La Belle des Bois de Ludovic Freppaz
La Belle des bois
En quête d’un Robin
Hésite à la croisée des chemins
Comme une biche aux abois.
Perdue dans ses pensées,
Elle a trop marché.
Elle s’abrite un instant
Sous l’ombre d’un grand chêne,
Elle est là, étendue, délicieuse.
Un instant les oiseaux se sont tus.
Le soleil aussi a semblé hésiter.
Une fée leur était apparue…
La regarder, l’admirer,
Sans la toucher, sans la toucher,
Comme du cristal pur,
Une perle de culture.
Juste l’effleurer, juste l’effleurer
Sans l’effrayer, non, non, non, sans l’effrayer
Elle s’enroule et se love
Dans le sein de l’alcôve.
Les paupières fermées,
Sur ses yeux étoilés,
Elle se perd dans un songe,
Mais ne voit pas le visage
De l’homme qu’elle s’est créé
Et qui occupe ses pensées.
Elle entend sa voix
Celle d’un robin des bois
Une voix qui lui dit des mots tendres,
Ces mots qu’elle désire entendre.
La regarder, l’admirer,
Sans la toucher, sans la toucher,
Comme du cristal pur,
Une perle de culture.
Juste l’effleurer, juste l’effleurer
Sans l’effrayer, non, non, non, sans l’effrayer
Corps à corps,
Cœur à cœur,
Son âme est musique,
Symphonie fantastique,
Son corps chante,
S’épanouie et enchante.
Un frémissement délicieux
Inondant, débordant.
La regarder, l’admirer,
Sans la toucher, sans la toucher,
Comme du cristal pur,
Une perle de culture.
Juste l’effleurer, juste l’effleurer
Sans l’effrayer, non, non, non, sans l’effrayer
Le feu a éteint sa flamme
Et le souvenir de l’amant.
La fée redevient femme,
Elle redevient maman.
La regarder, l’admirer,
Sans la toucher, sans la toucher,
Comme du cristal pur,
Une perle de culture.
Juste l’effleurer, juste l’effleurer…
Sans l’effrayer… sans l’effrayer, non, non, non… sans l’effrayeeeeeer
La Belle des bois
En quête d’un Robin
Hésite à la croisée des chemins
Comme une biche aux abois.
Perdue dans ses pensées,
Elle a trop marché.
Elle s’abrite un instant
Sous l’ombre d’un grand chêne,
Elle est là, étendue, délicieuse.
Un instant les oiseaux se sont tus.
Le soleil aussi a semblé hésiter.
Une fée leur était apparue…
La regarder, l’admirer,
Sans la toucher, sans la toucher,
Comme du cristal pur,
Une perle de culture.
Juste l’effleurer, juste l’effleurer
Sans l’effrayer, non, non, non, sans l’effrayer
Elle s’enroule et se love
Dans le sein de l’alcôve.
Les paupières fermées,
Sur ses yeux étoilés,
Elle se perd dans un songe,
Mais ne voit pas le visage
De l’homme qu’elle s’est créé
Et qui occupe ses pensées.
Elle entend sa voix
Celle d’un robin des bois
Une voix qui lui dit des mots tendres,
Ces mots qu’elle désire entendre.
La regarder, l’admirer,
Sans la toucher, sans la toucher,
Comme du cristal pur,
Une perle de culture.
Juste l’effleurer, juste l’effleurer
Sans l’effrayer, non, non, non, sans l’effrayer
Corps à corps,
Cœur à cœur,
Son âme est musique,
Symphonie fantastique,
Son corps chante,
S’épanouie et enchante.
Un frémissement délicieux
Inondant, débordant.
La regarder, l’admirer,
Sans la toucher, sans la toucher,
Comme du cristal pur,
Une perle de culture.
Juste l’effleurer, juste l’effleurer
Sans l’effrayer, non, non, non, sans l’effrayer
Le feu a éteint sa flamme
Et le souvenir de l’amant.
La fée redevient femme,
Elle redevient maman.
La regarder, l’admirer,
Sans la toucher, sans la toucher,
Comme du cristal pur,
Une perle de culture.
Juste l’effleurer, juste l’effleurer…
Sans l’effrayer… sans l’effrayer, non, non, non… sans l’effrayeeeeeer
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Musique