TPMP : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.
Tous les extraits et émissions de TPMP sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
TPMP sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/
Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.
Tous les extraits et émissions de TPMP sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
TPMP sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/
Category
📺
TVTranscription
00:00C'est énorme, insupportable, 200 000, et beaucoup de ces gens-là ne peuvent pas faire reconnaître ces effets indésirables comme venant du vaccin.
00:08Donc ils galèrent, ils ont des maladies, il y en a qui ont des myocardites, il y a des choses, des allergies sévères, plein de choses, des péricardites, plein de choses graves,
00:16et c'est impossible pour eux de faire reconnaître ça.
00:19On va faire vite, on va faire quand même Géraldine Maillet, Valérie Bélaïm, hein, bien entendu, les deux.
00:23Non mais c'est parler de Valérie, hein.
00:24Géraldine Maillet, allez-y.
00:25Les deux, parlez les deux.
00:26Bon, alors déjà, c'est compliqué.
00:28C'est comme si, moi, on parle de padeule.
00:30Ils sont tupous, Géraldine.
00:32Déjà, je pense que c'est compliqué parce que là-dessus, je pense que mettre division, on sera irréconciliables.
00:37Et en plus, je suis un peu un outsider ce soir parce que de toute façon, Cyril Hanouna, depuis le début de cette...
00:42Quand il y a eu la pandémie, il boit vos paroles et moi, il vomit les miennes.
00:45Donc ça va être compliqué.
00:46Pour l'instant, vous démarrez bien.
00:48Pour l'instant, j'ai rien dit pour l'instant.
00:50Non, non, mais en règle générale, sur ce sujet, en tout cas.
00:52Moi, je pense qu'un cas d'effet indésirable, c'est un cas de trop.
00:56Bien évidemment, c'est insupportable et je suis tout à fait compatissante et je reconnais que ça doit être très, très, très difficile.
01:01Mais malgré tout, moi, j'ai l'impression, alors je suis aussi peu experte que vous puisque vous êtes avocat et je suis juste chroniqueuse.
01:08Oui, enfin, à une réserve près, c'est que moi, je ne commence pas mes phrases par j'ai l'impression.
01:12Mais bon, continuez.
01:13J'adore ce gars-là, il est trop fort.
01:15Vous me ferez mon texte.
01:16Non, mais genre, ça commence mal.
01:17Quand vous commencez vos phrases par j'ai l'impression, déjà, ça commence mal.
01:20Moi, je n'ai jamais commencé une phrase ici par j'ai l'impression.
01:23Ça a jamais dû vous arriver.
01:24Jamais.
01:24Sur le Covid, jamais, jamais, jamais.
01:27C'est de la rhétorique.
01:28Règle numéro deux, on ne coupe pas la parole.
01:30C'est de la sémantique.
01:30Désolé, c'est marqué là.
01:31Donc du coup, moi, j'ai l'impression qu'il y a une pharmacovigilance très précise et très encadrée en France.
01:37Donc j'ai confiance.
01:38Ensuite, 200 000, c'est trop.
01:40Mais j'ai vu qu'il y avait quand même peu de cas graves et que les cas graves n'étaient pas forcément liés au vaccin et qu'on ne pouvait pas le prouver.
01:46C'est à dire que pour prouver aujourd'hui que c'est vraiment à cause du vaccin, il y a trois aspects.
01:50Mais vous allez pouvoir me le dire.
01:51Il y a l'aspect temporel, l'aspect sémiologique et l'aspect bibliographique.
01:55Et c'est un casse-tête, effectivement, aujourd'hui pour les avocats, pour le prouver.
01:58Un casse-tête.
01:59Un casse-tête.
01:59Donc moi, je pense qu'en plus, c'est bizarre d'avoir ce débat-là alors que la France est le pays qui consomme le plus de médicaments.
02:05C'est à dire que nous, en France, on prend des médicaments à mort et malgré tout, on est complètement flippés par rapport à ce vaccin.
02:11Donc voilà.
02:12Donc moi, je suis...
02:12Allez, Fabrice.
02:13Non, non, attendez.
02:14Ah, ce n'est pas fini ?
02:15Non, pas grand-chose.
02:16Oh, fais chier.
02:17Non.
02:18Oh, la tuile.
02:19Allez.
02:20Donc je pense que finalement, en fait, en gros, les effets indésirables, c'est 0,0012%.
02:25Donc pour moi, c'est quantité négligeable.
02:27Comme l'a dit tout à l'heure Thomas Guénolé, c'est moins que les accidents domestiques.
02:30Voilà.
02:31Donc il y a...
02:32Voilà.
02:32C'est comme ça.
02:32Allez, Fabrice.
02:34Si j'osais, je dirais qu'effectivement, le fait que vous racontiez n'importe quoi n'est pas une impression me concernant.
02:41Ça, c'est un fait.
02:42S'il vous plaît, vous le laissez parler maintenant.
02:44Premier élément.
02:45C'est bon.
02:45Deuxième élément.
02:47Vous avez oublié une dimension importante à la question des effets indésirables.
02:51Les effets indésirables en soi, on s'en fout.
02:54Ah non.
02:54Ah si, on s'en fout.
02:55Ah non.
02:56On s'en fout si c'est un mal nécessaire.
02:58On le laisse.
02:59Oui.
02:59C'est-à-dire qu'en fait, l'effet indésirable, il faut qu'il soit corollaire d'un bénéfice.
03:02Bravo.
03:03C'est un problème de bénéfice-risque.
03:05Bravo.
03:05Avoir un effet indésirable sur un produit qui est nécessaire pour votre santé, c'est hélas regrettable.
03:12Mais c'est effectivement nécessaire.
03:14C'est ainsi.
03:15Le problème de fond dans la vaccination, c'est que dans vos effets indésirables, c'est lié à une politique d'inutilité.
03:25Quand votre gamin de 15 ans, il a un effet indésirable, qu'il a une myocardite ou une péricardite…
03:30Il n'était pas vacciné à 15 ans.
03:31Non mais, il n'était pas vacciné à 15 ans.
03:32Non.
03:33C'est vous qui dites ça.
03:34C'est vous qui dites ça.
03:35C'est une blague.
03:35De quoi ?
03:36Non mais attendez, là, là, là, pour le coup, là, là, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
04:06non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
04:36non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
04:43non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
04:50non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
04:59non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
05:06non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
05:12non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
05:22non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
05:52non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
06:22non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
06:52non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
07:22non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
07:52non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
08:22non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
08:52non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
09:22non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
09:52non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
10:22non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
10:52non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
11:22non