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Transcription
00:00C'est une très bonne question. Le droit d'asile dans la tradition européenne c'est
00:06Victor Hugo à Guernosais ou c'est Solzhenitsyn dans le Vermont.
00:11Ce n'est pas des millions d'Afghans.
00:14Ces gens-là sont
00:16persécutés par leur propre culture en vérité, pas par leur gouvernement. On n'est pas dans une logique du régime communiste
00:25qui persécutait Solzhenitsyn ou Kundera.
00:27En vérité, ce sont des gens qui sont dans une culture musulmane et donc
00:33les homosexuels sont persécutés, donc les femmes sont enfermées, mais on le sait depuis depuis mille ans, depuis le début de l'islam.
00:40Donc, ce ne relève pas du droit d'asile. Et c'est ça la perversité. On en revient à mon début sur la politisation.
00:46Qu'est-ce qui s'est passé ? Depuis 20-30 ans, on a étendu sans le dire aux français
00:52les cas de droit d'asile. Ce n'est plus Victor Hugo.
00:56Aujourd'hui, c'est tous les homosexuels des pays musulmans. D'ailleurs, ils ont tous le même baratin.
01:00Ils racontent tous la même histoire, écrites par les associations qui les défendent et défendues par des avocats qui sont
01:08rémunérés et qui en vivent grassement.
01:10Voyez, si vous voulez, ils racontent tous la même histoire. Ah, j'étais un homosexuel et j'étais malheureux. Ah, j'étais une femme battue.
01:16Ah, mon cousin était ceci. Donc, si vous voulez, il faut arrêter avec ça. Il faut arrêter avec ça.

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