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00:01:00L'Histoire d'un Enigme
00:01:11Bonjour.
00:01:13Comme l'a décrit Winston Churchill à la fois en Russie,
00:01:16l'auteur François Matthei a caractérisé le président Paul VI
00:01:21comme un enigme, enchaîné dans un mystère, dans un enigme.
00:01:26En 42 ans, personne ne peut prétendre avoir un mastère de cette personnalité illusive,
00:01:34pas même ceux qui lui parlent dans les médias.
00:01:39Cela lui rend une figure fascinante à explorer.
00:01:44Aujourd'hui, nous explorons la présidence de Paul VI dans les 42 dernières années,
00:01:50avec les insights et perspectives de Charles Ebuneh, Aïe Mbile et Quinta Rita Edang.
00:01:59Mesdames et Messieurs, c'est à l'intérieur de la présidence.
00:02:05Et je suis votre humble servant, Ashu Nyenti Nyiawundi.
00:02:11Mais avant de faire la pédale, regardons la dernière sortie officielle du président Paul VI.
00:02:20La sortie officielle du président Paul VI
00:02:30Le bruit doux de la fontaine d'eau dans le courant de port
00:02:35remplit l'air. Un garde honnête est monté.
00:02:37L'atmosphère est lourde avec émotion,
00:02:39comme Paul Patrick Bifour dit au revoir au palais de Nyienti.
00:02:44Un endroit qu'il a visité de nombreuses fois comme ambassadeur de Gabon
00:02:48et ensuite haut-commissionnaire à Cameroun.
00:02:50Il est reçu avec des cortèges diplomatiques complètes par Simon Pierre Bickeli,
00:02:54chef du protocole de l'État, et Samuel Mbondo Aiello, ministre, directeur du cabinet civil.
00:03:00Aiello s'engage auparavant dans un courant courant et amicieux,
00:03:03en marchant à la sortie.
00:03:05Ce diplômé de saison, qui est arrivé à Cameroun en 2012
00:03:09et a présenté ses crédits au président le 3 janvier 2013,
00:03:13prend les décollages au bureau du président sur le 3e étage, pour la dernière fois.
00:03:32Il est venu confier son regard ultime et d'extrême pour le président de l'État,
00:03:36avec qui il s'est rencontré et a confié extensivement au cours des années
00:03:40et a reçu les meilleurs souhaits pour ses prochaines assignations.
00:03:44Après 12 ans de représentation de l'intérêt de Gabon à Cameroun
00:03:48et 7 ans en tant que diplômé de Yaoundé,
00:03:51Bifu a vécu des changements significatifs dans le pays qui l'a envoyé
00:03:56et dans le pays où il a travaillé, ainsi que sur la scène mondiale.
00:04:00Pas de doute que le président Biais prend une heure pour discuter avec lui.
00:04:04En appréciant son service, Paul Biais gratifie le diplômé du département
00:04:09avec un bronze et un tambour d'amitié.
00:04:12Le président aussi confie son regard au président gabonais,
00:04:16chef de la transition, Brigadier-Général Brice Clotet-Olegui Ngema.
00:04:20Ils parlent aussi de l'importance du début immédiat de la démarcation
00:04:25sur les frontières terrestres de 298 kilomètres entre Gabon et Cameroun,
00:04:29afin d'aider le flux d'arbres et de personnes à travers leurs frontières communes.
00:04:34Pendant son temps à Cameroun, Bifu a été une figure importante
00:04:38dans la promotion des relations entre Cameroun et Gabon.
00:04:41Le président Biais s'est rendu vis-à-vis de Bifu,
00:04:44marquant la fin d'une époque dans les relations entre Cameroun et Gabon.
00:04:59Avant qu'il n'y ait rien d'autre,
00:05:01prenons une voyage à l'époque de 1982,
00:05:06une année de pivote dans l'histoire de ce pays.
00:05:20Le palais d'unité à Yaoundé, Cameroun, le 3 mai 4 novembre 1982.
00:05:25En tant que ministre des Mines et de l'Énergie,
00:05:28Philemon Young était le plus jeune membre du cabinet
00:05:31de l'ancien gouvernement Amadou Aïdjo en tant que président de Cameroun.
00:06:01J'ai dit à la secrétaire du ministère d'Aïboua,
00:06:08qu'il y avait un rendez-vous ministériel.
00:06:11Elle a dit oui.
00:06:13J'ai dit que c'était inhabituel,
00:06:15qu'elle n'avait pas besoin d'un dossier.
00:06:18C'était le 4 novembre, n'est-ce pas ?
00:06:21Oui, le 4 novembre.
00:06:23Elle m'a dit qu'il y avait un rendez-vous et qu'elle n'avait pas besoin d'un dossier.
00:06:28Donc nous sommes allés à la présidence, à la nouvelle présidence.
00:06:33Les parties d'unité ?
00:06:34Oui.
00:06:35Parce qu'avant, nous avions les rendez-vous ministériels dans l'ancienne présidence.
00:06:41Qui est aujourd'hui le musée national.
00:06:42Absolument.
00:06:44Donc nous sommes allés à la présidence.
00:06:48Et quand nous sommes arrivés là-bas, il y avait des gens dans la salle de rendez-vous.
00:06:54Donc nous avons attendu à l'extérieur.
00:06:58Et après un certain temps, nous avons continué de nous demander.
00:07:01Je me souviens.
00:07:02Quel est le problème ?
00:07:03Quel est le problème ?
00:07:04Quel est le problème ?
00:07:05Non, mais personne n'avait l'idée de ce qui allait se passer.
00:07:09Donc un équipe s'est réunie là-bas.
00:07:15C'est le CNU, le Comité Central.
00:07:18Le Politburo du CNU.
00:07:19Oui, et j'ai remarqué, ce qui n'était pas habituel,
00:07:22qu'une dame pleurait.
00:07:26Nous sommes allés dans la salle du cabinet.
00:07:29La salle où il y avait réellement des rendez-vous ministériels.
00:07:33Et le président est venu et a dit.
00:07:36J'ai décidé de me renoncer.
00:07:41Ma santé n'est pas très bonne.
00:07:44Et je vais partir.
00:07:46Et le successeur constitutionnel va prendre le pouvoir le samedi.
00:07:53Donc la résignation devient efficace le samedi.
00:07:59Et donc il a dit,
00:08:01mais il a décidé avec le Comité Central du CNU
00:08:06que le Président serait aussi en charge du Parti
00:08:12pendant qu'il serait parti.
00:08:15Et puis il nous a remercié d'avoir accepté de travailler dans son gouvernement.
00:08:20Parce que s'il n'était pas pour nous, il n'aurait pas pu faire ce qu'il a fait.
00:08:25Et puis il nous a remercié.
