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Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 29/11/2024.

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Transcription
00:00Louis Sénéryké, hors-jeu, trois jours après la défaite de Paris en Ligue des Champions,
00:05le Sénéryké était de retour en conférence de presse.
00:07Le coach, il nous habituait à le sens du contre-pied
00:10puisqu'il a aimé le match de son équipe.
00:13Si, si, écoutez-le.
00:15Ce que j'ai vu à Munich m'a plu.
00:18C'est évident que ça n'a pas été suffisant pour obtenir quelque chose de positif.
00:22Je n'ai pas vu d'équipe qui a le plus gêné le Bayern que nous.
00:25Tu peux revoir leurs matchs.
00:27Mais je répète que j'ai aimé mon équipe et non, ça n'est pas contradictoire.
00:31Il me semble que je ne m'adapte pas à l'adversaire.
00:35Nous avons perdu de manière injuste.
00:38Moi, je suis là pour faire en sorte que l'équipe ait une identité.
00:41C'est mon objectif.
00:43Et ensuite, est-ce qu'on gagne, est-ce qu'on perd ?
00:45Ça, ce sont des choses que je ne peux pas garantir.
00:47Désgraciadement, je ne peux pas le garantir.
00:49J'ai aimé mon équipe au Bayern.
00:51Voyez-vous un coach qui perd pied ?
00:53Non !
00:54Grégory Schneider, vous répondez non.
00:57Vous avez une minute pour nous convaincre et nous expliquer ce que vous avez vu à travers cette déclaration.
01:02On va baisser un peu l'intensité lumineuse.
01:04Le compte à rebours est prêt.
01:06On vous écoute pourquoi ce non sur cette sortie ?
01:09Je pense que la saison parisienne est construite sur un récit qui en soit une arnaque.
01:13C'est-à-dire qu'on nous explique qu'avec de moins bons joueurs, avec un moins grand CV,
01:16moins expérimenté, on va faire une meilleure équipe.
01:19Et c'est quelque chose de faux.
01:21Il faut être vraiment naïf pour avaler un truc pareil.
01:24Et je plains ceux qui ont avalé un truc pareil.
01:26La vérité, c'est que c'est un récit différent.
01:29C'est un récit sans stars, avec des joueurs moins forts.
01:31Il y a une sorte de reflux, si vous voulez.
01:33Et Luis Henrique est là pour endosser ce récit-là.
01:36Il n'est pas là pour le contrer.
01:37Donc, il connaît le foot, il sait très bien ce que valent ses joueurs.
01:40Il sait aussi très bien ce que vaut son équipe.
01:42Et à la limite, en attirant la lumière sur lui avec ses provocations,
01:46il arrive un petit peu à dévier le tir.
01:48C'est-à-dire qu'on parle de lui, on ne parle pas de cette espèce de reflux qu'on connaît.
01:51Donc, il ne faut pas se tromper.
01:53Il est sans doute lucide sur le rôle qu'il joue.
01:56Après, le match n'était ni pire ni meilleur que contre Heron.
01:59Il était sans doute supérieur à ce qu'ils ont fait contre Arsenal ou Eindhoven.
02:04L'idée, c'est que ce n'est pas lui qu'il faut regarder, c'est la globalité du projet.
02:08Et là, je pense qu'on comprend beaucoup de choses.
02:09Ok.
02:12Greg Schneider, vous nous demandez parfois de prendre un peu trop de hauteur.
02:15Qu'est-ce qu'il y a, Greg ? Ça va ? Ça va bien ?
02:16À la nuit, c'est pas le duel.
02:18Oui, surtout que vous êtes nouveau au Chroniqueur, l'équipe du soir.
02:21Non, mais ce n'est pas trop dans la légère.
02:23Greg, vous êtes-il convaincu, cher Chroniqueur et cher téléspectateur ?
02:26Et avez-vous convaincu vos pères ?
02:28Attention, c'est le baccalauréat que vous passez ce soir, Greg.
