Le nouveau Premier ministre effectue son premier déplacement officiel ce samedi à l’hôpital Necker de Paris.
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00:00— Combien de véhicules comme ça ? — Qui tournent 24h sur 24, un écart, nous en avons 3. Une quatrième qui est ouverte du lundi au vendredi,
00:07et un cinquième qui sert de transfert interhospitalier avec... — Si, je peux vous poser la même question que tout à l'heure.
00:12Vous faites combien d'interventions sur des adultes par moyenne, par semaine ? — 5 et 10, entre 5 et 10 par mois.
00:18— 5 et 10 par jour, en moyenne. C'est très fluctuant. — Et vous avez combien d'équipes mobilisables là-dessus ? Là, vous travaillez en tandem, vous ?
00:27— Non. On est 6 H24 et une quatrième le jour. — Soit de l'adulte. — On ne parle que sur les urgences vitales, hein, les urgences absolues.
00:38— Les urgences absolues, oui. — Soit c'est les appels des pompiers. Soit à la régulation, on voit que ça nécessite l'envoi d'un médecin
00:46du fait de la gravité de la situation. Et donc on ne se doute que des urgences vitales. Et on a d'autres bases dans tout Paris qui...
00:54— La Pugière, l'Arrive, où il y a d'autres ambulances comme ça, qu'on peut faire partir au plus près du malade.
01:00— Vous-même, vous avez un parcours dans ce domaine ? — Ah bah oui. Moi, j'ai toujours été urgentiste.
01:04— Urgentiste. — Et je continue à faire du camion. — Et vous avez commencé comment, au début ?
01:08— Ah, j'ai commencé... J'ai commencé à Avicenne, en Seine-Saint-Denis, au sommet 93. Et puis voilà. Puis j'ai monté en grade.
01:16Et c'est un métier qui est passionnant, de médecin-urgentiste hospitalier. — Essentiel. Essentiel.