00:08:28Nous sommes restés et il s'est rassemblé avec tout le monde.
00:08:31Et nous sommes partis.
00:08:32Quelques minutes après la dernière réunion du Conseil des ministres
00:08:36à l'Assemblée nationale,
00:08:38Amadou Aïdjou a fait un discours à la radio
00:08:41pour la nation à 8h23 du matin,
00:08:44dans un événement exceptionnel.
00:08:50La résignation du Président
00:09:01Après environ 25 ans de pouvoir,
00:09:04le Président s'est résigné,
00:09:06en accordance avec les provisions de la loi de 1979
00:09:09qui a rendu le Premier ministre,
00:09:11et non le Président,
00:09:13le successeur constitutionnel du Président.
00:09:17Camerounaise, Camerounais, mes chers compatriotes,
00:09:21j'ai décidé de démissionner de mes fonctions
00:09:26de Président de la République Unie du Camerounais.
00:09:29Cette décision prendra effet le samedi 6 novembre 1982 à 10h.
00:09:46Les procédures étaient en cours pour l'annonce du nouveau Président.
00:09:49Et cet homme, Jean-Baptiste Béliocain,
00:09:52était le chef du protocole de l'État,
00:09:54qui devait gérer le cérémonial.
00:09:57En cette circonstance capitale,
00:10:00je voudrais du fond du cœur
00:10:03remercier toutes celles et tous ceux
00:10:06qui depuis bientôt 25 ans
00:10:09ont accordé leur confiance et apporté leur aide
00:10:13dans l'accomplissement de mes lourdes tâches
00:10:16à la tête de l'État.
00:10:19J'invite toutes les Camerounaises et tous les Camerounais
00:10:26à accorder sans réserve leur confiance
00:10:30et à apporter leur concours à mon successeur constitutionnel,
00:10:34Monsieur Paul Biya.
00:10:37La cérémonie d'annonce pour le Président de Paul Biya
00:10:40a été en retard pendant 2 jours
00:10:43car le Président, le Président d'État,
00:10:46le Président de la République,
00:10:49a été sorti du pays, en Amérique du Sud,
00:10:52sur une mission et ils ont dû attendre
00:10:55pour que son arrivée fasse ses tâches constitutionnelles.
00:10:58La première observation, c'est la première fois
00:11:01qu'un tel événement arrivait dans le pays.
00:11:04Et l'ancien Président, le Président de la République,
00:11:07a voulu que nous lui donnions la prestation qu'il a méritée.
00:11:10Quand il a renoncé le 4 novembre,
00:11:13le 5 novembre, il nous a appelés à sa résidence,
00:11:16le Directeur du Cabinet, moi-même et un aide.
00:11:19Il a souhaité qu'on applique à la lettre
00:11:22ce qu'il a souhaité qu'on applique à la lettre
00:11:25et qu'on applique à la lettre
00:11:28ce qu'il a souhaité qu'on applique à la lettre.
00:11:31Il a souhaité qu'on applique à la lettre
00:11:34ce qu'ont prévu les textes.
00:11:37En particulier, en ce qui concerne
00:11:40les ordres civils et militaires
00:11:43qui sont les plus élevés.
00:11:46Appliquez à la lettre
00:11:49ce que prévoyait le décret de 1976.
00:11:52Appliquez à la lettre
00:11:55ce que prévoyait le décret de 1976.
00:11:58À 10h00, le 6 novembre 1982,
00:12:02déjà dans le pays,
00:12:05la présidente de la Parlementaire,
00:12:07Salomon Tande-Mouna, avait administré
00:12:10l'offre du nouveau président dans l'Assemblée nationale
00:12:13qui comptait 150 passants à l'époque.
00:12:16Pour méfier tous vos efforts
00:12:19à la préservation, la protection
00:12:22et la défense de la Constitution
00:12:25et des lois de la République Unite de Cameroune,
00:12:28pour surveiller la volonté commune de la nation et pour soutenir et défendre l'unité, l'intégrité et l'indépendance du pays du Cameroun.
00:12:41Je vous le promets.
00:12:44Un salut de 21 hommes et d'armes accompagnait le nouveau chef d'administration du Palais de l'Unité.
00:12:50L'administration a reçu des applaudissements de la foule jubilée.
00:12:53Le président précédent, Armando Aïdjo, a quitté Yaoundé à 2h30 pour Garoua.
00:12:59Depuis, la histoire de la bière n'a pas changé depuis 42 ans.
00:13:04Maintenant, Charles Ebounet nous emmène pas à pas dans la 42 ans longue journée de la présidence de l'UPR.
00:13:34Une foule jubilée au centre de la conférence Yaoundé.
00:13:52Ce dimanche, 6 novembre 2024, nous avons eu l'un des meilleurs monuments infrastructuraux des années de la bière.
00:14:02Aujourd'hui, ils célèbrent leur champion.
00:14:13Cette occasion, c'est la célébration des 42 ans de la présidence de Paul Biya,
00:14:18en force, sans arrêt, organisée par le mouvement démocratique du peuple de Cameroun, son parti politique.
00:14:32Un par un, des officiels du gouvernement, des membres du corps diplomatique
00:14:38et l'ensemble du système de soutien de la bière s'assemblent au centre de la conférence Yaoundé pour célébrer leur champion de la meilleure façon,
00:14:48avec ce qui est connu aujourd'hui comme l'anthem national pour Paul Biya.
00:15:09Joyeux anniversaire au peuple de Cameroun.
00:15:13Comme vous le savez, le chef d'État est le chef d'État parce que le peuple de Cameroun a accepté qu'il devait être le premier.
00:15:24Il a emprisonné l'aspiration du peuple.
00:15:29C'est pourquoi je dis joyeux anniversaire au peuple de Cameroun.
00:15:34Joyeux anniversaire aussi au chef de l'État qui, jusqu'à présent, fait ce que les gens l'attendent.
00:15:44L'un des personnalités présentes au centre de la conférence Yaoundé sont le premier ministre du gouvernement, Joseph Diongute,
00:15:55le secrétaire général du comité central du parti plus proche de l'État, Jean Kweiti,
00:16:02les membres du cabinet et une portion de la communauté diplomatique accréditée à Cameroun.
00:16:17L'ambiance est une réflexion de la célébration des grands travaux de l'administration Biya au peuple de Cameroun
00:16:25au cours des 42 dernières années pour le développement et l'empowerment.
00:16:31J'applaudirai ce qui a été fait. Je le célébrerai parce que nous vivons en paix dans ce pays.
00:16:39Nous avançons dans ce pays.
00:16:42Les Camerounais devraient comparer, ouvrir leurs yeux,
00:16:53savoir ce qui se passe dans le monde avant de les comparer.