02:31On y va, petit habillage.
02:34Pa, pa, j'attends.
02:35Siani, par rapport à ce qu'il a dit, vous êtes convaincu ou pas ?
02:38J'ai beaucoup aimé son argumentaire.
02:39Benjamin, du parisien ?
02:41Du parisien, tout à fait. Plutôt convaincu.
02:43Plutôt convaincu.
02:44Vincent ?
02:45Oui, oui, globalement, oui.
02:46Oui, vous souhaitez bien, parce que là, regardez, vous avez vu comme il a mouillé de maillot.
02:49Il n'a pas besoin, il sait.
02:52Ah, c'est comme Michel Driquet ?
02:53Il sait.
02:53D'accord.
02:54Stéphane, est-ce qu'il vous a convaincu pour prendre le projet plus globalement ?
02:57Oui ou non ? Il vous a convaincu ?
02:59Vous pourriez dire non, mais pas tout à fait.
03:01Pas tout à fait ? Ah, pas tout à fait.
03:02Alors, soit dans sa démonstration, soit ce que vous pensez finalement de la saison du Paris Saint-Germain.
03:07Est-ce qu'il y a des choses qui vous dérangent ?
03:10Oui, parce que je trouve que l'une des forces d'un coach,
03:15c'est quand même de tirer la quintessence de ses joueurs et de son équipe
03:18et qu'avoir une philosophie de jeu, avoir une idée sur le jeu, c'est très bien.
03:24Il faut être convaincu, convaincant.
03:27Mais il y a aussi une donnée qu'il ne faut pas oublier, c'est qu'on doit faire avec son effectif.
03:34Vous l'avez dit.
03:35Et la force d'un entraîneur aussi, c'est de s'adapter aux joueurs qu'il a.
03:41J'avais dit ça quand j'entraînais le SCO à l'époque,
03:46parce qu'on parlait beaucoup des grands entraîneurs, notamment des entraîneurs étrangers,
03:49puisqu'on ne peut être qu'un grand entraîneur étranger en France.
03:53Et j'aurais bien aimé voir, par exemple, Guardiola au SCO d'Angers.
03:58Parce que vous pouvez avoir une philosophie,
04:02mais cette philosophie ne peut pas s'adapter forcément à tous les joueurs.
04:05Et donc, à partir de là, je considère, compte tenu de ce que vous avez dit,
04:10qu'il pourrait lui aussi faire un pas en arrière en se disant
04:15« Je n'ai pas l'effectif qui convient pour jouer comme je l'aimerais,
04:18donc malgré ça, je ne mets pas en péril la qualification du PSG. »
04:23Oui, mais là, Steph, vous êtes président, là.
04:27Franchement, j'ai une archive à vous montrer.
04:30On est en décembre de la saison dernière.
04:31Paris s'impose au Havre.
04:33Faites match, dixième minute, Donnarumma, carton rouge.
04:36Et là, le drame pour Louis Sénéqué.
04:38Le drame.
04:39Obligé de jouer la contre-attaque.
04:40Si, si, il l'a dit après le match.
04:41Regarde.
04:43On est une des seules équipes qui peut faire les deux.
04:47Le jeu en transition et le jeu en possession.
04:58En tant qu'entraîneur, ce serait beaucoup plus facile pour moi
05:00de mettre six, sept défenseurs, deux, trois joueurs qui vont aller courir,
05:04rester sur le banc.
05:05Ce n'est pas pour cela que le PSG m'a signé.
05:08C'est pour faire un foot offensif,
05:11pour que nos fans puissent prendre du plaisir.
05:21Je ne fume pas, mais je pourrais rester sur le banc de touche
05:23et fumer une cigarette en regardant mes joueurs courir.
05:26Moi, je n'aime pas le foot qu'on a fait aujourd'hui,
05:28mais on a démontré qu'on peut jouer des deux manières.
