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00:00Est-ce que vous êtes pour la régulisation de tous les sans-papiers ?
00:04Bon, bien entendu, c'est pour moi une énorme bêtise.
00:08Merci, oui, ami Thomas Guénolé. Merci qu'il rentre dans l'ambiance.
00:12C'est très drôle, Thomas. Non, franchement, très drôle.
00:15Oui, alors, Gilles Verdez n'est plus seul.
00:18En tout cas, si vous nous rejoignez à 20h01, Gilles Verdez n'est plus seul.
00:21Merci à lui. Alors, non mais franchement, les chéris, on peut pas être contents de ça.
00:26Géraldine Maillet, taisez-vous, s'il vous plaît. Déjà, vous nous insultez.
00:29Déjà, c'est quand même un peu un naufrage pour Lucie Castex.
00:31Heureusement qu'elle n'a pas été première ministre parce que, visiblement, elle ne maîtrise pas ses dossiers.
00:34Et Dieu sait que c'est un dossier très, très, très important, l'immigration, en tout cas, qui tient au cœur des Français
00:38et qui ne sont pas des xénophobes, selon moi, monsieur Guénolé, même si c'est votre avis.
00:42Je le respecte, mais je ne suis pas du tout d'accord avec vous.
00:44Alors, après, elle mélange tout parce qu'il y a les sans-papiers, il y a les migrants.
00:48C'est une sorte de boubibouga. Vraiment, je ne comprends pas.
00:51Et moi, je pense que ça n'est pas possible parce que, de toute façon,
00:54on a besoin de régulariser certains travailleurs sans-papiers, mais pas tous,
00:59en fonction, éventuellement, de quelques... Voilà, au cas par cas, en fonction de certaines activités.
01:05Mais sinon, si on régularise tout le monde, ça va être un appel d'air absolument impossible à gérer.
01:10Et déjà, qu'on est complètement écrasé, me semble-t-il, aujourd'hui par une immigration massive.
01:14Mais vous allez me dire que c'est faux. Et vous allez me dire que je suis dans une sorte de délire.
01:17Alors, laissez-moi dans mon délire. Et bien, voilà.
01:20Et donc, je pense que c'est complètement hors-sol et complètement déconnecté du réel. Voilà.
01:23— On va prendre quelques noms. Et après, bien entendu, on fera parler Gilles Vernet et Thomas Guénolé.
01:29Voilà. J'aimerais bien savoir ce qu'ils vont nous dire. Tiens, Jean-Michel Maire.
01:32— Non, mais je réfléchis. Je cherche quel est le projet, en fait, de cette régularisation.
01:37Quel est le but ultime ? Qu'est-ce que ça va apporter ?
01:39— Non, mais c'est juste pour faire un coup de buzz.
01:41— Oui, c'est un coup de buzz. Mais qu'est-ce que ça va apporter aux Français de régulariser des gens qui sont là,
01:45qui n'ont pas forcément d'ailleurs envie de travailler, qui viennent parfois, pas tous,
01:48mais parfois pour bénéficier de la grande générosité de Gilles et de la France. Voilà.
01:53Donc les régulariser, alors qu'il y a pas de... On cherche pas forcément des gens pour...
01:58Il manque dans certains secteurs des travailleurs. Mais enfin on n'a pas un manque de travailleurs
02:02comme au Canada, par exemple. Donc quel est le projet, à part, comme le dit Géraldine,
02:06d'inciter tout le monde à venir, voilà, et du coup de faire le jeu de ce que vous appelez la subversion ?
02:10— Et on n'a pas les moyens, surtout. — Là, pour le coup, oui. Là, c'est...
02:12— On n'a pas les moyens. C'est ceux qui travaillent. — Ceux qui travaillent.
02:15— Oui, au cas par cas. — Oui, bien sûr.
02:17— Et c'est déjà le cas. — J'ai un ami qui travaille.
02:21— Le bâtiment, la restauration... — Il s'appelle Khaled qui travaille, qui est un travailleur,
02:26qui est un mec qui... Voilà, qui est un amant de mec. Il travaille. Et lui, voilà, il galère.
