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00:30Le bâtiment fondamental pour la construction des routes de dépassage à l'exit nord de Yaoundé a été construit.
00:38Les premières opérations d'excavation ont été réalisées ce matin à Akak en présence de la ministre Célestine Kecha Koutez du développement urbain et de l'habitation.
00:46Les réactions de certaines personnalités présentes à la cérémonie sont dans cette nouvelle.
00:51C'est la saison de reconnaissance professionnelle dans le militaire de Cameroun.
00:55L'édition d'aujourd'hui apportera des rapports sur les cérémonies de l'époulée dans différents endroits du pays.
01:01Sur notre page, nous allons explorer la diversité culinaire de Cameroun
01:06à travers les goûts des nordiens qui revêtent le célèbre Dakere de l'IKC.
01:11Mesdames et Messieurs, restez avec nous pendant que nous développons ces histoires et d'autres sur le segment de l'information régionale d'aujourd'hui.
01:17Ariel, commençons par les travaux de construction à Akak.
01:20Effectivement, il y a un an, nous commençons avec les travaux de construction des voies de contournement de la sortie nord de la ville de Yaoundé
01:29qui sont effectifs depuis ce matin.
01:31Les premiers coups de pelleteuses ont été réalisés ce matin à Akak
01:35en présence du ministre de l'Habitat et du développement urbain Célestine Kecha Koutez.
01:40Voici les réactions de quelques personnalités présentes à cette cérémonie.
01:44Elle s'exprime au micro de Daoud Mouliam.
01:47Autrefois, il fallait contourner par Yaoundé pour arriver sur la route d'Obala et vice-versa.
01:52Maintenant, en cinq minutes, on part d'Akak pour soi.
01:55La nécessité d'avoir une route reliant soi au village d'Akak 1 a été ressentie depuis pratiquement une vingtaine d'années.
02:05Ça va apporter le modernisme, le soulagement des populations pour leurs activités économiques.
02:09Nous ne pouvons que dire merci au chef de l'État.
02:12On rassure la population, on rassure madame la ministre,
02:16que l'ArabContract, comme d'habitude, va être achevé à temps et en très bonne qualité.
02:21C'est un projet très très attendu dont les élites et les maires également sont très reconnaissants.
02:28Cette voie va venir donc moderniser les villes traversées.
02:34Au sud-ouest, en lèvement du sous-prefet de Idabato, les opérations sont lancées
02:40en assurant les populations quant aux mesures de sécurité pour les protéger.
02:45Le gouverneur du sud-ouest appelle à la vigilance.
02:48Bernard Okale Abilaye que je vous propose d'écouter au micro de Stéphane Talla.
02:54Ils sont venus par voie maritime à travers avec des flying boats lourdement armés.
03:00Ils ont tiré et ils ont cassé la résidence du sous-préfet.
03:06Ils ont amené le sous-préfet et ses collaborateurs.
03:11Les forces de sécurité basées dans la zone de Barkassie se sont mises en branle sans succès.
03:20Depuis lors, nous sommes en contact avec nos collègues des autorités frontalières du Nigeria.
03:30Puisque par la mer cette zone est ouverte au Nigeria,
03:34nous avons déployé tous nos réseaux de renseignements
03:39pour que nous puissions éventuellement mettre la main sur les kidnappeurs et récupérer le sous-préfet.
03:47Nous disons au reste de la population, à tous les autres autorités,
03:53de rester vigilant et de privilégier le renseignement.
04:00À Kribi, dans le sud, la communauté urbaine a lancé officiellement le projet Kribi, ville intelligente,
04:07mise en œuvre grâce à une technologie ultra-moderne américaine.
04:11La cérémonie qui s'est déroulée en présence d'une délégation de l'ambassade des États-Unis au Cameroun
04:17et du maire de la ville de Kribi apparaît comme une révolution dans le processus de modernisation de Kribi.
04:25Les précisions de Dieudonné Noir.
04:28Annoncé depuis quelques années, le projet ville intelligente initié par la communauté urbaine de Kribi
04:34a été officiellement lancé dans cette cité touristique et portuaire.
04:38Le matériel est déjà là pour identifier, pour prendre beaucoup de données
04:45et mettre en branle ici la ville intelligente.
