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Elle avait ému bien au-delà du Périgord en gardant la ferme de ses parents avec son papy pendant que ses parents étaient partis sur le convoi de la Coordination rurale pour Rungis, au mois de février dernier. On a retrouvé Constance à Eymet, prête à reprendre du service avec les nouvelles manifestations prévues au mois de novembre.

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Transcription
00:00Est-ce que tu serais prête à refaire comme au début de l'année ?
00:03Oui, surtout si c'est pour le bien de tous les likeurs, avec plaisir.
00:16Je fais juste mes devoirs et ça, et après je viens ici.
00:20Je viens en apprentissage à Bergerac, en apprentissage mécanique.
00:31J'apprends un autre métier que celui-là, puisqu'on ne sait pas trop où on va.
00:36On s'est dit d'apprendre un deuxième métier au cas où ça ne marcherait pas.
00:43On ne savait pas que ça aurait touché autant de gens et que ça allait aussi loin.
00:49Pour nous, c'est quelque chose qu'on fait tous les jours.
00:52Ça nous paraissait la vie normale.
01:03Oui, on va partir.
01:05Comme je dis toujours, même si aujourd'hui ce n'est peut-être pas pour nous,
01:10c'est peut-être pour le voisin, mais demain ça va être aussi pour nous.
01:14Tant qu'à faire, on commence déjà à se battre pour essayer de sauver tous ceux qui en ont besoin.
01:18Ça peut nous arriver très vite aussi, on est vraiment sur la scellette tous les jours.
01:31Oui, surtout si c'est pour le bien de tous les likeurs, avec plaisir.
01:38J'ai confiance en elle, il n'y a pas de problème.
01:42À condition qu'ils ne partent pas trois mois.
01:45Une semaine, c'est bon.
01:47Je fatigue vite à mon âge.

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