Le Colonel Olivier Rafowicz revient sur l'annonce de la mort d'une otage par le Hamas

Le Colonel Olivier Rafowicz revient sur l'annonce de la mort d'une otage par le Hamas.

Transcript

00:00Bonsoir et merci de m'avoir visité dans votre émission ce soir.

00:04Non, je ne peux ni confirmer ni démentir, nous étudions l'information,

00:09mais il est clair que le Hamas a choisi aujourd'hui, un an jour pour jour,

00:14après la libération des otages il y a un an, au mois de novembre,

00:19et il s'agit ici malheureusement de nouveau de terrorisme psychologique de la pure espèce.

00:25D'une manière extrêmement cruelle, il lance cette information sans avoir d'autres éléments,

00:32et donc les populations en Israël et les familles évidemment sont dans une angoisse terrible.

00:38Je rappelle 414 jours depuis la prise d'otages, depuis le massacre,

00:43et aucune nouvelle pour laissant un otage toujours en main du Hamas,

00:46dont des femmes et dont des bébés, des enfants.

00:49Terrorisme psychologique, donc vous nous dites ce soir peut-être un mot concernant le sort des otages.

00:54Vous venez de l'évoquer, l'armée poursuit donc en ce moment même toujours ses opérations pour retrouver ses otages.

01:01Tout à fait, d'abord il y a des opérations qui continuent extrêmement importantes

01:05dans le nord de la Vendée de Gaza, dans la zone de Djébalia,

01:09où le Hamas essaye de se reformer, de se reconstituer en cellule de guérilla terroriste.

01:16Nous avons d'ailleurs éliminé quelques membres importants il y a deux jours,

01:20qui étaient entre autres des membres qui ont fait partie des attaques

01:23comme celles que nous voyons maintenant à l'écran du 7 octobre dans le kiboutz de Mefalsim et dans d'autres endroits.

01:30Et il est clair que le sort des otages est pour nous la priorité absolue.

01:36Nous avons à la fois des équipes spéciales et d'autres éléments dont je ne peux pas donner le détail

01:42qui sont sur ce dossier et qui malheureusement jusqu'à aujourd'hui

01:45n'aboutissent pas à la libération et au retour des otages qui est pour nous une priorité absolue.