Malgré un bon départ, la Honda N.113 du Team VIP Moto - Dynoperf a dû se résoudre à l'abandon dimanche à 2h53. Elle évoluait depuis la fin de soirée avec seulement deux pilotes en rotation.
Au moins, l'équipage marseillais VIP Moto - Dynoperf du team manager Kamel Haddad, parrainé par La Provence, sera allé plus loin qu'en 2023. Alors qu'il n'avait tenu que trois heures en piste, il aura cette fois résisté près de douze heures en 2024 puisque l'abandon a été annoncé à 2h53, soit 11h53 après le départ du 87e Bol d'Or. La raison : une perte de puissance qui a obligé Kevin Jacob, alors en piste, à se ranger, trois tours seulement après un voyant d'alerte qui avait engendré un check-up complet de la machine. "Il est encore trop tôt pour dire précisément ce que c'est, mais le moteur est HS", indique l'équipe.
La Honda CBR 1000 N.113, engagée dans la catégorie Motostock, ne comptait plus que deux pilotes valides, après le retrait de Florian Reaux avant le départ (condition physique "non conforme" dixit l'équipe) et la luxation du genou de Benjamin Colliaux vers 22h consécutive à une chute en piste. Une situation qui laissait les seuls Camille Hedelin et Kevin Jacob, contraints de revenir au guidon plus rapidement, toutes les 50 minutes.
Mais surtout, la chute de Colliaux a fortement abîmé la moto, immobilisée pendant près d'une demi-heure avant de repartir dans les dernières positions de la course. "Est-ce que cette chute a fait déjauger le moteur ?", s'interroge le Team VMD.
Après plus de douze heures de course, 36 motos (sur 45 engagées) continuaient leur périple vers l'aube. La Suzuki N.12, lauréate l'an dernier, occupe toujours la première place mais elle a pris le large par rapport au Team BMW Motorrad et sa N.37, désormais 3e et reléguée à 5 tours. Pilotée par Gregg Black, Etienne Masson et Dan Linfoot, elle est toujours virtuelle championne du monde de Formula EWC puisque la tenante du titre et leader de l'édition 2024 avant le Bol d'Or, la Yamaha N.1 du Yart, grappille des places mais n'est que 4e (à 4 tours).
Au moins, l'équipage marseillais VIP Moto - Dynoperf du team manager Kamel Haddad, parrainé par La Provence, sera allé plus loin qu'en 2023. Alors qu'il n'avait tenu que trois heures en piste, il aura cette fois résisté près de douze heures en 2024 puisque l'abandon a été annoncé à 2h53, soit 11h53 après le départ du 87e Bol d'Or. La raison : une perte de puissance qui a obligé Kevin Jacob, alors en piste, à se ranger, trois tours seulement après un voyant d'alerte qui avait engendré un check-up complet de la machine. "Il est encore trop tôt pour dire précisément ce que c'est, mais le moteur est HS", indique l'équipe.
La Honda CBR 1000 N.113, engagée dans la catégorie Motostock, ne comptait plus que deux pilotes valides, après le retrait de Florian Reaux avant le départ (condition physique "non conforme" dixit l'équipe) et la luxation du genou de Benjamin Colliaux vers 22h consécutive à une chute en piste. Une situation qui laissait les seuls Camille Hedelin et Kevin Jacob, contraints de revenir au guidon plus rapidement, toutes les 50 minutes.
Mais surtout, la chute de Colliaux a fortement abîmé la moto, immobilisée pendant près d'une demi-heure avant de repartir dans les dernières positions de la course. "Est-ce que cette chute a fait déjauger le moteur ?", s'interroge le Team VMD.
Après plus de douze heures de course, 36 motos (sur 45 engagées) continuaient leur périple vers l'aube. La Suzuki N.12, lauréate l'an dernier, occupe toujours la première place mais elle a pris le large par rapport au Team BMW Motorrad et sa N.37, désormais 3e et reléguée à 5 tours. Pilotée par Gregg Black, Etienne Masson et Dan Linfoot, elle est toujours virtuelle championne du monde de Formula EWC puisque la tenante du titre et leader de l'édition 2024 avant le Bol d'Or, la Yamaha N.1 du Yart, grappille des places mais n'est que 4e (à 4 tours).
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00:00On ne va pas dire que c'est à cause de ça, mais si la moto n'avait pas fait cette chute aussi importante à ce moment-là de la course,
00:07on pense que notre moteur n'aurait pas été affecté par ce choc.
00:30On a tout rangé. Plus vite c'est fait, mieux on se porte.
00:53Là, il nous reste deux motos. C'est la première qui a chuté.
00:58On est dans le même esprit que l'année dernière. On était préparés, donc on le vit forcément mieux, même si ce n'est pas ce qu'on attendait.
01:06Malgré toute l'expérience qu'on a pu engranger avec l'année dernière, on a vraiment progressé.
01:13On s'est rendu compte qu'on a quadruplé le temps en piste. On a fait la moitié de la course.
01:19Après, il y a plein de facteurs qui rentrent en compte.
01:24Je pense que le facteur non palpable, qui est très important dans l'endurance, c'est la petite part de chance.
01:30Il reste 43 minutes. J'aimerais qu'on fasse l'année prochaine.
01:35Aujourd'hui, on n'en est pas là. On digère cette expérience-là, qui pour moi était encore plus enrichissante.
01:43On découvre des choses à chaque fois.