[#Journal ] Le 19H30 du 21 Novembre 2024
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00:00Mesdames et messieurs, bonsoir à vous, merci de me recevoir chez vous pour le 19h30 de
00:21Gabon Media Time, dans l'actualité de ce jeudi 21 novembre 2024, bien que les résultats
00:27provisoires du référendum constitutionnel font état de la victoire du Huy à plus de
00:3291% depuis le 17 novembre dernier. De nombreux observateurs de la vie politique estiment
00:38que le président de la transition Brice-Clauteur Oliginguéma devrait tenir son engagement
00:43de maintenir le dialogue même avec les partisans du Nant et s'est en vue de poser les bases
00:48d'une gouvernance plus inclusive. Nous débutons cette édition en politique.
00:53Le 16 novembre dernier, les compatriotes se sont exprimés dans les urnes pour le hui
00:58massif au projet de constitution qui leur avait été soumis pour l'adoption. Si l'opération
01:04électorale s'est déroulée dans un climat apesé, la phase attend l'entrée en vigueur.
01:10Du texte est au cœur des discussions à travers le pays puisque le dit texte ne sera applicable
01:15qu'après la présidentielle de 2025. Commentaire.
01:18Les Gabonais se sont prononcés samedi 16 novembre en faveur d'un hui massif au projet
01:22de constitution qui leur avait été soumis pour l'adoption. Si cette étape est désormais
01:28derrière nous, la question de l'entrée en vigueur du texte alimente les conversations
01:33au sein des quartiers, une configuration pourtant prévue par le dit texte. Si d'aucuns
01:39auraient pu penser que le texte de la nouvelle constitution était immédiatement applicable
01:43après la publication des résultats provisoires par le ministère de l'Intérieur, il n'en
01:49est rien en réalité. La disposition du code électoral et le texte de la constitution
01:54adoptée encadrent en effet les conditions d'entrée en vigueur du texte. Au terme
01:59de la compilation puis de l'annonce des résultats du référendum par le ministère
02:04de l'Intérieur et de la Sécurité, ceux-ci sont transmis à la Cour constitutionnelle
02:08laquelle on assure la proclamation définitive. La Cour constitutionnelle proclame les résultats
02:14des élections sous réserve du contentieux électoral dont elles seraient saisies, précise
02:19l'article 114 du code électoral, laquelle sera ensuite chargée de publier ses résultats
02:25par voie de presse dans les meilleurs délais, poursuit la linéa suivant. Toutefois, dans
02:30le cas d'espèce, l'entrée en vigueur de cette constitution doit encore tenir compte
02:35de ce que prévoit la constitution elle-même. En effet, l'article 173 est clair à ce
02:41propos, sous réserve des dispositions de l'article 172, si dessus, la présente constitution
02:48entre en vigueur après l'élection du Président de la République. Notons que l'article 172
02:53est celui qui rend immédiatement applicables les dispositions de la présente constitution
02:58qui traite de l'élection du Président de la République. Concrètement, tous les articles
03:03relatifs à l'élection du Président de la République entreront immédiatement en
03:08vigueur après la proclamation définitive des résultats par la Cour constitutionnelle.
03:13Toujours en lien avec le référendum, si le débat lors de la campagne référendaire
03:22aura été particulièrement virulent, le général de brigade Brice Clotaire, Oli Guinghema,
03:28avait ouvert la voie à un dialogue avec les partisans du NON. Une posture qui devrait
03:33être maintenue, notamment dans l'optique d'assurer la stabilité et la cohésion nationale.
