu'il nous a montrées. C'est des actions
00:35:37de transition rapide. Depuis
00:35:39quand on joue en transition rapide ?
00:35:41Il y a eu beaucoup d'actions qu'il nous a montrées.
00:35:43C'est des transitions rapides. Écoute, on n'a pas tous les droits.
00:35:45Je ne peux pas tout montrer tout le temps. D'accord.
00:35:47On fait ce qu'on a. Quand est-ce qu'on joue
00:35:49à l'instinct ? Quand est-ce qu'on joue en transition rapide ?
00:35:51Avec Deschamps, on a bien
00:35:53compris. C'est défensif. C'est une maîtrise.
00:35:55On fait passer
00:35:57la balle, etc. Mais on a perdu
00:35:59tout l'attrait, entre guillemets, de la
00:36:01beauté du jeu, du spectacle. Il n'y a aucun
00:36:03pressing offensif. Il n'y a aucun
00:36:05pressing après la perte de balle.
00:36:07Non, on est dans une maîtrise seule.
00:36:09Je te dis
00:36:11comment ça va se passer le match. Vas-y. On va jouer
00:36:13exactement comme avant. Il n'y a aucune nouveauté
00:36:15qui va arriver. On va gagner le match.
00:36:17On ne va pas dribbler. On ne va pas provoquer.
00:36:19Exactement, c'est ça. Il n'y a rien. Non, c'est pour ça.
00:36:21On va gagner 2-0 ou 3-1
00:36:23parce qu'on est plus fort et qu'on a
00:36:25des individualités plus fortes. Mais collectivement,
00:36:27encore une fois, on ne va
00:36:29pas se régaler. On ne va rien voir de spécial.
00:36:31Si Ulysses est disponible dans l'entrejeu
00:36:33qu'il n'y a pas ça à faire, ils vont dire non, non, non, trop dangereux.
00:36:35On va rester derrière. On a été trop bien placé.
00:36:37Je ne vais pas te la donner. Pourquoi on ne le faisait pas avant ?
00:36:39Est-ce que les autres ne se plaçaient pas bien ? Parce que personne ne se plaçait dans ses zones.
00:36:41Franchement, attends.
00:36:43Combien de fois
00:36:45des fois... Comment s'appelle ?
00:36:47Mbappé décroché. Combien de fois
00:36:49Mbappé a la qualité d'Olysée
00:36:51pour se retourner dans le secteur ?
00:36:53Il n'a jamais fait venir
00:36:55entre les lignes, se retourner
00:36:57sur sa première balle, etc.
00:36:59On ne joue pas à l'instinct.
00:37:01Le problème, c'est que les 6
00:37:03qu'il a, ils ne jouent pas à l'instinct en équipe de France.
00:37:05Moi, je suis le juge.
00:37:07Monsieur le procureur
00:37:09qui intervient maintenant.
00:37:11Je veux juste dire
00:37:13que pour moi,
00:37:15si Olysée joue aujourd'hui,
00:37:17on voit que c'est un
00:37:19espèce de 4-2
00:37:21avec 4-3-2-1.
00:37:23Mais pour moi, ça sera
00:37:25un 4-5-1, comme d'habitude.
00:37:27Pour moi, ça sera un 4-5-1.
00:37:29Avec... Comment il s'appelle ?
00:37:31Mbappé un petit peu devant.
00:37:33Qui va roder
00:37:35Kylian. Et puis après, derrière,
00:37:37Olysée, c'est un joueur
00:37:39qui a de la spontanéité.
00:37:41Qui sait comment jouer.
00:37:43Comment être dans les intervalles.
00:37:45Comme tu l'as dit, Pierrot,
00:37:47la différence entre Didier
00:37:49et Thierry, le discours de
00:37:51Thierry et Didier est totalement
00:37:53différent.
00:37:55Que lui
00:37:57veuille jouer
00:37:59dans cette zone,
00:38:01je suis tout à fait d'accord.
00:38:03Si j'ai un joueur comme ça, je le laisse totalement libre
00:38:05dans ses mouvements,
00:38:07dans sa façon de penser.
00:38:09Mais la première chose que Didier va lui dire,
00:38:11attention à l'équilibre.
00:38:13C'est un bosseur.
00:38:15Il défend, lui.
00:38:17C'est son premier match.
00:38:19Il va vouloir prouver.
00:38:21Il va vouloir plaire à son sélectionnaire.
00:38:23Vous vous trompez sur le bonhomme.
00:38:25Il y a quelqu'un qui peut l'élu.
00:38:27Je suis totalement d'accord.
00:38:29Je préfère avoir tort.
00:38:31Un footballeur sur le plateau, c'est beaucoup trop.
00:38:33J'ai besoin d'avis journalistique,
00:38:35d'avis neutre et tranché.
00:38:37Giovanni Castali connaît bien le Deschamps.
00:38:39C'est son nouvel interlocuteur privilégié.
00:38:41Il connaît bien l'Olysée.
00:38:43C'est le mieux placé au Parc des Princes.
00:38:45Est-ce qu'il peut changer le visage des Bleus ?
00:38:47Je ne sais pas s'il connaît le poste.
00:38:49C'est le numéro 10.
00:38:53Bonjour France.
00:38:55Je connais très bien le poste de numéro 10.
00:38:57Honnêtement,
00:38:59je suis plutôt de l'avis de Pierre.
00:39:01Il y a Michael Olysée, certes,
00:39:03qui est là,
00:39:05mais je trouve qu'il est entouré d'un trio offensif
00:39:07qui est très intéressant.
00:39:09J'ai été très véhément à l'Euro.
00:39:11Je ne me suis pas toujours amusé.
00:39:13Il n'y a pas de problème là-dessus.
00:39:15Par séquence, on a vu que quand les joueurs
00:39:17étaient bien en Cannes,
00:39:19sur le côté restrictif, sur le plan offensif,
00:39:21il n'y en a pas.
00:39:23Tous les joueurs offensifs ont de la liberté.
00:39:25Il y a des moments où on l'oublie
00:39:27parce qu'on est sur des prestations
00:39:29qui ont été ratées précédemment.
00:39:31Par séquence, on a vu du beau jeu
00:39:33en équipe de France.
00:39:35Je note aussi que le profil des latéraux
00:39:37est très offensif,
00:39:39tout comme Théo Hervandès sur le côté gauche.
00:39:41A mon sens, ce soir,
00:39:43ce n'est pas uniquement dû à la présence
00:39:45de Michael Olysée.
00:39:47C'est dû à la faiblesse relative
00:39:49de l'adversaire l'Italie.
00:39:51Par séquence, on va voir du très bon jeu.
00:39:53Michael Olysée, qui est en Cannes,
00:39:55qui est en forme, qui a le goût de l'effort,
00:39:57va parfaitement faire ce rôle hybride
00:39:59de 9,5, 8, 10
00:40:01pour animer dans les 30 derniers mètres.
00:40:03J'ai plutôt de l'avis de Pierre Bouby cette fois.
00:40:05Si, Giovanni, vous m'avez presque...
00:40:07Et vous m'avez presque donné envie
00:40:09de regarder les matchs tous.
00:40:11Les pros, ils en pensent quoi ?
00:40:13C'était amateur pour l'instant.
00:40:15La balle perdue gratuite.
00:40:17Tournoi du monde, peut-être,
00:40:19un champion d'Europe et le précédent
00:40:21sélectionneur olympique de l'équipe de France,
00:40:23Thierry Henry.
00:40:25C'était durant le tournoi olympique
00:40:27ce qu'il déclarait au sujet de Michael Olysée.
00:40:29Il a d'énormes qualités et vous n'avez
00:40:31encore rien vu. Ce n'est que le début.
00:40:33On parle souvent d'avoir des joueurs comme ça.
00:40:35Fred, en quoi il est si différent que ça,
00:40:37Michael Olysée ?
00:40:39Il est différent parce qu'il apporte
00:40:41une spontanéité dans
00:40:43le jeu et une insouciance
00:40:45que peu de joueurs
00:40:47ont.
00:40:51J'ai hésité.
00:40:53Mais c'est surtout, quand on
00:40:55lit un petit peu à droite à gauche, je me suis renseigné aussi
00:40:57puisque je connais bien quelques confrères
00:40:59qui l'ont vu
00:41:01en première ligue. Je l'ai vu aussi
00:41:03évoluer dans son club de Crystal Palace.
00:41:05Avant, il était à Reading
00:41:07et il a surtout fait
00:41:09une bonne formation
00:41:11d'un joueur qui est un petit peu
00:41:13farfelu.
00:41:15C'est ce joueur-là
00:41:17qui arrive en retard.
00:41:19On ne connaît pas le comportement.
00:41:21On en a eu en France des joueurs
00:41:23comme ça mais qui sont doués.
00:41:25Après,
00:41:27ce que j'espère,
00:41:29c'est que vraiment,
00:41:31il ait cette spontanéité,
00:41:33qu'il ne soit pas freiné par
00:41:35un discours de
00:41:37attention à l'équilibre,
00:41:39attention à la perte du ballon,
00:41:41etc.
00:41:43Mais par contre, oui,
00:41:45quand l'équipe de France aura le ballon,
00:41:47j'espère qu'il fera
00:41:49du Olysée comme il nous l'a montré
00:41:51depuis un moment.
00:41:53On est en direct
00:41:55avec Angers.
00:41:57C'est mon copain.
00:41:59Les espoirs sont
00:42:01arrivés. Vous savez qu'il y a
00:42:03les Bleuets qui jouent ce soir
00:42:05un match important de qualification
00:42:07à l'Euro 2025. On reconnaît les
00:42:09jeunes qui vont arriver à affronter
00:42:11la Slovénie. Ce sera à 18h20
00:42:13le coup d'envoi.
00:42:15On est arrivé au stade. On va filer
00:42:17à la reconnaissance du terrain et on vous
00:42:19montrera tout ça.
00:42:21On va voir ce que dit Fred.
00:42:23Je pense qu'il va le faire.
00:42:25On parlait de la même chose
00:42:27avec Barcola.
00:42:29J'espère qu'il ne va pas être freiné
00:42:31les 15 minutes premières sur le terrain.
00:42:33Il met sa personnalité.
00:42:35Il ne fait pas trop.