02:32Il galère pour les papiers. C'est vrai que les mecs, ils travaillent depuis longtemps.
02:35Il faut montrer... Il faut faire ses preuves. Il faut faire ses preuves. C'est comme à l'école.
02:39Je suis désolé. Il faut faire ses preuves et être méritant.
02:42— Mais c'est déjà le cas, Cyril. Il y a plein de travailleurs étrangers qui, au bout de quelques années,
02:45obtiennent leurs papiers. Et c'est très bien. Cette femme peut être première ministre de la France.
02:48— Ah mais c'est fou. — Vous l'avez dit plusieurs fois.
02:50Je suis d'accord avec vous, Cyril. La France, c'est comme une entreprise.
02:52Quand vous êtes une entreprise, que vous êtes en dette, vous allez pas dire on embauche 10 000 personnes.
02:57On ne peut pas. Pourquoi elle le fait ? Elle veut gérer la France comme une entreprise.
03:00Elle ne serait pas capable de gérer le bistrot du coin. C'est catastrophique.
03:04Non mais c'est vrai. Comment font ces gens ? — Faites attention à Thomas Guédoué, quand même.
03:07— On peut mettre une claque, mais involontairement. C'est pas contre moi.
03:10— Non mais voilà, ça n'a aucun sens. Et au cas par cas, par contre, je suis tout à fait pour...
03:13Parce qu'il faut dire aussi la vérité. Il y a plein d'étrangers qui viennent faire des boulots
03:16que les Français ne veulent pas faire. On a beaucoup de vœux.
03:20— Alors ça aussi, tu vois, c'est bien que tu dises ça. Moi aussi, c'est bien qu'on tape sur les étrangers,
03:25les sans-papiers, les mecs qui ne veulent pas travailler. J'adore. Mais il y a un truc aussi.
03:30Il va falloir se pencher là-dessus, sur cette phrase que tu viens de dire là, le travail que les Français
03:34ne veulent pas faire. À un moment donné, quand t'es dans la merde, tu dois pouvoir faire le travail
03:38qu'on te dit de faire. Il n'y a pas de nationalité pour dire non, moi, je suis Français, je ne fais pas ça.
03:44Il faut aussi que le gouvernement se dise à des Français... Parce qu'on dit qu'il y a des gratteurs
03:48qui travaillent pas, qui foutent rien, que c'est des immigrés, c'est des sans-papiers. OK, pas de problème.
03:52Je vais pas nier ça. Mais il y a aussi des Français qui cassent les couilles et qui foutent rien
03:55et qui ne veulent pas travailler qui disent... Moi, j'irais pas faire ce métier-là.
03:58C'est un métier pour un homme ou pour un Arabe. J'aimerais bien qu'on arrête aussi avec ça.
04:01La phrase que tu viens de dire là, il faut faire venir des sans-papiers et des immigrés
04:05parce que les Français ne veulent pas le faire. Non, tu veux pas faire, tu n'auras pas ton chômage.
04:09Va te faire foutre. Tu veux pas faire, tu le fais pas.
04:11Les mecs, on travaille tous, hein. On doit tous travailler. Ça va, ça va.
04:16Il n'est pas tout seul, hein. Il n'est pas tout seul à dire ça.
04:19Nombre de personnes que tu entends dans ta vie de tous les jours... Moi, j'en ferais jamais ce boulot-là.
04:23Faire du goudron pour les routes. Non, non, non. C'est un métier de Sénégalais.
04:26Ça, je ferais jamais ça. On va vous couper, vous aussi, vos allocations
04:30et vous allez aller travailler comme tout le monde pour 1 700, 1 600 à faire des routes.
04:33On est où, là ?
04:34Il n'arrête pas de le dire. Ça lui frappe, ça frappe à l'épaule.
04:38Les gars, si vous l'applaudissez trop, dans un instant, on a le Gruyère à 8,95.
04:43Je vous le dis, ça nous pend au nez, hein. Ça nous pend au nez. Je le dis, je le connais.