03:38Décryptage. Le référendum constitutionnel du 16 novembre 2024, qui a vu le triomphe du
03:448, n'a pas mis un terme aux tensions politiques que traverse le Gabon. Parmi les opposants au
03:49texte des figures influentes et des partis politiques ont dénoncé un processus qu'ils
03:54jugent insuffisamment inclusif. Face à ces critiques, le général Brice Clotaire, Oli
04:00Guinghema, président de la transition, a affirmé « Chaque opinion compte, chaque voix mérite d'être
04:05entendue ». Cette déclaration qui ouvre la voie à un dialogue indispensable avec les partisans du
04:10NON pour assurer la stabilité et la cohésion nationale. Les partisans du NON au référendum,
04:16bien qu'hétérogène, se retrouvent autour de revendications communes. Une transition plus
04:21inclusive et des garanties démocratiques renforcées. Parmi eux, le front du NON objectif
04:27qui regroupe des figures comme Jean-Rémi Yama, leader syndical et défenseur des droits des
04:32travailleurs, Marcel Ibama, syndicaliste engagé pour l'éducation, ou encore Fred
04:38Horenze-Houmoussoc, fermant critique de l'actuel processus. A leur côté des personnalités issues
04:43de la sphère politique, telles que Jean-Valentin Leyama, secrétaire exécutif du Parti Réagir,
04:49ou la docteure Pelagie Hitsane, militante pour une meilleure représentation des femmes,
04:54ont également appelé au rejet du projet de constitution. Le mouvement Ensemble pour
04:59le Gabon, dirigé par Alain-Claude Bilebinze, ancien Premier ministre, a été particulièrement
05:04actif. L'ancien Premier ministre, accompagné de figures comme le docteur Germain Iloko Boussegui,
05:09Axel Stoffel-Ibinga-Ibinga du mouvement politique alternative, et David Labaye,
05:15ex-député du Rassemblement Héritage et Modernité, ont plaidé pour une transition plus ouverte et
05:21se sont montrés critiques envers certains aspects du texte. Enfin, des partis établis comme le Parti
05:27Social-Démocrate de Pierre Claver, Maranga Moussavou, le Parti du Peuple Gabonais de Jean
05:32Romain Fanguinoveni et le mouvement Priorité Citoyenne de Guilhou, Bitsutsu, Guillessant,
05:37ont apporté leur voix à cette opposition. Luc Benghazi et le Morena ont également insisté
05:43sur l'importance d'une transition respectant les fondements démocratiques. Des prises de
05:49position non négligeables perceptibles, notamment à travers le taux d'abstention estimé à 46,46%
05:56qui devrait interpeller les autorités de transition aux têtes desquelles le président de la transition,
06:01qui, lors d'une rencontre avec les acteurs politiques, avait réaffirmé sa volonté d'être
06:06à l'écoute des voix dissonantes. Il ne faut pas les exclure, ils font partie du Conseil
06:11national de la démocratie. C'est avec eux qu'on doit discuter pour savoir ce qui dérange. Nous
06:17étions ensemble le 30 août 2023, il n'y a pas de raison qu'on se sépare à mi-chemin, a-t-il
06:22lancé ? Ce rappel du rôle central de l'unité nationale résonne comme un appel à inclure les
06:28critiques dans le processus de transition. La volonté du CTI de maintenir un dialogue
06:34pourrait permettre d'apeser les tensions et de renforcer la légitimité des réformes en cours.
06:39Pour cela, une rencontre avec les figures du NON serait une étape cruciale, non seulement
06:44pour clarifier leurs griefs mais aussi pour les impliquer activement dans la construction des
06:50nouvelles institutions. Parmi les partisans du NON, certains sont confrontés à des controverses ou des
06:56obstacles judiciaires. Hervé Patrico Pianga, président de l'Union pour la démocratie et
07:02l'intégration sociale, voit sa position affaiblie par des démêlés judiciaires. L'érection des
07:07affaires criminelles a indiqué que des investigations sont toujours en cours,
07:11alimentant les spéculations sur une instrumentalisation politique. Pourtant,
07:16son expérience politique et sa capacité à rassembler ne peuvent être ignorées.
07:20Le professeur Albert Rondeau, sa figure d'alternance 2023 et seul membre à appeler
07:26à voter NON, reste une voix incontournable. Sa rigueur intellectuelle et ses critiques du
07:31processus électoral méritent d'être prises en compte pour crédibiliser les prochaines
07:36étapes de la transition. Un défi pour la transition. Pour le général Oligi Ngema,
07:41recevoir ses personnalités serait un signal fort en faveur d'un Gabon véritablement inclusif.