04:48De sécurité, de traçabilité.
04:51Notre vision, celle de mettre une smart city.
04:55C'est donc une ville de Kribi dans la région du sud qui va utiliser les TIC dans tous les secteurs
05:01pour améliorer davantage la qualité de ses services, les conditions de vie des populations locales
05:06et la technologie pour l'implémentation de ce gigantesque et futuriste projet Kribi, ville intelligente et américaine.
05:14Ça montre mon opinion du pouvoir de la démocratie au niveau local.
05:20Kribi offre au gouvernement l'opportunité de répondre immédiatement aux demandes de la population.
05:25Je suis tellement fière que c'est les technologies américaines qui permettent que ce rêve de maire soit vrai.
05:33Kribi, ville connectée. Cyberville, ville numérique. Le rêve est devenu réalité.
05:40Revenons à Bouia, où l'événement traditionnel pour promouvoir les militaires aux rangs supérieurs
05:46a été libéré le 1er octobre.
05:49A l'occasion, un officier non-commissionné a été élevé à un rang supérieur.
05:53La cérémonie a été condamnée par le commandant de la 3e base militaire, le capitaine de la navette Paul Aurelien Cotto,
06:00qui a consacré du travail dur et de la discipline à l'officier nouvellement promouvé.
06:05Des détails avec Chantaline Nanzé.
06:10Un appellé de plus haute taille, affiché sur ses épaules comme récompense pour ses années de travail dur,
06:16le capitaine Aurelien a été élevé de rang d'officier-surgeon à warrant-officier,
06:22un poste qui a beaucoup de responsabilité.
06:25C'est un grand honneur pour moi d'avoir ce beau jour pour moi.
06:30Je remercie mon boss pour le bon travail qu'il a vu que j'ai fait.
06:36Je vais doubler l'effort pour travailler plus que ce que j'ai déjà fait.
06:41En présidant la cérémonie de l'Apollo Award, le commandant du 10e secteur militaire, le capitaine de la navette Paul Aurelien Cotto,
06:48a consacré du travail dur et de la discipline à l'officier nouvellement promouvé.
06:53Avant l'événement, il y avait le symbole de l'unité du Cameroun.
07:01Et dans le même domaine, quelques 5 personnes militaires de l'armée et de l'infanterie
07:06ont été adorées avec des étoiles ce mois d'octobre à Douala.
07:11Cette décision est suivie par les délégués ministres en charge de la défense,
07:15qui ont élevé les soldats à des rangs plus élevés des services mériteux rendus à la nation.
07:20L'événement a été conduit à Douala par le commandant du 2e battalion de commandement et de soutien,
07:26le colonel Batana Benjamin. Roselyne Forca a les détails.
07:32Il y a eu 69 hommes et femmes militaires,
07:36élevés de tous les régiments de l'armée cameroonienne.
07:3935 étaient des officiers, 19 des sous-officiers et 15 des rangs en feu.
07:45Dressés en attirance officielle impeccable,
07:48c'était avec une poche d'honneur et de prière
07:51qu'ils ont offert leurs épaules pour recevoir des étoiles qui définissent leurs nouveaux rangs
07:56dans les forces de défense nationale.
07:58Avec le même enthousiasme, ils ont exprimé leur gratitude au chef de l'État,
08:02la hiérarchie des forces de défense camerooniennes et aux familles qui ont toujours donné leur soutien,
08:08malgré les défis de leurs duties.
08:11Un autre élément de l'événement a été l'awardé des médailles de l'honneur nationale.
08:16Deux médailles en vermel, deux en silver et le grand cordon du mérite cameroonien
08:21ont été awardés au commandant du 2e régiment de gendarmerie,
08:25brigadier général et congréssaire divine.
08:56Le commandant du 3e régiment de gendarmerie,
08:59colonel Benjamin Anglade Boubet,
09:01a présidé sur l'awardé des médailles de l'honneur
09:04à quelques officiers non-commissionnés récemment promus à Garoua.
09:08La cérémonie qui a eu lieu au 3e régiment de gendarmerie à Garoua
09:11a été attendue par des officiers et des membres de la famille.
09:15Nous avons des détails sur cela avec Mercy Ashu Nyambwe à Garoua.