04:47Gilles Vernez, tiens. Moi, j'adore Lucie Castex. Et plus que jamais, après sa déclaration...
04:51Gilles Vernez, vous êtes un don J pour la France, si vous voulez.
04:54Un don J, un don J. Je trouve que c'est extraordinaire qu'elle ose dire à un moment
04:58je vais travailler mon dossier et je reviendrai. Ça, c'est son honneur.
05:01Deuxième chose, les sans-papiers qu'elle veut régulariser, ils sont là, ils sont là.
05:06Donc, qu'est-ce que vous voulez faire ?
05:08Mais j'ai même pas parlé, arrêtez.
05:09Bah si, t'as trop parlé.
05:10Donc, il suffit de rentrer, alors.
05:12Mais ils sont là.
05:14Il suffit de rentrer.
05:14Donc, il suffit de rentrer.
05:15Mais ils sont là.
05:16Non, c'est pas comme ça, Gilles.
05:17Le sans-papiers qui vient...
05:20Le sans-papiers qui vient travailler.
05:22Le sans-papiers qui vient travailler.
05:24Mon père, il est venu sans-papiers. Il a demandé des cartes de séjour renouvelables tous les 10 ans.
05:29Arrête tes conneries.
05:31Tu dis n'importe quoi, Gilles.
05:33Et arrête d'insulter les Sénégalais.
05:35T'as insulter les Sénégalais, en plus.
05:37T'as dit ça à travail, t'en as marre.
05:39Arrête, c'est très grave ce que tu dis, Gilles.
05:41J'insulte pas Sénégalais.
05:43C'est l'inverse qu'il a dit, Gilles.
05:45S'il vous plaît, s'il vous plaît.
05:47Une fois de plus, je déteste ce que tu dis encore une fois.
05:49Et Raymond, au contraire, il a rendu hommage aux Sénégalais.
05:51Je défends, j'insulte.
05:53Non, mais c'est insupportable, Gilles.
05:56Vous êtes devenus d'une mauvaise foi.
05:58C'est insupportable.
06:00Bizarrement, même Thomas Guénolé...
06:02Il a un doute.
06:04Il a un doute.
06:06Même Thomas Guénolé, je trouve que...
06:08Je le supporte beaucoup plus.
06:10Je peux finir.
06:12C'est insupportable de dire...
06:14Je m'en fous à la limite.
06:16Il a fait son truc, on s'en fout.
06:18Moi aussi, je m'en fous.
06:20On a besoin de gens qui viennent travailler.
06:22Qui viennent aider la France.
06:24Qui viennent, qui payent leurs impôts avec des cartes de séjour.
06:26Ils sont là, ils travaillent.
06:28Même on leur donne un permis de travail, s'il faut faire un permis de travail.
06:30Mais il ne faut pas accueillir n'importe qui, n'importe comment.
06:32Pour qu'il va venir squatter.
06:34Il va venir égorger des Philippines.
06:36Il va faire de l'OTTF.
06:38Il va faire n'importe quoi.
06:40Et on va lui dire, non, maintenant qu'il est là, il est là.
06:42Non, si tu es venu pour travailler, tu restes.
06:44Tu nous aides.
06:46Si tu es venu pour foutre la merde, tu dégages.
06:48Voilà, c'est tout.
06:50C'est ça qu'il faut comprendre.
06:52On n'est pas des racistes.
06:54On n'est pas des racistes.
07:08Tu sais ce qui est grave, après j'arrête mes conneries.
07:10Tu sais ce qui est grave ?
07:12C'est qu'on a accusé toute la journée de racisme ici.
07:14Vous êtes des racistes, vous êtes des racistes.
07:16Vous ne voulez pas de noirs, vous ne voulez pas d'arabes.
07:18Vous n'aimez pas ci, vous n'aimez pas ça.
07:20On n'a jamais dit ça.
07:22On a juste dit qu'on veut être en sécurité, nous et nos enfants.
