« Lettre d’outre-tombe » paroles de Ludovic Freppaz
Amour chéri, amour de ma vie,
Je t’écris cette lettre. Ému,
Anéanti, Triste, le cœur à nu,
Maintenant que tu es partie.
T’avais seize ans quand je t’ai connue,
J’en avais dix huit. Deux ingénus.
Nous aurions pu vivre ensemble,
Une belle vie qui nous ressemble.
La vie en a décidé autrement.
Si tes amies ne m’avaient discrédité,
En rapportant des contrevérités,
Prétendant que j’étais leur amant !
Tu m’as quitté alors avec des larmes,
Sans me laisser le temps de réfléchir,
Sans te dire les mots de mon âme,
Sans pouvoir te reconquérir.
Amour chéri, amour de ma vie,
Comme je te l’ai expliqué,
Les jours funestes incriminés,
J’étais dans la ville d’Amsterdam…
Je n’étais pas à Amsterdam,
Pour côtoyer les marins, les dames.
C’était un voyage d’agrément,
Avec deux bons amis de Rouen.
Belle ville qu’était cette ville,
Que de nombreux gens charmants.
C’était alors le bon temps,
L’époque des hippies d’antan.
On a fait plusieurs cafés bars,
Pour boire un litre de bonne bière.
On a vu le musée Rembrandt,
Trouvé le premier mac do d’avant.
Les néerlandais étaient sympas,
Ils vendaient la marie rouanna.
Pour la police rien d’anormal
C’était un p’tit commerce banal.
Amour chéri, amour de ma vie,
Quand tu as appris cela,
Tu as regretté d’être partie,
De m’avoir laissé planté là.
Cinquante années plus tard,
Tu m’as retrouvé au final,
Sur un réseau social.
Cinquante ans ça fait tard.
Tu étais veuve et disponible,
Mais trop tard pour une autre vie.
Nous étions devenus vieux,
Avec des maladies pénibles.
Puis cette fin inattendue,
Ton cœur d’amour l’âme a rendu.
Pendant toutes ces années,
Jamais je ne t’ai oubliée.
Nous avions un rêve quasi inaccessible,
Se retrouver sur l’ile de beauté, s’enlacer,
Devant la sinistre mort on est tous faillibles,
Mais de toi je ne peux me lasser.
Jamais, non jamais, je ne t’oublierai….
Jamais, non jamais, je ne t’oublieraiééééééé … huuummmmm
Amour chéri, amour de ma vie,
Je t’écris cette lettre. Ému,
Anéanti, Triste, le cœur à nu,
Maintenant que tu es partie.
T’avais seize ans quand je t’ai connue,
J’en avais dix huit. Deux ingénus.
Nous aurions pu vivre ensemble,
Une belle vie qui nous ressemble.
La vie en a décidé autrement.
Si tes amies ne m’avaient discrédité,
En rapportant des contrevérités,
Prétendant que j’étais leur amant !
Tu m’as quitté alors avec des larmes,
Sans me laisser le temps de réfléchir,
Sans te dire les mots de mon âme,
Sans pouvoir te reconquérir.
Amour chéri, amour de ma vie,
Comme je te l’ai expliqué,
Les jours funestes incriminés,
J’étais dans la ville d’Amsterdam…
Je n’étais pas à Amsterdam,
Pour côtoyer les marins, les dames.
C’était un voyage d’agrément,
Avec deux bons amis de Rouen.
Belle ville qu’était cette ville,
Que de nombreux gens charmants.
C’était alors le bon temps,
L’époque des hippies d’antan.
On a fait plusieurs cafés bars,
Pour boire un litre de bonne bière.
On a vu le musée Rembrandt,
Trouvé le premier mac do d’avant.
Les néerlandais étaient sympas,
Ils vendaient la marie rouanna.
Pour la police rien d’anormal
C’était un p’tit commerce banal.
Amour chéri, amour de ma vie,
Quand tu as appris cela,
Tu as regretté d’être partie,
De m’avoir laissé planté là.
Cinquante années plus tard,
Tu m’as retrouvé au final,
Sur un réseau social.
Cinquante ans ça fait tard.
Tu étais veuve et disponible,
Mais trop tard pour une autre vie.
Nous étions devenus vieux,
Avec des maladies pénibles.
Puis cette fin inattendue,
Ton cœur d’amour l’âme a rendu.
Pendant toutes ces années,
Jamais je ne t’ai oubliée.
Nous avions un rêve quasi inaccessible,
Se retrouver sur l’ile de beauté, s’enlacer,
Devant la sinistre mort on est tous faillibles,
Mais de toi je ne peux me lasser.
Jamais, non jamais, je ne t’oublierai….
Jamais, non jamais, je ne t’oublieraiééééééé … huuummmmm
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