09:19Le nouveau commandant du 3e régiment de gendarmerie,
09:23Les officiers non-commissionnés récemment promus
09:26ont été awardés deux officiers de l'honneur,
09:29un, Louna Dominique Nwayang,
09:31et un officier de l'honneur, Mbou Prima Eya.
09:34Un moment très attendu par les officiers non-commissionnés récemment promus et leurs proches.
09:52Je dois dire que pour atteindre ce point dans leur carrière,
09:55c'est un long processus.
09:57C'est une marque de reconnaissance par la hiérarchie.
10:00En retour, nous les attendons à leur mieux.
10:07Conducté en style militaire strict,
10:09la cérémonie des médailles de l'honneur arrive au cours du 4e semestre pour 2024
10:13et se déroule en ligne avec la déclaration ministérielle du 27 septembre 2024.
10:18Merci beaucoup, Merci Achou.
10:20Mesdames et Messieurs,
10:21nous allons maintenant vous emmener à la région centrale
10:23pour parler des activités en prélude à la Journée internationale des enseignants.
10:27N'est-ce pas, Ariel?
10:28Oui, Elianor.
10:29Nous parlons de la Journée internationale des enseignants
10:32qui se célèbre le 5 octobre au prochain.
10:34Sous le thème de valoriser les voix des enseignants
10:36vers un nouveau contrat social pour l'éducation.
10:39En prélude à l'événement,
10:40la délégation régionale de l'éducation de base du centre
10:43a annoncé la création d'un nouveau contrat pour l'éducation.
10:46La délégation régionale de l'éducation de base du centre
10:49organise depuis quelques jours une série d'activités.
10:52Sur le bien-fondé de ces activités,
10:54je vous propose cet extrait de Benjamin Debonair-Bidiot,
10:57délégué régional de l'éducation de base du centre.
11:00Cette semaine, qui est la semaine de l'enseignant,
11:04nous a permis de programmer un certain nombre d'activités,
11:07l'investissement en humeur,
11:09les activités sportives,
11:11l'exposition du matériel didactique
11:14et même la gastronomie.
11:15Le message que je peux apporter à l'angoisse des enseignants,
11:20c'est que l'enseignant a un rôle crucial
11:26dans sa profession d'abord
11:29et en ce qui concerne le renforcement du tissu social.
11:34C'est un acteur, la promotion des valeurs citoyennes.
11:38C'est un acteur d'un monde en mutation,
11:44des innovations pédagogiques et numériques.
11:48C'est lui qui est l'intermédiaire entre la famille et l'école.
11:54C'est lui également qui doit assurer la promotion et l'inclusion,
12:00même de l'équité, voire la qualité de l'éducation.
12:05A Berthois dans le sud-ouest,
12:06les communautés sont appelées à ne pas voir l'âge comme un frein à l'éducation.
12:10C'est ce qui ressort de la célébration
12:12de la 58e édition de la Journée internationale de l'alphabétisation
12:16qui joue la prolongation.
12:17Occasion pour le délégué régional de l'éducation de base rose,
12:21d'inviter les forces vives à la promotion de l'alphabétisation.
12:25Elisabeth Nathalisson.
12:30Des hommes et des femmes âgées de 40 ans et plus,
12:34conscients de la place de l'éducation,
12:38l'alphabétisation comme outil important
12:41pour la cohésion et l'intégration sociale.
12:44La célébration de la 58e édition de la Journée internationale
12:48de l'alphabétisation à Boya a permis au délégué régional
12:52de l'éducation de base du sud-ouest,
12:58d'inviter les acteurs de la chaîne éducative
13:01et même les communautés locales
13:03à faciliter l'éducation pour la génération future.
13:10De Boya allons à Garoua dans le nord
13:12où la faculté de médecine et des sciences biomédicales
13:15a sa première cuvée de médecins.
13:17Les soutenances se déroulent depuis lundi
13:19en présence du doyen de la faculté, le professeur Ngoura
13:23qui se dit satisfait de cette promotion.
13:25Un bien de soutenance dans ce reportage de Léa Carmen Zoc.
13:30La faculté de médecine commence le mois d'octobre
13:33en grande pompe avec la session des soutenances de 2024.
13:36Il s'agit là de la première promotion de médecins
13:39formés par la faculté de médecine et des sciences biomédicales de Garoua.