00:16:58Cameroun est un pays pacifique. Nous avons beaucoup de difficultés.
00:17:04Mais grâce à son savoir-faire, nous pouvons discuter en silence.
00:17:14Nous devons tous nous unir en tant qu'un peuple pour bâtir ce pays, Cameroun, et voir que nous vivons en paix.
00:17:22Le président Paul Biya est un amant de la paix, de l'unité et de la prospérité de tous les Camerounais.
00:17:33C'est ce que nous voulons.
00:17:37L'un des moments clés de l'événement, attendu par une partie du programme Who is Who dans le pays,
00:17:46est le téléchargement d'un film d'une heure sur les milestones de l'administration du nouveau accord,
00:17:52produit par le comité central de l'Assemblée des Camerounais.
00:17:57Comme je l'ai dit, je suis le produit du Président de l'État. Je suis la création du Président de l'État.
00:18:04Car, pour donner un témoignage, je dis que vivre ensemble, que le Président de l'État soit un président,
00:18:11c'est une expérience incroyable.
00:18:14C'est une expérience incroyable.
00:18:17C'est une expérience incroyable.
00:18:20Car, pour donner un témoignage, je dis que vivre ensemble, que le Président de l'État soit un président,
00:18:28c'est une expérience incroyable.
00:18:31Car, pour donner un témoignage, je dis que vivre ensemble, que le Président de l'État soit un président,
00:18:39je n'étais pas de la région du sud, je n'étais pas de sa famille,
00:18:45mais le Président de l'État est celui qui promouve la meilleure pratique.
00:18:51L'unité nationale dans ce pays est quelque chose que nous devons tenir très cher.
00:18:58Au fait que dans un pays comme le nôtre, avec environ 250 langues, différentes tribus,
00:19:06c'est toujours très difficile d'unir ces tribus.
00:19:09Mais notre Président a fait tant pour montrer qu'il y a de la paix, qu'il y a de l'unité dans ce pays.
00:19:16Nous apprécions vraiment et vous aimons pour être notre Président.
00:19:21Juste comme les compatriotes dans d'autres parties du pays,
00:19:26l'impact du Président Paul Beah sur la gouvernance du pays est ressenti positivement
00:19:33dans des zones comme les libertés, par exemple.
00:19:37Si vous vous rappelez, nous avions un congrès à ce moment-là,
00:19:45et même si beaucoup de nos militants ne pouvaient pas imaginer que le Président prendrait une décision
00:19:58en nous demandant d'être prêts à confronter la compétition.
00:20:07Dans ce congrès, il a annoncé souvent qu'il devait préparer ses militants pour la compétition.
00:20:21C'est ainsi que nous avons tous été surpris. Il l'a dit, et il a pris la décision.
00:20:32C'est ainsi que nous avons eu la loi concernant la communication sociale.
00:20:43Et à partir de ce moment-là, en 1990, nous sommes entrés dans le pluralisme.
00:20:54Avec toutes les conséquences, les avantages, les effets,
00:21:02il y a eu tellement d'organismes de presse, de presse en ligne,
00:21:10environ 600, 100 télévisions, plus de 20 radios, plus les radios communautaires, 200.
00:21:21À partir de ce moment-là, on peut assurer que les gens soient libres de dire ce qu'ils veulent.
00:21:29Les Canadiens parlent librement, et la plupart des Canadiens et des étrangers sont surpris
00:21:37de la façon dont les gens sont libres de dire ce qu'ils veulent.
00:21:44Ils pensent même que nous exagérons, que nous allons trop loin.
00:21:49Je pense que la démocratie et le droit de l'ordre sont des réalités dans notre pays.
00:21:59Si nous sommes sincères, nous ne pouvons pas accepter le fait que notre pays s'est transformé en démocratie.
00:22:10Le président Paul Biya a toujours montré des qualités de leadership exceptionnelles.
00:22:15Je dirais que, d'un point de vue personnel, il est un homme qui a montré des qualités d'être stoïque, résilient.
00:22:23Un homme qui préfère le dialogue, qui préfère la diplomatie, qui préfère prendre son temps.
00:22:32Malheureusement, ses adversaires ont parfois mal compris ou sous-estimé ses actions.
00:22:40Et nous avons vu que ces actions, ou sa capacité à naviguer, ou à gérer ces tempêtes,
00:22:46l'ont permis de rester en pouvoir pour si longtemps.
00:22:50Le directeur général de la présidence, à ce niveau, j'ai remarqué qu'il est le leader d'un équipe
00:23:03qui respecte toutes les opinions, mais qui est aussi un leader qui préfère que les affaires soient traitées de la rigorosité.
00:23:19C'était la première leçon que j'ai apprise de lui à ce niveau.
00:23:30Plus tard, quand je suis devenu membre de son gouvernement,
00:23:35j'ai aussi remarqué qu'il est vraiment un démocrate, qui respecte les principes de la démocratie.
00:23:48Quand le multipartisisme est revenu dans notre pays, il a permis la liberté d'expression d'opinions.
00:24:03Il a respecté les résultats des différentes élections,
00:24:12comme elles ont été acceptées et confirmées par les instances.
00:24:27Je peux donc encore dire qu'il est un véritable démocrate.
00:24:36A travers les 360 zones de conseil, dont les 14 zones de ville,
00:24:44dans les 58 divisions, à travers les 10 divisions,
00:24:48avec les 4 zones culturelles du pays,
00:24:51les gens ont réfléchi à des sujets comme la construction de routes,
00:24:56à la mobilité de l'Est, à travers le pays.
00:24:59Au cours des 42 dernières années, qu'avons-nous accompli dans le secteur des routes ?
00:25:05Je dirais qu'on a ouvert 121 873 kilomètres de routes.
00:25:16En 1982, on avait 55 000 kilomètres de routes.
00:25:26Cette route linéaire est très importante,
00:25:32parce que le chef d'Etat veut que les gens restent connectés.
00:25:41Il veut que les investisseurs aient la possibilité d'échanger,
00:25:49d'aller d'un point à l'autre,
00:25:52d'aller du point de production au point de commercialisation.
00:25:56En 1982, on avait 1330 kilomètres de routes.
00:26:09Aujourd'hui, on a 10 273 kilomètres de routes.
00:26:17Aujourd'hui, on a une production de 1800 mégawatts.
00:26:24En 1982, on avait moins de 1000 mégawatts.
00:26:33Je pense qu'on a beaucoup de progrès à faire,
00:26:37parce que le demand pour les prévisions augmente de 10 % par an.
00:26:44Pour vous montrer ce que je vois,
00:26:47vous avez ce secteur des routes,
00:26:50Bamenda, Batchibou, Manfe, Ekob.
00:26:54C'est une route linéaire.