07:24Si toi, tu veux un jour te retrouver dans le journal et pleurer
07:26parce qu'on a fait des délires à qui que ce soit,
07:28c'est ton problème.
07:30Moi, je veux que tout le monde soit là.
07:32Je suis pour tout le monde.
07:34Voilà, c'est tout.
07:36J'ai donné, il y a deux secondes, l'exemple de Khaled, qui est un pote.
07:50Qui fait un travail exceptionnel.
07:52Lui, ça fait des années qu'il travaille, tu le connais.
07:54C'est une bombe de mec.
07:56J'ai envie qu'il laisse ses papiers.
07:58C'est un amour.
08:00Il travaille depuis des années, il n'arrive pas à avoir ses papiers.
08:02Lui, ça me rend fou.
08:04On donnera Thomas Guénolé quand même.
08:06Je le laisse en fermeture de rideau.
08:10Je voulais vous répondre sur quelque chose à vous.
08:12Je ne suis pas votre petit pote.
08:14Si vous l'acceptez, c'est par rapport à ce que vous avez dit sur l'AME.
08:18L'AME, je te le dis.
08:20Je n'ai même pas dit ce que je voulais te dire.
08:22L'AME, il faut arrêter.
08:24L'AME, si tu es venu pour m'énerver, ça va être vite fait.
08:26L'AME, je te l'ai déjà dit hier.
08:28Je pourrais vous dire quand même ?
08:30Pour me dire quoi ?
08:32Tout à l'heure, vous avez expliqué que des gens venaient spécialement.
08:36Ça, c'est génial.
08:38Je vais vous dire pourquoi.
08:40Je vais vous dire pourquoi.
08:42C'est insupportable.
08:44Je pense à mon pote.
08:46Il est venu en France pour travailler.
08:48Il se tue à la tâche.
08:50Je te le dis, il n'est pas venu pour l'AME.
08:52Il est venu pour bosser.
08:54Il est incroyable.
08:56Quand j'entends des gugus comme toi dire ça...
08:58Tu veux nous énerver, c'est tout.
09:00Il vient ici juste pour nous énerver.
09:02Et mamie, elle est fragile.
09:04Je peux dire pourquoi.
09:06J'ai même pas dit...
09:08Gilles, c'est insupportable.
09:10J'ai rien dit encore.
09:12C'est ma présence qui est insupportable.
09:14L'AME...
09:16Je vais me barrer.
09:18Je connais des dizaines de gens,
09:20qui sont venus pour l'AME
09:22et qui ont eu leur vie sauvée.
09:24Et moi, c'est une fierté.
09:26Ils seraient morts dans leur pays.
09:28J'en connais plein.
09:30Je peux pas entendre ça.
09:32C'est vrai.
09:34Ce sont des maladies
09:36qui ne pouvaient pas être soignées chez eux.
09:38Gilles Verdez,
09:40il faut que vous compreniez quelque chose.
09:42Vous avez entendu ce qu'a dit
09:44Antoine Armand, nouveau ministre de l'économie ?
09:46Il a mis le nez dans les comptes.
09:48Il a dit que c'était catastrophique.
09:50Aujourd'hui, on ne peut plus.
09:52Sachez-le, c'est terminé.
09:54C'est rideau.
09:56La France ne peut plus.
09:58Déjà, sauvons ceux qui sont là.
10:00Et les Français qui sont en galère.
10:02Sauvons les Français qui, le 10 du mois,
10:04ne savent pas s'ils vont manger le 11.
10:06Sauvons tous les gens qui travaillent
10:08et qui ne savent pas s'ils vont manger le 20 du mois.
10:10Donc arrêtons d'aider tout le monde.
10:12Je vous le dis, parce que là, à un moment,
10:14on ne peut plus. Les Français n'en peuvent plus.
10:16Et dans les pays à construire des hôpitaux,
10:18les pays conservés...
10:20Gilles Verdez, je vais vous dire,
10:22il faut arrêter.
10:24Gilles Verdez, je vais vous dire quelque chose.
10:26Arrêtez, parce que là, les Français,
10:28votre discours, ils n'en peuvent plus.