13:43Pour cette première promotion,
13:45ils ont quand même été formés dans les normes académiques
13:48et ce que nous attendons de eux maintenant sur le marché de l'emploi
13:52c'est la réunion de la faculté de médecine de Garoua.
13:55Pour nous, enseignants, on a fait notre travail,
13:58nous sommes pratiquement à la phase finale
14:00qui est la soutenance des thèses actuellement
14:03qu'on a présentée à cet examen national.
14:06Les 73 ont été admis.
14:08Pour moi, je pense qu'ils sont à la hauteur
14:10parce que sinon on n'aurait pas eu 100% de résultats.
14:13La session de soutenance qui a débuté le lundi 30 septembre
14:17s'achèvera vendredi 4 octobre
14:19symbolisant non seulement la fin d'un cycle académique
14:22mais surtout le début d'un engagement médical
14:24au service des populations locales et nationales.
14:28Les maires de la région d'Adamawa ont positivement noté
14:31l'entrée des ressources transférées aux municipalités
14:35pour l'amélioration du secteur de la santé.
14:38L'évaluation a été faite lors d'une réunion à Goundery
14:41dirigée par Christian Aboumabiloua,
14:43secrétaire général de l'Office du gouverneur de l'Adamawa.
14:46Il a également prescrit l'accountabilité et le gestion judiciaire.
14:50Mary Namundo-Motimbe est à Goundery.
14:54Les challenges et enjeux liés au transfert des compétences
14:58d'ordre de santé publique aux collectivités territoriales
15:01et centralisées sont en peu plus préoccupants dans la Damawa.
15:05Tout un centre de santé fonctionne avec un seul personnel
15:08et c'est le cas chez nous.
15:10Ainsi, définir un cadre normatif du transfert de ces compétences
15:14à leur endroit en matière de santé
15:16avec la définition précise du rôle de chacune des parties
15:19prenantes en brainstorming s'impose.
15:21Pratiquement depuis deux ans,
15:23nous sommes à plus de 5 milliards de ressources transférées
15:27de manière globale sur le chiquet national.
15:30Les différentes communes ont l'attitude d'apporter leur appui
15:34au système de santé à travers des constructions,
15:37équipements de formation sanitaire
15:39et parfois le recrutement du personnel.
15:42Eh bien, le processus de décentralisation
15:44dans lequel est engagé résolument l'état du Cameroun
15:47passe également par là.
15:51A l'ouest, plus de 200 enfants d'écouteurs
15:54de différentes communes à travers la région
15:57et d'autres endroits du Cameroun ont reçu des aides d'écoute
16:00lors d'une campagne médicale gratuite
16:02à l'hôpital Bafousam Referral,
16:04organisée par une association de médecins professionnels
16:07nommée ALDAC.
16:09En collaboration avec le ministère de la Santé,
16:12il est prévu de se réunir ce dimanche
16:14comme nous l'entendons de Kelvin Nembo.
16:18Les choses ne seront plus les mêmes pour ces enfants
16:21qui, dans la plupart des cas,
16:23ont vécu de malentendus depuis la naissance.
16:27Beaucoup sont des familles sous-privilégiées.
16:30Cette condition a sérieusement affecté
16:33leur performance éducative.
16:35Ils aussi affrontent des problèmes émotionnels
16:38au quotidien causés par la diminution de leur self-estime
16:41et de leur confiance.
16:43C'est maintenant l'histoire.
16:46Nous travaillons sur la sensibilisation,
16:49la diagnostication, la réhabilitation,
16:52l'enregistrement,
16:54pour trouver une solution
16:57qui leur donne l'opportunité
16:59d'éviter le handicap.
17:01Une fois insérée,
17:03Alexandre, 15 ans,
17:05qui est venu de Douala,
17:07comme d'autres bénéficiaires,
17:09est en mesure d'interagir avec son père.
17:13Pour la première fois,
17:15la joie sur leur visage est immeusable.
17:18Depuis 2018,
17:20plus de 6 000 patients
17:22ont été consultés à travers le Cameroun.
17:25Quelques 600 individus
17:27ont reçu de l'entraînement,
17:29alors que ceux
17:31avec une hausse profonde de l'entraînement
17:33ont reçu des implants cochléaires.