05:33Ce qui me rassure, Lémé, c'est qu'en fait,
05:35ils ne méprisent pas que les journalistes.
05:36Ils méprisent 95% de ses confrères.
05:38Et ça, ça ne me rassure pas.
05:40Au moins, on n'est pas tout seul.
05:41Président Moulin, quand vous nous dites finalement
05:43qu'il faut s'adapter à son effectif,
05:46on peut arriver avec certaines idées,
05:48mais être un petit peu plus souple.
05:49Quand je vous passe finalement cet extrait,
05:52il s'est adapté.
05:53Ce jour-là, il s'est adapté, mais c'était vraiment…
05:56C'est trop facile.
05:58C'est la dernière fois.
05:59Ça a dégoûté.
06:00C'est la dernière fois.
06:01Pour Stéphane, qui vous interpelle,
06:04tout le monde était convaincu par Louis Cédric.
06:07Ce n'est pas un coach qui perd pied pour vous.
06:08Ce n'est pas la même question, en fait.
06:10Ce n'est pas la même question.
06:11En fait, pendant la conf', je n'ai pas trouvé
06:13qu'il perdait pied.
06:14Quand il dit qu'on a fait un bon match au Bayern,
06:16n'importe quel entraîneur, dans ce cas-là,
06:17il dirait la même chose.
06:18Il valorise un peu ça.
06:19C'est surtout pas le même discours qu'après le match.
06:21Parce qu'après le match, il nous a quand même dit
06:22que la première mi-temps, il n'était pas du tout satisfait
06:24de ce qu'avaient fait ses joueurs,
06:25qu'il les avait trouvés à contre-tendre,
06:26à un manque d'agressivité.
06:27Je pense qu'on est dans deux temps.
06:29Il y a l'analyse du match qui est après la rencontre,
06:31et là, on est dans le temps de la préparation
06:32du match suivant contre Nantes,
06:33où il doit diffuser un message positif
06:35vis-à-vis de ses joueurs.
06:36Et il est difficile d'annoncer en public
06:39que son groupe n'est pas suffisamment costaud
06:41pour mettre en place le projet de jeu.
06:43Benjamin, il a déjà fait ça.
06:44Il a déjà attaqué son groupe publiquement.
06:45Pas cette saison.
06:46Pas cette saison.
06:47Je n'en ai pas le souvenir.
06:48La saison dernière.
06:49Oui, mais individuellement.
06:50Sur l'aspect collectif, je n'en ai pas le souvenir.
06:54Par exemple, sur le coach qui perd pied,
06:58il a une philosophie.
06:59Ils ont marqué deux buts en cinq matchs
07:01en Ligue des Champions.
07:02Est-ce qu'il n'est pas temps de changer,
07:04de mettre un avance-centre ?
07:05Il n'y a pas un attaquant qui a marqué un but
07:07pour le PG en Ligue des Champions
07:08depuis sept matchs.
07:09Oui, mais il ne les fait pas jouer.
07:10Je parle des avancentes.
07:12Ils ne peuvent pas marquer.
07:13Ils sont sur le banc.
07:14Colomoigny n'a pas joué une minute.
07:16Je ne suis pas forcément un fan de Colomoigny.
07:18Mais quand on a marqué deux buts en cinq matchs,
07:20on peut aussi, à un moment donné,
07:22et c'est là où je ne suis pas totalement d'accord,
07:24dire que ce que j'ai mis en place, ça ne fonctionne pas.
07:26On va essayer autre chose.
07:28On a le droit de le faire.
07:30Non, convaincu, surconvaincu
07:32que c'est comme ça que ça va le faire,
07:34c'est jusqu'au boutisme.
07:36Donc, à un moment donné,
07:38il faut aussi être en capacité
07:40d'assumer tout ce qui est fait
07:44et ce qui dépend aussi de lui,
07:46de son choix.
07:48Pour Stéphane Moulin,
07:50la philosophie du coach et son effectif
07:52ne sont pas en adéquation.