07:46Intégrer des figures comme Bilebinze, Maranga Moussavou ou Jean-Rémy Yama au dialogue,
07:52voire dans des organes consultatifs, pourrait renforcer la cohésion nationale. En ouvrant la
07:58porte à ses partisans du NON, le CTRI montrerait sa capacité à transcender les clivages et à
08:04inclure toutes les sensibilités politiques et sociales. Ce serait également un moyen d'apeser
08:10les tensions et d'assurer que la transition reste fidèle à son ambitieux initial, la restauration des
08:16institutions et la consolidation de la démocratie au Gabon. Dans un pays où les crises politiques
08:21ont souvent été exacerbées par l'exclusion et le manque de dialogue, cette démarche pourrait
08:26poser les bases d'une gouvernance plus inclusive et d'un avenir plus stable.
08:35Le plan national de développement pour la transition est un projet ambitieux qui pourrait
08:41jouer un rôle clé dans la transformation économique du Gabon. Toutefois, celui-ci serait
08:46confronté à un défi majeur, notamment la gestion actuelle des finances. Le plan national de
08:52développement pour la transition est un projet ambitieux qui pourrait jouer un rôle clé dans
08:56la transformation économique du Gabon. Cependant, l'un des principaux défis auxquels il est
09:01confronté réside dans la gestion de la dette publique et la capacité à mettre en œuvre une
09:06véritable politique de désendettement. Bien que le pays ait engagé des discussions avec des
09:11créanciers internationaux pour alléger son fardeau, la gestion actuelle des finances publiques laisse
09:16entrevoir des difficultés majeures. En effet, les dépenses publiques ont continué d'augmenter,
09:21notamment à travers des dépenses ostentatoires liées à des projets souvent mal ciblés et mal
09:27planifiés. Le gouvernement gabonais, malgré son engagement à réduire la dette, n'a pas encore
09:32lancé les réformes économiques structurelles nécessaires pour garantir un désendettement à
09:36long terme. Le secteur public continue d'être inefficace avec une forte dépendance aux recettes
09:42pétrolières, qui reste fluctuante. Par ailleurs, la politique de dépenses publiques élevée,
09:46notamment dans les secteurs non productifs, n'a pas permis d'assurer la durabilité économique du
09:50pays. Si le Gabon ne parvient pas à diversifier ses sources de revenus et améliorer l'efficacité
09:56de l'administration publique, les perspectives de désendettement s'éloigneront, rendant la mise
10:00en oeuvre du PNDT encore plus incertaine. Le manque de réformes fiscales et la persistance
10:05d'un système de collecte des impôts inefficace compliquent également la situation. Alors que le
10:10Gabon cherche à réduire sa dépendance au pétrole, les investissements dans des secteurs non
10:14pétroliers peinent à se concrétiser à grande échelle. La lente adoption des réformes économiques
10:19nécessaires pour transformer le secteur industriel et agricole, couplé à une gestion peu rigoureuse
10:23des finances publiques, crée un environnement économique incertain, freinant ainsi la mise
10:28en oeuvre effective des projets prévus dans le PNDT. Le pays est confronté à un environnement
10:34économique mondial instable. La récente décision de Comilog de suspendre partiellement ses activités
10:39le confirme d'ailleurs. La baisse des prix des matières premières et les effets du changement
10:43climatique sur la production agricole augmentent la vulnérabilité du Gabon aux choses externes.