17:35En termes de santé,
17:37une campagne de screening 2 jours gratuits
17:39pour le cancer de l'esprit a commencé
17:41le 2 octobre,
17:43à l'hôpital obstétrique et pédiatrique
17:45de Douala.
17:47La campagne,
17:49pour limiter les cas de cancer de l'esprit
17:51entre les femmes et les hommes,
17:53est dans l'ambit de l'année
17:55de l'Awareness du cancer de l'esprit,
17:57aussi connue comme l'Octobre rouge.
18:01C'est le premier cancer commun
18:03et le deuxième cause de mort
18:05en femmes, le cancer de l'esprit.
18:07Les gendarmes ne sont pas
18:09des spécialistes en pathologie,
18:11car 3% d'entre eux peuvent avoir
18:13le cancer de l'esprit,
18:15les oncologistes disant.
18:17Le gouvernement du hôpital obstétrique
18:19et pédiatrique de Douala
18:21s'est donc engagé à ce screening
18:23gratuit de 2 jours,
18:25pour aider les personnes à connaître
18:27leur statut de l'esprit.
18:29Je suis venue pour la campagne
18:31gratuite de l'esprit,
18:33parce que je ressens un nœud dans mon esprit,
18:35c'est ce qui m'a promis
18:37l'Awareness du cancer de l'esprit.
18:49Le cancer n'a pas de cause,
18:51mais des facteurs de risque.
18:53Il y a des facteurs de risque modifiables
18:55et non modifiables.
18:57C'est mieux de faire 3 fois par semaine
18:59plus de 30 minutes d'examen physique,
19:01c'est mieux de combattre la consommation
19:03d'alcool et de tobacco,
19:05c'est mieux de faire ça toutes les semaines.
19:07Il y a des facteurs de risque modifiables
19:09qu'on peut changer,
19:11mais au-delà des facteurs de risque modifiables,
19:13on ne peut pas changer
19:15la histoire familiale du cancer.
19:17Environ 900 personnes sont d'accord
19:19pour bénéficier du screening de 2 jours.
19:21Les oncologistes ont conseillé
19:23que l'examen physique
19:25soit nécessaire.
19:27Il est 19 minutes plus tard,
19:29à 6h du matin,
19:31vous regardez la nouvelle
19:33Allons maintenant à la région de Bredbasket dans le pays pour parler de café.
19:38Oui Eliana, direction la région de l'Ouest où le café fait partie des boissons préférées des citoyens.
19:44Pas moins d'une demi-douzaine de kiosques à café sont installés dans la ville de Bafoussame et accueillent en moyenne 100 personnes par jour.
19:51Les lieux populaires qui participent à renforcer les liens.
19:54Victorine Beguel de CRTV Ouest a fait le tour de certains kiosques. Son reportage.
20:01Une tasse de café dans l'un des plus grands kiosques à café de la ville de Bafoussame.
20:06Situé loin du Carrefour Biaou que j'aime et s'y démarre ses journées.
20:10Je bois en moyenne une tasse de café tout le matin ici mais le reste de consommation c'est chez moi.
20:16Comme lui il se compte par centaines dans le chef de la région de l'Ouest qui ont fait du café leurs boissons favoris.
20:23La ville de Bafoussame à elle seule en résiste aux pas moins d'une demi-douzaine de kiosques à café.
20:28Les clients en majorité sont des personnes d'un certain âge.
20:38Ces lieux devenus populaires ressemblent des camarades de toutes les régions.
20:42Des tribunes ou des sujets d'actualité sont également débattus.
20:46On appelle ça l'université des doyens. On essaie de se débattre dans tous les domaines.
20:50On finit toujours avec la tasse de café, il n'y a pas de tension.
20:54La région de l'Ouest est considérée comme l'un des bassins de production du café au Cameroun.
20:59On y trouve le café Robusta et Arabica.
21:04Restons à l'Ouest, cette fois l'école publique de Bameya qui s'enrichit d'un forage de près de 4 millions de Français.
21:10Un geste de l'association SOS les enfants d'abord.
21:14La cérémonie a permis aussi de remettre des fournitures scolaires aux autorités de cette école.
21:19Le film de la cérémonie avec Ariane Conan de CRTV Ouest.