10:30Surtout aujourd'hui, avec tout ce qui se passe.
10:32C'est un discours qu'on ne supporte plus.
10:34C'est ce que dit Lucie Castet.
10:36Elle est où, Lucie Castet ?
10:38Elle est chez elle en train de jouer au domino.
10:40Donc arrêtez de dire des conneries.
10:42On dirait que Lucie Castet, c'est la présidente.
10:44Lucie Castet, on ne la connaissait pas il y a deux mois.
10:46Elle est en train de faire du char-à-voile à Quimper.
10:48Donc arrêtez de dire des conneries.
10:50Déconnez pas avec Quimper.
10:52Non, mais il me dit, c'est ce que dit Lucie Castet.
10:54On dirait que Lucie Castet, c'est...
10:56Non, mais c'est parole d'évangile.
10:58Écoutez-moi bien, vous êtes fous.
11:00Moi, je suis issu d'immigration aussi.
11:02Mon père, il n'avait pas ses papiers.
11:04Quand il est arrivé en France, il n'avait pas ses papiers.
11:06C'est d'origine tunisienne.
11:08Mais mon père, je vous dis, il a travaillé.
11:10Il a attendu des années avant d'avoir ses papiers.
11:12Mais les mecs, il a prouvé
11:14qu'il aimait la France,
11:16qu'il voulait rester en France.
11:18Moi, je vais vous dire, j'ai plein d'amis.
11:20Voilà, à Sénégalais, justement.
11:22Lui aussi, incroyable.
11:24Un pote, il travaille. Il est incroyable.
11:26Et ça me fait de la peine.
11:28Je lui dis, j'ai envie de t'aider pour tes papiers.
11:30Tu mérites tes papiers.
11:32Voilà, 100 fois plus que...
11:34Il n'y a pas de TikTok pour niquer la France.
11:36Je vis des allocations, etc.
11:38Mais Gilles Verdez, c'est la France du laxisme.
11:40C'est la France des profiteurs.
11:42C'est la France de la délinquance.
11:44C'est la France de l'échec.
11:46C'est la mort.
11:48Thomas Guénolé, s'il vous plaît.
11:58Je commence par quoi ?
12:00On a 2 minutes et après, on revient.
12:02Si j'ai 2 minutes,
12:04les sans-papiers, c'est 1,16% de la population française.
12:06Donc, c'est peanuts.
12:08L'AME, c'est 0,5% des dépenses de santé.
12:12Donc, c'est peanuts.
12:14C'est un faux problème.
12:16Et les sans-papiers n'ont pas droit à l'assurance chômage.
12:18Ils n'ont pas droit à l'assurance maladie.
12:20Ils n'ont pas droit au RSA.
12:22Ils ont droit à l'AME, mais elles ne se mangent pas.
12:24Et donc, par définition,
12:26si vous avez une famille de sans-papiers en France,
12:28il y a au moins une personne qui bosse pour nourrir tous les autres.
12:30Et donc, il y a toujours quelqu'un qui bosse
12:32dans une famille de sans-papiers.
12:34Ce n'est pas possible autrement, sinon vous crevez de faim.
12:36Premier point.
12:38Non, non, non.
12:40Je t'ai dit tout à l'heure.
12:42C'est trop marginal par rapport au total
12:44entre être sans-papiers et être délinquant.
12:46Ce n'est pas vrai.
12:48Et ce n'est pas sympa pour eux, en plus.
12:50Et j'ajoute ceci dit que le problème des sans-papiers
12:52peut être résolu de lui-même, pour ceux qu'on a déjà.
12:54Si vous avez un boulot,
12:56et encore une fois, c'est obligé du coup,
12:58si vous avez un boulot,
13:00vous avez probablement le droit d'être régularisé.
13:02Donc, allez à la préfecture avec votre dossier.
13:04Si vous n'arrivez pas à faire votre dossier,
13:06vous contactez la CIMAD, la LDH ou Logistie pour vous aider.
13:08Et puis, vous les embrassez de ma part.