07:54Là, la saison va continuer.
07:56On est en Ligue des Champions.
07:58Le coach a une tendance,
08:00on va dire, lointaine à s'adapter.
08:02On va dire à la catastrophe.
08:04On ne peut pas présenter les choses comme ça.
08:06Pourquoi ?
08:08Parce que l'effectif, c'est lui qui l'a construit dernièrement.
08:10C'est lui qui a voulu ça.
08:12En gros, cet été,
08:14c'est lui qui avait le pouvoir.
08:16Le problème, à ce moment-là,
08:18c'est qu'il s'est trompé.
08:20Et pas tout seul.
08:22Il s'est trompé avec Luis Campos,
08:24ils se sont trompés ensemble.
08:26C'est lui qui n'a pas voulu d'avancante.
08:28C'est lui qui a voulu s'effectuer.
08:30Ça rajoute d'autant plus sa responsabilité.
08:32Complètement.
08:34Je ne trouve pas qu'il perd pied.
08:36Il est dans la droite lignée de tout ce qu'il fait
08:38depuis qu'il est arrivé au PSG.
08:40Il n'a pas dévié de sa philosophie,
08:42de son discours,
08:44de ce qu'il a envie de faire.
08:46Les mois passent.
08:48Moi, le football de possession,
08:50j'aime plus tôt.
08:52Le football offensif, j'aime plus tôt.
08:55Il y a un décalage entre ce qu'est le PSG en Ligue 1
08:57et ce qu'est le PSG en Coupe d'Europe.
08:59Il n'y a pas de décalage,
09:01c'est la Ligue 1 et la Coupe d'Europe.
09:03Du coup, on a l'impression
09:05qu'ils doivent faire les mêmes performances
09:07en Coupe d'Europe tellement ils écrasent la Ligue 1
09:09alors que non.
09:11En Coupe d'Europe,
09:13tu sens qu'il y a un gouffre
09:15qui est phénoménal.
09:17J'ai vu le match du Bayern,
09:19après avoir vu le suite contre Toulouse.
09:21Ce n'est pas la même équipe pour moi.
09:23Quand on dit que c'est un mauvais match au Bayern,
09:25ils sont strictement à leur niveau.
09:27Ils font strictement ce qu'on est en mesure d'attendre d'eux.
09:29Ils ne contre-performent pas
09:31et ne sur-performent pas non plus.
09:33Ils sont à l'étiage.
09:35C'est la vérité de cette équipe.
09:37Il n'y a rien qui m'est apparu.
09:39Le match contre Gérard,
09:41c'est quand même limite.
09:43Mais au Bayern, ils sont ce qu'ils sont.
09:45Ce qui m'est apparu,
09:47c'est le côté un peu à la fois impressing
09:49mais cette équipe-là manquait de liens,
09:51cette équipe n'a pas été...
09:53Je fais juste un petit lancement.
09:55Laissez-moi faire mon travail.
09:57Mercredi, dans l'équipe de Greg,
09:59Loïc Tanzy, votre confrère,
10:01qui oeuvre également pour le journal d'équipe
10:03qui suit le Paris Saint-Germain,
10:05nous révèle les coulisses
10:07de la préparation du match de Luis Enrique.
10:09Petit rendez-vous avec les joueurs
10:11qui précèdent la rencontre
10:13de trois heures avant la rencontre.
10:15Écoutez Loïc Tanzy.
10:17Hier, il arrive sur le terrain
10:19un contre un en défense.
10:21Comme ça, il lui a dit vas-y.
10:23Il leur dit,
10:25il faut comprendre aussi les joueurs,
10:27ils arrivent en salle de réunion
10:29deux heures avant un match,
10:31il leur dit bon les gars,
10:33toi tu vas sur Kimmich Fabienne Ruiz,
10:35toi tu vas sur Goretzka,
10:37on va jouer à quatre milieux de terrain,
10:39ce qu'on n'a jamais fait depuis le début de la saison,
10:41on est deux heures avant le match.