21:24Jour de fête à l'école publique de Bameya dans les Hauts-Platons.
21:29Cet établissement scolaire est désormais doté d'un forage à pompe manuelle.
21:36Cette dotation est le fruit du paténariat entre cette école et l'association SOS les enfants d'abord.
21:45Couplée à la cérémonie d'inauguration de ce puits, la remise aux élèves des fournitures scolaires,
21:52donc du groupe du lycée Jacques Prévert en France.
21:56Une bouffée d'oxygène pour les bénéficiaires.
21:59Pour la promotrice de cette association, il s'agit d'un geste de cœur
22:04qui vise à promouvoir une éducation de qualité pour les tout-petits.
22:09L'eau c'est la vie et l'école est la meilleure arme pour nos enfants.
22:13Si au moins on leur permet d'avoir des valeurs, tôt ou tard,
22:16ils auront leur chance aussi pour travailler et aider aussi les autres.
22:19En guise de reconnaissance, les habitants de cette localité ont remis des présents aux donateurs.
22:27De l'ouest, revenons au centre à Okhola dans la Litié.
22:31Soutenir l'éducation et donner la chance à chaque enfant de réussir à l'école,
22:36c'est l'objectif visé par l'élite au travers de la Fondation pour l'éducation
22:40qui vient d'offrir des fournitures scolaires aux élèves de cinq établissements primaires d'Okhola.
22:45Christelle Ngbaiso est dans la caravane des distributions. Son reportage.
22:50L'éducation des jeunes en zone rurale est émaillée de nombreuses difficultés
22:55dont la plus urgente est l'acquisition des fournitures scolaires.
22:59C'est conscient de cela que l'élite Didier Edouard, soutenue par les femmes au Nandouane Sud
23:04et ses partenaires se sont donné pour obligation chaque année
23:08d'apporter leur contribution pour une formation de qualité de la jeunesse d'Okhola.
23:12Soutenir les enfants parce que nous croyons à l'instruction, nous croyons à l'éducation.
23:17Nous pensons que nous n'aurions jamais été ce que nous sommes sans l'éducation.
23:21De l'école publique d'Ongkolondom au complexe Les Clarisses du Quartier 4,
23:26en passant par l'école publique de Bac et les écoles catholiques,
23:29Saint Jean Bosco de Yégassi et Saint Pidis de Ngoya,
23:34les élèves et les enseignants ont exprimé leur gratitude pour ce geste salvateur.
23:39Je m'estime heureuse parce que j'ai eu un sac et des livres.
23:44Il y a aussi des doléances pour cette élite,
23:47notamment la sécurisation des salles de classe et la construction des latrines
23:52pour le confort des élèves et des enseignants.
24:18La conférence principale de la table ronde a été modérée par le ministre de l'Habitation et du Développement
24:22sur le thème de l'involvement des jeunes dans le développement urbain.
24:26Nous avons des détails sur cela avec Clarence Azeh.
24:30Les différentes discussions de la table ronde ont été centrées sur l'involvement des jeunes
24:34dans le processus de développement urbain,
24:36avec des points clés sur les difficultés qu'ils rencontrent
24:39et certaines solutions proposées pour les difficultés qui ralentissent le développement urbain
24:44dans les villes et les villes en Cameroune.
24:46Il est temps d'inclure les jeunes parce qu'ils ont besoin d'être conscients
24:50du rôle qu'ils doivent jouer.
24:52Les panélistes ont inclus ceux des ministères différents,
24:56avec des programmes et des projets pour les jeunes,
24:58ainsi que ceux du ministère de l'Habitation.
25:00Ils ont souligné la nécessité d'inclure les jeunes
25:02pour le développement sustainable des villes et des villes dans le pays.
25:06Dans notre ministère, dans Minju,
25:09nous avons un département en charge de ne pas quitter des jeunes.
25:15Nous avons créé des centres pour les jeunes.
25:18Nous avons créé des entraînements pour les jeunes.
25:21Le jeune Camerounais doit s'assurer
25:25d'obtenir toutes les opportunités qu'il leur a donné
25:29grâce à notre ministère.
25:31D'autres conférences et conférences d'éducation sont prévues
25:34pour les derniers jours de la semaine de l'Habitation.