00:26:56Avec ce pont construit sur la rivière,
00:27:01vous avez Cameroon ouvert à l'Angleterre,
00:27:04ce qui est un marché très important.
00:27:07Vous avez ce secteur des routes, Koumbou-Bamenda,
00:27:11vous avez Mawa, Mora, Mawa-Bogota,
00:27:16vous avez Yaoundé-Bafousam,
00:27:19vous avez Mengon-Samilima.
00:27:21Laissez-moi vous indiquer que vous pouvez partir
00:27:25de Yaoundé à Brazzaville sur une route linéaire,
00:27:29parce qu'on a récemment construit ce secteur des routes,
00:27:34Samilima-Oueso,
00:27:37parce que le chef d'Etat voulait que la population
00:27:42reste connectée,
00:27:44il voulait que la population ait l'opportunité
00:27:47de commercialiser ses produits,
00:27:49en Cameroon ou hors Cameroon.
00:27:52Je pense que le plus important projet
00:27:56est définitivement Lom-Panga.
00:27:59Lom-Panga a augmenté la régulation de la rivière Sanaga
00:28:04à 1 000 m3 par seconde,
00:28:09et cela a augmenté la capacité totale
00:28:14de l'exploitation de Saint-Laurent-et-Déa
00:28:17à 170 mégawatts
00:28:20sans investissement supplémentaire.
00:28:24C'est un très bon projet.
00:28:26Après Lom-Panga, nous sommes maintenant à Nashigal.
00:28:29Nous avons augmenté à 420 mégawatts.
00:28:34Nous sommes à Lom-Panga, Nashigal, M-M-Velay,
00:28:39nous avons augmenté la capacité de la région sud
00:28:42sur la rivière Therme.
00:28:44C'est un gros projet d'hydroélectricité.
00:28:47Kumbamangfe est là,
00:28:51et il y a une petite section
00:28:54sur laquelle nous travaillons maintenant
00:28:58avec la Banque Centrale Africaine de Développement.
00:29:03Cette section de 9 kilomètres,
00:29:05qui n'était pas dépassée
00:29:07à cause des activités terroristes,
00:29:10est venu nous permettre de compléter
00:29:12la dépassation de cette section.
00:29:15Nous avons fait de nombreux projets.
00:29:20Vous avez cette section
00:29:26de Nthui jusqu'à Tibati,
00:29:30avec cette brèche importante
00:29:33sur la rivière Sanaga,
00:29:35qui a déjà été dépassée.
00:29:37Nous pouvons couper de nombreux exemples
00:29:40pour illustrer ce que nous disons.
00:29:43Nous avons démarré de 1333 kilomètres
00:29:48jusqu'à 10234 kilomètres
00:29:51en décembre 2024.
00:29:55L'année prochaine, en janvier 2025,
00:30:00nous allons délivrer une autre section
00:30:03de la route de Tha,
00:30:04parce que nous travaillons.
00:30:06Je vais le répéter,
00:30:08il ne s'agit pas de savoir
00:30:09si nous sommes en route ou non,
00:30:11nous sommes en route pour travailler
00:30:13pour que la route soit ouverte,
00:30:16bien maintenue et bien trafiquable.
00:30:19C'est pour cela que nous avons déjà
00:30:22mis en place une stratégie.
00:30:24Une stratégie concernant la route.
00:30:27Cette stratégie est définie
00:30:30pour aider les propriétaires du projet,
00:30:34les maires, les gouverneurs de la région,
00:30:37les ministres des Affaires publiques,
00:30:39à respecter cette stratégie
00:30:42afin que la route de Tha soit durable.
00:30:49Parce que nous avons réalisé
00:30:52que lorsque nous travaillons sur la route de Tha
00:30:55et qu'il pleut,
00:30:58immédiatement, il n'y a pas d'autre route.
00:31:01Nous avons donc défini une stratégie
00:31:03pour rendre la route de Tha plus durable
00:31:08pendant au moins cinq ans.
00:31:10L'une des meilleures réalisations du BIES
00:31:14a été la promotion de la paix et de l'unité nationale
00:31:18avec l'absolue maintenance
00:31:20de l'intégrité territoriale de l'Etat.
00:31:23Le Président, en fait,
00:31:26je peux dire qu'il a été choisi par Dieu
00:31:29pour être le Président de ce pays,
00:31:32vu le fait que nous avons vécu
00:31:35tant de difficultés dans ce pays,
00:31:38mais nous sommes toujours sortis de ces difficultés.
00:31:41Et nous ne pouvons pas sortir de ces difficultés
00:31:45sans avoir un homme comme notre Président.
00:31:49L'unité nationale dans ce pays
00:31:53est quelque chose que nous devons garder très cher,
00:31:57vu le fait que dans un pays comme le nôtre,
00:32:00avec environ 250 langues,
00:32:04différentes tribus,
00:32:06c'est toujours très difficile d'unir ces tribus.
00:32:09Mais notre Président a fait tant pour dire
00:32:12qu'il y a de la paix,
00:32:14qu'il y a de l'unité dans ce pays.
00:32:16Nous voulons vraiment vous apprécier et vous aimer
00:32:19pour être notre Président.
00:32:21Dès qu'il est devenu Président,
00:32:30sa première sortie était à Bamenda,
00:32:35pour marquer l'unité
00:32:38entre la langue anglaise et la langue française
00:32:41dans le pays.
00:32:45Dans toute cette action,
00:32:49vous pouvez voir qu'il n'y a pas eu de discrimination
00:32:53dans tout ce qu'il a fait.
00:32:56C'est seulement les qualités des différents citoyens
00:33:02qui les qualifient pour ceci ou pour cela.
00:33:06Je n'ai pas vu d'acte
00:33:11posé par le Président,
00:33:13qui est contre la concurrence nationale.
00:33:16Donc je peux affirmer sans aucun doute
00:33:19qu'il a toujours lutté pour l'unité de ce pays,
00:33:23pour la paix dans ce pays,
00:33:25pour la sécurité de ce pays,
00:33:28et pour toutes les réformes qu'il a menées
00:33:31et menées vers ce but.
00:33:34Si vous voulez comparer le temps
00:33:37avant et après le Président,
00:33:40vous voyez qu'il a mené de nombreuses réformes
00:33:43du point de vue politique, économique et social.
00:33:47Politiquement, le Président a amené la démocratie,
00:33:51le multipartisisme.
00:33:53Le Président a amené certaines libertés
00:33:56qui n'existaient pas auparavant.
00:33:58Je pense que le gouvernement a aussi besoin
00:34:02d'une certaine participation
00:34:04de tous les segments de la société.
00:34:07De l'état unitaire, comme il l'était,
00:34:10à l'état unitaire décentralisé,
00:34:13il a augmenté l'espace pour la participation
00:34:17du bas au haut,
00:34:19en empuyant les régionales et locales
00:34:22à s'intégrer à la société.