00:42:37Il fait ce qu'il sait faire. Cette génération,
00:42:39l'Olysée, a un peu le même comportement.
00:42:41Il est juste besogneux
00:42:43sur le terrain et il a une vraie personnalité.
00:42:45C'est ma première convocation en équipe
00:42:47de France. T'as vu comment il est arrivé ?
00:42:49Il est serein.
00:42:51Il est déjà estimé par les autres.
00:42:53Pierre, t'as fait des matchs.
00:42:55T'as fait tes premiers matchs.
00:42:57Je ne parle même pas d'équipe de France.
00:42:59Il n'a pas la personnalité que j'ai.
00:43:01Il a quand même un sacré CV
00:43:03en termes de nombre de matchs en première ligue.
00:43:05On a vu le papier
00:43:07qui était très bien dans l'équipe.
00:43:09Les anciens ont essayé de le faire plier
00:43:11mais ils avaient toujours du respect pour lui
00:43:13parce qu'il a du caractère.
00:43:15C'est un gamin qui a une vraie personnalité
00:43:17et même à l'intérieur d'un vestiaire.
00:43:19Il est complètement conscient de son talent.
00:43:21Quand il est arrivé avec Thierry-Henri
00:43:23qui est quand même un coach important,
00:43:25les JO, j'ai vu que lui.
00:43:27C'est difficile d'arriver dans un comportement.
00:43:29Il avait la possibilité de s'exprimer.
00:43:31Est-ce qu'il va vraiment avoir la possibilité
00:43:33de s'exprimer si on reste encore dans le même schéma ?
00:43:35On a l'impression qu'il va être bien entouré.
00:43:37Comme si avant, les joueurs
00:43:39n'étaient pas bien entourés.
00:43:41T'avais Dembélé, Ducoma, etc.
00:43:43Pourtant, le constat, c'était aussi des dribblers.
00:43:45Est-ce qu'il a un profil depuis longtemps en équipe de France ?
00:43:47Il peut apporter ce qui est bien.
00:43:49C'est qu'il apporte aussi la percussion dans l'axe.
00:43:51Il peut avoir cette première touche
00:43:53qui lui permet de se retourner
00:43:55et ensuite de pouvoir balle au pied,
00:43:57casser des lignes.
00:43:59Il a l'intelligence d'eux.
00:44:01Pour ça, il faut aussi que des ballons lui arrivent.
00:44:03Il faut que ça ose jouer à l'instinct
00:44:05un peu plus rapidement tout ce qu'on a perdu
00:44:07depuis des années avec Deschamps.
00:44:09Moi, j'étais le premier à lui pardonner
00:44:11parce qu'on avait des résultats.
00:44:13Maintenant qu'il n'y a plus des résultats,
00:44:15c'est compliqué en fait.
00:44:17J'ai vu les espoirs du côté d'Angers
00:44:19mais je voudrais qu'on retourne au Parc des Princes
00:44:21voir Giovanni Castaldi parce qu'à son avis,
00:44:23il suit les Bleus.
00:44:25J'appelle tout ça pragmatique.
00:44:27Fred Piquion, écoutez-moi bon sang !
00:44:29Que je fasse un lancement propre pour Giovanni Castaldi
00:44:31qui suit de près les Bleus et notamment
00:44:33comment il se comporte au sein de sa nouvelle équipe.
00:44:37Pour le coup, Michael Olizé,
00:44:39encore une fois, je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui avec Pierre.
00:44:41Je suis un peu souvent d'accord avec lui.
00:44:43C'est étrange mais Michael Olizé, je l'ai vu
00:44:45pendant la préparation olympique tous les jours
00:44:47avec la sélection de Thierry Henry.
00:44:49C'est vrai que l'entraînement,
00:44:51le niveau est moins haut qu'en équipe de France A
00:44:53mais déjà, il mettait tout le monde d'accord.
00:44:55Ce n'est pas le personnage le plus loquace
00:44:57mais dans tous les exercices qu'il y a à faire,
00:44:59il est tellement au-dessus, tellement fort
00:45:01qu'il a le respect naturel de ses partenaires.
00:45:03Et la semaine, ce que j'ai pu observer
00:45:05à Clairefontaine, c'est que c'est à peu près pareil.
00:45:07Par exemple, dans les exercices
00:45:09de position 9 contre 9 de mardi,
00:45:11il était aligné avec Bradley Barcola
00:45:13et Kylian Mbappé.
00:45:15Ils se sont constamment recherchés
00:45:17les trois joueurs et on a vu quelques sourires
00:45:19complices. Donc, on voit qu'en tout cas
00:45:21de la part de ses partenaires, il y a une estime
00:45:23et un respect instantané et on se rend compte
00:45:25que c'est un joueur d'une qualité différente.
00:45:29Mbappé, il est super intelligent. Il sait très bien
00:45:31avec qui il va jouer et contre qui.
00:45:33Et qui peut lui donner des ballons.
00:45:35Forcément, il ne va pas lui faire la gueule.
00:45:37Il avait fait pareil avec Colomogny. Ça n'a pas très bien marché.
00:45:39La différence entre
00:45:41Colomogny et Olysée, il y a quand même
00:45:43une différence de quoi ?
00:45:45De niveau !
00:45:47Niveau technique, tout.
00:45:49Colomogny, tu lui donnes le ballon,
00:45:51tu ne sais pas comment et quand est-ce que tu vas le recevoir.
00:45:53Il sait très bien que quand il va jouer
00:45:55avec soit Barcola d'un côté
00:45:57ou soit lui derrière, ou Olysée derrière,
00:45:59ça va lui arriver.
00:46:01Je me mets à la place de Michael Olysée qui regarde
00:46:03tout le temps la chaîne équipe pour apprendre à parler français
00:46:05notamment. Il voit ce thème,
00:46:07il va changer le visage des bleus. Vous ne lui mettez pas une
00:46:09pression à 22 pieds ?
00:46:11Il s'en fout de la pression.
00:46:13Comme Barcola !
00:46:15Il a fait 30 matchs
00:46:17à Lyon. Le premier match, il voulait transférer 60
00:46:19bars et il va jouer à Paris.
00:46:21L'autre, il fait son match normal.
00:46:23On verra. Moi, je n'ai aucune inquiétude
00:46:25sur son match.
00:46:27Je ne pense pas qu'il va faire son match.
00:46:29Il va être tranquille. J'espère juste
00:46:31qu'il aura la possibilité de s'exprimer.
00:46:33On dirait qu'il joue en Corée du Nord.
00:46:35Il peut jouer quand même. Il peut faire des trucs.
00:46:37C'est ce qu'on espère.
00:46:39C'est ce que j'espère à chaque fois.
00:46:41Avec les joueurs qu'on a,
00:46:43c'est ce qu'on espère.
00:46:45Tu prends chaque
00:46:47joueur.
00:46:49On espérait avec Grizou
00:46:51qui avait la tête dans le seau où c'était impossible.
00:46:53Là, ce profil-là, on ne l'a jamais eu.
00:46:55Ça fait très longtemps qu'on ne l'a pas eu.
00:46:57C'est peut-être pour lui qu'on revient dans un système
00:46:59avec un 10. Ça veut dire
00:47:01qu'il a une influence particulière.
00:47:03J'espère me tromper.
00:47:05Honnêtement, je n'attends plus grand-chose
00:47:07d'un part de Deschamps.
00:47:09Il est peut-être Bertrand Latour.
00:47:11J'espère me tromper.
00:47:13Ça va être un match référence.
00:47:15Si aujourd'hui, l'équipe de France est sudisante
00:47:17avec un bon numéro, un numéro 10,
00:47:19est-ce qu'on sera...
00:47:21De toute façon, Grizou...
00:47:23Pour moi, c'est très compliqué
00:47:25de dire à Grizou...
00:47:27C'est pas fini.
00:47:29Il n'a pas été très bon.
00:47:31Le premier match
00:47:33de l'équipe de France,
00:47:35t'es pas dedans parce qu'il y a un petit qui est arrivé.
00:47:37C'est comme ça. C'est la loi.
00:47:39C'est le football. Il est meilleur que toi en ce moment.
00:47:41Est-ce qu'il sera meilleur que lui plus tard ?
00:47:43Je pense que oui parce que c'est l'avenir du football français.
00:47:45En quoi il est différent de Grizou ?
00:47:47Il est meilleur à vous entendre ?
00:47:49Il garde sa capacité
00:47:51d'élimination vu qu'il peut jouer
00:47:53sur les côtés.
00:47:55C'est comme s'il a la technique de Grizou
00:47:57en ayant aussi la percussion d'un Barcola.
00:47:59C'est ça qui fait que c'est un joueur
00:48:01rare et complet. Sur sa première touche,
00:48:03il peut éliminer un joueur
00:48:05et derrière, il va continuer grâce
00:48:07à sa maîtrise
00:48:09du ballon et sa vitesse.
00:48:11C'est quelque chose que Grizou ne pouvait pas faire.
00:48:13C'est pas un joueur explosif, mais c'est un joueur très technique.
00:48:15Moi, je vais faire un petit pas de côté.
00:48:17Monsieur, dame...
00:48:19C'est un crâne.
00:48:21On parle beaucoup de Michael Olysée, mais moi j'estime que
00:48:23Bradley Barcola, sur ce match en tout cas,
00:48:25il peut changer, lui, l'animation offensive
00:48:27de l'équipe de France. Il est en pleine bourre en ce moment
00:48:29avec le Paris Saint-Germain. Il a déjà marqué 4 buts
00:48:31depuis le début de la saison.
00:48:33Et moi, son activité sur le côté,
00:48:35je l'aime beaucoup, à la fois à la récupération...
00:48:37Tu parlais de pressing tout à l'heure, Mathieu,
00:48:39qu'en équipe de France, on voit peu de joueurs
00:48:41aller presser et récupérer dans les pieds
00:48:43des adversaires. Bradley Barcola,
00:48:45il peut avoir cette caractéristique
00:48:47et on connaît sa capacité aussi
00:48:49à mettre le feu dans les 1 contre 1,
00:48:51à déstabiliser les défenses adverses.
