• il y a 3 mois
Pas question de recevoir des leçon d’Hollywood. Jeudi 26 septembre, le gouvernement afghan a rejeté comme étant « infondées » et relevant de « la propagande » les critiques tenues quelques jours plus tôt lors de l’Assemblée générale des Nations unies, notamment de la part de l’actrice américaine Meryl Streep, sur les violations des droits des femmes par les talibans.

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Transcription
00:00Un oiseau peut chanter au Kaboul, mais une fille ne peut pas, et une femme ne peut pas, en public.
00:14La façon dont cette culture, cette société, a été terminée est une histoire de caution pour le reste du monde.
00:21Dans les années 70, la plupart des serviteurs civils étaient des femmes, plus de la moitié des enseignants, des médecins, il y avait des femmes juristes, des avocats, dans toutes les professions, et puis le monde s'est terminé.
00:37Et aujourd'hui, au Kaboul, une chatte féminine a plus de libertés que une femme.
00:44Une chatte peut aller s'assoir sur son siège de devant et sentir le soleil sur son visage.
00:51Une chatte peut chasser un oiseau dans le parc.
00:55Un oiseau a plus de droits que une fille en Afghanistan aujourd'hui, parce que les parcs publics ont été fermés pour les femmes et les filles par le Taliban.
01:06Un oiseau peut chanter au Kaboul, mais une fille ne peut pas, et une femme ne peut pas, en public.
01:14J'ai l'impression que l'ensemble de la communauté internationale, si elles étaient réunies, pourrait effectuer un changement en Afghanistan et arrêter la lente suffocation d'une moitié de la population qui a été incarcérée.

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