00:34:25Il a augmenté l'influence de la population
00:34:29dans la chose de ses dirigeants
00:34:32et des autorités régionales et locales.
00:34:35Il a augmenté les pouvoirs et les ressources
00:34:39nécessaires à l'impact direct
00:34:42sur la vie de la population
00:34:45à un niveau local,
00:34:48pour que la population
00:34:52ait une plus grande influence
00:34:55sur la chose de ses dirigeants
00:34:58qui ont un impact direct sur leur vie.
00:35:01Si ces dirigeants ont les pouvoirs
00:35:04d'exercer sur ces domaines
00:35:07ou sur les zones qui ont un impact direct
00:35:10sur la population,
00:35:12en conclusion,
00:35:14vous avez créé l'espace pour les gens
00:35:17de participer à leur gouvernement.
00:35:20Vous avez augmenté le contrôle
00:35:23des gens qui les gouvernent.
00:35:26En faisant cela, vous avez mis en place
00:35:29un mécanisme clé de la performance,
00:35:32qui est le pouvoir de sanctionner
00:35:35les gens en gouvernement par une élection.
00:35:38Les fonds rassemblés qui ont chanté
00:35:41les applaudissements du président
00:35:44ont aussi reflété les victoires diplomatiques
00:35:47et la position du peuple du Cameroun
00:35:50dans les positions de leadership mondiale,
00:35:53avec le cas de Philemon Young aujourd'hui,
00:35:56connu par tout le monde,
00:35:59dans la doctrine de la politique étrangère.
00:36:02Les trois principaux défis de la diplomatie
00:36:05sont basés sur la préservation
00:36:08et la protection de notre souveraineté.
00:36:11Deuxièmement, il faut s'assurer
00:36:14que la diplomatie n'intervienne pas
00:36:17dans les affaires domestiques
00:36:20de n'importe quel pays.
00:36:23Troisièmement, il faut s'assurer
00:36:26qu'il n'y ait pas de conflits
00:36:29entre les pays
00:36:32grâce au dialogue et au respect.
00:36:35C'est à base de ces trois défis
00:36:38que le président de la République
00:36:42a réellement articulé
00:36:45son objectif principal dans la diplomatie.
00:36:48Tout d'abord, dans la région centrale,
00:36:51où le président est plus concentré
00:36:54sur trois ou quatre éléments.
00:36:57L'un est la relation entre les pays
00:37:00de la région centrale
00:37:03et les pays du sud-ouest.
00:37:06L'autre est la relation
00:37:09entre les pays du sud-ouest
00:37:12et les pays du nord-ouest.
00:37:15Le dialogue, la paix et le développement
00:37:18et aussi la solidarité
00:37:21dans les grands défis
00:37:24concernant la région centrale.
00:37:27Avant que j'arrive à la scène,
00:37:30la Nigerie et le Cameroun
00:37:33ne pouvaient pas résoudre le problème.
00:37:37Et le Cameroun est allé
00:37:40à l'ICJ,
00:37:43l'International Court of Justice.
00:37:46C'était la scène
00:37:49où je suis allé
00:37:52en tant qu'élu président.
00:37:55La Nigerie est allée
00:37:58défendre le cas
00:38:01et j'ai inhérité
00:38:05tout ce que j'ai pu faire.
00:38:08Nous allons continuer
00:38:11d'accueillir des avocats
00:38:14et de les défendre,
00:38:17car nous y sommes déjà.
00:38:20Mais nous essayons aussi
00:38:23de trouver des maîtres coloniaux
00:38:26de tous les côtés,
00:38:29les Allemands, les Français
00:38:32et les Britanniques.
00:38:35Personne ne nous a donné la joie
00:38:38que de trouver
00:38:41ce que nous voulions.
00:38:44En tout cas,
00:38:47comme il s'est déroulé,
00:38:50l'International Court of Justice
00:38:53a prononcé le verdict.
00:38:56Avant que le verdict soit prononcé,
00:38:59j'aimerais remercier
00:39:02Kofi Annan.
00:39:05Il a appelé
00:39:08le président Paul Biya
00:39:11et moi-même
00:39:14et nous avons dit
00:39:17que nous étions deux frères
00:39:20et qu'il nous fallait
00:39:23qu'on s'unisse.
00:39:26Je lui ai dit
00:39:29qu'il fallait s'unir pour l'accepter.
00:39:32J'ai répondu
00:39:35qu'en tant qu'avocat,
00:39:38nous allons défendre
00:39:41le cas dans le court
00:39:44et que nous accepterons
00:39:47les résultats.
00:39:50Le président Biya a dit la même chose.
00:39:53Il a dit que le verdict
00:39:56était en faveur
00:39:59de Cameroun.
00:40:02Il y a des gens au Nigeria
00:40:05qui ont pensé
00:40:08qu'on ne devait pas obéir
00:40:11au verdict
00:40:14de l'International Court of Justice
00:40:17car nous occupions
00:40:20plus de 2 milliards
00:40:23de vacances.
00:40:26Ils pensent que nous occupions
00:40:29ce que nous occupions.
00:40:32Je n'y crois pas
00:40:35car si nous sommes un membre
00:40:38d'une organisation
00:40:41et que nous croyons en la loi,
00:40:44nous devons l'accepter.
00:40:47Le président Biya a réellement
00:40:50implémenté une formule
00:40:53de contact avec des acteurs
00:40:56de l'arène internationale.
00:40:59Le président des États-Unis
00:41:02a atteint le sommet
00:41:05entre les Etats-Unis et l'Afrique.
00:41:08Il a aussi atteint le sommet
00:41:11entre la Russie et l'Afrique.
00:41:14Il a fait des actions
00:41:17très dynamiques
00:41:20au sommet
00:41:23entre la Chine et l'Afrique.
00:41:26Comme vous le dites
00:41:29dans votre émission
00:41:32Global Watch,
00:41:35Cameroun est en train
00:41:38d'avoir une diplomatie mondiale.
00:41:42Nous allons maintenant
00:41:45très lentement
00:41:48expandir
00:41:51notre mission diplomatique
00:41:54dans différents endroits.
00:41:57Nous avons déjà
00:42:00mis en place
00:42:03la première structure
00:42:06de l'ambassade en Inde.
00:42:10Nous avons donc
00:42:13une relation très proche.
00:42:16Je peux donc conclure
00:42:19que le président Biya est aussi
00:42:22très sensible
00:42:25à nos compatriotes,
00:42:28à la Diaspora,
00:42:31avec qui il a toujours été
00:42:34en étroite contact.
00:42:38Dans ce respect,
00:42:41il nous a offert une pièce de terre
00:42:44pour construire la Diaspora House.