00:48:53Là, face à une équipe italienne
00:48:55qui n'a pas beaucoup de références ces dernières semaines,
00:48:57ces derniers mois, et qui a passé
00:48:59un euro assez compliqué,
00:49:01je m'attends à avoir un Barcola qui, lui,
00:49:03peut transfigurer un petit peu
00:49:05l'animation offensive des Bleus.
00:49:07Un pressing collectif, ce n'est pas un joueur.
00:49:09En fait, c'est quelque chose...
00:49:11Lui, il peut l'impulser.
00:49:13Pas du tout. C'est quelque chose qui est décidé de base.
00:49:15C'est l'entraîneur
00:49:17qui dit, voilà,
00:49:19à la paire de balles, on fait ça.
00:49:21A la paire de balles, on recule.
00:49:23A la paire de balles, on se met là.
00:49:25Ce n'est pas un joueur qui décide tout seul
00:49:27de partir la fleur au fusil, de dire, attends,
00:49:29je vais faire mon pressing. Non, c'est un état d'esprit.
00:49:31Toi, tu as peur des consignes.
00:49:33Des consignes globales.
00:49:35Mais ça fait des années qu'on n'a pas ça.
00:49:37On cherchait. Quand est-ce qu'il y a
00:49:39un pressing collectif ? Quand est-ce qu'il y a
00:49:41une véritable animation offensive ?
00:49:43Ça fait des années
00:49:45qu'on n'en a pas.
00:49:47Je répète, moi, j'étais le premier à pardonner
00:49:49parce qu'à la fin, on avait des résultats malgré tout,
00:49:51qu'on arrivait à faire la différence par les individualités
00:49:53et grâce à la connivence
00:49:55qu'il avait avec les autres joueurs.
00:49:57Là, on voit qu'à travers le dernier rôle,
00:49:59ça commence déjà un peu à s'effriter.
00:50:01Il a moins cette connexion
00:50:03avec certains joueurs.
00:50:05Il met le point sur un truc qui est important,
00:50:07c'est que Michael Olysee, vu qu'il y a
00:50:09du talent autour de lui, il ne faut pas
00:50:11oublier
00:50:13que de toute façon,
00:50:15l'animation offensive, comme tu le disais,
00:50:17c'est très importante.
00:50:19S'il n'y a pas Michael Olysee pour créer des choses,
00:50:21c'est là que les mots de l'équipe de France
00:50:23ressortent. C'est ça le problème.
00:50:25Pierre, on peut s'arrêter ?
00:50:27On peut continuer.
00:50:29Les Bleus, on en reparlera un peu plus tard.
00:50:31De toute façon, avec le cas Kylian Mbappé,
00:50:33est-ce qu'il nous donne revanche ce soir
00:50:35après son euro raté ? Tout le monde n'est pas d'accord là non plus
00:50:37sur ce plateau. Il faut garder un petit peu de temps pour parler de tout le monde.
00:50:39Et puis après, la pub. Important.
00:50:41On ira sur la planète foot avec beaucoup de buts à avoir
00:50:43en cette trêve internationale, en Argentine
00:50:45ou en Portugal où Cristiano Ronaldo
00:50:47a encore brillé hier avec la Seleção.
00:50:49On se demandait hier s'il fallait qu'il s'arrête.
00:50:51Visiblement, il peut encore servir. Allez, à tout de suite.
00:51:01On est de retour dans l'équipe de choc qui suit au plus près.
00:51:03Là, on ne peut pas être au plus près. On est sur la pelouse avec
00:51:05les Espoirs qui sont
00:51:07en mode reconnaissance du terrain. Match important
00:51:09pour les Espoirs, non plus de Thierry Henry
00:51:11mais de Gérald Batik. Là, on oublie les JO.
00:51:13C'est en mode Euro 2025. C'est un match de qualif'
00:51:15ce soir face à la Slovénie.
00:51:17On est à Angers. D'ailleurs, on va tout de suite aller à Angers
00:51:19dans ce très beau stade Raymond Copin.
00:51:21Superbe !
00:51:23Apparemment, il y a une belle atmosphère
00:51:25là-bas. Donc, on va aller se rendre compte de l'atmosphère sur place
00:51:27avec notre oeil spécial qui va recueillir
00:51:29toutes les réactions pour nous ce soir.
00:51:31Timothée Memon qui a la chance et l'honneur
00:51:33de rencontrer Gérald Batik. Premier entretien,
00:51:35premier face-à-face pour le sélectionneur
00:51:37des Bleus avant son premier match en direct
00:51:39sur la chaîne équipe. Timothée, c'est à toi.
00:51:41Avec le coach
00:51:43de l'équipe de France Espoir, Gérald Batik.
00:51:45Gérald, on sait qu'il y a
00:51:47quelque chose qui vous tient à cœur.
00:51:49C'est l'ambiance,
00:51:51la cohésion, le fait que ce groupe fonctionne
00:51:53bien ensemble après les
00:51:55JO. Est-ce que là, en ce jour de match,
00:51:57ce premier jour de match dans la peau du sélectionneur,
00:51:59vous sentez cette amalgame ?
00:52:01Oui. Je trouve
00:52:03que c'est la base du sport collectif.
00:52:05C'est la base du football
00:52:07que d'être des bons partenaires, de bien
00:52:09s'entendre, de passer des bons moments et en même temps
00:52:11de savoir être sérieux au moment où il faut être
00:52:13sérieux. Aujourd'hui, c'est un petit peu
00:52:15moins à la rigolade, plus à la
00:52:17concentration, plus à la prise d'infos
00:52:19pour arriver
00:52:21au bon moment avec
00:52:23un maximum de données en notre faveur pour
00:52:25maîtriser tout ce qui est maîtrisable
00:52:27et être concentré sur le reste pour s'adapter.
00:52:29Dans ce dispositif, il faut un numéro
00:52:31neuf. Arnaud Kalimwendo
00:52:33a dû vous abandonner. Hugo Equitique
00:52:35n'est arrivé qu'hier soir. On peut imaginer
00:52:37peut-être Mathis Tell dans ce registre-là.
00:52:39Ce n'est pas spécialement le poste
00:52:41auquel il joue au Bayern. Il a cette capacité ?
00:52:43Oui, il y a plusieurs joueurs
00:52:45qui ont la capacité. Ça pouvait être Jorginho.
00:52:47Ça pouvait être des excentrés qui sont capables de jouer dans l'axe.
00:52:49Mais là, je dirais qu'on a affaire à des
00:52:51puristes. Même si Mathis
00:52:53est en train de
00:52:55gagner du temps de jeu, de gagner sa place
00:52:57au Bayern, à un autre poste.
00:52:59A la base, c'est pour moi
00:53:01un pur attaquant, un pur buteur.
00:53:03Un mec qui aspirait
00:53:05par le but. Un joueur qui
00:53:07rêve de marquer des buts et qui
00:53:09se met en situation pour les marquer.
00:53:11Surtout qu'il a les armes, la technique
00:53:13pour transformer les occasions en but.
00:53:15Il va évoluer
00:53:17en pointe. Je sais que
00:53:19j'ai d'autres gâchettes
00:53:21si à un moment donné
00:53:23on en a besoin. Une toute dernière question.
00:53:25Je suis remonté à cette compétition-là.
00:53:27Au mois de novembre dernier,
00:53:29il y a eu la parenthèse des Jeux Olympiques,
00:53:31la qualification puis les Jeux.
00:53:33À cette époque-là, Ryan Cherki avait un rôle central
00:53:35dans le jeu de l'équipe de France Espoir.
00:53:37Il jouait moins, il a eu un été un peu particulier.
00:53:39Vous ne l'avez pas convoqué. Ça semble assez logique.
00:53:41Qui est-ce que vous nous conseillez
00:53:43de suivre comme créatif ?
00:53:45Qui va être dépositaire du jeu
00:53:47de cette équipe de France Espoir ?
00:53:49On avait un système qui mettait
00:53:51en bonne situation un numéro 10
00:53:53pour orienter le jeu offensif.
00:53:55C'était très souvent Ryan.
00:53:57Il savait être décisif
00:53:59et exploiter justement
00:54:01cette liberté et faire parler son talent.
00:54:03Ce système-là,
00:54:05il met deux joueurs
00:54:07qui doivent se partager cette responsabilité.
00:54:09On va dire nos deux numéros 8.
00:54:11Plusakli et Enzo qui vont avoir ce rôle
00:54:13ce soir, qui vont débuter et qui ont
00:54:15le potentiel pour jouer à ce poste
00:54:17ou à partir de
00:54:19postes un peu plus
00:54:21latérales, venir
00:54:23prendre les responsabilités dans le cœur du jeu
00:54:25à un moment donné ou à un autre.
00:54:27Merci beaucoup. On vous souhaite une bonne première à la maison.
00:54:29Merci Gérald Batik.
00:54:31Pas facile de prendre la succession
00:54:33de l'immense Thierry Henry. On sera très attentif.
00:54:35Les Espoir, on y revient en fin d'émission
00:54:37pour cet avant-match savoureux.
00:54:39Match de qualif à l'Euro 2025 face
00:54:41à la Slovénie. 17h20, on ne perd pas de temps.
00:54:43Planète Foot avec Juju.
00:54:49On va filer au Portugal pour démarrer cette
00:54:51Planète Foot et de 900.
00:54:53900ème but en carrière
00:54:55pour Cristiano Ronaldo.
00:54:57Le Portugais a inscrit son 131ème
00:54:59but avec la sélection. C'était face à
00:55:01la Croatie pour la victoire 2-1
00:55:03des Portugais pour cette ouverture de la Ligue des Nations.
00:55:05On va revivre ce but dans les conditions du direct
00:55:07mais surtout en version originale en portugais.
00:55:27C'est de Ronaldo !
00:55:29Et c'est pour l'histoire !
00:55:31Et une vérie !
00:55:33Du stade de Lourdes !
00:55:35Goal de Cristiano Ronaldo.
00:55:37Je parlais de Nuno Mendes, il n'était pas bien.
00:55:39C'est lui qui fait l'assistance
00:55:41et Ronaldo pour l'histoire de Lourdes.
00:55:57C'est trop facile mon centre.
00:55:59C'est trop facile.
00:56:01Regarde Mathieu.
00:56:03Quel scandale !
00:56:05Non mais c'est trop facile de parler du centre.
00:56:07Là il y a un centre et un buteur.
00:56:09Evidemment on n'est pas objectifs.