25:37Le climax sera le 7 octobre.
25:41Nous allons maintenant vous emmener à la région littorale
25:43pour parler des barrières dans la communication.
25:45Le directeur général du réseau de télécommunications,
25:49Professeur Philemon Zulzame,
25:51et son équipe ont promis d'impliquer des mesures
25:53qui aideront à combattre les problèmes du réseau
25:55confrontés par les compagnies de télécommunications en Camerounais.
25:58L'un d'entre eux est l'issue de la fibre optique,
26:01qui, bien sûr, a été évoquée par beaucoup
26:03comme l'une des principales barrières.
26:05Le directeur général a été sur un tour de trois jours
26:07à Douala, comme nous l'a dit Roselyne Fossa.
26:12Les recommandations à la fin de la réunion 2022
26:15entre le Bloc régulier de la télécommunication
26:19et les compagnies de télécommunications
26:21ont instauré qu'ils investissent plus
26:23dans l'équipement et les nouvelles installations
26:26afin de garantir un réseau de qualité pour les consommateurs.
26:29Près de deux ans plus tard,
26:31les Camerounais n'ont toujours pas réussi
26:33à obtenir un réseau stable 24 heures sur 7,
26:35même si toutes les trois structures visitées
26:38par le directeur général du réseau de télécommunications,
26:40Professeur Philemon Zulzame,
26:42ont affirmé avoir respecté le contrat de 2022.
26:467 jours par semaine, 24 heures par jour,
26:48nous devons offrir de l'électricité à nos consommateurs.
26:50Malheureusement, certains de nos employés ne peuvent pas aller
26:52rencontrer leurs obligations sur site
26:55à cause des défis de sécurité.
26:57Quand la fibre n'est pas stable,
26:59la qualité de service ne peut pas être bonne.
27:02Quand l'électricité n'est pas là,
27:04nos équipements sont impactés.
27:06La visite de trois jours par la délégation de TRB
27:09a permis à eux de voir l'équipement
27:11et d'identifier ses défis
27:13avant de discuter des solutions
27:16qui aideront les entreprises.
27:18Avec toutes les mains sur le tableau
27:20pour résoudre les défis du réseau,
27:22les Camerooniens souhaitent des jours plus longs
27:24de bonnes réunions,
27:26de browsing sans interruption et d'autres choses.
27:29Et sur notre page future,
27:31parlons de la daquiri.
27:33Une délicacité qui mérite de plus de reconnaissance,
27:36c'est un yogourt traditionnel,
27:38beaucoup consommé par la population locale
27:40d'Adamawa et plus loin.
27:42Beaucoup de familles dépendent de vendre
27:44ce yogourt cher
27:46dans les marchés locaux,
27:48où il est souhaité.
27:50Sadu Yaouba nous guide
27:52par le processus intricate
27:54de la préparation de la daquiri
27:56de début à fin.
28:01Malgré la modernité,
28:04la tradition de la préparation de la daquiri
28:07a duré.
28:09Elle est passée des mères à des filles.
28:12Elle a l'origine
28:14d'être un testament
28:16de la résilience
28:18et de la prière culturelle
28:20des Fulani.
28:22Dans chaque cuillère de la daquiri,
28:24on peut la goûter délicatement
28:26comme un déjeuner rafraîchissant
28:28mélangé avec du millet
28:30ou de la crème pâturée
28:32pour un déjeuner nourrissant.
28:34J'ai découvert que la daquiri,
28:36c'est de l'eau,
28:38c'est bien pour notre corps.
28:40Quand je suis allée
28:42faire du sport,
28:44j'ai arrêté là-bas
28:46pour prendre ma daquiri.
28:48Quand j'ai terminé de la prendre,
28:50j'ai dormi très bien.
28:52La daquiri,
28:54c'est plus qu'un soutien,
28:56c'est un symbole d'hospitalité
28:58dans la région d'Adamawa.
29:00Offrir un bol
29:02de la laitueuse traditionnelle
29:04aux invités
29:06pour leur respect et leur dignité.
29:08La histoire de la daquiri
29:10dans l'Adamawa
29:12est une célébration
29:14de la tradition simple
29:16mais trouvée dans l'expérience
29:18partagée de la nourriture.
29:36Bonne soirée,
29:38à demain.