00:42:47Au-delà de cela,
00:42:50partout où les Camerouniens
00:42:53sont nationaux et compatriotes
00:42:56se trouvent avec des problèmes
00:42:59et des défis très difficiles.
00:43:02Le président a toujours mis en place
00:43:05un système d'assistance.
00:43:08Je veux juste vous rappeler
00:43:11que nous avons travaillé très dur
00:43:14pendant la période de la COVID-19
00:43:17pour amener de nombreux
00:43:20nationaux qui voulaient revenir.
00:43:23Ils étaient très inquiets
00:43:26de ne pas avoir la COVID-19.
00:43:29Beaucoup d'entre eux sont revenus.
00:43:32Je ne veux pas nommer
00:43:35n'importe quel pays,
00:43:38mais partout où la Diaspora
00:43:41est confrontée à un problème
00:43:44de discrimination et de maltraitance,
00:43:47le président a toujours été
00:43:50très sensible
00:43:53et a donné de très fortes instructions
00:43:56à mon ministère
00:44:00de faire tout son possible
00:44:03pour amener nos nationaux
00:44:06qui voulaient revenir à la maison.
00:44:30Il ne laisse pas de pierre sur la pierre
00:44:33quand il parle de bonne gouvernance
00:44:36et de transparence.
00:44:39Il veut que tout ce que le gouvernement
00:44:42a mis dans le budget
00:44:45s'accumule de la manière
00:44:48que c'est supposé être.
00:44:51Il ne laisse pas de pierre sur la pierre
00:44:54pour punir les investisseurs.
00:44:57En tant que chef de l'institution,
00:45:00je donne des instructions
00:45:03et je rends des comptes.
00:45:06Il veut qu'on lutte contre la corruption
00:45:09et l'embezzlement.
00:45:12Il veut qu'on lutte contre tout
00:45:15qui est lié à la bonne gouvernance.
00:45:18Il veut une bonne gouvernance,
00:45:21une transparence et une responsabilité.
00:45:24C'est ce que nous devons faire
00:45:27pour qu'il y ait une bonne gouvernance en Cameroun.
00:45:30Ce n'est pas seulement Consoupi
00:45:33qui lutte contre la bonne gouvernance.
00:45:36Il y a d'autres institutions
00:45:39et nous collaborons avec eux
00:45:42car c'est son objectif principal
00:45:45d'avoir une bonne gouvernance dans son pays.
00:45:48Au cours des 42 dernières années,
00:45:51l'Université de Bouya a créé
00:45:54plus d'un million de produits publics
00:45:57en Cameroun,
00:46:00avec l'un des niveaux de littérature
00:46:03le plus élevé en Afrique.
00:46:06Avant de venir au pouvoir,
00:46:09il n'y avait que l'université.
00:46:12Quand je suis rentrée à l'école,
00:46:15il y avait déjà l'université de Bouya.
00:46:18Aujourd'hui, nous avons au moins
00:46:2111 universités étatiques.
00:46:24Chaque région a une université étatique.
00:46:27Il a ouvert cette zone
00:46:30au secteur privé.
00:46:33Il y a beaucoup d'institutions privées
00:46:36car la demande pour l'éducation privée est très élevée.
00:46:39Il a donné la latitude
00:46:42pour que le secteur privé ouvre des universités
00:46:45qui ne sont pas supportées par l'université étatique.
00:46:48On ne peut donc pas avoir un diplôme
00:46:51qui n'est pas supporté par l'université étatique.
00:46:54Parlons de l'éducation basique.
00:46:57Il a offert une éducation libre à chaque enfant.
00:47:00Il insiste sur l'éducation inclusive
00:47:03pour que chaque enfant soit compté.
00:47:06Il a fait en sorte que les enseignants
00:47:09soient préparés à enseigner aux enfants
00:47:12et qu'ils aient des différences.
00:47:15L'idée que chaque enfant a un droit à l'éducation
00:47:18est soutenue par le chef d'État.
00:47:21Quand il est arrivé au pouvoir,
00:47:24nous n'avions pas jusqu'à 10 000 écoles secondaires.
00:47:27Mais aujourd'hui, nous pouvons compter
00:47:30sur plus de 19 000 écoles primaires
00:47:33et d'écoles de soins de longue durée.
00:47:36Chaque année, nous avons plus de 6 millions d'enfants
00:47:40et chaque année, il augmente.
00:47:43Pour moderniser l'apparatus de l'État,
00:47:46avec l'objectif de améliorer les services,
00:47:49un État unitaire décentralisé a été adopté
00:47:52il y a 28 ans
00:47:55en tant que philosophie de gouvernement du pays.
00:47:58C'est une mission clé
00:48:01qui a été assignée au président de la République.
00:48:04Dès que nous avons pris notre bureau,
00:48:07nous avons commencé à travailler.
00:48:10C'est ce que nous avons fait en 2017.
00:48:13Nous sommes allés à Boïa, puis à Bamenda.
00:48:16Les gens pensaient que nous étions fous
00:48:19d'aller à ces deux régions.
00:48:22C'était très chaud à ce moment-là.
00:48:25C'était comme une mission impossible.
00:48:28Mais nous l'avons fait,
00:48:31et nous avons obtenu des faits
00:48:34et nous avons soumis un rapport
00:48:37avec nos propres idées et recommandations
00:48:40au président de l'État.
00:48:43Par exemple, nous avons pris au sérieux
00:48:46la promotion du bilingualisme,
00:48:49qui est, bien sûr,
00:48:52l'un de nos assignements.
00:48:55Et comme vous le savez,
00:48:58une grande loi est sortie,
00:49:01qui a été passée par le Parlement en 2019.
00:49:04Avec cette loi,
00:49:07nous pensons que c'est bon pour la cohésion sociale,
00:49:10que c'est bon pour la nationalité.
00:49:13Nous avons aussi lutté
00:49:16contre le discours de la haine,
00:49:19ce qui est une chose terrible
00:49:22que nous avons vu dans les médias sociaux.
00:49:25Nous savions que les caméras
00:49:29étaient des gens de paix,
00:49:32qui avaient une compréhension tolérante
00:49:35vers l'un ou l'autre.
00:49:38Mais au cours des dernières années,
00:49:41il y a eu une croissance dans le discours de la haine.
00:49:44Nous avons donc travaillé avec d'autres
00:49:47pour voir si la loi pouvait être améliorée
00:49:50pour combattre le discours de la haine.