00:56:11C'est tellement pas objectif
00:56:13que le centre est tellement bon
00:56:15qu'il l'a mis mollé.
00:56:17Il n'a même pas besoin de le mettre.
00:56:19Juste le moller suffit.
00:56:21Je veux parler juste du déplacement.
00:56:23Le déplacement on les connait de Cristiano Ronaldo.
00:56:25Et ses coéquipiers le connaissent aussi par cœur.
00:56:27Là on est d'accord qu'il peut...
00:56:29Il fait du sessi-foot.
00:56:31Juste il va tout droit
00:56:33et il a le ballon dans les pieds.
00:56:35Franchement il allait tout droit.
00:56:37Ah tu préfères le centre ?
00:56:39Mais c'est ce que je dis.
00:56:41On a l'impression que tu disais
00:56:43que tu voulais juste mettre en valeur
00:56:45le déplacement.
00:56:47Je veux mettre en valeur aussi son déplacement
00:56:49qui à chaque fois
00:56:51quand Ronaldo se déplace
00:56:53il est derrière son défenseur.
00:56:55Il ne peut pas le voir.
00:56:57Et le centre effectivement
00:56:59de Nuno Mendes
00:57:01il est paramétré
00:57:03il est téléguidé
00:57:05entre le gardien et les défenseurs.
00:57:07Tous les défenseurs courent vers leur but
00:57:09donc impossible à défendre
00:57:11sauf Ronaldo qui a juste à mettre son pied en opposition
00:57:13pour marquer ce but.
00:57:15Il est exceptionnel.
00:57:17Et ce qu'on dit souvent
00:57:19c'est que pour les centreurs
00:57:21tu ne peux pas dribbler forcément son vis-à-vis
00:57:23tu trouves juste la bonne fenêtre de tir
00:57:25entre le défenseur
00:57:27mais souvent lève le pied
00:57:29il faut juste trouver au-dessus.
00:57:31Tu penses qu'il allait remercier
00:57:33son passeur ?
00:57:35C'est pareil.
00:57:37Il lui met un bonbon
00:57:39et il part à l'opposé.
00:57:41Poussez-vous.
00:57:43Laissez-moi célébrer mon un centième.
00:57:45C'est l'émotion.
00:57:47Le pauvre Bruno Mendes
00:57:49il veut faire un câlin
00:57:51surtout ne me touche pas
00:57:53laisse-moi partir.
00:57:55J'ai été marqué par l'absence de célébration classique.
00:57:57Il est tellement ému
00:57:59par ce neuf centième but.
00:58:01Il remercie le ciel.
00:58:03Il était très ému.
00:58:05C'est rare de le voir comme ça.
00:58:07On l'aime autant
00:58:09qu'il est agaçant maintenant.
00:58:11J'ai l'impression
00:58:13qu'il est à la recherche
00:58:15des records.
00:58:17Il ouvre son bouquin
00:58:19« Qu'est-ce que j'ai pas fait à 39 ans ? »
00:58:21C'est dommage.
00:58:23Ça termine la beauté
00:58:25de sa longévité et de ce qu'il fait.
00:58:27On aurait dû partir là-dessus.
00:58:29Lâche son brassard, son maillot.
00:58:31On est tous admiratifs
00:58:33mais il y a ce côté perso.
00:58:35Il cherche que ça maintenant.
00:58:37Il brille à la lumière
00:58:39grâce à tous les records qu'il peut essayer de battre.
00:58:41Je trouve ça dommage.
00:58:43Il brille grâce à ses coéquipiers.
00:58:45On va prendre des nouvelles de Vitinha.
00:58:47Le milieu de terrain du Paris-Saint-Germain.
00:58:49Il s'est blessé à la cheville droite.
00:58:51On a agrandi les images.
00:58:53La cheville va tourner
00:58:55pour le numéro 23 de la sélection portugaise.
00:58:57Il a quitté le rassemblement.
00:58:59Il n'a pas joué le prochain match contre l'Ecosse jeudi.
00:59:01Il est déjà de retour à Paris.
00:59:03On espère que cette blessure
00:59:05n'est pas trop importante.
00:59:07Il est rentré à Paris.
00:59:09Au Qatar, il y a une clinique.
00:59:11C'est un peu loin.
00:59:13On va enchaîner avec un autre pensionnaire de Ligue 1.
00:59:15Un Marseillais, cette fois-ci.
00:59:17Le Danois, Pierre-Emile Hoiberg.
00:59:19Capitaine de la sélection danoise.
00:59:21Il jouait hier face à la Suisse.
00:59:23Il a marqué le deuxième but
00:59:25du Danemark.
00:59:27Il est dans l'axe tout près de l'arbitre.
00:59:29Il a vu.
00:59:31Il n'est pas attaqué.
00:59:33J'ai adoré la finesse de sa finition.
00:59:35Il sait avant comment il va reprendre le ballon.
00:59:37Où il va le mettre.
00:59:39Je suis surpris par la qualité technique de ce joueur.
00:59:41Sur cette reprise-là,
00:59:43le ballon rebondit juste devant.
00:59:45Il faut avoir le corps super équilibré
00:59:47pour ne pas que le ballon parte
00:59:49sur le supermarché qu'il y a derrière.
00:59:51Cela confirme
00:59:53que l'OM a fait un bon recrutement
00:59:55et qu'il sera super important pour la saison.
00:59:57Est-ce qu'on est vraiment surpris
00:59:59de Hoiberg
01:00:01qui est bon techniquement ?
01:00:03Il a fait 5 ans à Tottenham.
01:00:05Je ne le pensais pas si bon avec le ballon.
01:00:07C'est vrai qu'on n'a pas l'habitude
01:00:09de regarder les matchs.
01:00:11Je voyais un joueur rugueux.
01:00:13Tu ne peux pas dire ça.
01:00:15Quand il joue dans l'équipe de Tottenham,
01:00:17au milieu de terrain,
01:00:19c'est lui le métronome.
01:00:21Il règle tout.
01:00:23Il gère le tempo.
01:00:25Sur le but,
01:00:27tu oublies l'essentiel,
01:00:29c'est la première touche.
01:00:31Régis, si on peut remettre la première touche.
01:00:33C'est la première touche.
01:00:35Je crois que le mec s'appelle comme ça.
01:00:37En une touche
01:00:39qu'il trouve en déviation.
01:00:41C'est fou.
01:00:43Il n'y a pas beaucoup de joueurs
01:00:45qui savent faire ça.
01:00:47C'est beau.
01:00:49Je faisais ça tous les week-ends.
01:00:51Et là, il se réveillait.
01:00:53C'est le déclencheur.
01:00:55Une image assez folle
01:00:57à vous montrer dans le match
01:00:590 à 0 entre la Serbie
01:01:01et l'Espagne.
01:01:03En titre, un raté assez
01:01:05monumental de Luka Jovic.
01:01:07Je n'ai pas compris ce qui s'est passé.
01:01:09Il va être servi par
01:01:11Zivkovic.
01:01:13La passe est magnifique.
01:01:15Qu'est-ce qui s'est passé ?
01:01:17Il faut m'expliquer.
01:01:19C'est un pénalty quasiment sans gardien.
01:01:21Il a vu le but.
01:01:23Il ne s'est pas concentré sur ce qu'il avait à faire
01:01:25jusqu'au bout de son action.
01:01:27A mon avis, il croyait qu'il était hors-jeu.
01:01:29Deuxièmement,
01:01:31c'est bien ce qu'il fait.
01:01:33Il essaie de mettre le ballon à l'opposé du gardien,
01:01:35un peu au-dessus,
01:01:37mais derrière,
01:01:39même la fin de deux frappes,
01:01:41tirer le gardien à l'intérieur,
01:01:43il le prend à côté.
01:01:45Il doit prendre un peu plus de marge dans sa frappe.
01:01:47C'est dommage.
01:01:49Mais derrière, c'est sa cogité.
01:01:51Le relâchement devant le but.
01:01:53Il était déjà en train de faire l'avion.
01:01:55Un moment d'histoire à partager avec vous.
01:01:57Pierrot, tu faisais quoi
01:01:59il y a 20 ans, 4 mois et 7 jours ?
01:02:01On ne peut pas mentir.
01:02:03Tu me l'as demandé avant.
01:02:05J'ai calculé.
01:02:07J'étais ami.
01:02:09Je ne cite pas pro.
01:02:11Je travaille à la piscine.
01:02:13Je suis à deux doigts d'arrêter le football.
01:02:15Bien fait de ne pas l'arrêter.
01:02:1720 ans, 4 mois et 7 jours.
01:02:19C'est le temps qu'aura mis Sanmarin
01:02:21pour remporter le deuxième match
01:02:23de son histoire.
01:02:25Victoire 1-0 contre Liechtenstein.
01:02:27Le but de Sensoli.
01:02:29Victoire 1-0 contre Liechtenstein.
01:02:31C'est le même score qu'il y a 20 ans.
01:02:33Contre le même adversaire.
01:02:35C'est assez fou.
01:02:37Regardez la joie des joueurs de Sanmarin.
01:02:39C'est magnifique.
01:02:41Des images fantastiques à voir.
01:02:43Liechtenstein n'avait plus gagné depuis 4 ans de mémoire.
01:02:45Sanmarin, 20 ans.
01:02:47Au coup de sifflet final,
01:02:49on va voir la réaction des joueurs.
01:02:51Ils sont déboussolés
01:02:53par cet exploit retentissant
01:02:55qu'ils ont réussi à réaliser.
01:02:57C'était la belle image, la belle histoire
01:02:59d'hier lors de cette Ligue des Nations.
01:03:01C'est la pire sélection du monde, c'est ça ?
01:03:03C'est horrible de dire ça, mais c'est le cas.
01:03:0520 ans sans gagner un match.
01:03:07Ils ont demandé la prime au président.
01:03:09Et tous ces matchs, c'était sur la chaîne
01:03:11équipe ou sur l'équipe live ?
01:03:13L'équipe live.
01:03:15D'ailleurs, les matchs du soir à suivre
01:03:17sur le groupe L'équipe
01:03:19à 20h45, Belgique-Israël.
01:03:21Ça se passe en Hongrie.
01:03:23Le match a été délocalisé.