10:48La stratégie économique actuelle, marquée par une forte concentration de la richesse dans
10:52quelques secteurs et une absence d'impulsion vers une économie diversifiée, risque de
10:57compromettre la capacité du gouvernement à financer ses projets sans recourir encore à
11:01des emprunts extérieurs, ce qui exacerbe la situation de la dette. Le PNDT du Gabon pourrait
11:07échouer à atteindre ses objectifs de développement durable s'il n'y a pas une révision immédiate et
11:11substantielle des politiques économiques. Il ne lui reste que deux ans pour atteindre ses objectifs
11:16les plus pertinents. Il est donc impératif que le pays commence par des réformes profondes dans
11:21les secteurs fiscaux et structurels, avec un focus sur la réduction des dépenses non
11:25productives pour poser les bases d'une économie stable et durable, capable de financer ses projets
11:31sans accroître sa dette. Dans ce 19h30, parlons de la filiale de la Société Nationale des
11:41Hydrocarbures, Gabon Hoy, qui fait face à un scandale financier d'une grande ampleur lequel
11:47met en lumière des malversations financières chiffrées à plusieurs dizaines de millions.
11:52C'est un nouveau scandale qui secoue le secteur pétrolier national dans son volet entreprise
11:59publique étatique. Filiale de la Société Nationale des Hydrocarbures, Gabon Hoy est au centre des
12:05accusations. Des pratiques financières douteuses auraient permis le décassement de plusieurs
12:10dizaines de millions de francs CFA en quelques mois malgré une dette colossale de 50 milliards
12:15de francs CFA due à son principal créancier, la société gabonaise de raffinage en abrégé
12:21Saugara. Ces révélations accablantes basées sur les documents internes mettent en lumière
12:27une gestion financière qui frôle la braque à d'abras. L'un des points les plus édifiants de
12:34cette affaire concerne les dépenses faramineuses liées au conseil d'administration. Au total,
12:4043,125 millions de francs CFA auraient été consacrés à ces réunions en quelques mois.
12:46Parmi ces sommes, 3,125 millions de francs CFA auraient été indûment perçus par le président
12:53du conseil d'administration Landry Bongo-Ondimba à travers des jetons de présence décaissés cinq
12:59fois pour une seule réunion tenue le 8 septembre 2024. Cette pratique qui témoigne d'une gestion
13:06pour le moins opaque soulève des interrogations sur la réelle utilité de ces sessions pour la
13:11gouvernance de l'entreprise. Gabol semble également avoir dilapidé des fonds à travers une politique
13:20de responsabilité sociétale d'entreprise jugée discutable. Près de 33 millions de francs CFA
13:26auraient été alloués à des aides diverses à des associations, des dépenses qui, selon des
13:32sources internes, ne correspondent pas à la vocation première de cette entreprise pétrolière.
13:37Ces choix stratégiques, difficilement justifiables dans un contexte de difficulté financière aiguë,
13:43suscitent des critiques quant à l'utilisation des fonds publics par cette société d'Etat.
13:48En parallèle, François-Aunon Messy, administrateur directeur général de Gabol aurait validé la
13:56création d'une régie d'avance de 46 millions de francs CFA pour le financement d'une campagne
14:01référendaire. Curieusement, cette décision est intervenue le 12 novembre 2024, soit 10 jours
14:08après le début de la campagne, posant la question de son opportunité. Ces dépenses tardives s'ajoutent
14:15à d'autres dépenses superflues comme une facture mensuelle de 10 millions de francs CFA pour des
14:20services de restauration fournis par une entreprise privée. Alors que l'entreprise ploie sous l'emploi
14:27de sa dette de 50 milliards de francs CFA envers la Saugara, ses pratiques managériales dénoncées
14:33par de nombreux observateurs illustrent une gabégie financière qui pourrait aggraver davantage la
14:39situation de Gabol. Les décisions douteuses prises par ses dirigeants, notamment celles liées à leur
14:45train de vie princier et aux allocations extravagantes, relèvent un système de gestion
14:50opaque voire mafieux qui pourrait bien précipiter cette entreprise publique dans un gouffre financier.