00:49:53Le pays a aussi vécu
00:49:56des moments très durs
00:49:59dans les 42 dernières années,
00:50:02comme l'avortement militaire de 1984,
00:50:05l'économie qui a presque
00:50:08cassé la nation,
00:50:11les coups politiques de 1990
00:50:14après le retour du pluralisme politique,
00:50:17le terrorisme dans la région du Nord,
00:50:20l'évacuation symbolisée par Boko Haram
00:50:23et l'essai du sécessionnisme du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
00:50:26Mais à chaque fois,
00:50:29le président Paul Bias a donné la bonne thérapie
00:50:32pour résoudre de nombreux problèmes du pays.
00:50:35Au sujet de la mécanisation,
00:50:38le chef d'État a permis
00:50:41au ministère de l'Économie
00:50:44d'acheter 1 000 tracteurs
00:50:47qui ont été assemblés à Ebolova.
00:50:50Maintenant, nous recevons encore
00:50:53230 tracteurs
00:50:56et nous recevons des catépillars
00:50:59pour construire
00:51:02des routes de marché de farme
00:51:05pour donner accès
00:51:08au marché
00:51:11aux agriculteurs dans les zones rurales.
00:51:15Nous essayons
00:51:18de mettre en place
00:51:21un partenariat public-privé
00:51:24avec le secteur privé.
00:51:27Nous savons que maintenant,
00:51:30le secteur privé a la capacité
00:51:33de mobiliser les fonds.
00:51:36Nous essayons de les attraper
00:51:39dans l'agriculture.
00:51:42Notre premier pas est de leur donner
00:51:45accès à l'agriculture.
00:51:48C'est pourquoi nous avons
00:51:51un site de sécurité sur le corridor
00:51:54de Bachenga à Ntwi,
00:51:57près de 400 000 hectares
00:52:00afin de développer
00:52:03la production de riz,
00:52:06de maïs, de soja,
00:52:09de potatoes, de cassava
00:52:12et d'autres marchés de farme
00:52:15afin de répondre
00:52:18aux besoins locaux.
00:52:25L'émancipation des femmes et des jeunes
00:52:28a été un futur clé.
00:52:31Cela explique pourquoi la FLOB
00:52:34a fait la fête de leur champion
00:52:38et de l'espace.
00:52:41En 2006, l'African Youth Charter
00:52:44a été mis en place.
00:52:47C'est un cadre de liberté légale
00:52:50qui guide les jeunes
00:52:53à s'engager et à s'involer
00:52:56dans les questions de gouvernement
00:52:59dans les pays respectifs.
00:53:02J'aimerais que vous compreniez
00:53:05l'importance de l'African Youth Charter.
00:53:08L'un des mécanismes pour mettre en place
00:53:11ce cadre de liberté légale
00:53:14est la mise en place
00:53:17des conseils nationaux.
00:53:20L'African Youth Charter
00:53:23a été ratifié par 38 pays.
00:53:26Les conseils nationaux sont
00:53:29l'un des peu plus nombreux.
00:53:32L'African Youth Charter
00:53:35est l'un des modèles
00:53:38qui a été utilisé comme exemple
00:53:41sur le continent.
00:53:44Les pays qui ont mis des conseils
00:53:47nationaux dans leurs pays
00:53:50ont un modèle exceptionnel
00:53:53qui donne une certaine autonomie
00:53:56aux jeunes à s'engager.
00:53:59L'African Youth Charter
00:54:02est un modèle pour les jeunes
00:54:05à s'engager comme partenaires
00:54:08dans la gestion des affaires du pays
00:54:11et à contribuer
00:54:14grâce à l'organisation.
00:54:17Les femmes sont promuvées
00:54:20à des positions stratégiques.
00:54:23Il y a des sénateurs,
00:54:26des ministres,
00:54:29même dans l'armée.
00:54:32Je ne peux pas nommer
00:54:35le nombre de ministres féminins.
00:54:38C'est-à-dire que le président du pays
00:54:41a besoin des femmes
00:54:44pour être à l'aise.
00:54:47Pour démontrer cela à Cameroun,
00:54:50les femmes et les hommes,
00:54:53c'est la première fois
00:54:56que j'ai été managère générale
00:54:59de l'administration.
00:55:02Je pense que j'ai fait de mon mieux
00:55:05pour développer et moderniser
00:55:08ces administrations.
00:55:11Aujourd'hui, avec un regard critique
00:55:14sur les 42 années du président
00:55:17Paul Beah,
00:55:20la carte de rapport de Paul Beah
00:55:23peut être marquée comme bonne
00:55:26mais elle peut faire mieux
00:55:29dans un monde où la perfection
00:55:32est exclusivement réservée à Dieu,
00:55:35le créateur de l'univers.
00:55:45Les citoyens de chaque pays,
00:55:48à chaque étape de leur développement,
00:55:51prioritisent des questions
00:55:54de nécessité fondamentale,
00:55:57comme l'emploi, le coût de vie
00:56:00et la sécurité financière.
00:56:03L'administration a tacklé
00:56:06certaines de ces questions
00:56:09avec de nombreux succès,
00:56:12comme vous l'avez remarqué,
00:56:15et nous avons réussi à les répondre.
00:56:23Comme beaucoup de pays au monde,
00:56:26le Cameroun a, au cours des années,
00:56:29rencontré des chocs exogenous,
00:56:32externes et parfois imprévus,
00:56:35avec des conséquences dommages
00:56:38pour l'économie du Cameroun.
00:56:42C'est ce qui a amené
00:56:45à une hausse du prix général
00:56:48en termes de produits consommables
00:56:51et, conséquemment,
00:56:54à une hausse du coût de vie.
00:56:57Cela a aussi résulté
00:57:00dans divers types de shortages,
00:57:03y compris la hausse
00:57:06des produits en pétrole.
00:57:11Le président Paul Biya a autorisé
00:57:14l'implémentation d'une série
00:57:17de projets et de mesures
00:57:20en lien avec son agenda
00:57:23pour le développement long terme
00:57:26et la prospérité du Cameroun.
00:57:29Depuis le point de vue économique,
00:57:32le président Paul Biya a apporté
00:57:35beaucoup de réformes.
00:57:38Nous avons vu beaucoup d'infrastructures
00:57:41qui ont permis à l'économie
00:57:44d'être plus diversifiée.
00:57:47La révision du salaire minimum
00:57:50au Cameroun, comme il l'a été
00:57:53l'année dernière, ainsi que la hausse
00:57:56du salaire de 5,2 % pour le personnel
00:57:59civil et militaire, a été accueillie
00:58:02par les Camerounais,
00:58:06ainsi que la hausse
00:58:09des salaires et les coûts
00:58:12d'habitation.
00:58:15Une situation socio-économique
00:58:18comprimée par la hausse
00:58:21des taux d'emploi dans le pays,
00:58:24malgré les efforts du gouvernement
00:58:27pour absorber des milliers
00:58:30d'enfants dans le service public
00:58:34Nous n'avons pas de carpentier,
00:58:37de mécanicien, d'électricien.