01:03:25Il s'est passé à Bruxelles, mais délocalisé
01:03:27à cause du conflit israélo-palestinien.
01:03:29La Belgique ne se sentait pas capable d'organiser ce match-là.
01:03:31Sur l'équipe live,
01:03:3320h45, Pédiale-Turquie.
01:03:35Et puis dans la nuit, Brésil-Équateur.
01:03:37Match de qualification
01:03:39à la Coupe du Monde
01:03:412026. D'ailleurs,
01:03:43on va prendre maintenant la direction de l'Argentine.
01:03:45Le stade monumental de Buenos Aires
01:03:47avec les champions du monde en titre
01:03:49qui ont battu facilement hier
01:03:51le Chili dans cette phase de qualification
01:03:53mondiale 2026. En compte marqué
01:03:55par le vibrant hommage reçu
01:03:57par André Di Maria,
01:03:59l'ancien parisien qui a pris
01:04:01sa retraite internationale. Peut-être qu'on va voir
01:04:03les images. Qui a pris sa retraite internationale
01:04:05juste après la Copa América
01:04:07a été célébrée avant le match.
01:04:09L'émotion
01:04:11pour El Fideo,
01:04:13la patte gauche de velours,
01:04:15du football à Argentin.
01:04:17Buteur en finale des Jeux Olympiques,
01:04:19buteur en finale de la Copa América
01:04:21face au Brésil. C'était un homme de finale,
01:04:23un homme de grand match qui a arrêté
01:04:25sa carrière juste après la Copa América.
01:04:27Remporté encore par l'Argentine.
01:04:29On va revivre quand même le match
01:04:31entre l'Argentine et le Chili.
01:04:33Victoire 3-0 avec au commentaire Georges Quirino
01:04:35et Hamza Rahmani.
01:04:51Le gardien chilien mais argentin
01:04:53de naissance et aussi de nationalité.
01:04:59Conclure cette première période
01:05:01de la sortie de balle de Felipe Loyola
01:05:03avec le long ballon de l'ancien Marseillais
01:05:05Mauricio Isla de la surface de réparation.
01:05:07Le poteau au début déjà.
01:05:11Le frisson pour l'Argentine
01:05:13avec cette tête
01:05:15au second poteau de Matias Catalana.
01:05:17C'est un truc très
01:05:19très sud-américain, c'est un très argentin
01:05:21aussi de revenir à un moment donné.
01:05:27De toute beauté
01:05:29l'altruisme de Lautaro
01:05:31pour laisser filer ce ballon.
01:05:33Alexis McAllister plutôt
01:05:35discret en première période
01:05:37qui vient débloquer la situation.
01:05:39Ce sont les doubles champions
01:05:41de la Copa América qui mettent un 0.
01:05:49L'Ochelso et pourquoi pas...
01:05:55La frappe de Julian Alvarez
01:05:57exceptionnelle pour venir
01:05:59valider cette sixième victoire
01:06:01en cette rencontre des éliminatoires.
01:06:03Golazo, Golazo, Golazo.
01:06:05Julian Alvarez 2-0
01:06:07pour l'Argentine
01:06:09face au Chili.
01:06:13Quelques fans de foot argentins
01:06:15veulent le voir.
01:06:17La tire à curiosité d'Alejandro Garnaccio.
01:06:19C'est lui justement qui va
01:06:21avoir ce ballon, cette possibilité de s'exprimer.
01:06:23Paolo Dybala, la frappe !
01:06:25Pour son retour
01:06:27avec le numéro 10 de Léo Messi.
01:06:29Paolo Dybala
01:06:31s'offre un but qui va peut-être
01:06:33enfin lancer à 30 ans
01:06:35définitivement son histoire avec son
01:06:37pays, avec l'Argentine. 3-0
01:06:39pour la sélection
01:06:41grâce à Paolo Dybala.
01:06:43Ça faisait un an et demi qu'il n'avait plus
01:06:45porté le maillot de la sélection.
01:06:47Paolo Dybala, 3-0.
01:07:01Sixième victoire en sept matchs
01:07:03dans cette phase de qualification au Mondial
01:07:052026 pour l'Argentine qui sont largement
01:07:07leaders. Un mot de l'Ageri
01:07:09maintenant. Match de qualification pour la
01:07:11Coupe d'Afrique des Nations 2025.
01:07:13Victoire 2-0 à domicile
01:07:15contre la Guinée équatoriale
01:07:17lors de cette première journée grâce
01:07:19à deux anciens lyonnais.
01:07:21Puis il y a un ancien joueur du Havre qui va arrêter un pénalty
01:07:23ou de City également.
01:07:25C'est Riyad Mahrez qui va envoyer sa tentative
01:07:27au-dessus du but.
01:07:29Je vous parlais d'anciens lyonnais. On va retrouver Riyad Mahrez
01:07:31à la frappe et Oussama Ouar, le nouveau
01:07:33joueur d'Alitiyad, ex-joueur de
01:07:35l'Olympique de Tienne. Donc il va ouvrir le score
01:07:37et marquer là son quatrième but avec
01:07:39la sélection algérienne.
01:07:41Puis il y a Amine Gouiri après ce
01:07:43long dégagement de Rami Bensebaini.
01:07:45Gouiri qui va corser
01:07:47le score 2-0
01:07:49pour les Fenech dans
01:07:51ce match de qualification à la Coupe
01:07:53d'Afrique des Nations 2025.
01:07:55On va revenir en France
01:07:57avec l'actualité de la Ligue 2.
01:07:59Le directeur de la rédaction de Bein Sport
01:08:01est remonté. Florent Ouzo
01:08:03s'est confié à l'équipe et n'a pas caché
01:08:05sa détermination.
01:08:07Le diffuseur de la Ligue 2 ne compte pas changer sa
01:08:09confirmation du multiplex le vendredi
01:08:11soir. Regardez ce qu'il a déclaré.
01:08:13Je regrette que les clubs qui sont en
01:08:15contrat avec Bein Sport
01:08:17ne soient pas plus au soutien.
01:08:19Pour certains d'entre eux, à travers notre
01:08:21paiement des droits télé, c'est plus de 50%
01:08:23de leur revenu. A un moment donné,
01:08:25il faut qu'ils se positionnent de manière plus claire.
01:08:27Si cela n'est pas le cas,
01:08:29il faudra qu'ils en tirent les conséquences.
01:08:31S'ils votent majoritairement pour un multiplex
01:08:33de Ligue 2 le samedi,
01:08:35ce sera sans Bein Sport.
01:08:37Là, Pierre, il met un sacré coup de pression
01:08:39aux clubs de Ligue 2.
01:08:41Il met un coup de pression,
01:08:43ça s'entend, mais on voit la problématique
01:08:45des droits télé. Tout est symbolisé
01:08:47ici. C'est-à-dire que
01:08:49c'est la télé qui fournit
01:08:51les clubs français avec de l'argent, donc qu'ils ont la maîtrise
01:08:53sur les choses. Si Bein Sport
01:08:55ne diffuse plus la Ligue 2, il n'y a plus rien.
01:08:57C'est tout le problème
01:08:59de la Ligue nationale de football,
01:09:01de trouver un autre moyen de faire
01:09:03de l'argent et de faire évoluer son produit.
01:09:05Maintenant, il est dans son droit.
01:09:07Au départ, ce n'est pas
01:09:09les présidents de Ligue 2 qui ont voté pour que
01:09:11le multiplex soit le vendredi soir.
01:09:13À un moment donné,
01:09:15qui montre créneau aujourd'hui ? Ce ne sont pas vraiment
01:09:17les présidents de clubs. Ce sont des supporters
01:09:19qui estiment que ce match
01:09:21du vendredi soir n'apporte
01:09:23...
01:09:25qu'ils n'ont peut-être pas le temps d'arriver au stade pour supporter
01:09:27leur équipe. C'est ça, le truc.
01:09:29La problématique, c'est que le club a validé aussi ça avec
01:09:31Bein, donc ce n'est pas forcément
01:09:33...
01:09:35J'ai l'impression que tout le monde est un peu
01:09:37responsable et personne ne veut porter un petit peu le chapeau.
01:09:39Une autre info à vous donner,
01:09:41ça concerne toujours le Qatar
01:09:43et le foot français. On va se connecter à la
01:09:45tablette pour vous dire que la LFP
01:09:47vient de passer un accord
01:09:49à quasiment 17 millions d'euros avec
01:09:51le Qatar. Cet accord va contraindre
01:09:53les clubs français à faire la promotion
01:09:55de Qatar Tourisme. Chaque club
01:09:57de Ligue 1 recevra
01:09:59730 000 euros, tandis que
01:10:01ceux de Ligue 2 recevront 170 000 euros
01:10:03et si un club refuse
01:10:05de faire la promotion de Qatar Tourisme,
01:10:07il devra alors mettre en avant
01:10:09la chaîne Qatari Bein Sport.
01:10:11Tout le monde n'est pas d'accord, je crois.
01:10:13Ça parait un peu
01:10:15fou comme accord, Fred.
01:10:17C'est un peu fou, c'est un peu aussi
01:10:19forcé. Je veux dire
01:10:21que les clubs ne sont pas obligés de passer
01:10:23les pubs des
01:10:25autres. Ils ont déjà leurs propres
01:10:27sponsors et c'est un peu
01:10:29délicat de demander à un club
01:10:31et surtout de remettre une amende s'il ne passe pas
01:10:33ou alors de passer
01:10:35autre chose. Je trouve ça un peu
01:10:37bizarre d'avoir ce genre
01:10:39de comportement.
01:10:41J'ai lu récemment
01:10:43que Bein Sport n'avait toujours pas
01:10:45réglé la première traite. C'était peut-être
01:10:47ça aussi dans le contrat. C'est peut-être pour ça aussi
01:10:49que Bein Sport est venu avec 40 millions sur la table pour la Ligue 2
01:10:51et que ça a posé problème à personne.
01:10:53On vient de l'apprendre,
01:10:55donc on va voir comment ça va évoluer.
01:10:57Après, il faut trouver de l'argent.
01:10:59Et les clubs, tu crois qu'ils diront
01:11:01non sur un truc en plus ?
01:11:03Ils prennent tout ce qui tombe du ciel.
01:11:05On aura le temps d'en reparler
01:11:07un petit peu plus tard quand on aura plus d'infos.
