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Le pénible et long travail de recherche se poursuit alors que les autorités ont affirmé que des dizaines de personnes étaient encore portées disparues dans la région de Valence. Le bilan provisoire, d'au moins 205 morts, devrait de nouveau évoluer dans la journée de ce vendredi 1er novembre.

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Transcription
00:00Dans les rues dévastées d'Al Fafard, ils doivent attendre plusieurs heures.
00:04Des hommes et des femmes, cabas à la main, à la recherche d'un peu d'eau et de nourriture.
00:09« Juste des aliments de base, rien n'est utilisable car il n'y a pas d'électricité.
00:13Tout a été dévasté donc il n'y a plus rien à manger, juste un peu de nourriture serait bien. »
00:17Car ici, il n'y a pas de supermarché, plus d'électricité ni d'eau potable,
00:22et les quelques magasins qui n'ont pas été détruits par l'eau et la boue ont été pillés.
00:26« On ne peut pas vivre, on survit dans l'attente d'une solution du gouvernement ou de qui que ce soit. »
00:32Devant ce point de ravitaillement, organisé par la municipalité,
00:35la file d'attente s'étend sur une centaine de mètres.
00:38Car les provisions arrivent ici au compte-gouttes, depuis la ville voisine de Valence.
00:42Dans ces camionnettes, celles des services de secours, les seules autorisées à passer.
00:56Pour venir ou partir d'Alafar, de nombreux sinistrés doivent marcher durant des heures,
01:01des kilomètres de marche, dans la boue et entre les débris.
01:05Un long périple, dans l'attente que les secours et militaires viennent déblayer et nettoyer les routes,
01:10pour reconnecter la ville au reste du pays.

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