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Transcription
00:00qui n'ont absolument aucune chance.
00:01Donc, on ne veut pas lancer quelqu'un dans une procédure
00:04sans qu'il existe au moins une chance d'obtenir un statut.
00:09Il reste que toute l'immigration indirecte,
00:14c'est subjectif parce que,
00:18et même parce qu'il existe un principe qui dit
00:22l'immigration n'est pas un droit,
00:25mais est un privilège.
00:30Et donc, c'est comme ça que c'est traité par les agents
00:33et surtout dans la classe de tous les programmes indirects,
00:36tous les permis temporaires.
00:40Il y a une très, très grande latitude et subjectivité donnée
00:44au processus
00:48afin que les agents puissent protéger le Canada
00:50contre une éventuelle immigration illégale.
00:56Je pense que ça fait le tour de cette question-là.
01:00Est-ce qu'il y aurait d'autres
01:03personnes qui aimeraient soit ajouter,
01:05questionner davantage sur ce qui vient d'être dit?
01:09J'attends vos questions.
01:20Une autre question de Bosco.
01:23La parole est à toi.
01:31Oui, M. Simon, mais déjà merci pour toutes les éclaircies
01:35que vous donnez.
01:37Vraiment, ça nous permet de réellement percevoir la chose
01:43dans le contexte réel et non dans le contexte virtuel,
01:47comme beaucoup le miroitent.
01:51J'ai une autre question, j'aimerais savoir,
01:55pour quelqu'un par exemple qui est titulaire,
01:58ici au Cameroun, on appelle ça le propriétaire.