01:11:09Là, il faut absolument qu'on aille du côté de l'équipe
01:11:11live foot avec un beau jingle.
01:11:13Il y a des buts ? Je ne sais pas.
01:11:15On va découvrir ça.
01:11:17Kazakhstan, Norvège.
01:11:19Pourtant, c'est un match de Ligue des Nations. C'est un match important.
01:11:21Il y a bien un land. Est-ce qu'il y a
01:11:23une de garde ? Je ne sais pas. Vous voyez ou pas ?
01:11:25Pas sur ce plan-là.
01:11:27Évidemment, c'est les Kazakhs quand j'en parle.
01:11:29Mais j'aimerais bien voir la petite patte gauche du meneur de jeu d'Arsenal.
01:11:31Vous en pensez quoi ? Il manque un peu le score.
01:11:33Il est là à droite.
01:11:35Il ne reste plus que 10 minutes.
01:11:37Si vous allez sur l'équipe live foot,
01:11:39à mon avis, vous verrez un but.
01:11:41C'est forcé.
01:11:43On revient juste après la pub.
01:11:45On reviendra au bleu de Didier Deschamps qui joue ce soir face à l'Italie.
01:11:47Eux aussi en Ligue des Nations.
01:11:49On a parlé de Michael Elysée tout à l'heure et on se penchera
01:11:51cette fois sur le cas qui vient même battre.
01:11:53Il nous doit une revanche, Kiki, après son euro un peu raté.
01:11:55On en parle après la pub.
01:11:57Le capitaine des bleus, on n'en attend plus.
01:11:59A tout de suite.
01:12:07Quelle est belle cette équipe de choc et cette équipe de France.
01:12:09Espoir surtout.
01:12:11Vous les voyez, on est en direct du stade d'Angers.
01:12:13Le stade Raymond Copa. Pour l'instant, on se marre.
01:12:15On rigole. Ambiance détendue pour les bleués
01:12:17de Gérald Batik.
01:12:19Mais il va falloir s'y mettre parce que dans moins de 45 minutes
01:12:21coup d'envoi d'un match de qualification
01:12:23à l'Euro 2025 face à la Slovénie.
01:12:25Très très important.
01:12:27C'est le premier match post-JO.
01:12:29Même si ce n'est pas forcément la même équipe.
01:12:31On a hâte de voir ce que ça donne.
01:12:33Ce sera à suivre en direct sur notre antenne.
01:12:35Cette petite reconnaissance terrain, c'est ce qui manque.
01:12:37Tu as envie de les voir ?
01:12:39Généralement, j'allais fumer une clope à ce moment-là.
01:12:41Très bon exemple.
01:12:43On ne fait pas de publicité pour la cigarette.
01:12:45C'est interdit.
01:12:47C'est très mauvais pour la santé.
01:12:49C'est la reprise pour l'équipe de France.
01:12:51Celui des Bleus de Didier Péchant.
01:12:53C'est la reprise pour l'équipe de France
01:12:55qui sort d'un Euro raté.
01:12:57Un peu à l'image de son capitaine,
01:12:59Kylian Mbappé.
01:13:01C'était très compliqué pour l'attaquant
01:13:03de l'équipe de France, l'avançant des Bleus.
01:13:05Cinq matchs, un seul but dans le tournoi.
01:13:07C'était sur pénalty.
01:13:09C'était 23 tirs sans marquer dans le jeu.
01:13:11C'était un record dans la compétition.
01:13:13Une passe décisive pour le seul but dans le jeu.
01:13:15Souvenez-vous de Randall Colomoigny dans ce tournoi.
01:13:17Kylian Mbappé qui finalement
01:13:19a été interrogé hier.
01:13:21Ce qu'on pense de ses performances ?
01:13:23Il s'en fiche un petit peu.
01:13:25Écoutez-le.
01:13:27J'arrive à un stade de ma vie et de ma carrière
01:13:29où je ne constate plus.
01:13:31Je viens, je joue, j'essaye de faire de mon mieux.
01:13:33J'essaye d'aider l'équipe.
01:13:35Ce que pensent les gens, je pense que
01:13:37c'est le cadet de mes soucis.
01:13:39Nous on essaye toujours de donner
01:13:41le meilleur d'entre nous.
01:13:43De toujours essayer de donner la meilleure version possible
01:13:45pour l'équipe de France.
01:13:47Par respect et par admiration qu'on a pour ce maillot
01:13:49et ce logo.
01:13:51Après, vous savez, dans le foot,
01:13:53on ne peut pas contenter tout le monde.
01:13:55On reviendra sur ces déclarations à Kylian Mbappé
01:13:57et sur cette attitude un petit peu blasée.
01:13:59Mais est-ce qu'il nous doit une revanche, Kylian Mbappé,
01:14:01après son euro raté ?
01:14:03Non, il ne me doit rien.
01:14:05Tu m'as compris.
01:14:07Tu n'en as pas vu assez.
01:14:09Non, mais j'arrive pas trop
01:14:11à comprendre sur le fait qu'il me doive quelque chose.
01:14:13Après, il a raté son euro,
01:14:15ça c'est une vérité, il n'a pas eu de mal à le dire.
01:14:17Maintenant, il vient d'arriver dans un nouveau club.
01:14:19On connait la complexité d'arriver dans un nouveau club
01:14:21et en plus de jouer
01:14:23dans un nouveau poste qu'il est en train d'apprendre.
01:14:25Et moi, depuis le début, je regarde les matches du Real,
01:14:27il progresse.
01:14:29Je vois une progression. Il commence de plus en plus
01:14:31à avoir des mouvements d'attaquants.
01:14:33Fred, je ne sais pas s'il sera du même avis que moi,
01:14:35mais je le sens en forme.
01:14:37Je le sens reposé
01:14:39dans sa tête.
01:14:41Et puis, il n'a plus le nez pété.
01:14:43C'est déjà un bon argument aussi.
01:14:45On l'a vu diminuer à l'euro.
01:14:47Je n'ai pas trop d'inquiétudes.
01:14:49Je pense qu'il s'en doit une aussi à lui.
01:14:51Il a envie de retrouver son niveau, ce qui est légitime.
01:14:53Donc, il se doit une revanche à lui-même.
01:14:55Quand on connait le personnage et l'exigence
01:14:57qu'il se met,
01:14:59il se doit d'abord une revanche
01:15:01à lui avant de nous la donner à nous.
01:15:03Moi, je suis sur la même ligne
01:15:05que Pierrot parce que
01:15:07son euro a été perturbé
01:15:09d'une part par une blessure,
01:15:11d'autre part, psychologiquement,
01:15:13il avait vécu une année assez très compliquée.
01:15:15Et troisièmement,
01:15:17il arrive
01:15:19je ne vais pas dire plein de fraîcheur
01:15:21parce qu'il a eu à peine quelques jours de vacances.
01:15:23Il a repris très rapidement.
01:15:25Et généralement,
01:15:27Antti Lotti avait demandé aussi à quelques joueurs
01:15:29enfin, il a même appelé Deschamps
01:15:31pour savoir s'il ne pouvait pas le prendre.
01:15:33Maintenant, il est quand même capitaine de l'équipe de France.
01:15:35L'attaque en phare,
01:15:37c'était pratiquement, pour lui, impossible.
01:15:39Par contre, les deux autres joueurs de l'équipe
01:15:41du Real, comme par hasard, sont blessés.
01:15:43Je ne dis rien.
01:15:45C'est juste mon avis.
01:15:47Tu dis quand même.
01:15:49Je partage aussi ce qu'on dit.
01:15:51La seule chose
01:15:53qu'un joueur doit
01:15:55au spectateur, au téléspectateur,
01:15:57c'est son dévouement sur le terrain.
01:15:59Son engagement.
01:16:01Mais il ne doit pas ses échecs.
01:16:03Pour moi, je l'ai vu diminuer.
01:16:05Je l'ai vu à fond.
01:16:07Il a essayé.
01:16:09Je l'ai trouvé engagé.
01:16:11Il n'était pas...
01:16:13On a vu plein de matchs avant à Paris
01:16:15où on pouvait dire qu'il était en dedans,
01:16:17qu'il ne faisait pas le maximum.
01:16:19Mais en équipe de France, moi, je l'ai trouvé à son maximum.
01:16:21Le problème, c'est que des fois,
01:16:23le curseur de chacun
01:16:25n'est pas à 100%.
01:16:27On se réfère toujours à ce qu'un joueur peut faire au maximum.
01:16:29Mais il y a des fois,
01:16:31on peut ne pas être bien physiquement
01:16:33et psychologiquement.
01:16:35Là, en l'occurrence, il avait le nez qui était au niveau de ses oreilles.
01:16:37C'était compliqué.
01:16:39Donc, il a donné le maximum qu'il pouvait.
01:16:41Mais il ne nous doit pas ses échecs.
01:16:43Il a fait ce qu'il pouvait.
01:16:45Je pense qu'il a dû faire son introspection aussi personnelle.
01:16:47Il sait qu'il doit être mieux.
01:16:49Il sait qu'il doit remettre
01:16:51un petit peu la machine.
01:16:53Mais nous,
01:16:55il ne nous a pas ses échecs.
01:16:57Il a presque 10 ans dans le monde professionnel.
01:16:59Aujourd'hui, on pense que
01:17:01Kylian Mbappé a besoin de nous
01:17:03pour dire s'il a un échec ou pas.
01:17:05Il sort de son match.
01:17:07Il nous a habitués à tellement mieux.
01:17:09On continue de parler de Kylian Mbappé dans un instant.
01:17:11On est en direct.
01:17:13On est une émission d'actualité chaude.
01:17:15Je vous montre juste cette petite image des espoirs qui sont à l'échauffement.
01:17:17On est en direct d'Angers.
01:17:19Il y a un match de qualif à l'Euro 2025.
01:17:21Dans 40 minutes,
01:17:23le coup d'envoi sera face à la Slovénie.
01:17:25Aidez-moi à les reconnaître, les gars, les joueurs.
01:17:27C'est Kylian Mbappé qu'on voyait à l'image.
01:17:29Mbappé à droite.
01:17:31C'est pour les espoirs.
01:17:33On sait déjà qui va porter le brassard ?
01:17:35Ou c'est anecdotique ?