14:56Ce scandale met en lumière la nécessité d'une enquête approfondie sur la gouvernance de Gabol
15:03et d'un audit indépendant pour faire toute la lumière sur l'utilisation des fonds publics au
15:08sein de cette société d'Etat. En société c'est la désolation derrière le collège Bessieux dans
15:18le deuxième arrondissement de la commune de Libreville. Malgré les engagements des autorités
15:23gabonaises en matière de préservation de l'environnement, les populations ont transformé
15:27le canal derrière Bessieux en un cimetière de bouteilles plastiques. Le reportage est signé
15:33Iris Obanga. Derrière le collège Bessieux dans le deuxième arrondissement de Libreville, un canal
15:38encombré par une quantité impressionnante de bouteilles plastiques illustre le défi persistant
15:43de la gestion des déchets. Malgré les engagements du Gabon en matière de préservation de la
15:48biodiversité, les mauvaises habitudes continuent de nuire à l'environnement, transformant des espaces
15:53naturels en décharges à ciel ouvert. Signataire de l'accord de Paris sur le climat et les objectifs
15:58de développement durable, le Gabon a adopté le 7 juin dernier une loi relative à la lutte contre
16:03les pollutions par les plastiques à usage unique. Cependant cette initiative peine à se traduire en
16:08action concrète dans les quartiers de Libreville où les bouteilles et autres contenants plastiques
16:12jangent encore les canaux, exacerbant les inondations en période de pluie. Le cas le plus
16:18patent de cette situation est sans aucun doute le canal situé entre le collège Bessieux et l'école
16:22publique Martine Oulabo. En effet, une vague de bouteilles plastiques obstruent le passage de
16:26l'eau accompagnée de terre, de hautes herbes et de divers déchets. Cette accumulation favorise non
16:32seulement les inondations mais aussi la prolifération de rectiles, toute chose qui constitue un danger
16:37pour les riverains et les enfants de l'école voisine. Selon le programme de gestion du littoral
16:42ouest africain en 2019, les déchets plastiques représentaient 12% des ordures ménagères au
16:47Gabon avec une production quotidienne estimée à 46 000 kg dont 34% étaient mal gérés. Cela
16:55équivaut à 927 kg par jour de plastique abandonné dans la nature, menaçant gravement les écosystèmes.
17:02Les cours d'eau et forêts du Gabon subissent les conséquences de cette pollution qui n'est
17:06pas sans conséquence pour la faune et la flore. Si la municipalité, les organisations non
17:11gouvernementales et de ferventes défenseurs de l'environnement s'efforcent de sensibiliser la
17:15population et de nettoyer les espaces publics. Ces efforts sont entravés par le manque de
17:19coopération des habitants et des opérateurs économiques qui continuent de jeter leurs
17:23déchets dans les canaux et sur la voie publique. Pourtant, l'utilisation abusive des contenants
17:28plastiques pose non seulement un problème écologique mais aussi des risques pour la
17:33santé. Des campagnes d'éducation et de sensibilisation doivent être renforcées
17:37pour changer des comportements et instaurer des pratiques plus respectueuses de l'environnement.
17:42Le chiffre du jour est 7061, c'est le nombre total des retraités bénéficiaires de la première
17:54phase de paiement des rappels soldes des agents publics en activité et des retraités de
17:59l'administration publique. La source n'est autre que le ministère des comptes publics et le verbatim,
18:06la consultation électorale a eu lieu dans la tradition démocratique et le verdict des urnes
18:12est sans appel. Le 8 l'a largement emporté sur le nom, indiquant clairement l'approbation et
18:18l'adoption de la nouvelle constitution par les Gabonais. J'invite chacun à s'incliner respectueusement
18:23devant le verdict des urnes et à saluer le courage de la sans-péternelle pondération du peuple
18:29Gabonais. La source de ce verbatim n'est aucune conférence de presse datée de ce 21 novembre
18:352024 du député de la transition Serge Maurice Mabiala. A notre édition d'information, merci
18:42pour votre attention, excellente soirée à tous et à demain sur ce même canal pour le 19h30 du
18:47Gabon Media Time, au revoir. Retrouvez GMT TV sur vos différents réseaux sociaux.