00:58:40Nous n'en avons pas.
00:58:43Le but de l'entraînement
00:58:46d'aujourd'hui, de l'entraînement
00:58:49vocationnel, c'est d'empouvoir
00:58:52et de vous donner les compétences
00:58:55et les compétences qui vous permettront
00:58:58de vous assurer un emploi
00:59:02et de devenir un entrepreneur.
00:59:05Aligné avec les politiques stratégiques
00:59:08du gouvernement, le rôle joué
00:59:11par le secteur privé dans l'amélioration
00:59:14des vivacités des Camerounais
00:59:17a aussi été renforcé.
00:59:20En Cameroun, nous avons maintenant
00:59:2352 000 employés.
00:59:26Nous avons plus de 31 000 employés.
00:59:29En Cameroun, nous faisons maintenant
00:59:32seulement de la pomme.
00:59:35Comme vous le savez, toutes nos entreprises
00:59:38en Nigerie, celle que nous faisons
00:59:41à l'extérieur de Nigerie, c'est seulement
00:59:44de la pomme. C'est pourquoi nous sommes
00:59:47dans presque 17 pays. Mais en Cameroun,
00:59:50nous cherchons aussi d'autres
00:59:53opportunités pour commencer à exporter
00:59:56la pomme. Nous cherchons aussi
00:59:59l'opportunité de l'agriculture.
01:00:02Nous cherchons aussi les industries
01:00:05basées sur le gaz.
01:00:08Cameroun a beaucoup de réserves de gaz,
01:00:11mais elles n'ont pas été touchées.
01:00:14C'est ce genre d'opportunité
01:00:17que nous cherchons.
01:00:20J'ai discuté avec le Président
01:00:23de la République. Il m'a encouragé
01:00:26de continuer à discuter avec le gouvernement
01:00:29et de voir comment ils pourraient nous aider
01:00:32à obtenir de l'agriculture basée sur le gaz.
01:00:35Nous allons construire des industries
01:00:38basées sur le gaz.
01:00:41Toutes les présidences de la République
01:00:44veulent le meilleur pour les Camerounais.
01:00:53L'application de la loi est essentielle
01:00:56pour la réinforcement du statut de loi,
01:00:59c'est-à-dire pour s'assurer que les règles
01:01:02et les réglementations soient appliquées
01:01:05comme elles devraient être.
01:01:08La réinforcement du statut de loi
01:01:11dans Cameroun suggère qu'il y avait
01:01:14un statut de loi dans Cameroun auparavant.
01:01:17Cameroun a trois sources de lois.
01:01:20La première est la loi commune,
01:01:23qui vient de l'Angleterre.
01:01:26La deuxième est la loi civile,
01:01:29qui vient de la France.
01:01:32La troisième est la loi habituelle
01:01:35obtenue en Cameroun.
01:01:38De nombreuses mesures ont été prises
01:01:41pour réinforcer le statut de loi en Cameroun
01:01:44avec l'introduction du Conseil constitutionnel
01:01:47et l'appointement des 11 membres
01:01:50à travers un statut présidentiel
01:01:53le 7 février 2018
01:01:56avec Clément Atangana comme président.
01:01:59Le rôle du Conseil constitutionnel
01:02:02est très visible,
01:02:05c'est d'assurer la régularité
01:02:08des élections parlementaires et présidentielles.
01:02:11C'est le rôle que tout le monde voit.
01:02:14Le Conseil constitutionnel
01:02:17a également les pouvoirs
01:02:20d'assurer la constitutionnalité
01:02:23des élections présidentielles.
01:02:26Le Conseil constitutionnel
01:02:29a aussi les pouvoirs
01:02:32d'assurer la régularité
01:02:35des élections présidentielles.
01:02:38Le Conseil constitutionnel
01:02:41a également les pouvoirs
01:02:44d'assurer la constitutionnalité des lois.
01:02:47Le Conseil constitutionnel
01:02:50a aussi les pouvoirs
01:02:53d'assurer la régularité
01:02:56des élections présidentielles.
01:02:59Le Conseil constitutionnel
01:03:02a également les pouvoirs
01:03:05d'assurer la régularité
01:03:08des lois.
01:03:11Le Conseil constitutionnel
01:03:14a également les pouvoirs
01:03:17d'assurer la régularité
01:03:20des lois.
01:03:23Le Conseil constitutionnel
01:03:26a également les pouvoirs
01:03:29d'assurer la régularité
01:03:32des lois.
01:03:35Le Conseil constitutionnel
01:03:38a également les pouvoirs
01:03:41d'assurer la régularité
01:03:44des lois.
01:03:47Le Conseil constitutionnel
01:03:50a également les pouvoirs
01:03:53d'assurer la régularité
01:03:56des lois.
01:03:59Le Conseil constitutionnel
01:04:02a également les pouvoirs
01:04:05d'assurer la régularité
01:04:08des lois.
01:04:11Le Conseil constitutionnel
01:04:14a également les pouvoirs
01:04:17d'assurer la régularité
01:04:20des lois.
01:04:23Le Conseil constitutionnel
01:04:26a également les pouvoirs
01:04:29d'assurer la régularité
01:04:32des lois.
01:04:35Le Conseil constitutionnel
01:04:38a également les pouvoirs
01:04:41d'assurer la régularité
01:04:44des lois.
01:04:47Le Conseil constitutionnel
01:04:50a également les pouvoirs
01:04:53d'assurer la régularité
01:04:56des lois.
01:04:59Le Conseil constitutionnel
01:05:02a également les pouvoirs
01:05:05d'assurer la régularité
01:05:08des lois.
01:05:11Le Conseil constitutionnel
01:05:14a également les pouvoirs
01:05:17d'assurer la régularité
01:05:20des lois.
01:05:24Chaque comptable qui manipule
01:05:27l'argent de l'État,
01:05:30l'argent qui appartient à l'État,
01:05:33ou à des institutions publiques,
01:05:36ou à n'importe quelle institution,
01:05:39a le rôle d'assurer
01:05:42ou de contrôler la gestion des fonds
01:05:45et d'assurer l'efficacité
01:05:48de l'utilisation des fonds publics.
01:05:51Le Conseil constitutionnel
01:05:54a également les pouvoirs
01:05:57d'assurer la régularité
01:06:00des lois.
01:06:03Le Conseil constitutionnel
01:06:06a également les pouvoirs
01:06:09d'assurer la régularité
01:06:12des lois.
01:06:21Le Conseil constitutionnel
01:06:24a également les pouvoirs
01:06:27d'assurer la régularité
01:06:30des lois.
01:06:51Le Conseil constitutionnel
01:06:54a également les pouvoirs
01:06:57d'assurer la régularité
01:07:00des lois.