01:17:37Je ne sais pas.
01:17:39Moi aussi, j'aimerais bien.
01:17:41Peut-être Luqueba.
01:17:43Luqueba, généralement, il avait l'habitude de le prendre.
01:17:45Magassa.
01:17:47Orestes ?
01:17:49Guillaume Orestes.
01:17:51On me dit que Giovanni Castaldi,
01:17:53qui pourtant a été muté,
01:17:55il a quand même gardé quelques liens avec les petits.
01:17:57On sait qui sera capitaine ce soir à Angers.
01:17:59Une pièce sur Est.
01:18:01C'est tout, celui-là.
01:18:03Ce sera le milieu de Stuttgart.
01:18:05Enzo Mio qui portera le brassard ce soir à Angers,
01:18:07ma chère France.
01:18:09Réaction ? Il attendait, non ?
01:18:11On s'attendait peut-être à quelqu'un de plus expérimenté.
01:18:13Je ne sais pas trop.
01:18:15Mais Luqueba...
01:18:17Fred Rampal est son chouchou, il dit.
01:18:19Oui, c'est mon chouchou.
01:18:21Ça lui va bien, déjà d'une.
01:18:23Il est en 360 par rapport à ses partenaires.
01:18:27Je pense qu'il a cette personnalité
01:18:29pour être le capitaine des Bleuets.
01:18:33C'est un très bon choix, bravo.
01:18:35C'est un vrai signal, par contre,
01:18:37de ne pas mettre Luqueba, Orestes et tout ça.
01:18:39C'est lui, à l'image.
01:18:41C'est lui, Enzo Mio.
01:18:43Je ne sais pas qui filme, on va me donner le nom dans un instant.
01:18:45C'est parfait de me donner cette image.
01:18:47Le nouveau capitaine des Bleuets.
01:18:49Gardez un petit peu de temps,
01:18:51on revient au Grand, au Parc des Princes,
01:18:53avec Giovanni Castaldi,
01:18:55lorsqu'on parlait de Kylian Mbappé.
01:18:57On voulait savoir s'il nous devait une revanche.
01:18:59Giovanni, la bonne nouvelle, c'est qu'il sort d'un doublé au Réal.
01:19:01C'est bon pour la confiance.
01:19:03Ça peut peut-être se ressentir, ce soir,
01:19:05pour Kylian Mbappé, maintenant qu'il a le maillot bleu.
01:19:09Oui, j'espère qu'il va retrouver de la confiance.
01:19:11C'est une certitude.
01:19:13Je suis un peu de l'avis de deux pierres.
01:19:15Je l'ai trouvé de mieux en mieux
01:19:17avec le Réal.
01:19:19Ce qui dégage, athlétiquement, c'est rassurant.
01:19:21Moi qui l'ai vu toute la saison passée au PSG,
01:19:23je le trouvais lourd.
01:19:25Là, il est beaucoup plus affûté.
01:19:27Après, la conférence de presse d'hier,
01:19:29je trouve qu'elle me pose un peu problème.
01:19:31Il est quand même le capitaine de l'équipe de France.
01:19:33Que dire qu'il s'en fout de ce que les gens pensent
01:19:35quand tu représentes l'équipe de France de football
01:19:37et qu'on sait ce que ça implique.
01:19:39Je trouve que ce n'est pas très bon comme message
01:19:41que tu envoies en communication.
01:19:43Surtout dans une époque où les Bleus sont contestés,
01:19:45qu'il y a une forme de désamour.
01:19:47On a vu tous les athlètes aux Jeux Olympiques
01:19:49qui étaient proches du peuple français.
01:19:51Je n'aime pas trop cette expression,
01:19:53mais c'est un peu ça.
01:19:55Il y avait une communication extrême.
01:19:57Là, ça renforce l'idée du côté un peu détaché
01:19:59du monde du football, très starisé.
01:20:01Je pense qu'hier, il a commis beaucoup d'impairs
01:20:03en conférence de presse et que son comportement
01:20:05n'était pas digne.
01:20:07C'est beaucoup trop fort, mais en tout cas,
01:20:09il n'était pas à la hauteur de ce qu'il est capable de faire
01:20:11et des messages qu'il est capable d'envoyer
01:20:13quand il a envie de le faire.
01:20:15Il y en a un qu'on a eu pendant 15 ans
01:20:17qui était blasé, c'était Hugo Lloris
01:20:19qui ne lisait absolument rien pendant
01:20:21les conférences de presse.
01:20:23Ne rien dire, c'est une chose.
01:20:25Qu'on ne soit pas habitué de ce que fait Kylian Mbappé,
01:20:27je suis d'accord.
01:20:35Ce que je veux dire,
01:20:37ce n'est pas tant sur la nature des réponses.
01:20:39Je ne m'attendais pas à ce qu'ils nous disent
01:20:41qu'on a joué comme des trompettes, qu'on a été nuls,
01:20:43etc. Je trouve juste que dans l'attitude
01:20:45par rapport à la séquence que je viens d'expliquer
01:20:47sur les JO qu'on a tous vécu,
01:20:49et toi France qui adore ça,
01:20:51c'est vrai que l'image des sportifs aux Jeux Olympiques
01:20:53a été extrêmement positive.
01:20:55Je pense que sur le don de soi,
01:20:57sur le côté, on a envie de retrouver le peuple français,
01:20:59on est très attaché, on aime notre public,
01:21:01on a envie de donner du plaisir aux gens.
01:21:03Je pense que quand tu es capitaine de l'équipe de France,
01:21:05tu te dois de faire un peu plus
01:21:07et que dans l'attitude, il n'a pas été top hier.
01:21:09Je ne m'attendais pas à ce qu'ils me disent
01:21:11un milliard de choses hier en compte.
01:21:13Je parle juste du comportement et ce qu'il doit renvoyer
01:21:15et l'importance du foot en France.
01:21:17C'est un lien qui peut être parfois fragile.
01:21:19Il faut arrêter de croire que c'est incoupable
01:21:21et que le foot est au-dessus de tout et que les gens
01:21:23ne peuvent pas s'en lasser.
01:21:25Ils lèvent tous la main ici pour te répondre.
01:21:27Je suis d'accord.
01:21:29C'est un poil des magots ce que dit Giovanni.
01:21:31Tu veux comparer un mec
01:21:33qui a des interviews toutes les semaines
01:21:35pendant des années
01:21:37à des gens qui sont très peu exposés
01:21:39à qui on va poser plein de choses
01:21:41de questions positives et qui, elles, sont contentes
01:21:43de venir en conférence de presse
01:21:45qui vont pouvoir mettre en valeur un peu leur sport
01:21:47à un joueur
01:21:49qui vient et qui sait
01:21:51qu'il va être critiqué et qu'on va lui ravacher
01:21:53ce qu'il a fait de mal.
01:21:55Il y a forcément un côté des magots.
01:21:57Mais là, on ne l'a pas critiqué.
01:21:59Il savait qu'il allait être critiqué.
01:22:01Les questions étaient positives.
01:22:03Mais c'est lui tout seul
01:22:05qui se met en position
01:22:07d'être dans cet état.
01:22:09Excuse-moi à Kylian Mbappé. J'ai fait le PSG l'an passé.
01:22:11Il a fait deux zones mixtes dans toute l'année.
01:22:13Il donne trois interviews dans l'année.
01:22:15Ce n'est pas Vitinha, ce n'est pas Danilo Pereira
01:22:17qui vient toutes les semaines, trois fois par semaine
01:22:19devant la presse. Il est hyper protégé.
01:22:21Que ce soit en équipe de France, Hugo Lloris
01:22:23faisait toutes les conférences de presse d'avant-match.
01:22:25Ce n'est pas le cas de Kylian Mbappé.
01:22:27Il fait deux interviews dans l'année.
01:22:29Ce n'est pas quelqu'un qui est médiatiquement surexposé.
01:22:31Encore une fois, tu as le droit de prendre la mesure
01:22:33de la séquence qui se joue.
01:22:35Il n'est pas souvent interviewé.
01:22:37Il n'est pas du tout exposé.
01:22:39C'est les médias qui l'exposent.
01:22:41Ce n'est pas lui qui fait les papiers.
01:22:43Il ne parle pas.
01:22:45Il prend peu souvent la parole.
01:22:47Là, actuellement,
01:22:49sur la période, c'est lui qui a été
01:22:51le plus exposé. Il a fait je ne sais pas combien
01:22:53d'interviews en Espagne. Il en a fait en équipe de France.
01:22:55Il en a fait avec le PSG, etc.
01:22:57On ne peut pas comparer, encore une fois,
01:22:59un mec qui en a fait énormément
01:23:01à Kylian qui arrive pour les JO
01:23:03et qui a très peu d'exposition.
01:23:05Tu as l'impression qu'il en fait beaucoup, mais il n'en fait pas beaucoup.
01:23:07Quoi qu'il arrive, il en fera toujours plus.
01:23:09Quoi qu'il arrive, il en fera toujours plus.
01:23:11Encore une fois, on le juge.
01:23:13C'est faux ce que tu dis.
01:23:15Il ne fait pas plus d'interviews que les autres.
01:23:17Tu ne vas pas me dire qu'il n'a pas fait
01:23:19plus d'interviews qu'un mec
01:23:21qui a fait du beach volley
01:23:23aux JO.
01:23:25Si tu me prends le garagiste
01:23:27de Saint-Ouen aussi, c'est normal.
01:23:29Giovanni, c'est la comparaison qu'il fait.
01:23:31C'est normal qu'il soit content.
01:23:33Il ne manquerait plus qu'il fasse la gueule
01:23:35alors qu'on le voit très peu.
01:23:37C'est pas ça.
01:23:39C'est complètement différent.
01:23:41Giovanni est dépité.
01:23:43Tu peux répondre.
01:23:45Ensuite, Fred Picken.
01:23:47Là, Mathieu,
01:23:49c'est toi qui fais de la démago.
01:23:51Évidemment que le mec qui fait du beach volley,
01:23:53pour qui j'ai le plus grand respect,
01:23:55parce que lui, au moins, il est aux JO et pas moi,
01:23:57il est 500 fois moins exposé
01:23:59et qu'il a moins donné d'interviews.