10:43Ils ne l'ont pas préparé dans la semaine.
10:45Non, il ne les prépare pas.
10:47Mais il décide de ce qui va être mis en place
10:49deux heures avant le match.
10:51C'est pour maintenir sous pression ces joueurs.
10:53Et maintenir dans l'incertitude.
10:55Je voulais revenir sur la stratégie qu'il a choisi pour le Bayern.
10:57Par rapport au dogme qu'il défend
10:59et à la supériorité intellectuelle
11:01de ce dogme sur tout le reste,
11:03sur toute la manière de jouer au foot autrement et ailleurs.
11:05Ce dogme-là,
11:07c'est du marquage individuel des années 70.
11:09Mais quand vous êtes au stade
11:11et que le PGA Ballon et que vous avez Marquinhos
11:13qui suit Kane jusque dans son camp
11:1520 mètres devant le reste de la défense
11:17alors que c'est le PGA qui a le ballon,
11:19vous voyez bien un peu le dogme de la soirée.
11:21Si c'est, et là je vais être d'accord avec Stéphane,
11:23si c'est l'entraîneur français
11:25qui fait ça, on va dire
11:27qu'est-ce que c'est que le tactique.
11:29Même Giroud était passé en zone sur la fin.
11:33Il allait se faire démonter,
11:35tactique des années 70, etc.
11:37J'ai vu qu'au fur et à mesure
11:39de votre cadre de coach,
11:41les équipes, les onces de départ,
11:44vous avez donné le jour du match
11:46pour maintenir sous pression les joueurs.
11:48Là, il y a
11:50quelque chose qui est encore,
11:52la gradation est encore montée d'un cran.
11:54C'est on joue, on n'a pas préparé et on y va.
11:56Là aussi, ça vous déboussole ?
12:00Ça ne me déboussole pas, c'est une manière de faire
12:02et qu'il faut la respecter.
12:04On ne peut pas parler
12:06forcément de comparaison
12:08puisque le niveau des joueurs est différent.
12:10Mais il me semble que
12:12pour créer du lien,
12:14des connexions entre les joueurs,
12:16il faut les mettre dans les conditions
12:18pour qu'ils ne se retrouvent pas...
12:22On a l'impression que ce sont des joueurs
12:24de ligue des champions qui vont tout régler,
12:26ils vont s'adapter à tout,
12:28ils vont trouver les parades, les solutions.
12:30Ce n'est pas vrai.
12:32L'effet magique du talent ?
12:34Ce n'est pas vrai parce que ça reste des hommes,
12:36ce sont des joueurs de foot
12:38et qu'ils ne peuvent pas répondre
12:40à une situation inconnue.
12:44Notre rôle, les coachs,
12:46c'est de leur donner un minimum
12:48de billes, de clés
12:50pour qu'ils puissent faire face
12:52à une situation qui pourrait arriver.
12:54Après, s'il a décidé
12:56de ne pas travailler de cette manière,
12:58c'est son choix.
13:00Il faut reconnaître que ça fonctionne,
13:02mais ça fonctionne à un certain niveau
13:04avec un certain niveau de joueurs.
13:06Mais quand vous tombez face au Bayern
13:08ça ne fonctionne pas.
13:10Parce qu'ils ne peuvent plus s'adapter ?
13:12Non, parce qu'ils tombent
13:14sur des joueurs
13:16qui ont un autre niveau
13:18et qui leur proposent des choses
13:20qu'ils n'ont pas l'habitude le week-end en ligne.
13:22Donc, ils n'ont pas les réponses.
13:24Vous n'avez pas convaincu, cher Grégory.
13:26Le non n'est pas passé.
13:28Vous n'avez pas passé auprès
13:30de vos pairs de l'équipe du soir.
13:32Le président, c'était déjà limite.
13:34Et les téléspectateurs ?

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