01:24:01Je te dis simplement que pour un sportif
01:24:03de cette dimension-là qui est autant connue,
01:24:05si tu me parles du fonctionnement global
01:24:07des clubs et des sélections,
01:24:09c'est un garçon qui donne très peu d'interviews
01:24:11et qui est rare devant la presse.
01:24:13C'est quelque chose qu'il cultive.
01:24:15D'ailleurs, il le dit parce qu'il veut en donner
01:24:17des interviews qu'elles soient rares,
01:24:19qu'elles soient impactantes.
01:24:21Il cite des médias qui sont parfois hors football,
01:24:23genre GQ.
01:24:25Quand il a fait la une du Times,
01:24:27il a un rôle, quoi qu'on en dise,
01:24:29d'ambassadeur du foot français,
01:24:31quand il est capitaine de l'équipe de France.
01:24:33On remercie Djamini Castali pour cette intervention.
01:24:35Tu aurais dû faire les Jeux Olympiques,
01:24:37ne serait-ce qu'en équitation.
01:24:39On te retrouve ce soir pour le débrief
01:24:41dans l'équipe du soir.
01:24:43Fred, on ne t'a pas entendu sur...
01:24:45Je pense qu'il a pris une posture
01:24:47un peu à la déchance.
01:24:49Il arrive dans un autre contexte.
01:24:51C'est vrai qu'il est très enjoué
01:24:53quand il parle un peu à la presse espagnole
01:24:55Il est là, il parle un petit peu,
01:24:57il parle même en espagnol.
01:24:59Il est enjoué, opération séduction, bien évidemment.
01:25:01Et puis il arrive en équipe de France,
01:25:03réseaux sociaux, les journaux.
01:25:05Il arrive peut-être devant une presse
01:25:07qui, justement, essaye de le taquiner
01:25:09par rapport à certaines prestations.
01:25:11Il sait déjà la posture qu'il doit prendre.
01:25:13Il essaie de mettre un espèce de bouclier
01:25:15en se disant
01:25:17de toute façon, demain,
01:25:19ça s'est mal terminé avec Paris.
01:25:21Je vais arriver au Parc des Princes.
01:25:23Je vais peut-être me faire siffler.
01:25:25On en parlait hier. Tu penses qu'il sera sifflé ?
01:25:27C'est possible.
01:25:29Même si c'est l'équipe de France,
01:25:31c'est au Parc.
01:25:33Il y a certaines choses
01:25:35qui traversent son esprit
01:25:37et sa tête.
01:25:39Il est arrivé un peu blasé
01:25:41dans cette conférence de presse.
01:25:43J'arrive à un âge où je ne constate plus,
01:25:45je n'attends plus rien.
01:25:47J'aurais aimé avoir
01:25:49Kilian un peu souri
01:25:51en disant que c'est l'équipe de France.
01:25:53On est super content de revenir.
01:25:55Même si à demi-mot, il l'a dit.
01:25:57C'est l'attitude en fait.
01:25:59Ce n'est pas vraiment ce qu'il dit,
01:26:01mais l'attitude qu'il a.
01:26:03Et on l'a connu tellement à l'aise dans cet exercice.
01:26:05Il est trop facile.
01:26:07Les Bleus, on en reparle ce soir dans l'équipe du soir
01:26:09pour le débrief, les réactions, l'analyse de tous nos experts.
01:26:11Mais en attendant, le gardien Guillaume reste prêt
01:26:13pour disputer ce match tant important
01:26:15pour l'équipe de France.
01:26:17On est à une demi-heure du coup d'envoi.
01:26:19On va filer au stade Raymond Copa dans quelques minutes.
01:26:21A tout de suite.
01:26:35Dans moins de 20 minutes,
01:26:37le coup d'envoi du match des espoirs
01:26:39France-Slovénie.
01:26:41Match important, match de qualification
01:26:43à l'Euro 2025.
01:26:45Et surtout, le premier match post-JO,
01:26:47tout à fait la même équipe.
01:26:49Premier match également pour Gérald Baptiste,
01:26:51la première sortie pour le nouveau sélectionneur
01:26:53qui succède à Thierry Henry.
01:26:55On a quelques minutes pour se faire un petit avant-match.
01:26:57Déjà, l'ère post-JO qui commence.
01:26:59On s'est tous pris d'amour pour cette équipe de France
01:27:01qui fait vice-championne olympique à Paris.
01:27:03Est-ce que ça va perdurer, vous croyez ?
01:27:05Est-ce qu'on va continuer à suivre les Bleus
01:27:07même si ce n'est pas tout à fait la même équipe,
01:27:09si j'ai bien compris ?
01:27:11Moi, je pense qu'il y a eu un petit attachement
01:27:13avec ce qui s'est passé aux Jeux olympiques.
01:27:15Mais malgré tout, le fait d'avoir donné
01:27:17à Gérald Baptiste la suite,
01:27:19je pense qu'il y a la continuité.
01:27:21Les préceptes de Thierry Henry sont là
01:27:23et en plus, ils ont été assez bien adoptés.
01:27:25Pour le coup, on dit tout le temps
01:27:27qu'en équipe nationale,
01:27:29on n'a jamais le temps de rien faire.
01:27:31Thierry Henry a réussi plutôt à mettre la patte
01:27:33sur le groupe et d'insulter quelque chose.
01:27:35J'espère que ça va continuer
01:27:37et j'espère que la hype va un peu continuer
01:27:39parce que c'était sexy pendant les JO.
01:27:41J'espère que ça va se poursuivre.
01:27:43Très proche de son équipe.
01:27:45On va mesurer la sexitude de cette équipe
01:27:47peut-être avec l'ambiance sur place
01:27:49avec Timothée Mémon qui est notre travaillé spécial.
01:27:51Est-ce qu'il y a un effet post-JO ?
01:27:53Est-ce que tu sens que les gens sont là aussi
01:27:55pour voir cette équipe de France
01:27:57qui n'est pas tout à fait la même
01:27:59mais qui a brillé au jeu ?
01:28:01Et surtout, par rapport au jeu,
01:28:03il y a une dizaine de joueurs ?
01:28:05Oui, il y a 12 joueurs qui sont présents
01:28:07qui ont participé à l'aventure olympique
01:28:09de cette équipe de France.
01:28:11D'ailleurs, Gérald Batikl est très centré
01:28:13sur ce sujet
01:28:15puisqu'il y a 12 Olympiens
01:28:17ça veut dire qu'il y en a 13
01:28:19qui ne le sont pas
01:28:21et l'idée c'est vraiment de créer une cohésion.
01:28:23Il est très attentif à cela.
01:28:25Pour ce qui est de l'ambiance,
01:28:27on a quand même la sensation que ce stade
01:28:29du SCO d'Angers va vibrer.
01:28:31Oui, 6500 billets seulement
01:28:33ont été vendus
01:28:35pour une équipe de France.
01:28:37Ça reste quand même un peu en dessous
01:28:39de ce qu'on avait espéré
01:28:41après la médaille d'argent obtenue.
01:28:43Merci Tim, tu restes avec nous
01:28:45pour cet avant-match.
01:28:47Fred, tu disais quoi ?
01:28:49Je disais que Titi était très proche des joueurs.
01:28:51Henry, c'est fini tout ça !
01:28:53C'est rare que tu vois un sélectionneur
01:28:55danser avec ses joueurs
01:28:57même s'il y a la victoire.
01:28:59Il danse avec eux, il est très proche.
01:29:01En mon avis, Batikl ne va pas danser.
01:29:03S'il gagne l'Euro 2025.
01:29:05Ce que j'aimerais voir par contre
01:29:07c'est une patte Gérald Batikl.
01:29:09Quand on est adjoint d'un coach
01:29:11on n'est pas forcément
01:29:13adepte des mêmes idées.
01:29:15Et moi j'aime bien d'ailleurs
01:29:17quand être adjoint
01:29:19et ne pas avoir les mêmes...
01:29:21Même si c'est le coach
01:29:23qui a le dernier mot
01:29:25parce que c'est lui qui décide.
01:29:27Mais d'avoir des discussions
01:29:29et de ne pas forcément avoir les mêmes idées.
01:29:31Donc j'aimerais bien voir aussi
01:29:33une patte Gérald Batikl dans cette équipe.
01:29:35Est-ce qu'on a déjà une patte Gérald Batikl
01:29:37qui se dessine sur les quelques séances
01:29:39auxquelles tu as pu assister ?
01:29:41Peut-être, je ne sais pas.
01:29:45Déjà il faut quand même dire une chose
01:29:47c'est que Gérald Batikl va jouer en 4-3-3
01:29:49c'est ce qu'il nous a dit en avant-match
01:29:51tout à l'heure.
01:29:53Avec quand même une spécificité
01:29:55c'est qu'auparavant, il faut se rappeler
01:29:57que là on est dans une période de qualification
01:29:59et que cette période de qualification s'est arrêtée en novembre.
01:30:01Il y a eu la parenthèse de qualification olympique
01:30:03des Jeux Olympiques
01:30:05mais les qualificatifs pour l'Euro 2025
01:30:07ils ont commencé la saison dernière
01:30:09en septembre, octobre, novembre
01:30:11et à ce moment-là, cette équipe de France
01:30:13ne jouait pas dans ce dispositif
01:30:15parce que cette équipe de France
01:30:17était très centrée autour de Ryan Cherki
01:30:19Ryan Cherki était le maître à jouer
01:30:21de cette équipe de France
01:30:23Là, on offre la possibilité à deux joueurs
01:30:25d'être les créatifs, d'être les dépositaires
01:30:27du jeu, à savoir Enzo Mio
01:30:29et Akeli Yoush.
01:30:31Ce n'est pas facile. Merci pour cette information.
01:30:33Bac à toi les désirés doués.
01:30:35Tu as les infos avant nous.
01:30:37C'est incroyable.
01:30:39Mais tu sais quoi, puisque tu fais le malin,
01:30:41tu vas rester pour commenter ce match.
01:30:45Merci à tous les quatre d'avoir été avec nous.
01:30:47C'était un régal. Nous on va se retrouver lundi
01:30:49dans l'équipe de choc à 16h10 évidemment.
01:30:51Je vous souhaite un bon week-end, un bon match sur la chaîne.
01:30:53L'équipe est à l'aile bleue !
01:31:01Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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